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Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:12
par Wickaël
Le stagiaire qui s'occupe des affiches alors

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:22
par Kit
ou il ne sait pas cadrer ou a un strabisme
ou bien tu avais raison et a utilisé le côté du bandeau

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:23
par Pale
On va dire que c'est raccord avec cette première affiche :
On ne peut nier qu'il y a une démarche derrière ces affiches

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:28
par Kit
[mention]Wickaël[/mention]
comment ça va ? ça a fait 3 ans

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:46
par robinne

c'est tout à fait ça

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 19:47
par robinne
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 20:14
par Pale
En tout cas je suis totalement fan du trailer, ça a l'air colossal et les acteurs transpirent le charisme.
Je suis déjà fan des deux psychopathes :

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 20:22
par robinne
Je ne regarde pas les bandes-annonces

Surtout des films que j'attends

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 9 juil. 2024 22:34
par Wickaël
Kit a écrit : ↑mar. 9 juil. 2024 19:28
@Wickaël
comment ça va ? ça a fait 3 ans
Oui, 3 ans le 25 juin... merci de demander. Et pour répondre à ta question oui ça va, la vie suit son cours, avec des hauts et des bas...
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 16:39
par Pale
Un Seul au monde horrifique : Sam Raimi va revenir à l’horreur avec son film Send Help
Après Doctor Strange in the Multiverse of Madness, Sam Raimi va retourner dans l’univers de l’horreur avec son prochain film Send Help.
Si les fans de Sam Raimi ont été pas mal divisés par Doctor Strange in the Multiverse of Madness, ça n’a pas semblé gêner outre mesure le réalisateur. Ainsi, en avril 2024, Sam Raimi a annoncé qu’il aimerait réaliser un autre film Marvel, et il pourrait peut-être s’agir d’Avengers 6. L’avenir du cinéaste serait-il désormais tourné vers le MCU et les super-héros de Disney ? Heureusement pour nous, non.
En effet, on vient d’apprendre que Sam Raimi allait réaliser un nouveau film pour les studios 20th Century. Intitulé Send Help, ce projet semi-horrifique permettrait ainsi à Sam Raimi de retrouver le monde de l’épouvante, de nombreuses années après la trilogie Evil Dead et Jusqu’en enfer.
Selon Deadline, Send Help serait un thriller d’horreur se passant sur une île et nous présentant deux personnages principaux. Le projet est d’ailleurs décrit comme un mélange entre Seul au monde de Robert Zemeckis et Misery, l’adaptation de Rob Reiner du roman à succès de Stephen King. Toujours selon Deadline, 20th Century n’aurait toutefois pas encore officiellement lancé le film.
Send Help serait tiré d’un scénario écrit par Damian Shannon et Mark Swift, qui ont déjà collaboré sur Baywatch, le remake de Vendredi 13 et Freddy contre Jason. Il faut être honnête, ce CV n’a rien de très rassurant, mais avec Sam Raimi à la réalisation, l’espoir est plus que permis.
Revoir Sam Raimi aux mannettes d’un thriller horrifique est très enthousiasmante, d’autant que le monsieur n’a pas réalisé de vrai film d’horreur depuis Jusqu’en enfer en 2009. Il sera également intéressant de savoir quelles autres personnalités seront par la suite rattachées au film, notamment au niveau casting (oui, on a déjà hâte de voir ce que donnera le nouveau caméo de Bruce Campbell).
Quoi qu’il en soit, aucune date ou période de sortie n’a pour le moment été dévoilée concernant Send Help, il faudra donc patienter encore un peu avant de pouvoir véritablement retrouver Sam Raimi.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... NYaA4_X5nA
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 16:42
par Pale
EL a modérément apprécié
To the Moon (3 étoiles) :
Difficile de catégoriser To the Moon, qui s’amuse à naviguer entre la comédie romantique, le film historique sur Apollo 11 et le gros délire fictionnel nourri par des décennies de théories du complot. Ce qui est sûr en revanche, c’est que le long-métrage de Greg Berlanti est aussi charmant que Scarlett Johansson et Channing Tatum, et interroge avec malice l’héritage de la conquête spatiale. En salles le 10 juillet.
L’ÉTOFFE DES ZÉROS SUR LE CHÈQUE
A première vue, To the Moon a quelque chose de joliment désuet, qui dépasse son décorum sixties et ses costumes glamour. En partant des théories du complot autour du faux alunissage d’Apollo 11 pour y développer une comédie romantique, le scénario de Rose Gilroy s’amuse déjà d’un contraste d’échelle entre une fiction intime, pour ne pas dire dérisoire, et l’ampleur d’un événement historique majeur du XXe siècle.
S’il est loin d’être original, ce décalage donne au film son ton fantaisiste, à la fois léger et piquant, porté par ses dialogues hérités des classiques de la comédie américaine. L’attraction principale du film est d’ailleurs amplement suffisante : voir Scarlett Johansson et Channing Tatum se renvoyer la balle façon Katharine Hepburn et Cary Grant, avec le code habituel du couple que tout oppose, mais qui apprend à s’apprivoiser l’un l’autre.
Cole Davis (Tatum) est le directeur de la mission, éternel idéaliste qui voit les prouesses de la NASA comme un rêve collectif à accomplir. Kelly Jones (Johansson) vient chambouler cet optimisme en tant que spécialiste marketing, censée “vendre” la mission Apollo à l’heure où le gouvernement américain envisage de réduire son financement. Deux visions opposées du monde, mais qui n’encapsulent que trop bien une certaine idée de l’Amérique, où l’accomplissement et la noblesse de la transcendance humaine se raccordent toujours au cynisme de marchands de tapis.
To the Moon fait le constat doux-amer qu’un équilibre est nécessaire, quitte à autant pointer du doigt les manipulations de Jones que la naïveté de Davis, qui choisit d’ignorer la donnée propagandiste de ce duel idéologique contre l’URSS. Or, tout en jouant avec l’évolution de leur relation (l’ensemble doit beaucoup au charme de ses comédiens), le réalisateur Greg Berlanti (Love, Simon) capte surtout un glissement post-moderne assez passionnant.
DARKEST SIDE OF THE MOON
Si le film fictionnalise les fantasmes autour d’images d’Apollo 11 tournées en studio (mandatées ici à Kelly Jones par le gouvernement), c’est en prenant conscience de l’importance prise par cette théorie du complot au fil des décennies. Le cinéma a joué à maintes reprises avec cette manipulation supposée de la vérité de cette captation audiovisuelle (avec pour point d’orgue le faux documentaire Opération Lune) pour mieux interroger les origines de cette méfiance.
C’est tout le sujet de To the Moon : à force de pervertir la pureté d’une découverte scientifique majeure par ses contingences politiques, militaires et économiques, la remise en cause de ce progrès ne peut qu’être interrogée. Le film essaie régulièrement d’être exhaustif sur le contexte social de l’époque (l’échec traumatique d’Apollo 1, la guerre du Vietnam qui bat son plein et dévoile au monde ses terrifiantes coulisses…), mais perd de son rythme fringant au passage.
C’est même le problème global du long-métrage. A vouloir lier les faits historiques aux délires de sa fiction, Berlanti se prend les pieds dans le tapis, et épuise le pouvoir humoristique du projet dans ses moments les plus attendus (le tournage en studio est assez décevant dans ses ressorts). C’est d’autant plus dommage que cette baisse de régime fait de To the Moon un feel-good movie quelque peu mineur, alors qu’il est loin d’être aussi désuet qu’il le laisse penser.
Derrière les relents nostalgiques de sa fabrication, c’est bien tout un imaginaire de la conquête spatiale qu’il convoque, de L’Étoffe des héros à 2001 : L’Odyssée de l’espace. Ce mix d’influences, parfaitement digéré par les postes clés du film, boucle la boucle à sa manière. Dariusz Wolski, le chef opérateur de Ridley Scott, donne à la froideur du numérique les teintes pastel de la pellicule d’antan, tandis que Daniel Pemberton signe encore une fois l’une des meilleures BO de l’année, entre jazz, orchestre symphonique et synthétiseurs.
La connexion entre passé et présent est essentielle, car cette imagerie est de nouveau exploitée par ceux qui veulent s’approprier la conquête spatiale. Sauf qu’il n’est plus question d’États, mais de sociétés privées et des mégalomanes de la Sillicon Valley (Jeff Bezos, Elon Musk). L’espoir d’un avenir meilleur n’est plus que la vitrine d’un libéralisme hors de contrôle (tourisme spatial, colonisation…), soit l’enfer que n’a cessé de craindre Cole Davis. Non sans un regard critique, To the Moon renvoie à cette ambiguïté politique des missions Apollo, mais choisit aussi son camp : celui d’un optimisme salvateur, qui fait du bien par où il passe.
Malgré une écriture en dents de scie, To the Moon convainc par ses acteurs et sa dimension de comédie américaine old-school, tout en convoquant une modernité politique sur notre ère de la post-vérité et l’héritage de la conquête spatiale.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... za9EpZYbTw
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 16:43
par Pale
Ce western culte avec Clint Eastwood va avoir le droit à son remake (et on se demande pourquoi)
Personne ne s’y attendait, mais on verra bien un remake de ce western culte avec Clint Eastwood, pour le meilleur ou pour le pire.
Quelques semaines avant la sortie de son dernier film, Kevin Costner annonçait qu’Horizon allait sauver le western. Certes, on peut trouver sa déclaration assez arrogante, mais il est vrai que malgré d’excellentes productions au 21e siècle (Django Unchained, Les 8 Salopards, There Will Be Blood), le genre a largement perdu de sa popularité au fil des années.
La période des westerns spaghettis, notamment mise en valeur par la Trilogie du dollar de Sergio Leone au milieu des années 60, paraît désormais bien loin. Mais justement, alors qu’on ne l’imaginait absolument pas, on a appris qu’un western culte avec Clint Eastwood allait avoir droit à son remake…mais est-ce vraiment une bonne idée ?
Comme vient de le révéler Deadline, un remake de Pour une poignée de dollars, l’un des plus grands westerns jamais faits et le premier opus de la Trilogie du dollar, est donc en préparation. Ce projet serait né sous l’impulsion des producteurs Gianni Nunnari (300) et Simon Horsman de Euro Gang Entertainment, d’Enzo Sisti (Ripley) et de la société de production romaine Jolly Film, qui s’était d’ailleurs occupé du film original.
Sorti en 1964, Pour une poignée de dollars racontait l’histoire d’un cow-boy sans nom qui a décidé de sauver une ville déchirée par la cupidité, l’orgueil et la vengeance d’un affrontement entre deux familles rivales. Réalisé par Sergio Leone et magnifié par la musique de l’immense compositeur italien Ennio Morricone, le film a été un gros succès à l’époque (14 millions de dollars de recettes pour un budget estimé à 200 000 dollars), tout en lançant à la fois le genre du western spaghetti et la carrière de Clint Eastwood.
Pour le moment, aucune information concernant le réalisateur, le casting, le scénariste ou la date de début de tournage de ce remake n’a été dévoilée. Rappelons également qu’une version en série était en cours de développement il y a quatre ans, mais a finalement été annulée. Quoi qu’il en soit, si le film original est lui-même considéré comme un remake non officiel du classique japonais Le Garde du corps d’Akira Kurosawa (qui a ensuite reçu 15% de ses recettes), il est difficile de voir l’intérêt d’une nouvelle itération.
En effet, Pour une poignée de dollars est une œuvre de son temps, avec son propre rythme, sa propre esthétique, ses propres thématiques… Le refaire permettrait-il réellement d’apporter quelque chose à une production devenue à jamais iconique dans l’histoire du cinéma ? L’avenir nous le dira, mais de notre côté on est loin d’être convaincu.
https://www.ecranlarge.com/films/news/w ... J2TSxIekVg
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 16:46
par Pale
Pire qu’Hellboy : la bande-annonce horrible du film d’action Duchess du réalisateur de The Descent
Malgré la douche froide Hellboy, Neil Marshall sévit encore, toujours avec sa muse Charlotte Kirk, dans la bande-annonce de son Duchess.
Fut un temps où chacun de ses longs-métrages était attendu avec impatience par les amateurs de cinéma d’horreur. Remarqué pour son film de loup-garou bien bourrin Dog Soldiers, Neil Marshall avait porté un coup sévère à l’industrie du tourisme spéléologique avec l’excellent The Descent, monument de claustrophobie devenu une référence. Malheureusement, il n’a jamais connu de succès populaire et critique comparable, puis s’est complètement planté avec un premier vrai blockbuster : son adaptation de Hellboy.
Son échec cuisant a marqué un tournant dans sa carrière. Pour rebondir, il s’est allié avec sa compagne Charlotte Kirk, désormais productrice exécutive, co-scénariste et tête d’affiche de tous ses films. Ensemble, ils ont produit Sorcière en 2020 (The Reckoning en VO), The Lair en 2022 et donc Duchess en 2024. Une bande-annonce vient de sortir.
[youtube]iCxiiqlE7eg[/youtube]
Le problème, c’est que non contente d’être des séries B plus que bancales, ses deux précédents films sont tout entier dédiés à la vénération de Kirk, à laquelle Marshall semble dédier sa vie et son œuvre depuis qu’un producteur lui a refusé un rôle dans Hellboy. Une obsession qui serait moins dérangeante si elle n’était pas une aussi piètre actrice, doublée d’une scénariste douteuse. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette bande-annonce n’indique pas de grand changement à ce niveau.
Fini le fantastique horrifique : le duo s’essaie cette fois au film d’action très chorégraphié. Kirk joue – évidemment – la « Duchess » du titre, criminelle prolétaire qui se transforme en anti-héroïne en quête de vengeance dans le petit monde du trafic de diamant. Et si ses talents martiaux sont encore à démontrer, la bande-annonce ne manque pas de souligner à quel point elle sait prendre la pose. Rien de bien nouveau dans ce qui ressemble donc à un énième sous-John Wick fauché, supplément freeze-frame digne de Sonic.
Un communiqué relayé par Variety promettait un « festin visuel de proportions épiques, multipliant les coups de feux et les jets de sang », le tout éclairé par le chef opérateur de Legacy of Lies et du dernier Jeepers Creepers (quel argument !). Le casting secondaire se compose quant à lui de Colm Meaney (Gangs of London), Sean Pertwee (Equilibrium, Event Horizon) ou encore Stephanie Beacham. Sorcière et The Lair étant sortis directement en vidéo en France, Duchess risque de connaître le même destin. Bon courage.
https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... CW_iHC2btg
L'affiche :

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 16:46
par Pale
Bande-annonce de la série Cat's Eyes :
[youtube]Xv0Ra1h_nVM[/youtube]
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 19:16
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 19:33
par Pale
Les critiques US de Twisters sont très bonnes

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 10 juil. 2024 20:56
par ClintReborn
Pale a écrit : ↑mer. 10 juil. 2024 16:46
Bande-annonce de la série Cat's Eyes :
[youtube]Xv0Ra1h_nVM[/youtube]

Cela m'a juste donner envie de revoir LA série

Avec le générique non censuré !
[youtube]UQN5CMBfSIM[/youtube]
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Posté : mer. 10 juil. 2024 21:05
par Pale
ClintReborn a écrit : ↑mer. 10 juil. 2024 20:56
Avec le générique non censuré !
J'avais jamais vu. Un peu long mais joli

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 15:21
par NaughtyDog
[youtube]f1kejCHfpeI[/youtube]
Vous n'êtes pas prêt pour ce classique instantané du genre
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 16:17
par Kit
Emilia Clarke rejoint le casting de la nouvelle série "Criminal"
https://www.cnews.fr/divertissement/202 ... e-la-serie
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 17:20
par ClintReborn
Pale a écrit : ↑mer. 10 juil. 2024 21:05
ClintReborn a écrit : ↑mer. 10 juil. 2024 20:56
Avec le générique non censuré !
J'avais jamais vu. Un peu long mais joli
Par contre j'ai un fantasme qu'on produise une série live de Black lagoon ce serait énorme si on respecte les dialogues de la VF et la violence du manga !
[youtube]JAOT1cfmQoo[/youtube]
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 18:15
par Pale
Twisters : les premiers avis sur la suite du film catastrophe culte sont arrivés
Les premiers avis sur Twisters, le film de Lee Isaac Chung avec Daisy Edgar-Jones et Glen Powell sont disponibles, et ils sont plutôt rassurants.
Le Twister original a fêté ses 28 ans. Si le film catastrophe a gagné le statut de culte, c’est grâce à ses effets spéciaux à couper le souffle (ceux qui ont vu cette vache volante en CGI au cinéma en 1996 ne s’en sont jamais remis), son tandem d’acteurs, Helen Hunt et Bill Paxton, à l’alchimie presque mystique, et son pitch halluciné : une bande de scientifiques prêts à tout pour s’approcher au plus près de tornades géantes.
Annoncée en 2020, la mise en chantier de Twisters, « qui n’est ni une suite ni un reboot » d’après Glen Powell, avait tout l’air d’être un sacerdoce. Passé entre les mains de Joseph Kosinski avant de terminer dans celles de Lee Isaac Chung, Twisters raconte l’histoire de Kate (Daisy Edgar-Jones), ancienne chasseuse de tornades, traumatisée suite au passage dévastateur de l’une d’elles, qui est rappelée sur le terrain par Tyler (Glenn Powell), afin de reprendre du service. Le film vient de recevoir ses premières critiques, et celles-ci s’avèrent plutôt encourageantes. Revue de presse.
« Les effets visuels sont impressionnants et terrifiants, mais ce ne sont jamais des effets de manche. L’impression qui domine au cours de chaque poursuite, fuite et tentative de se mettre à l’abri est celle de voir de vraies personnes se battre contre des risques qui mettent les nerfs à vif. »
Robbie Collin – The Telegraph
« Dans l’ensemble, Twisters est pourtant un divertissement passionnant qui donne au film catastrophe des directions nouvelles et passionnantes, et est un remarquable étalage de talent à tous les niveaux. »
Jeff Ewing – Collider
« Pour une suite d’un film vieux de près de 30 ans, Twisters se démarque miraculeusement dans le paysage des superproductions modernes. Tout comme Twister l’a fait en 1996. C’est un rare cas d’une suite de film qui a été bien faite. »
William Bibbiani – The Wrap
« Twisters est loin d’être parfait, mais Lee Isaac Chung parvient à défier les pronostics en réussissant son saut dans le cinéma à grand spectacle. Le film impressionne par ses décors, mais il marque plus encore en tant que drame humain, qui donne à ce film l’impression d’être plus rafraichissant que tout ce que l’on trouve actuellement dans les multiplexes. »
Alistair Ryder – The Film Stage
« Twisters est un film amusant avec quelques grandes scènes, et Ramos et Powell font de vaillants admirateurs pour Kate. Je pense cependant que le cinéma n’a pas encore donné à Edgar-Jones – si excellente dans la série télévisée Normal People – le rôle bien écrit qu’elle mérite sur grand écran. »
Peter Bradshaw – The Guardian
« Avec le charme pétillant d’Edgar-Jones et de Powell à son épicentre, Twisters ressemble à la fois à un témoignage pour une nouvelle génération de stars et à un événement cinématographique saisissant de la vieille école. Craignez-le. Regardez-le.«
Beth Webb – Empire
« En regardant les tornades dans Twisters, j’ai eu l’impression d’avoir déjà vu quelque chose d’exactement semblable – et que lorsqu’il s’agit d’images de vraies tornades, j’ai déjà vu quelque chose de plus incroyable. Twisters, aussi amusant soit-il par endroits, est un film dans lequel la réalité finit par couper l’herbe sous le pied du film. »
Owen Gleiberman – Variety
« Le désir de Chung d’ajouter une touche de réalisme va à l’encontre de ce qui est, pour l’essentiel, un divertissement peu consistant sur des tempêtes massives qui font des ravages dans de petites villes et ramassent tout ce qui se trouve sur leur passage. Plus Twisters vise à être sérieux, plus il brasse de l’air. »
Tim Grierson – Screen Daily
« Twisters n’est pas mauvais, mais un film plus courageux aurait pu admettre qu’il serait plus utile de s’attaquer aux causes des phénomènes météorologiques extrêmes plutôt que de les mettre en avant. »
Nicholas Barber – BBC
Twisters ne révolutionnerait pas vraiment la formule établie par son illustre aîné selon ces premiers retours, et ce malgré sa mise en scène et le réalisme de ses effets spéciaux. Le duo Glenn Powell-Daisy Edgar-Jones semble, en revanche, faire l’unanimité auprès des critiques. Dans leur ensemble, a priori, c’est un film catastrophe efficace, digne blockbuster hollywoodien de l’été, qui devrait nous attendre le 17 juillet prochain avec Twisters. En tout cas, on espère éviter un passage en coup de vent.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... 9fbac_ap1w
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 18:24
par Pale
EL a aimé
Longlegs (3,5 étoiles) :
Le réalisateur Oz Perkins a su se faire remarquer des amateurs d’épouvante avec des films comme I Am the Pretty Thing That Lives in the House et Gretel et Hansel, et sa nouvelle œuvre, Longlegs, était attendue par certains comme le messie. Il faut dire que le projet avait de quoi intriguer, au-delà de sa campagne de promo très efficace, puisqu’il rassemble Maika Monroe, révélation de It Follows, et Nicolas Cage, toujours plus embarqué dans sa quête de rôles détonants au sein de productions indépendantes. Les deux acteurs se retrouvent ici dans un polar horrifique habité de moments géniaux, mais aussi criblé de défauts.
LE MAGICIEN OZ
En 2023, le réalisateur Damián Szifrón offrait le très bon Misanthrope, réécriture moderne et dépressive d’un Silence des Agneaux sur fond de violences policières. Aujourd’hui, Longlegs vient compléter la sainte trinité des thrillers mettant en scène une jeune recrue du FBI accompagnée par un mentor dans la recherche d’un tueur en série aussi charismatique qu’effrayant, le film d’Oz Perkins représentant la version épouvante et quasi-fantastique du concept. Fort de son profil de réalisateur-esthète, Perkins frappe très fort dès la séquence d’introduction, dont l’atmosphère et la mise en scène font frissonner au plus profond de la colonne vertébrale.
L’image est presque entièrement blanche, entre la neige qui recouvre tout, la maison qui se détache à peine dans le décor, et le ciel pâle qui surmonte l’ensemble. Lorsque Longlegs apparaît partiellement, il est lui aussi vêtu de blanc, et sa peau (pour le peu qu’on en voit) n’est pas davantage colorée. Le petit aperçu de son physique dérangeant n’en est que plus frappant, seule branche immonde à laquelle se raccrocher dans cet univers froid et vide. Perkins s’amuse d’entrée de jeu à construire une atmosphère particulièrement noire avec une image particulièrement blanche, se réappropriant avec génie la représentation de la menace humaine comme grand méchant loup de conte de fées.
Et ça ne fait que commencer, bien que cette séquence reste peut-être la plus forte du film. Par la suite, Perkins enchaîne les scènes au rythme lent, aux images belles et étranges, et au suspens intenable. Mention spéciale à la séquence dans laquelle Lee explore une maison vide à la recherche du tueur. L’héroïne est filmée de dos, tandis qu’elle brandit son pistolet devant elle, parcourant les pièces dont le calme n’est perturbé que par les bâches en plastiques soulevées par le vent. De quoi rappeler la fameuse scène du Silence des Agneaux dans laquelle Clarice Starling cherche son chemin chez de Buffalo Bill, alors que celui-ci l’observe avec ses lunettes à vision nocturne. Et ce n’est pas pour déplaire.
Mais le passage le plus effrayant est sans doute celui qui montre Lee tenter de déchiffrer les messages de Longlegs (qui se prend un peu pour le Zodiac) chez elle le soir, et que le tueur lui-même vient… la taquiner. Suspens simple mais efficace et jeu sur le son, avec toujours un aller-retour entre les cadres larges et vides et les plans resserrés du regard de Lee sur son travail, cette séquence est une leçon de thriller horrifique à elle toute seule. Malheureusement, elle est peut-être le dernier coup de génie du film.
LE MAGICIEN OSE
Oz Perkins sait faire de belles images et construire de belles atmosphères, c’est sûr. Mais comme c’était déjà le cas pour ses précédents films, l’écriture pâtit cruellement de sa préférence pour l’esthétique. Ce défaut était particulièrement criant dans I Am the Pretty Thing That Lives in the House, joli fantôme évanescent sans squelette qui charmait mais ennuyait surtout. Il en était toujours un peu de même dans Gretel et Hansel, que Perkins avait toutefois eu le bon goût de ne pas scénariser. Avec Longlegs, le réalisateur est de retour à l’écriture, et ça se sent.
Forgeant toute la première (et magnifique) moitié du film sur le mystère et la suggestion, donnant l’impression que quelque chose d’insaisissable et de potentiellement fantastique se trame dans cette affaire, Perkins casse dans la deuxième partie tout ce qu’il a entrepris. Trop d’intrigues se croisent sans avoir été correctement installées, résultant en un carambolage d’informations et de dialogues explicatifs dans le dernier segment, alors que toute l’ambition du début était d’engager une enquête tout en silence et sous-entendus.
C’est au moment où Lee et son mentor découvrent l’une des poupées hyper réalistes que l’on comprend que le film n’est pas à court de bonnes idées, mais qu’il se lance trop tard dans des sous-intrigues qui mériteraient de leur accorder plus de temps pour qu’elles fonctionnent. Ainsi, ces fameuses poupées sont à la fois sous-employées et superflues dans un film qui n’avait pas besoin d’elles pour faire flipper. Il en est de même avec la dimension satanique (finalement à peine effleurée) de l’histoire, qui semble particulièrement forcée dans un récit qui fonctionnait parfaitement sans elle.
Avec ce retournement de ton et de rythme va aussi une tendance à trop exposer le personnage de Longlegs, qui perd d’ailleurs en potentiel horrifique et en charisme au fur et à mesure que son importance dans l’histoire est précisée et relativisée. Le spectateur doit se rendre à l’évidence que beaucoup des effets pourtant réussis de la première partie visaient en fait à construire artificiellement un mystère autour de choses finalement très peu mystérieuses, et que le réalisateur a beaucoup compté sur l’esbrouffe. Sans même parler d’éléments posés comme cruciaux dans le parcours de Lee, comme son intuition à toute épreuve, qui ne resserviront jamais après une ou deux scènes.
LE MAGICIEN DOSE
Pourtant, malgré cette arnaque assez évidente du scénario, Longlegs parvient à laisser une impression majoritairement positive. Tout d’abord parce que la force de la séquence d’introduction reste en tête pendant tout le film et encore bien après. Il y a aussi la beauté visuelle qui, si elle trahit le désintérêt du réalisateur pour la rigueur de l’écriture, apporte elle-même beaucoup au récit. On peut par exemple souligner le grain et la colorimétrie de la photographie qui, en réponse aux flash-backs cadrés comme des diapositives, continuent de donner l’impression que Lee voit les choses comme des photos d’enfance. Son rapport au passé, omniprésent, détermine autant son approche de l’enquête que l’image.
Mais ce qui fonctionne aussi particulièrement bien, c’est évidemment le casting. Les afficionados du genre seront forcément ravis de voir Maika Monroe revenir dans ce genre de rôle, car si l’actrice tourne régulièrement depuis l’indépassable It Follows, elle peine à s’imposer dans des productions solides. En héritière neurasthénique de Jodie Foster, elle confirme ici avec talent son adéquation au genre de l’horreur sombre et contemplative.
De l’autre côté, il y a évidemment Nicolas Cage, joker improbable d’un film qui fait de lui un pur boogeyman. Le caractère souvent méta des derniers rôles de Cage, dont la carrière s’auto-commente de plus en plus au fur et à mesure que l’acteur choisit des rôles toujours plus loufoques, perdure dans Longlegs. Arborant une allure complètement décalée et étrange, ce tueur représente le marginal par excellence, d’autant plus que son visage est transformé par la chirurgie esthétique pour des raisons inconnues. Rien d’anodin pour le paria inclassable d’Hollywood qui va toujours là où ne l’attend pas, surtout s’il peut y ajouter une touche d’auto-dérision.
Si Longlegs déçoit largement dans sa dernière partie, il faut donc bien admettre que le film a suffisamment d’atouts pour séduire et habiter son spectateur, le marquant au fer rouge à plusieurs reprises. Ca ira pour cette fois, Perkins, mais peut mieux faire pour la prochaine fois.
Si la première moitié du film s’avère à la fois sublime et terrifiante, la seconde déçoit en révélant les fondations vermoulues d’une intrigue bancale. On retient toutefois la mise en scène experte, l’atmosphère à demi fantastique et le casting parfait.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... jTHA7BZhtw
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 18:29
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 18:31
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 19:03
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 11 juil. 2024 21:42
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 16:23
par Pale
[youtube]O_A8HdCDaWM[/youtube]
Ça claque.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 16:30
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 19:06
par Pale
Je pense que cette affiche n'avait pas été postée à l'époque :

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 19:10
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 22:35
par Wickaël
Pale a écrit : ↑ven. 12 juil. 2024 16:23
[youtube]O_A8HdCDaWM[/youtube]
Ça claque.
C'est pas trop mal mais j'ai beaucoup de mal avec Anthony Mackie, que ce soit dans ou en dehors du MCU. Petite hype quand même pour Red Hulk

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 12 juil. 2024 23:09
par Pale
J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours sur la page FB de Allociné, une scène y a été publiée et ça m'a donné directement envie de le voir. Le concept est simple, c'est 5 amis qui sont projetés dans un film d'horreur des années 80. Film d'horreur dans lequel joue la maman décédée dans le monde réel d'un des 5 personnages. C'est bien évidemment un hommage aux slashers (Vendredi 13 en tête) mais Scream Girl n'en reste pas moins une belle bouffée d'air frais dans le genre. C'est créatif, drôle et forcément émouvant.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 05:48
par Kit
13 juillet
une pensée pour
Michel Constantin 1924-2003 (Le Trou, Ne nous fâchons pas)
Simone Veil 1927-2017
Bob Crane 1928-1978 act (Papa Schultz)
René Laloux 1929-2004 réal anim (La Planète sauvage, Les Maîtres du temps, Gandahar)
Hubert Reeves 1932-2023 astrophis
Robert Forster 1941-2019 act (Mulholland Drive, série Twin Peaks)
Jacques Perrin 1941-2022 act/réal (La 317e Section , Les Demoiselles de Rochefort, Z)
Bon anniversaire à
Patrick Stewart 84 ans

Harrison Ford 82 ans

Cheech Marin 78 ans (Paulie, le perroquet qui parlait trop, série Nash Bridges)

Catherine Breillat 76 ans réal

Cameron Crowe 67 ans réal (Jerry Maguire)

Steven R. McQueen 36 ans act (série Vampire Diaries ) Petit-fils de l'acteur Steve McQueen

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 11:29
par Pale
Découverte de ce petit classique des années 80 réalisé par le très solide John Badham. Comédie policière redoutablement efficace et typique de l'époque même si j'ai parfois eu du mal avec l'humour un peu beauf de la première partie mais plus ça avance et plus l'intrigue devient prenante et certaines situations sont vraiment très drôles.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 11:32
par Kit
Pale a écrit : ↑sam. 13 juil. 2024 11:29
Découverte de ce petit classique des années 80 réalisé par le très solide John Badham. Comédie policière redoutablement efficace et typique de l'époque même si j'ai parfois eu du mal avec l'humour un peu beauf de la première partie mais plus ça avance et plus l'intrigue devient prenante et certaines situations sont vraiment très drôles.

je l'ai aussi apprécié ainsi que sa suite, mais ça fait un bail pour moi
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 11:37
par Pale
Kit a écrit : ↑sam. 13 juil. 2024 11:32
Pale a écrit : ↑sam. 13 juil. 2024 11:29
Découverte de ce petit classique des années 80 réalisé par le très solide John Badham. Comédie policière redoutablement efficace et typique de l'époque même si j'ai parfois eu du mal avec l'humour un peu beauf de la première partie mais plus ça avance et plus l'intrigue devient prenante et certaines situations sont vraiment très drôles.

je l'ai aussi apprécié ainsi que sa suite, mais ça fait un bail pour moi

Du coup la suite je vais la mater incessamment sous peu même si elle est apparemment moins bien mais je suis quand même curieux.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 11:49
par Pale
ClintReborn a écrit : ↑jeu. 11 juil. 2024 17:20
Par contre j'ai un fantasme qu'on produise une série live de Black lagoon ce serait énorme si on respecte les dialogues de la VF et la violence du manga !
[youtube]JAOT1cfmQoo[/youtube]
Énorme

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 22:36
par Pale
WAOUH, je découvre ce film que maintenant et j'ai adoré. C'est un film que j'aurais également adoré si je l'avais découvert gamin. Il s'agit donc d'un porte-avions qui, durant un exercice, traverse une faille spatio-temporelle et se retrouve projeté en 1941, quelques heures avant l'attaque de Pearl Harbor. Alors il n'y a point de grosses scènes de guerre, tout est dans l'ambiance avec des personnages qui essaient de comprendre ce qui est en train de se passer et j'ai trouvé ça excellent et véritablement stimulant, on est plus dans un film qui s'interroge sur les conséquences que pourraient engendrer des modifications sur des événements passés.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 13 juil. 2024 23:03
par Pale
[youtube]eceL7rE80nI[/youtube]
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 00:29
par Kit
Pale a écrit : ↑sam. 13 juil. 2024 22:36
WAOUH, je découvre ce film que maintenant et j'ai adoré. C'est un film que j'aurais également adoré si je l'avais découvert gamin. Il s'agit donc d'un porte-avions qui, durant un exercice, traverse une faille spatio-temporelle et se retrouve projeté en 1941, quelques heures avant l'attaque de Pearl Harbor. Alors il n'y a point de grosses scènes de guerre, tout est dans l'ambiance avec des personnages qui essaient de comprendre ce qui est en train de se passer et j'ai trouvé ça excellent et véritablement stimulant, on est plus dans un film qui s'interroge sur les conséquences que pourraient engendrer des modifications sur des événements passés.
celui-là aussi je l'ai vu (et aimé) et revu il y a un bail, mieux vaut tard que jamais

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 02:25
par Kit
14 juillet
une pensée pour
Annabella 1907-1996 actr (La Bandera, Hôtel du Nord, Suez, 13, rue Madeleine )
William Hanna 1910-2001 le Hanna de Hanna-Barbera
Terry-Thomas 1911-1990 act (La Grande vadrouille, Le Mur de l'Atlantique)
Ingmar Bergman 1918-2007 réal
Arthur Laurents 1917-2011 scén (West Side Story, Nos plus belles années)
Lino Ventura 1919-1987
Paul Crauchet 1920-2012 act (Les Grandes Gueules avec Lino Ventura)
Dale Robertson 1923-2013 (série Le cheval de fer)
Harry Dean Stanton 1926-2017 act (Luke la main froide, Alien, La Ligne verte)
Polly Bergen 1930-2014 actr (séries Commander in Chief, Desperate Housewives)
Marcel Gotlib 1934-2016 dess bd (Gai-Luron)
Vince Taylor 1939-1991 rocker
bon anniversaire à
Nancy Olson 96 ans actr (Boulevard du crépuscule, Après lui, le déluge)
Vincent Pastore 78 ans act (série Les Soprano)
Joel Silver 72 ans prod (48 heures, Commando, L'Arme fatale 1à4, Predator 1&2, Piège de cristal, 58 minutes pour vivre, Hudson Hawk, gentleman et cambrioleur, Le Dernier Samaritain, Demolition Man, Matrix 1à3, V pour vendetta, Sherlock Holmes 1&2)
Dorothée 71 ans anim/chant/actr (Les Visiteurs du Mercredi , Réponse à tout, Récré A2, Le Club Dorothée, film "L'Amour en fuite"), en 1985 elle voulait ramener avec l'accord de Jerry Lewis le Téléthon en France mais on lui a dit de se calmer (Wikipedia)
Jane Lynch 64 ans actr (Le Fugitif, nombreuses séries dont La Fabuleuse Madame Maisel)
Jackie Earle Haley 63 ans act ( Watchmen : Les Gardiens, Freddy : Les Griffes de la nuit, Shutter Island)
Matthew Fox 68 ans act (Lost : Les Disparus)
Nina Siemaszko 54 ans actr (Tucker, série Roman Noir)
Phoebe Waller-Bridge 39 ans (Indiana Jones et le Cadran de la destinée)
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 17:12
par Pale
J'ai modérément apprécié. Disons que le film se regarde sans ennui et qu'il vaut principalement pour son ambiance et ses quelques scènes de trouille. Après je trouve que le film ne sort jamais de son cadre trop fermé, comme si le monde extérieur n'existait pas et que les personnages n'ont pas de vie et ne sont qu'au service de l'intrigue qui est d'ailleurs loin d'être exceptionnelle et un peu tirée par les cheveux.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 17:30
par Pale
Mon programme ciné du week-end prochain :

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 18:06
par Kit
Pale a écrit : ↑dim. 14 juil. 2024 17:30
Mon programme ciné du week-end prochain :
[youtube]WDT_2FlWw-w[/youtube]
ça c'est du véridique

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 14 juil. 2024 22:22
par Pale
Kit a écrit : ↑dim. 14 juil. 2024 18:06
Pale a écrit : ↑dim. 14 juil. 2024 17:30
Mon programme ciné du week-end prochain :
[youtube]WDT_2FlWw-w[/youtube]
ça c'est du véridique
Oui c'est impressionnant, d'ailleurs cette vidéo est une des plus terrifiantes que j'ai vu :
[youtube]s0c27Twu__o[/youtube]
À regarder le son à fond.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : lun. 15 juil. 2024 17:39
par Kit
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : lun. 15 juil. 2024 19:30
par robinne
Pale a écrit : ↑dim. 14 juil. 2024 22:22
Oui c'est impressionnant, d'ailleurs cette vidéo est une des plus terrifiantes que j'ai vu :
[youtube]s0c27Twu__o[/youtube]
À regarder le son à fond.
EEeeeuuuuhhhh, la personne qui filmait ne pouvait pas bouger ?
C'est super dangereux

Le Cercle des profileurs disparus
Posté : lun. 15 juil. 2024 19:31
par robinne
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mar. 16 juil. 2024 18:22
par Pale
Anora : une bande-annonce qui part en vrille pour la Palme d’or déjantée
La Palme d’or Anora de Sean Baker s’est dévoilée dans une première bande-annonce qui donne envie de rêver.
Consécration du génial Sean Baker après près de 25 ans de carrière, Anora a retourné la Croisette en 2024. Pour son septième film en solo, le cinéaste, déjà passé en compétition à Cannes avec son précédent film Red Rocket, est reparti cette fois-ci avec la plus prestigieuse des récompenses : la Palme d’or.
Sa nouvelle comédie dramatique qui déconstruit le rêve américain, Anora, s’est enfin montrée dans une première bande-annonce et on n’est clairement pas dans une histoire d’amour à l’eau de rose.
[youtube]p1HxTmV5i7c[/youtube]
Pour rappel, selon le synopsis, le film conte l’histoire d’ «Anora d’une jeune strip-teaseuse de Brooklyn, qui se transforme en Cendrillon des temps modernes lorsqu’elle rencontre le fils d’un oligarque russe. Sans réfléchir, elle épouse avec enthousiasme son prince charmant. Mais lorsque la nouvelle parvient en Russie, le conte de fées est vite menacé : les parents du jeune homme partent pour New York avec la ferme intention de faire annuler le mariage» .
Dès ce début de bande-annonce, le ton du film est posé : on ne va pas suivre de l’élite américaine, notre héroïne Anora (ou Ani) ne vit pas une vie de rêve loin de là, et, avec sa rencontre avec Ivan, c’est bien le choc de deux mondes qui est montré dans ces images. Cette différence de classe sociale entre la richesse de l’un et la précarité de l’autre est même ressentie dans la lumière, l’illusion du luxe étant bien plus claire et lumineuse que les tréfonds du club de striptease où travaille Ani. Le pinacle de ce mirage allant jusqu’au bout de son symbole vivant : Las Vegas, paradis du paraitre.
C’est même la rencontre d’un troisième monde, celui de la réalité d’Ivan, représenté par ses proches, qui semble venir tout casser dans l’idylle vécue par les deux tourtereaux. En leur présence, la lumière semble plus froide, plus réaliste. C’est simple, à l’arrivée de la famille, l’ambiance festive et romantique bascule pour une atmosphère plus tendue, anxiogène et désenchantée. La bande-annonce est d’ailleurs assez clair, comme d’habitude avec Sean Baker, on devrait rire, pleurer et stresser tout au long des 2h19 du film.
Au casting de cette Palme d’or, on retrouve Mikey Madison et Mark Eydelshteyn pour former le duo principal, mais aussi Yuriy Borisov, Karren Karagulian et Ivy Wolk. Anora est prévu pour le 30 octobre 2024 au cinéma en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... cH2h4twAKQ