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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 24 mars 2025 20:07
par Pale
robinne a écrit : lun. 24 mars 2025 19:22 Et bien moi, ce week-end, j'ai revu Le voyage de Chihiro et The Revenant.
C'était un week-end épique :D
Joli :hot:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 25 mars 2025 00:07
par NaughtyDog
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 19:22 Image

Ça a beau être d'une naïveté confondante, le charme et l'énergie du film ont fonctionné pour moi. J'ai adoré l'ambiance du film, le côté kitsch ne m'a pas dérangé, ça rappelle des films à l'ancienne et certaines scènes sont très hypnotiques. Le tout est porté par la superbe performance de Sadie Sink, on suit avec plaisir l'odyssée de ce personnage très inspirant.

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Une obsession venue d'ailleurs en version française et c'est pas les réalisateurs de Novocaine. Le point de départ est intriguant sans compter que j'apprécie très fort Maika Monroe. Je n'ai pas été convaincu par la tournure des événements et le film finit par trainer un peu trop la patte dans sa seconde partie, à tel point que les 1h20 finissent par sembler longues. Bref je n'ai clairement pas été aussi emballé que pour Novocaine.
O'Dessa c'est interessant au début, et dans son message et son cast mais j'ai trouvé ça tellement cheap en terme de world building et de moyens que ça m'a saoulé à la fin


Pareil Novocaine c'est super avec la romance du début et ensuite le high concept est greffé au forceps juste pour resoudre les combats du coup déçu x)

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 25 mars 2025 16:32
par Pale

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 25 mars 2025 16:32
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 25 mars 2025 16:47
par Pale
Astérix et Obélix : les premiers avis sur la série Netflix d’Alain Chabat sont arrivés

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Les irréductibles Gaulois reprennent du service sur Netflix, sous la houlette d’Alain Chabat avec Astérix et Obélix : Le Combat des Chefs, et les premiers avis sont là.

Après l’abominable Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu, les plus célèbres Gaulois de l’histoire (n’en déplaise à Vercingétorix) reprennent du service, mais cette fois-ci sur Netflix et au format série d’animation 3D. Là où les choses deviennent intéressantes, c’est qu’Alain Chabat, fort à l’aise avec la licence Astérix – puisqu’on lui doit la meilleure adaptation d’Astérix à ce jour avec Mission Cléopâtre – se trouve à la barre pour cette série.

Comme son titre l’indique, Astérix et Obélix : Le Combat des Chefs va donc adapter le septième album éponyme des aventures du Gaulois. Le druide Panoramix a perdu la boule depuis qu’Obélix lui a lancé un menhir sur la tête (par accident bien sûr). Incapable de se souvenir de la recette de la potion magique, il laisse ainsi une ouverture aux Romains, qui en profitent pour lancer un « combat des chefs ». Abraracourcix se retrouve défié par Aplusbégalix, le chef d’un village gallo-romain. En cas de défaite, les Gaulois devront signer une reddition. Les trois premiers épisodes ont été présentés à Series Mania, et les premiers avis sont donc tombés. Revue de presse.

« Astérix et Obélix : Le Combat des Chefs réussit ce tour de force : être fidèle à l’esprit originel tout en apportant sa touche de nouveauté. Après Mission Cléopâtre, qui avait redéfini l’adaptation en prises de vues réelles, Chabat prouve qu’il est à l’Astérix ce que Panoramix est à la potion magique : le seul à en maîtriser vraiment la formule. » Première

« Les surprises, et elles sont nombreuses, qui attendent les futurs spectateurs viennent surtout de la forme. Produits dans une 3D assumée, avec beaucoup de rondeur dans le graphisme et une belle impression de relief, les épisodes bénéficient de la magie de l’animation en numérique qui permet, entre autres, d’insérer des effets spéciaux extrêmement réussis ici.

Tout ce qui a attrait à (sic) la potion magique et à la force surhumaine qu’elle donne aux Gaulois claque à l’écran au point de faire passer ces personnages pour des super-héros de « comix » – sans jeu de mots – américains. »
Le Parisien

« La série devrait sans aucun doute parvenir à introduire cet univers culte à de nouveaux fans, tout en faisant plaisir aux aficionados de la première heure. Et il faut croire que Netflix ne s’est pas trompé en donnant carte blanche à Alain Chabat et son équipe. » Allociné

« Les effets spéciaux, particulièrement spectaculaires lors des scènes impliquant la potion magique, rivalisent avec les productions de super-héros contemporaines. Cette richesse visuelle rappelle l’inventivité de Spider-Man : Across the Spider-Verse, créant un festin visuel qui ravira autant les puristes que les nouveaux spectateurs. » Le Point

« Au vu des premiers épisodes que Télé 7 jours a pu découvrir ce dimanche soir, Alain Chabat a de nouveau réussi le joli pari de mêler l’univers d’Astérix à celui de son humour inimitable. Moins dans la vanne non-stop que Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, le réalisateur et son équipe offrent malgré tout un beau festival de vannes et de jeux de mots ainsi que plusieurs séquences aussi étonnantes que drôles, notamment avec un Panoramix déchaîné et un règlement de comptes de couple (on ne vous en dit pas plus !). » Télé 7 Jours

« Les 3 épisodes constituent un feu d’artifice de couleurs et d’onomatopées, sublimé par la performance de grandes voix françaises. Alain Chabat prête ainsi son timbre si singulier à Astérix et on se demande vraiment pourquoi il ne l’a pas incarné plus tôt, tant cela relève de l’évidence. » Numerama

« Après, tout n’est pas parfait. On regrette peut-être, si on chipote, l’une ou l’autre réplique maladroite, là où on se dit que Chabat aurait pu aller plus loin encore dans l’humour absurde façon Mission Cléopâtre. Mais il nous a toujours tellement régalés qu’on lui pardonne volontiers cette incartade. » SudInfoBe

« Dans cette série, les spectateurs peuvent découvrir des aspects d’Astérix et Obélix qu’ils n’ont peut-être pas l’habitude de voir à l’écran, notamment leur relation à l’enfance, leur personnalité, et le contexte de cette fameuse réplique “Je suis tombé dedans quand j’étais petit”, en référence évidemment à la fameuse marmite contenant la potion magique. » Moustique

La critique semble être unanime : Astérix et Obélix sur Netflix est une réussite indiscutable. Du point de vue visuel, le studio Toulousain TAT Productions semble avoir fait des merveilles, tant en ce qui concerne l’animation que la gestion des effets visuels. La signature humoristique d’Alain Chabat parait être bien présente et se marier à merveille avec le matériel de départ.

Les critiques soulignent également l’excellent casting vocal, qui rassemble Alain Chabat en tant qu’Astérix, Gilles Lellouche en Obélix, Grégoire Ludig en Abraracourcix, Thierry Lhermitte en Panoramix, Géraldine Nakache en Bonemine, Laurent Lafitte en Jules César et Anaïs Demoustier en tant que Métadata, un personnage inédit.

Les cinq épisodes de 26 minutes d’Astérix et Obélix : le combat des chefs seront diffusés à partir du 30 avril 2025 sur Netflix.


https://www.ecranlarge.com/series/inter ... H0YpALp8ww

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 02:12
par BOX OFFICE STORY
Pale a écrit : mar. 25 mars 2025 16:32
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que cela va marcher. De retour dans les 00's

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 16:31
par Pale
Nicole Kidman parano : les premiers avis sur Holland, le thriller d’Amazon Prime, sont tombés

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Le prochain thriller avec Nicole Kidman arrive sur Amazon Prime Video, et les critiques de la presse américaines sur Holland sont tombées.

Tom et François peuvent aller se rhabiller : le Holland de 2025, c’est le nouveau Nicole Kidman movie réalisé par Mimi Cave (réalisatrice de Fresh) et qui s’apprête à débarquer sur Prime Video. Dans ce film à suspense, l’actrice est accompagnée de Gael García Bernal (Babel, Werewolf by Night), Matthew Macfadyen (Orgueil et Préjugés, Succession) et Rachel Sennott (Bodies Bodies Bodies, Bottoms).

La bande-annonce du film n’est pas sans rappeler Les Femmes de Stepford, une perle horrifique de 1975 remakée en 2004 avec Et l’homme créa la femme, redite dont Nicole Kidman tenait le rôle principal et dont l’affiche ressemblait étrangement à celle de Holland. La petite vie parfaite de carte postale aux secrets inavouables s’avèrera-t-elle aussi intrigante que sa bande-annonce le suggérait ? Pour répondre à cette question, voici déjà les premiers avis de la presse américaine, qui viennent de tomber.

« La réalisation maîtrisée de Cave donne naissance à un monde écœurant de douceur et d’émerveillement. Même si l’histoire manque parfois d’un dynamisme qui permettrait d’être vraiment impliqué, Kidman permet au film, sans surprise, de transformer l’essai.»
Graeme Guttmann – Screen Rant

« Holland s’épanouit dans cet entre-deux où le conte merveilleux du foyer américain s’arrête et où le cauchemar commence, mais sans jamais rendre honneur à son postulat, notamment à cause de sa résolution trop déjà vue.»
Peter Debruge – Variety

« C’est grâce à la performance [de Nicole Kidman] que les changements de ton fonctionnent, tandis que le film passe de la comédie malicieuse à quelque chose de délicieusement sombre, et inversement. Même si tout finit par devenir épais et lourdingue, voir Kidman exercer sa magie à chaque instant reste toujours un plaisir.»
Chase Hutchinson – TheWrap

« Holland est plein de bonnes idées, de bons acteurs et d’élégance. Mais le film est aussi indigeste à cause de sa narration décousue et de son personnage principal profondément égoïste, qui alterne entre la sympathie et le rejet qu’il inspire.»
Kate Sanchez – The Playlist

« Holland exhibe le progrès fulgurant du style de sa réalisatrice et les performances impliquées de Kidman, Macfadyen et Bernal. Mais ces qualités ne sauraient sauver un récit aussi profondément confus jusque dans son propre but.»
Lovia Gyarkye – The Hollywood Reporter

« De toute évidence, Cave a fait de son mieux pour garder le cap, mais l’histoire semble avancer sans but, et juste au moment où les choses deviennent intéressantes, Holland passe au générique de fin, laissant son spectateur aussi perplexe qu’épuisé.»
Nate Richard – Collider

« Le travail de Cave est tiré vers le bas par le scénario sans aucune tension d’Andrew Sodorski, qui manque d’intrigues et met environ 1h30 à démarrer. Et après, le film est fini.»
Ryan Lattanzio – IndieWire

« L’inconfort qu’on ressent en regardant Holland vient du fait qu’on ne sait pas si certains aspects sont faits exprès ou si, tout comme le personnage principal, on imagine des choses qui n’existent pas.»
Tocco T. Thompson – Slant Magazine

« Cave, qui s’est fait remarquer avec Fresh, son film d’horreur féministe sorti sur Hulu en 2022 et encensé par la critique, est trop occupée à prendre ses personnages de haut pour se soucier de ce qui peut leur arriver.»
G. Allen Johnson – San Francisco Chronicles

Des avis très mitigés, donc, avec peu de personnes entièrement séduites. Si tout le monde a l’air de s’accorder sur la qualité de la performance de Nicole Kidman et de ses partenaires, il semblerait aussi que le scénario d’Holland peine à tenir debout et à vraiment intéresser son spectateur. Il ne reste plus qu’à se faire son propre avis, en retrouvant Holland sur Amazon Prime Video dès le 27 mars.


https://www.ecranlarge.com/films/news/n ... QldeJ-K8pA

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 16:34
par Pale
EL n'a pas aimé O’dessa (1,5 étoiles) :

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Avec son combo intrigant de comédie musicale post-apocalyptique doublée de romance, O’dessa a de quoi attirer l’œil dans le catalogue Disney+. La présence dans le rôle principal de Sadie Sink, popularisée par Stranger Things après avoir fait ses armes à Broadway, participe de l’attrait du projet. Geremy Jasper, compositeur et réalisateur de clips, convoque également Murray Bartlett (The White Lotus) et Kelvin Harrison Jr. dans cette odyssée atypique. Mais réussir l’émulsion de cet opéra rock dystopique n’était-il pas un peu utopique ?

UNE HYBRIDATION MAL MAÎTRISÉE


Des notes de guitare habillent un univers post-apocalyptique posé en quelques plans rudimentaires. O’dessa a débuté depuis quelques instants que s’élève déjà la première chanson. La musique, c’est bien connu, adoucit les mœurs et les réticences du spectateur interloqué par ce mélange des genres baroques. La tessiture de Sadie Sink, passée par Broadway, nous enveloppe : pile ce qu’il fallait pour rassurer sur la viabilité d’un tel projet, dont la dimension d’opéra rock était peut-être la plus intrigante.

Hélas, les choses se gâtent rapidement. Si la solidité de la bande originale n’est pas en cause, les chansons sont parfois desservies par une réalisation qui délaisse bien vite les quelques images léchées du début au profit d’un tout clippesque frénétique. Les mouvements d’appareil et le découpage du périple de l’héroïne pourraient être repris tels quels sur M6 Music.

Et l’hybridation tous azimuts se révèle rapidement indigeste. L’univers post-apo puise des éléments à droite et à gauche sans se soucier de leur intégration, quitte à constituer un pot-pourri des marottes du genre : des rôdeurs-voleurs par-ci, des malandrins sectaires par là, un gourou marabout télévisé (Murray Bartlett, délicieusement barré) qui ne jurerait pas dans Starmania…

Le lore se construit par touches d’étrangeté successives, telles des appâts nonchalamment balancés à l’écran au hasard des dés (le plasma) avant que le maître du jeu ne constate qu’il n’a pas grand-chose à en faire.

La direction artistique est à l’avenant, et brille surtout par son inconsistance. Après le « tout sable », les néons à gogo : ce qui devrait traduire l’étendue de cet univers trahit son inconséquence. O’dessa semble vouloir fonctionner par « vignettes » sans parvenir à les rendre assez fortes pour qu’elles se suffisent à elles-mêmes.

UN RÉCIT QUI S’ENLISE

O’dessa se déploie tel un conte, avec la guitare comme artefact féérique et la figure paternelle en guise de motivation. L’ouverture très efficace capitalise logiquement sur ses pastilles musicales pour créer un ancrage minimal (la mère malade) avant de jeter son héroïne sur les routes en un temps record.

Mais une fois lancé dans le grand monde, le récit ne trouve bizarrement plus grand-chose à raconter. Il y avait pourtant matière à s’emparer goulument de sa mythologie bric-à-brac. La réécriture goguenarde de l’élu façon vainqueur de télé-crochet offrait en particulier d’amusantes perspectives…

À la place, O’dessa s’enlise dans une romance qui échoue à captiver, faute de développement suffisant de l’univers et/ou des personnages. Le love interest se distingue pourtant par son irruption vitaminée et son chara-design accrocheur. Hélas, il ne suffit pas de chanter l’exaltation des sentiments pour les rendre perceptibles : en découle un ventre mou interminable, jalonné de micropéripéties convenues.

Dans ces conditions, la conclusion de récit intervient bien tard pour nous happer en dépit de sa noirceur bienvenue et de ses bonnes idées (les cordes, que la bande originale n’assume malheureusement pas tout à fait). Sans doute le costume de Geremy Jasper, crédité au scénario en plus d’assurer la réalisation et les musiques (en duo avec Jason Binnick), était-il taillé bien large…

O’dessa est disponible sur Disney + depuis le 20 mars.

O’dessa, c’est comme une recette de soupe tapioca-myrtilles improvisée par un enfant : ses contrastes spectaculaires intriguent mais, à l’épreuve, l’expérience apparaît surtout déconcertante. Sans maîtrise hélas, l’audace n’est rien.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... BjtlFzSHlw

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 17:43
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 19:44
par Wickaël
BOX OFFICE STORY a écrit : mer. 26 mars 2025 02:12
Pale a écrit : mar. 25 mars 2025 16:32
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que cela va marcher. De retour dans les 00's
Perso je suis client, j'ai toujours apprécié la saga, et puis je suis toujours curieux découvrir les scènes de mort bien inventives parfois :gore:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 26 mars 2025 20:36
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 27 mars 2025 18:08
par NaughtyDog
Lets goo

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 27 mars 2025 18:26
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 27 mars 2025 18:34
par Pale

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 27 mars 2025 18:35
par Pale


Incroyable trailer :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 27 mars 2025 19:11
par Pale
Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -en-France

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 28 mars 2025 17:55
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 28 mars 2025 18:03
par robinne
Pale a écrit : jeu. 27 mars 2025 19:11 Le box-office français de la semaine :

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4 et 6 :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 30 mars 2025 08:44
par Pale
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Posté : dim. 30 mars 2025 11:13
par ClintReborn
Pale a écrit : dim. 30 mars 2025 08:44 Image
Il a déjà la réputation d'être un film maudit :saint:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 30 mars 2025 19:39
par Pale
ClintReborn a écrit : dim. 30 mars 2025 11:13 Il a déjà la réputation d'être un film maudit :saint:
Le trailer est pas mal :


Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 30 mars 2025 22:41
par Pale
Vu pas mal de choses ces derniers jours, donc en quelques mots :

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Beaucoup aimé, en particulier la première partie qui est aussi drôle que touchante. Je trouve que le film a tendance à se disperser un peu trop dans sa seconde partie mais le film se conclut par une scène finale absolument magistrale et bouleversante.

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Je découvre ce Chris Columbus, immense mélodrame dont l'émotion emporte tout sur son passage et servi par des prestations prestigieuses, aussi bien parmi les adultes que les enfants. À ce titre, la performance de Jena Malone est impressionnante.

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Reefer Madness: The Movie Musical est la parodie d'un film propagandiste à la mauvaise réputation sorti dans les années 30 et s'intitulant Reefer Madness. Cette parodie (sortie il y a 20 ans aux États-Unis) est un mélange de film noir et de comédie musicale (les numéros musicaux sont incroyables qui plus est) et c'est totalement délirant, un véritable OFNI durant lequel les scènes dingues et hilarantes ne font que s'enchaîner et on retrouve quelques visages familiers comme Kristen Bell, Alan Cumming et Neve Campbell. J'ai été particulièrement impressionné par Kristen Bell qui avant la série The Good Place faisait déjà preuve d'un talent comique indéniable. Je me suis pris une bonne claque devant ce film.

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Rien de révolutionnaire mais un western qui se suit sans déplaisir, en partie pour sa galerie de personnages et quelques bonnes scènes de tension. Par contre impossible de ne pas rire devant le personnage de Juliette Lewis qui joue ici la chef d'un groupe de bandits et qui bien évidemment remet tout le monde à l'ordre avec sa tronche patibulaire. Un personnage féminin bien de maintenant niveau écriture mais ça n’entache pas trop mon enthousiasme face à l'ensemble.

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Je ne le sentais pas trop mais quand j'ai quand même décidé de le regarder. C'est exactement ce à quoi je m'attendais et c'est du cinéma que j'aime pas trop. Je sais que le film a pour but d'illustrer le désordre dans les coulisses avant le direct de la première émission du Saturday Night Live mais c'est ce genre de film dans lequel il n'y a jamais de respiration avec des dialogues qui sont débités telle une mitraillette, bref ça ne se pose quasi jamais mais il y a quand même ici et là des scènes qui arrivent à capter l'attention et les acteurs restent très bons.

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J'ai moyennement apprécié. Je sais qu'il n'y a jamais de véritable surprise devant un film de Statham mais ça manque un peu de fun et c'est inutilement trop long, le réalisateur ajoute des éléments qui n'ont quasi aucune importance. Alors bien évidemment il reste quelques bonnes scènes d'action, en particulier le climax final qui fait office de bon défouloir.

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Je pourrais exactement dire la même chose que pour Saturday Night. Le début est très immersif et tendu mais plus ça avance et plus ça devient confus et au bout d'un moment je n'en avais absolument plus rien à foutre de savoir qui était tel ou tel personnage.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 11:32
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 12:22
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 18:11
par NaughtyDog
Je sors du film Minecraft, aie aie aieee

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 18:11
par NaughtyDog
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La pire adaptation JV depuis Mortal Kombat 2

C'est techniquement et visuellement respectueux du jeu de Mojang certes, et y a quelques refs ici et là

Pour le reste juste l'impression de voir un Jumanji ultra raté avec un Jack Black en totale roue livre qui récite le gameplay de Minecraft, affublé de persos sans réel arc narratif et d'un Momoa en gros beauf des 80's

La palme revient a Jennifer Coolidge venue chercher son chèque pour des scènes de comédie avec un villageois (on firait que ça a été mis au forceps à la dernière minute

Bref une grosse daube

1/5

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 18:18
par Pale
À ce propos :

Minecraft, le film : les premiers avis sur l’adaptation du jeu vidéo sont là

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Deux ans après le succès de Super Mario Bros., au tour du jeu Minecraft de tenter sa chance au cinéma pour exploser le box-office.

À défaut de trouver des idées originales, Hollywood pioche parfois du côté des jeux vidéo pour tenter d’engranger un maximum d’argent en attirant une fanbase. Et entre Tomb Raider, Detective Pikachu, Monster Hunter, Resident Evil : Welcome to Racoon City, Uncharted, les Sonic, Gran Turismo, Assassin’s Creed, Rampage : Hors de contrôle ou encore Borderlands, on peut dire que les studios n’y vont pas de main morte.

Le public ne se fait pas avoir pour autant, la plupart des productions cités ci-dessus ayant plus ou moins échoué au box-office, à quelques exceptions près comme Uncharted, Rampage, les Sonic ou bien sûr Super Mario Bros. le film, l’énorme succès de 2023 avec 1,3 milliard de dollars récoltés. C’est ce genre de carton qui a sans doute conforté Warner de concrétiser Minecraft, le film avec Jason Momoa, Jack Black, Danielle Brooks, Emma Myers ou Jennifer Coolidge. Désormais, le film de Jared Hess est fin prêt et les premier avis sont tombés. Revue de tweets.

« Je ne suis pas un joueur de Minecraft, mais je suis un fan de Jared Hess, et son Minecraft, le film est une sorte de rêve étrange, décalé et fiévreux. Jack Black est aussi déjanté qu’on pouvait l’imaginer, mais Jason Momoa est hilarant dans le rôle d’un joueur raté qui se prend trop au sérieux. Les enfants vont adorer ce film, et si vous êtes un adulte qui cite encore sans honte des répliques de Napoleon Dynamite [comédie de Jared Hess ayant gagné un statut culte au fil des années, ndlr], vous l’adorerez aussi. » Chris Killian – ComicBook.com

« Eh bien, j’ai vraiment aimé ce petit bijou étrange qu’est Minecraft, le film. Je pensais être en dehors de la cible, mais avec Jared Hess aux commandes, ça donne quelque chose de percutant, décalé et vraiment amusant. Un film de jeu vidéo avec l’ADN de Napoleon Dynamite. » Ash Crossan – Screenrant

« Minecraft, le film est voué à devenir un classique culte, au même titre que Napoleon Dynamite et Nacho Libre. Jared Hess insuffle sa créativité loufoque, étrange, déjanté, aléatoire, studpide, voire complètement débile, dans Minecraft. Ce n’est probablement pas un bon film… mais c’est amusant. » Zach Pope – ZP Reviews

« Maintenant que l’embargo est levé, je peux dire que Minecraft, le film est sans conteste le pire film que j’ai vu depuis des années. Rien n’est divertissant, à part Jennifer Coolidge, qui doit avoir le dos brisé vu qu’elle tente de porter sur ses épaules ce désastre. Le scénario est épouvantable, si tant est qu’on puisse appeler ça un scénario. » Jasmine Valentine – Dexerto

« Le film Minecraft est mauvais, sans surprise. L’intrigue de la villageoise de Jennifer Coolidge : une pépite d’or au milieu d’un océan de merde. » Ryan Gaur – Discussing Film

« Minecraft est un film horrible… et assez fun. L’humour maladroit et aléatoire de Jared Hess, sa signature, m’a fait rire à plusieurs reprises. Les effets visuels sont impressionnants même si les personnages humains se distinguent trop dans les décors. Les plus gros défauts concernent l’histoire et les personnages principaux qui sont très peu développés. Reste que, malgré tout, c’est plutôt divertissant. » Cris Parker – 3CFilmss

Même si certains avis sont assez enthousiastes, ils ne présagent franchement rien de très glorieux pour Minecraft, le film. Hormis l’humour de Jared Hess largement salué (encore faut-il en être fan) et la prestation de Jennifer Coolidge dans une séquence, l’ensemble jongle a priori entre le ridicule, le vide et le très moche. Autant dire qu’on ne donne pas cher de la peau de Minecraft, le film lorsque les critiques officielles du film vont débarquer sur Internet.

Une chose est sûre, pour les fans, il ne faudra pas attendre trop longtemps pour se jeter sur le film (peu importe les critiques) puisqu’il sera dans les salles dès ce 2 avril 2025 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... f9-mwpMmEA

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 18:21
par Pale
The Woman in the Yard : premiers avis sur le film d’horreur du réalisateur de Carry-On

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Le réalisateur de Esther et Carry-On revient déjà avec un film d’horreur, The Woman in the Yard, et les premiers avis sont tombés.

Après deux échecs au box-office avec Jungle Cruise et Black Adam, Jaume Collet-Serra est revenu à ce qu’il sait faire de mieux : la série B. Il a donc réalisé Carry-On pour Netflix, énorme carton sur la plateforme devenu le deuxième plus gros succès du N rouge (172,1 millions de visionnages cumulés en 91 jours). C’était en décembre 2024 et pourtant, le réalisateur va déjà faire son retour, cette fois au cinéma, avec The Woman in the Yard.

Ce thriller horrifique suit une mère de famille et ses enfants vivant tranquillement dans une maison de campagne… jusqu’au jour où une mystérieuse femme débarque dans le jardin, commence à les fixer longuement et leur lancer un terrible avertissement. Ce retour à l’épouvante pour le cinéaste, plusieurs années après Esther, semblait plutôt alléchant à en croire sa bande-annonce. Le film est désormais en salles aux États-Unis depuis ce 28 mars et forcément, les premiers avis de The Woman in the Yard n’ont pas tardé. Revue de presse.

« Pendant environ 1h, c’est intrigant. On ne sait pas exactement ce qu’il se passe et il y a énormément de choses en suspens. Mais ensuite, l’atmosphère se calme doucement et une partie de ce qui est manipulé se révèle être assez embarrassante. » The Guardian

« Il est rare de voir un film d’horreur qui soit un tel échec, avec une vibe old school. Mais The Woman in the Yard s’en rapproche beaucoup. On dirait un film de maison hantée qui n’a aucun tour dans son sac. » Variety

« The Woman in the Yard prend à revers son titre hypocritement fade avec ses ambitions thématiques considérables. Le film n’y est pas pleinement à la hauteur, mais il mérite d’être salué pour avoir tenté quelque chose de différent dans un genre sursaturé. » The Hollywood Reporter

« Ce film d’horreur psychologique à concept est si atone qu’il manque un près tout ce qui ressemble à de la tension ou à de la peur. » Bloody Disgusting

« Il n’y a pas grand-chose ici qui puisse nous empêcher de dormir la nuit ou de tout oublier dès le lendemain. » The Telegraph

« Au lieu d’être un festival de trash délicieusement déjanté, The Woman In The Yard est un film d’horreur impressionniste, de style art et essai, sur le deuil et la dépression. C’est un film plein d’images en miroir, où le récit se brise et se reconstitue à plusieurs reprises, déjouant encore plus les attentes. » NME

« La performance brute de Danielle Deadwyler apporte une certaine profondeur à ce thriller Blumhouse, qui repose d’ailleurs sur une atmosphère angoissante, mais a surtout recours à des clichés d’horreur psychologique et à une profusion de jumpscares. » Screen Daily

« Le fait qu’un film comme celui-ci puisse exister, sous une forme aussi absurde, est un mystère en soi. Un mystère bien plus intéressant à creuser que le film en lui-même. » Mashable

« C’est bien fait, et Collet-Serra sait très bien comment gérer la peur et son tempo, mais ce qui reste le plus en tête, c’est le sentiment que la même idée a déjà été mieux réalisée auparavant. » Empire

Au vu de ses retours, pas sûr que The Woman in the Yard soit donc aussi bien accueilli que Carry-On pour Jaume Collet-Serra. Sans surprise, les critiques saluent plus ou moins tous l’habilité du cinéaste à créer quelques moments étranges à travers sa simple mise en scène. Problème, le scénario semble encore une fois loin d’être à la hauteur du reste, la plupart des avis pointant du doigt ses clichés et un sentiment de déjà-vu dans le genre horrifique.

Pour savoir ce que ça vaut, les Américains peuvent d’ores et déjà se rendre au cinéma pour découvrir The Woman in the Yard. En revanche, en France, le film n’a aucune date de sortie pour le moment.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... C9gTm7Eb-Q

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 31 mars 2025 18:23
par Pale
Après Black Phone 2, un nouveau film d’horreur pour le réalisateur de Sinister et de Doctor Strange

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Scott Derrickson, le réalisateur de Sinister, Doctor Strange et Black Phone 2, prépare un nouveau film, intitulé Road of Bones.

Avec une filmographie qui synthétise le meilleur et le pire d’Hollywood, Scott Derrickson est une personnalité qui fascine au sein de l’industrie outre-Atlantique. Doctor Strange, Sinister, Le Jour où la Terre s’arrêta et plus récemment le décevant The Gorge sur Apple TV+ : le cinéaste oscille entre des propositions singulières et des productions à l’intérêt plus discutable. En attendant la sortie de Black Phone 2, le réalisateur prépare déjà un nouveau film d’horreur.

En effet, d’après un article du Hollywood Reporter, le cinéaste américain va mettre en scène une adaptation du roman Road of Bones, de Christopher Golden. Le texte suit un documentariste lors de son voyage cauchemardesque le long de la route de la Kolyma – construite en Sibérie par les prisonniers des goulags sous l’ère stalinienne.

D’après le Reporter, le livre de Christopher Golden serait un mélange de folk et de survival horror. Si Scott Derrickson sera chargé de la réalisation de Road of Bones, son fidèle collaborateur et scénariste C. Robert Cargill (Sinister, Black Phone), s’occupera de l’adaptation. Le film sera produit pour Screen Gems, filiale de Sony Pictures Entertainment.

En attendant d’en savoir plus, rappelons que Black Phone 2 débarquera dans nos cinémas français le 15 octobre prochain. À son casting, nous y retrouverons l’excellent Ethan Hawke, mais aussi Mason Thames et Madeleine McGraw. À noter que le premier opus a été un vif succès en 2022. Avec un budget de production de 16 millions de dollars, il a récolté plus de 90 millions au box-office domestique et dans les 161 millions de recettes mondiales.


https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... ChhxWFIiew

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:25
par Pale
The Legend of Zelda : déjà une date de sortie pour le film adapté de la saga de jeux cultes

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Nintendo a annoncé la date de sortie précise de son film The Legend of Zelda, et il va falloir se montrer encore un peu patient.

Après le carton plein de Super Mario Bros. (1,3 milliard de dollars au box-office mondial tout de même), Nintendo a trouvé le bon filon pour étendre ses franchises dans du transmédia. La règle est simple : la firme japonaise tient à garder le contrôle créatif en co-produisant ses différents projets auprès de gros studios de cinéma. Après Illumination (et, par extension, ses détenteurs Universal) sur Mario, c’est Sony Pictures qui prend le relais sur The Legend of Zelda.

Le long-métrage en prises de vues réelles est ainsi chapeauté par Shigeru Miyamoto (le créateur de Mario et Zelda), épaulé par Avi Arad (producteur historique de Sony, auquel on doit tous les films de super-héros du studio, des premiers Spider-Man aux étrons du Sonyverse). Jusque-là, on savait juste que le projet devait être visible avant 2030 (sacrée fourchette), mais Nintendo vient de donner une information bien plus précise.

Ce jeudi 27 mars, la firme nippone a profité de son Nintendo Direct pour annoncer la sortie de Nintendo Today, une application mobile donnant des informations quotidiennes autour de la marque et de ses franchises dans un grand élan de frénésie promotionnelle. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que Nintendo en profite pour lâcher une bombe : The Legend of Zelda sortira en salles le 26 mars 2027 (et sans doute le mercredi 24 mars en France).

Si le casting ou les détails de cette adaptation restent inconnus, cette date de sortie laisse présager une pré-production très avancée, et un tournage qui devrait avoir lieu dès cet été. Après des années de tâtonnement (évoquées par Miyamoto lui-même), Zelda semble donc avoir trouvé une approche d’adaptation. Nintendo ayant été traumatisé par la première version live de Super Mario Bros., l’éditeur a longtemps rechigné à transposer au cinéma ses jeux. Si le film d’animation Mario a convaincu une partie de la rédaction (qui en subit encore aujourd’hui des railleries régulières de la part des collègues), il faut bien admettre que le résultat final n’a pas pris beaucoup de risques.

On est curieux de voir si le passage de Zelda vers la prise de vues réelles va changer la donne, d’autant que la franchise a été confiée au réalisateur Wes Ball. Repéré sur YouTube pour ses courts-métrages en animation 3D aux références gaming assumées, il s’est ensuite confirmé à travers la saga Le Labyrinthe et La Planète des singes : Le Nouveau royaume.

Autant dire que le monsieur s’y connaît en nature sauvage dans des univers plus ou moins apocalyptiques, du moins si l’on suppose que Nintendo choisira d’adapter l’univers de Breath of the Wild et de Tears of the Kingdom, ses chefs-d’œuvre les plus récents et populaires.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... Ne-fixXhEw

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:27
par Pale
Après Le Comte de Monte-Cristo, Pierre Niney sera dans le thriller du réalisateur de Boîte noire

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Après avoir été le héros de Boîte Noire, Pierre Niney va retrouver le réalisateur Yann Gozlan pour un thriller psychologique avec Holt McCallany.

En 2021, Boîte noire confirmait le talent de Yann Gozlan pour les films à suspense après Captifs et Un homme idéal. Porté par un Pierre Niney en grande forme, le film plongeait le spectateur dans une enquête passionnante au cœur de l’aviation. Avec près de 1,2 million d’entrées et cinq nominations aux César, le thriller s’est imposé comme un succès critique et public.

Depuis, Pierre Niney a enchaîné les réussites : Goliath, Le livre des solutions et surtout l’énorme carton au box-office Le Comte de Monte-Cristo. L’acteur retrouvera Yann Gozlan pour un thriller psychologique ayant pour sujet les dérives des réseaux sociaux, la manipulation mentale et le pouvoir d’influence de certaines personnalités publiques : Gourou.

Dans Gourou, Pierre Niney incarnera un coach en développement personnel en apparence très propre sur lui, mais qui s’avèrera être une personnalité extrêmement toxique. Ce projet marque la troisième collaboration entre l’acteur et Yann Gozlan, après Un homme idéal et Boîte noire. Cette fois-ci, Niney endosse également le rôle de producteur via sa société Ninety Films.

Du côté du scénario, c’est Jean-Baptiste Delafon qui a pris la plume. Il s’agit aussi d’une nouvelle collaboration avec Yann Gozlan pour Delafon, puisqu’il avait signé le scénario de Vision. Le casting de Gourou comprendra l’excellent Anthony Bajon, récompensé d’un Ours d’argent pour son rôle dans La Prière de Cédric Kahn (et génial en Kool Shen dans la série Le Monde de demain) et Marion Barbeau (En Corps de Cédric Klapisch). L’acteur américain Holt McCallany, récemment célébré en agent spécial Bill Tench dans la série Mindhunter, a aussi rejoint la distribution.

Le tournage du film a débuté en novembre dernier. Au micro de Première, Pierre Niney avait décrit le thriller comme un projet bien plus modeste que Le Comte de Monte-Cristo au cours duquel Yann Gozlan va explorer les dérives potentielles liées aux réseaux sociaux :

“Je vais attaquer un thriller avec Yann Gozlan, avec qui j’ai déjà fait Boîte noire. Ça va être beaucoup plus intimiste, beaucoup plus noir, désespéré à certains endroits sur la société actuelle et les réseaux sociaux. Mais j’aime le changement.”

Il faudra patienter jusqu’au 28 janvier 2026 pour découvrir Gourou dans les salles de cinéma.


https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... JFEhPMsOOA

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:29
par Pale
A Working Man : premiers avis pour le film d’action avec Jason Statham

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Le nouveau Jason Statham movie arrive aux États-Unis, et les premiers avis de la presse américaine sur A Working Man sont tombés.

Les choses ont collé entre Jason Statham et David Ayer, puisque l’acteur et le réalisateur remettent le couvert un an après la sortie de The Beekeeper. A Working Man est donc la nouvelle réalisation de celui à qui l’on doit Bad Times et que l’on maudit pour Suicide Squad et The Tax Collector.

Ici, Jason Statham empiète sur les plates-bandes de Liam Neeson, puisqu’il incarne un inoffensif ouvrier du bâtiment amené à faire ressurgir son passé d’agent secret pour retrouver la fille de son patron et déjouer un complot, dans une énième variation sur le thème de Taken. Statham est accompagné de David Harbour, Michael Peña et Jason Flemyng dans cette adaptation du roman Levon’s Trade: A Vigilante Justice Thriller de Chuck Dixon, dont le scénario est signé David Ayer et Sylvester Stallone.

Et les premiers retours de la presse nord-américaine sur ce nouveau divertissement d’action sont là !

“C’est une belle étape dans la carrière de Statham, mais rien qui ne puisse changer l’avis de qui que ce soit le concernant.”
The Globe and Mail (Toronto)

“C’est une formidable démonstration du charisme bouillonnant de Statham, qui n’arrive jamais vraiment à convaincre dans la peau d’un type normal, mais qui est plus que convaincant dans celle d’un type que le méchant ne voudrait surtout pas voir débarquer chez lui.”
The Hollywood Reporter

“Il est évident que David Ayer a toujours été un gars sensible, et ça se voit qu’il aime obliger Statham à assumer son côté vulnérable”.
IndieWire

“Jason Statham est bon dans ce qu’il fait, c’est ce qui explique le fait qu’il continue à faire le même genre de films, et le fait que les gens continuent à les regarder.”
Variety

“Aussi amusant que soit A Working Man, j’ai passé mon temps à me dire qu’un bon film se cachait quelque part derrière ce film juste correct.”
Boston Globe

“Un bon divertissement sans cervelle.”
Screen Rant

“Ce Statham movie est, comme la plupart, une course aux nombres de gars descendus. C’est, apparemment, ce que veulent ses fans les plus fidèles, mais ça commence à devenir fatiguant pour nous autres.”
San Francisco Chronicle

“Certains passages à base de gros bazar cartoonesque sont plutôt sympas. Le reste est aussi agréable qu’un lundi.”
The Guardian

“On dirait une parodie de film de Jason Statham, sans aucune trace du plaisir que ça devrait impliquer. Ce Working Man ne fonctionne tout simplement pas.”
Empire

Que les critiques aient aimé ou pas le film, les mêmes éléments semblent ressortir : A Working Man est, a priori, un film d’action parfaitement fondu dans le moule Statham, qui vaut le coup essentiellement pour les fans de l’acteur. Avec une note globale de 53/100 sur Metacritic, et une majorité de notes moyennes, le film comble probablement tout juste les attentes sans chercher à faire mieux, mais sans trop décevoir non plus.

Pour se faire son propre avis, il faudra guetter la sortie du film en VOD et en streaming, puisqu’aucune date de sortie dans les salles françaises n’est annoncée.


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... IUJUdS8VHg

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:32
par Pale
Après The Odyssey, Zendaya va devenir une star de la chanson pour ce super réalisateur

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Un nouveau biopic musical ? Oui, encore. Mais avec Barry Jenkins derrière la caméra et Zendaya devant, s’il vous plaît.

Après le suicide artistique représenté par Mufasa, le réalisateur américain Barry Jenkins, qui s’était en premier lieu fait connaître avec Moonlight (Oscar du meilleur film en 2017), revient à des projets sans doute plus personnels. Il l’avait d’ailleurs dit il y a quelques mois : il ne voulait pas reproduire l’expérience du blockbuster Disney lié au Roi Lion. Et pour l’occasion, il s’attaque à un genre très prisé : celui du biopic musical.

Alors même que les fauteuils des cinémas sont encore chauds d’avoir accueillis les spectateurs de Monsieur Aznavour et Un Parfait Inconnu, et attendent impatiemment (ou pas) ceux de Michael et des films de Sam Mendes sur les Beatles, la mode des hagiographies consacrées aux icônes de la musique ne faiblit pas ; comme c’est en fait le cas depuis le triomphe de Bohemian Rhapsody en 2018.

Pour tirer son épingle du jeu, Barry Jenkins a su s’entourer, puisque c’est Zendaya qui s’apprête à incarner pour lui une légende de la chanson.

C’est à la chanteuse Ronnie Spector, leadeuse du groupe The Ronettes, que Zendaya prêtera ses traits dans Be My Baby (un titre qui reprend le nom du plus gros tube de The Ronettes). Particulièrement célèbre dans les années 1960 à travers son groupe, Ronnie Spector aura tutoyé les Beatles et les Rolling Stones avant de mener une carrière solo, et se sera fait connaître comme la “bad girl du rock’n’roll ».

Mariée pendant un temps au producteur Phil Spector, personnalité très controversée de la musique et mort en prison (où il se trouvait pour meurtre), la chanteuse lui devra une partie de son succès.

Selon Deadline, qui a annoncé la nouvelle, le film sera d’ailleurs centré sur cette relation plutôt que de suivre la formule fiche Wikipédia de certains biopics. Et si le projet n’était déjà pas assez prometteur comme ça, c’est David Kajganich, scénariste fétiche de Luca Guadagnino (pour qui il a scénarisé A Bigger Splash, Suspiria et Bones and All) qui est annoncé à l’écriture.

Le film est actuellement en développement sous l’égide du studio A24, que Barry Jenkins connaît bien pour avoir déjà été accompagné par eux sur Moonlight. Toujours selon Deadline, à ce stade, les négociations autour des droits de la vie de Ronnie Spector et de son autobiographie (elle aussi titrée Be my Baby, et écrite avec Vince Waldron) ne sont pas encore bouclées.

Patience, donc, pour ce qui sera peut-être le film du rôle à Oscar pour Zendaya. En attendant, l’actrice, qui est en plein tournage de The Odyssey de Christopher Nolan, sera à retrouver prochainement à l’affiche de The Drama avec Robert Pattinson.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... OqzNQwitTA

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:34
par Pale
EL a modérément apprécié Novocaine (3 étoiles) :

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Si vous êtes masochistes ou si vous détestez Jack Quaid, vous avez peut-être entendu parler de Novocaine, où le nepo-baby le plus prolifique du moment se fait tailler en pièce par les ravisseurs d’Amber Midthunder. Ou peut-être pas, car la série B rigolo-gore de Dan Berk et Robert Olsen n’a pas fait grand bruit aux États-Unis. À tort ou à raison ? Réponse le 26 mars dans les salles françaises.

PAIN KILLER


Dans Novocaine, Nathan Caine (Jack Quaid) est un employé de banque atteint d’ICD, c’est-à-dire d’insensibilité congénitale à la douleur. Lorsque des braqueurs font irruption dans son quotidien paisible, ils prennent en otage Sherry, la réceptionniste qu’il a emballé la veille. Fou amoureux, il se lance à la poursuite de sa bien-aimée, utilisant sa singularité à son avantage. Traduisez : il va prendre très cher.

Cette maladie rare a logiquement toujours intéressé la pop culture, des séries télévisées hospitalières, où elle a souvent droit à un épisode, au très bon Insensibles de Juan Carlos Medina. Plusieurs films l’ont même exploitée quasi exactement de la même manière, dont Kick-Ass en 2010 ou le sympathique The Man Who Feels no Pain en 2018. Mais Matthew Vaughn et Vasan Bala y voyaient plus un prétexte pour affubler leur héros d’un super-pouvoir dit réaliste, afin de pasticher le genre ou assumer une composante sociale.

Novocaine a pour particularité d’en faire son argument principal. Et c’est indéniablement sa plus grande qualité : le protagoniste incarné par Jack Quaid et son éternelle bouille de middle man malchanceux n’est ni un super-héros en civil ni un loser qui se découvre vigilante. C’est juste un mec atteint d’une vraie maladie, qui l’empêche de ressentir la douleur, mais lui cause davantage de souffrance.

Étonnamment, l’intrigue débute en douceur, comme une comédie romantique tout ce qu’il y a de plus ronflante, et n’hésite pas à consacrer une longue scène aux conséquences plus ou moins réelles de l’ICD. La relation qui se noue avec Amber Midthunder, qu’on aimerait alors voir dans le rôle de l’action woman après sa performance remarquée dans Prey, compense son artificialité par un souci de caractérisation inattendu dans un divertissement de ce type.

CAN YOU BLEED ?

Quand l’action commence, même rengaine : les retournements de situation et personnages secondaires insipides transpirent l’actionner bon marché qui pullule dans les Noz avec Scott Eastwood en tête d’affiche. A vrai dire, passé le twist très classique, le scénariste Lars Jacobson ne s’embarrasse même plus des règles traditionnelles de la cohérence, laissant des trous narratifs béants dans le dernier acte. Le seul intérêt : les mésaventures du héros, sur lequel il s’amuse à déverser toutes les plaies, au propre comme au figuré.

C’est véritablement l’unique argument du film : il assume à fond l’utilisation de l’ICD, que ce soit dans des phases d’action moins amusantes pour leurs chorégraphies que pour les coups infligés ou dans une séquence de torture franchement amusante, qui parodie ouvertement les clichés affiliés à ce genre de thèmes. Les amateurs de gore n’y verront rien de bien original, mais le flegme affiché par Quaid tandis que son corps est transpercé de toutes parts remplit à lui seul le contrat de divertissement et passe l’éponge sur… à peu près tout le reste.

Novocaine fournit le peu qu’on attendait de lui, et c’est tout. On pourrait regretter par exemple que la mise en scène ne soit pas plus audacieuse lors des pugilats, que Lorne Balfe crache son habituelle soupe impersonnelle ou que les gags ne soient pas plus élaborés. On devra donc se contenter d’une comédie violente qui a le mérite d’exploiter plutôt bien son principe et donc d’arracher quelques sourires. Mine de rien, les projets du genre, avec leurs tares et leur cynisme, sont de plus en plus rares en salles. Et vu la concurrence, on serait presque peiné de les voir se planter.

Une série B générique qui n’a d’autre intérêt que d’exploiter à fond l’insensibilité à la douleur du personnage. Heureusement, il le fait assez bien pour être à la hauteur de sa modeste promesse.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 5cbmp7yZUA

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Posté : lun. 31 mars 2025 18:43
par Pale
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Posté : lun. 31 mars 2025 18:45
par Pale
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Posté : lun. 31 mars 2025 18:49
par Pale

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Posté : mar. 1 avr. 2025 00:36
par Pale
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Posté : mar. 1 avr. 2025 16:42
par Pale
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Il me donne sacrément envie ce nouveau Karate Kid.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 1 avr. 2025 16:43
par Pale
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Posté : mar. 1 avr. 2025 16:45
par Pale

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Posté : mar. 1 avr. 2025 18:54
par Pale
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Posté : mar. 1 avr. 2025 20:02
par Cocu
Pale a écrit : lun. 31 mars 2025 18:43 Image
Il fait encore + jeune :hehe:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 1 avr. 2025 22:32
par Kit
Cocu a écrit : mar. 1 avr. 2025 20:02
Pale a écrit : lun. 31 mars 2025 18:43 Image
Il fait encore + jeune :hehe:
je me disais la même chose alors qu'il est de 1961 comme moi (quand on voit que Jean Gabin dans Les vieux de la vieille n'avait que 56 ans)

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Posté : mar. 1 avr. 2025 23:14
par robinne
Pale a écrit : mar. 1 avr. 2025 18:54 Image
Quelle classe, ce Tom :sol:

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Posté : mer. 2 avr. 2025 07:29
par Kit
mort à 65 ans de Val Kilmer (je l'avais revu dernièrement dans Maverick et Cœur de tonnerre) :(
https://www.bfmtv.com/people/cinema/mor ... 20053.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Val_Kilmer
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Posté : mer. 2 avr. 2025 16:47
par Pale
Kit a écrit : mer. 2 avr. 2025 07:29 mort à 65 ans de Val Kilmer (je l'avais revu dernièrement dans Maverick et Cœur de tonnerre) :(
https://www.bfmtv.com/people/cinema/mor ... 20053.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Val_Kilmer
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Triste nouvelle.

L'article sur Écran Large :

Val Kilmer : mort de l’immense acteur de Top Gun, Batman Forever, Heat et Les Doors

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L’acteur Val Kilmer est décédé à l’âge de 65 ans d’une pneumonie. Il laisse derrière lui une carrière heurtée, mais composée de grands rôles.

Il avait incarné Jim Morrison dans le film Les Doors d’Oliver Stone, avant de prêter ses traits au Chevalier Noir de Gotham. Val Kilmer est décédé à Los Angeles à l’âge de 65 ans d’une pneumonie, ce mardi 1er avril 2025. Le New York Times a révélé en premier l’information, en citant sa fille, Mercedes Kilmer.

L’état de santé de l’acteur était préoccupant depuis 2014, où il s’était fait diagnostiquer d’un cancer du larynx. En 2021, Val Kilmer avait pu se livrer sur sa vie et sa carrière au travers du documentaire Val, présenté pour la première fois au Festival de Cannes. Grâce à son goût pour les caméras domestiques, on y voyait de nombreuses images d’archives, y compris de son enfance. Son cancer y était évoqué, montrant même le comédien avec un tube pour respirer.

Privé de sa voix à cause de la maladie, Val Kilmer n’a pratiquement plus tourné. Sa dernière apparition sur grand écran remontait d’ailleurs à Top Gun : Maverick (2022), et à la séquence émouvante de retrouvailles entre Maverick (Top Gun) et son rival d’antan, Iceman. Au sein même du scénario, le personnage s’exprimait avec l’aide d’un traitement de texte.

Si le premier Top Gun en 1986 fait de lui une star montante, Val Kilmer est révélé deux ans plus tôt par le génial Top Secret ! des ZAZ (Y a-t-il un pilote dans l’avion ?). Cette parodie des films de guerre et d’espionnage joue parfaitement avec son physique d’idole des jeunes un peu rebelle (il y joue un chanteur à la Elvis qui s’infiltre dans l’Allemagne de l’Est), tout en soulignant sa capacité à adopter un sens du burlesque.

Alors que Willow (1988) de Ron Howard l’impose un peu plus à Hollywood, il croit trouver le rôle de sa vie en interprétant Jim Morrison dans le biopic d’Oliver Stone Les Doors (1991). C’est à partir de ce moment-là que l’ascension de Val Kilmer commence à connaître des turbulences. Après des mois de préparation intensive, et un tournage houleux où Oliver Stone le pousse dans ses retranchements, le bruit court que l’acteur serait caractériel et difficile, ce que confirme la production chaotique de Batman Forever (1995). Le réalisateur Joel Schumacher n’a jamais caché son soulagement lorsque Kilmer a refusé de rendosser le costume pour Batman et Robin.

L’échec commercial des aventures de l’Homme chauve-souris n’aide pas, et Val Kilmer commence à devenir un paria à Hollywood, malgré des choix de carrière passionnants et des fulgurances évidentes. On pense au rôle mythique de Chris Shiherlis, le braqueur romantique de Heat (1995) de Michael Mann, ou encore à sa version de Moïse, pour lequel il a prêté sa voix dans Le Prince d’Égypte (1998).

Val Kilmer a malheureusement toujours été perçu à l’aune de cet entre-deux, de ce potentiel de star en puissance jamais totalement assouvi, et que le documentaire sur sa vie capte avec une certaine beauté. C’est aussi pour cette raison qu’il a apporté au merveilleux Kiss Kiss Bang Bang (2005) de Shane Black une dimension méta particulière. Dans la peau d’un détective privé homosexuel, Val Kilmer représentait, aux côtés d’un Robert Downey Jr. tout juste sorti de prison, ces pestiférés d’Hollywood en quête d’une seconde chance.


https://www.ecranlarge.com/films/news/v ... PG0RBlWpPg

Son rôle qui m'a le plus marqué :

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Posté : mer. 2 avr. 2025 16:51
par Pale
EL a détesté Minecraft (0,5 étoile) :

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Dans le sillage de Sonic, Super Mario, Borderlands et bien d’autres, une énième adaptation de jeu vidéo à succès débarque dans nos salles ce 2 avril 2025. À un jour près, on aurait cru à une mauvaise blague, car Minecraft, le film est un pur jeu de construction cubique, difficilement déclinable sur grand écran. Comment diable le réalisateur Jared Hess et les acteurs Jack Black, Jason Momoa et Danielle Brooks sont-ils parvenus à contourner le problème ? C’est simple : ils n’ont pas essayé.

NAVET TOP NOTCH


Début février 2014, le créateur Notch faisait annuler la campagne crowdfunding d’un fan-film. Quelques semaines plus tard à peine, il discutait avec Warner Bros d’une adaptation officielle. La communauté Minecraft est énorme : il s’agirait même du jeu le plus vendu de tous les temps (300 millions d’exemplaires vendus depuis 2011). Sa valeur est donc colossale et son adaptation à gros budget inévitable, n’en déplaise aux passionnés qui s’interrogeaient à l’époque.

Depuis, Paramount est parvenu à transformer Sonic en mascotte numérique qui fait des danses Fortnite au milieu d’une départementale, et – plus fort encore – à faire passer l’affront pour une adaptation fidèle. Les « fans » s’achètent à coups de références et le marketing a enfin pénétré la frontière entre 7e et 10e art. Avec ses 150 millions de dollars de budget, Minecraft, le film a de bonnes chances de donner un peu de lest aux finances désastreuses de Warner.

Après quelques minutes de projection à peine, on comprend que c’est son seul objectif. Produite après de nombreux faux départs et changements de scénariste (d’où les 5 noms au générique), dans la grande tradition hollywoodienne du moment, cette vaste mascarade a à peine plus de valeur que les goodies et autres produits dérivés qu’on a essayé de nous refourguer à la projection et qui vont inonder les emplacements publicitaires partout dans le monde.

Le film est un simple prétexte pour écouler les stocks et ses créateurs, quels qu’ils soient vraiment, l’ont soigné en conséquence. La plupart des personnages ont à peu près autant d’épaisseur narrative que leurs figurines, incrustées à l’arrache dans un monde numérique taillé au Pixel pour vendre des Lego. Quant à l’humour qui irrigue cette pseudo-comédie régressive, il est recyclé du pire du divertissement mercantile de ces 15 dernières années, dans l’espoir de cibler de jeunes ados que le film et ses auteurs méprisent au plus haut point, ou au moins autant qu’ils chérissent le porte-monnaie de leurs parents.

Mais que les joueurs se rassurent : Minecraft comporte le lot réglementaire de clins d’œil lourdingues et références grossières à la culture internet. Pas la culture internet des memes et des forums : celle des fake news et des masculinistes coach de vie, parodiés en Jason Momoa en perfecto rose.

Et si cette phrase vous pétrifie de malaise, attendez de voir son arc narratif qui s’étend du cliché anachronique du geek pathétique à une rédemption sortie de nulle part. Heureusement, Jason Momoa était taillé pour ce personnage de Minecraft si l’on en croit certains échos sur son comportement durant le tournage.

BLOCS PARTIS

Des projets bassement cyniques et mercantiles, remplis de séquences d’action au rabais et de stars payées plusieurs millions de dollars pour cabotiner, il y en a désormais assez pour remplir une map Construction. Mais ce qui fait de Minecraft, le film un doigt d’honneur particulièrement turgescent, c’est qu’il ose sortir la carte de l’ode à la créativité, comme l’avait fait le film Lego avant lui. Or, contrairement au film Lego, il représente l’exacte antithèse de la créativité.

Bien que dans l’ombre des pitreries de Momoa et Black, le vrai héros de l’histoire est bien celui joué par Sebastian Eugene Hansen. Le pauvre gamin est brimé à l’école, car trop créatif. Mais, lorsqu’il trouve le McGuffin en plastique du jour chez le gros con égocentrique qu’il a inexplicablement élu figure paternelle, il entre dans un monde où son don est valorisé. Et il va en avoir besoin, car ce monde est convoité par une méchante Piglin qui veut… tuer la créativité.

Une intrigue pas vraiment au niveau de celle de Phil Lord et Chris Miller, mais surtout contredite par à peu près tous les choix d’adaptation. Ou plus exactement par l’absence de choix d’adaptation. Tirant justement son succès de ses possibilités créatives, le jeu Minecraft est avant tout une boite à outils générée aléatoirement et à la merci des joueurs. Un esprit de liberté que le film étouffe dès ses très longues 15 premières minutes, qui récitent une exposition interminable en (double) voix off.

Sans même réfléchir à des moyens un peu originaux ou, oserions-nous dire, créatifs d’exploiter cet univers aux possibilités quasi infinies, les responsables de cette arnaque se sont contentés de l’écrabouiller dans le moule préfabriqué du blockbuster familial et de tasser les bords à coups de voix off et autres surexplications. Le Steve de Jack Black, autrefois héros anonyme que le joueur était invité à s’approprier, est désormais un véritable tutoriel sur pattes, déblatérant les fiches Wiki des PNJ, des ennemis, du craft… Soit tout ce qui était à découvrir dans le jeu.

Loin de rendre justice à l’imagination des stakhanovistes du bloc (dont certains ont reproduit la Terre du Milieu à l’échelle !), ce film leur crache au contraire dessus pour mieux vendre des abeilles carrées en peluche. L’étendue de liberté générée aléatoirement est devenue un produit algorithmique et la créativité un flagrant mensonge. Pas de doute : ça va cartonner.

Le film Minecraft est au jeu Minecraft ce que la figurine Funko-pop est à la pop-culture.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... C_XLaHaiHg

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Posté : mer. 2 avr. 2025 16:59
par Pale
Once Upon a Time in Hollywood 2 : Fincher prépare la suite pour Netflix, avec Tarantino et Brad Pitt

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David Fincher serait sur le point de réaliser une suite de Once Upon a Time in Hollywood pour Netflix, avec Quentin Tarantino au scénario (et c’est pas une blague).

Le 1er avril est souvent un terrain de jeu parfait pour les médias et les réseaux sociaux de plaisanter un peu avec la réalité de l’information et la crédulité de ses lecteurs. Nous-mêmes, à la rédaction, on s’est amusé à écrire le retour de Daniel Craig en James Bond cette année, et on avait imaginé Christopher Nolan réaliser un film sur Dieu en 2024. Tout ça pour dire que forcément, avec de fausses news, difficile de toujours croire à ce qu’il se raconte un 1er avril.

Et pourtant, toutes les news les plus folles révélées ce jour-là ne sont pas toujours fausses, au contraire. À moins qu’il s’agisse du poisson d’avril le mieux préparé de l’histoire d’Hollywood, Once Upon a Time… in Hollywood va bel et bien avoir le droit à une suite… sur Netflix, réalisée par David Fincher, scénarisée par Quentin Tarantino et avec Brad Pitt. On fait le point.

The Playlist a dévoilé l’information en premier (avant que Variety, The Hollywood Reporter ou encore Deadline la relaient également) au moment même où la CinemaCon battait son plein avec la conférence de Warner : une suite de Once Upon a Time… in Hollywood se prépare chez Netflix, avec David Fincher à la réalisation, Quentin Tarantino toujours au scénario et Brad Pitt de retour dans la peau de Cliff Booth. Le film serait actuellement en développement et pourrait commencer son tournage dès le mois de juillet prochain.

A priori, Netflix aurait présenté un budget de 200 millions de dollars pour ce film (Once Upon a Time… in Hollywood avait coûté un peu moins de 100 millions) et serait prêt à tout pour rameuter Leonardo DiCaprio. L’acteur, actuellement en négociation pour intégrer le film sur le cascadeur Evel Knievel de Damien Chazelle et prévu dans le prochain film de Martin Scorsese sur la mafia hawaïenne, serait en discussion pour rejoindre cette suite et retrouver son personnage de Rick Dalton. Margot Robbie aurait aussi déclaré être disponible si nécessaire.

À ce stade, le contenu du scénario reste mystérieux même si les médias s’accordent tous à dire que Cliff Booth (donc Brad Pitt) serait au centre de l’histoire et que Rick Dalton, si DiCaprio revenait, aurait un rôle plus secondaire que dans le film original. C’est ce qui le ferait hésiter à revenir (au grand dam de Fincher, Netflix, Brad Pitt et Tarantino). Les détails sur le récit sont encore flous, et c’est logique vu l’annonce soudaine, mais ce film pourrait être un peu différent d’une simple suite d’après les différents médias.

Pour rappel, Quentin Tarantino avait signé un accord avec Sony en 2019 (voire dès 2017), lui permettant de conserver certains droits à propos de Once Upon a Time… in Hollywood et de son univers. L’insider Jeff Sneider suppose dans sa newsletter que le contrat impliquait notamment des droits sur une possible suite et des spin-offs de son film. Reste à savoir à quel point Sony à un droit de regard désormais.

Selon THR, c’est la raison pour laquelle le film de Netflix pourrait être un film dérivé plutôt qu’une véritable suite. Quentin Tarantino est en effet propriétaire des personnages de l’univers (créés ou à venir) selon le média, mais pas encore de la marque « Once Upon a Time » (ce qui devrait l’être au bout de 10 ou 20 ans après la signature du contrat).

Mais comment en est-on arrivé là exactement ? D’après une source de THR, dans son film abandonné The Movie Critic dont l’action se déroulait dans les années 70, Quentin Tarantino avait intégré le personnage de Cliff Booth. Après avoir mis ce projet de côté, le cinéaste aurait malgré tout réécrit une partie du scénario pour tenter de lui redonner vie, en vain. Du moins, avant que Brad Pitt, apparemment très séduit par le scénario, lui propose de confier la réalisation à un autre cinéaste. Tarantino aurait alors expliqué que cela dépendrait de qui serait le réalisateur en question.

Quelque temps plus tard, Brad Pitt serait alors revenu avec David Fincher et Quentin Tarantino aurait donné son feu vert. À partir de là, le projet aurait été légèrement reconditionné et racheté par Netflix, à hauteur de 20 millions de dollars selon The Playlist, David Fincher ayant un contrat d’exclusivité avec la plateforme de streaming. Avec un tournage envisagé en juillet donc, il s’agirait du projet prioritaire du réalisateur de Seven du côté du N rouge.

La série Squid Game : America serait encore en développement, le scénariste Dennis Kelly étant assez lent pour écrire le scénario, et David Fincher aurait a priori quitté le projet de prequel de Chinatown (notamment depuis le décès de son scénariste Robert Towne en juillet 2024). Par ailleurs, son western Bitterroot aurait donc été relégué au second plan pour laisser place à ce Once Upon a Time in Hollywood 2 (si on peut l’appeler ainsi).

Selon Jeff Sneider, le film ne devrait toutefois pas avoir le droit à une sortie au cinéma et devrait terminer sa course directement (et exclusivement) sur Netflix. Un choix étonnant vu l’amour de Quentin Tarantino pour le cinéma et l’expérience de la salle, mais on peut supposer que rien n’est encore gravé dans le marbre. D’autant plus que, malgré les demandes des différents médias cités plus haut, Netflix n’a pas souhaité commenter.

Si le film voit le jour, il s’agirait de la quatrième collaboration sur un film de David Fincher et Brad Pitt, après Seven, Fight Club et L’Étrange histoire de Benjamin Button. Ce serait aussi le troisième film scénarisé (mais non réalisé) par Quentin Tarantino après True Romance en 1993 et Une nuit en enfer en 1996. Enfin, si Leonardo DiCaprio est de la partie, ce serait une première pour l’acteur dans un film de David Fincher, tout comme Margot Robbie.

On va désormais patienter dans l’attente de nouvelles précisions et essayer d’imaginer comment l’univers de Tarantino pourrait coller au style de David Fincher (c’est un peu la grosse question qui nous trotte dans la tête). Aucune date de sortie n’a évidemment été annoncée, mais les médias hollywoodiens semblent espérer une sortie dès 2026. À suivre…


https://www.ecranlarge.com/films/news/o ... k0-e-4DrgA

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mer. 2 avr. 2025 17:02
par Pale
Gundam : cette super actrice rejoint le nouveau film américain sur les robots géants

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Legendary prépare un film avec les robots géants de Gundam, et il semblerait qu’une jeune actrice soit en négociations pour le rôle principal.

Bien que son imagerie est très identifiée par la plupart des aficionados de la pop-culture, Gundam fait partie de ces phénomènes japonais qui ont toujours eu du mal à s’exporter en Occident. Pourtant, on parle bien du fondateur du genre mecha (les récits à base de gros robots), dont l’impact sur la culture nippone est proprement démentiel.

Films, séries, OAV, produits dérivés en pagaille, la franchise débutée en 1979 a un bien bel héritage (Macross, Evangelion) et s’inscrit mine de rien dans un Japon toujours hanté par les traumatismes de la Seconde Guerre mondiale et les interrogations sur son propre bellicisme (l’article 9 de sa constitution d’après-guerre lui interdit d’entrer dans des conflits, sauf cas de force majeure). Avec ces machines géantes transformées en armes de masse se pose la question d’une transposition américaine du concept. C’est pourtant ce que va tenter Hollywood, avec une super actrice.

Les fans de mecha et de kaiju peuvent remercier Legendary. La société de production fondée par Thomas Tull a largement puisé dans l’imaginaire japonais en permettant à Guillermo del Toro d’en faire la plus belle synthèse possible (Pacific Rim), avant de lancer le fameux Monsterverse avec Godzilla en 2014.

Legendary a visiblement bien avancé sur son projet Gundam, lancé en 2021 avec Jordan Vogt-Roberts, le réalisateur de Kong : Skull Island. Désormais, c’est Jim Mickle (Cold in July, la série Sweet Tooth) qui est aux commandes. Il est par ailleurs le scénariste du film, qui est donc développé par Legendary et les détenteurs de la franchise : Bandai Namco.

La nouveauté, c’est que Sydney Sweeney (Euphoria, Immaculée, Tout sauf toi) serait en négociations pour avoir le rôle principal du long-métrage. L’insider Jeff Sneider a été le premier à révéler l’infirmation, avant que Deadline ne l’affirme avec ses propres sources.

Après l’expérience catastrophique de Madame Web (qui lui a néanmoins permis de se rapprocher de Sony et de les amener à produire Tout sauf toi), Sydney Sweeney est sans doute à la recherche d’un nouveau blockbuster porteur pour sa carrière, sans néanmoins s’emprisonner dans des franchises trop contraignantes.

On avait parlé en vidéo de ses ambitions de productrice au travers de sa société Fifty-Fifty, qui a entre autres permis la mise en chantier d’Immaculée. Nul doute que l’implication de Sweeney dans le processus créatif fait partie des négociations en cours, et on est curieux de voir le potentiel résultat. Le film Gundam n’a pas encore de date de sortie officielle. Sydney Sweeney, quant à elle, est attendue dans le film Apple Echo Valley aux côtés de Julianne Moore, ainsi que dans la saison 3 d’Euphoria.


https://www.ecranlarge.com/films/news/g ... 3wAwVOVn9Q

De pas intéressé, je suis devenu très intéressé :o :D