Le Cercle des profileurs disparus

[Pale]

Spider-Man : Beyond the Spiderverse – premières images et enfin une date de sortie pour la suite



Sony a dévoilé les premières images du très attendu Spider-Man : Beyond the Spider-Verse, mais aussi sa nouvelle date de sortie. Et il va falloir prendre notre mal en patience, encore.

En mai 2023, Sony a sorti l’épatant Spider-Man : Across the Spider-Verse, la suite de Spider-Man : New Generation et le second volet d’une ambitieuse trilogie animée qui se terminera avec le très attendu Spider-Man : Beyond the Spider-Verse. Le précédent opus se finissait ainsi sur un cliffhanger haletant, promettant une conclusion encore plus bigarrée, inventive et épique. Malheureusement, le retour de Miles Morales s’éternise plus que prévu.

À l’origine, le film devait sortir en 2024, mais a disparu du calendrier du studio en juillet 2023, ce qui n’a pas manqué d’affoler quelques fans et d’alimenter des rumeurs sur sa possible annulation.

Mais Beyond the Spider-Verse est bel et bien en production, comme l’a confirmé le studio à l’occasion de la récente CinemaCon de Las Vegas où il a partagé de premiers visuels du film réalisé par Bob Persichetti et Justin K. Thompson, mais aussi une nouvelle date de sortie au cinéma. Et comme on s’en doutait, il va falloir attendre encore un long moment.

Le prochain Spider-Man : Beyond the Spider-Verse sortira le 4 juin 2027 aux États-Unis, soit quatre ans après Across the Spider-Verse. En plus de la production qui nécessite du temps, on peut imaginer que la sortie en 2026 de Spider-Man 4, qui marquera le retour de l’Homme-Araignée dans le MCU après No Way Home, a également pesé dans la balance.

Toujours durant la CinemaCon, les producteurs Phil Lord et Christopher Miller ont confirmé que les reports étaient en partie dus à des exigences artistiques :

« On sait à quel point cette franchise est importante pour tant de personnes autour de nous, on ne pouvait pas se précipiter. On a donc décidé de prendre le temps nécessaire pour nous assurer de bien faire les choses. »

À n’en pas douter, la conclusion des aventures de Miles Morales sera un autre travail d’orfèvre, du moins visuellement, comme le suggèrent les premiers visuels qui ont été dévoilés.

Admirez :









Du côté du casting vocal, le public retrouvera Shameik Moore dans le rôle de Miles Morales, mais aussi Hailee Steinfeld qui reprendra celui de Gwen Stacy et Jason Schwartzman celui de La Tâche. Le Miles Morales de Terre-42 sera en revanche doublé par Jharrel Jerome. On peut également s’attendre à retrouver la bande du premier volet avec Spider-Noir (Nicolas Cage), Spider-Ham (John Mulaney), Peter Parker (Jake Johnson) et Peni Parker (Kimiko Glenn).

Avant ça, le public retrouvera le Peter Parker de Tom Holland dans Spider-Man 4, prévu le 29 juillet 2026 en France.

https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... ofik5vy53g

[Pale]

Spider-Man 4 dévoile son titre et ça donne déjà des indices sur le retour de Tom Holland



Le futur Spider-Man 4 a enfin un titre officiel, et ça donne déjà des indications sur la suite du parcours de Peter Parker dans le MCU.

Entre les deux mastodontes Avengers: Doomsday et Avengers: Secret Wars, le quatrième film solo de Spider-Man s’annonce comme une respiration bienvenue. Sauf que coincé entre ces deux chapitres majeurs du MCU, on craint que le retour de Tom Holland en tant que Peter Parker ne soit englouti dans l’ombre des Avengers.

Une inquiétude d’autant plus grande que Tom Holland avait brillé par son absence lors de l’annonce-fleuve du casting d’Avengers 5 – cinq heures de live, 27 noms dévoilés, mais pas l’ombre d’un Spider-Man. Peter Parker, qui a toujours eu un lien fort avec les Avengers dans le MCU, semblait écarté du grand échiquier, du moins pour le moment. Cette omission a laissé place à toutes les spéculations, mais a aussi renforcé l’idée que son prochain film allait suivre une trajectoire plus indépendante.

Les théories vont bon train concernant ce Spider-Man 4. On a parlé d’une adaptation de l’arc Spider-Man: Blue des comics, qui plongerait Peter dans une mélancolie post-No Way Home. L’inclusion d’une actrice de Stranger Things au casting du prochain Spider-Man 4, avait aussi amené de nouvelles hypothèses. L’officialisation du titre lève enfin le voile sur la direction prise par ce nouvel opus, et l’évolution de Spider-Man dans la phase à venir du MCU.

Au cours du CinemaCon 2025 de Las Vegas, Sony a confirmé que le titre du quatrième film de Spider-Man dans le MCU sera Brand New Day, que l’on pourrait traduire littéralement par « un jour nouveau ». Un titre qui fait directement référence à un arc des comics Spider-Man datant de 2008, mené par Dan Slott. Tom Holland a confirmé au micro de Screen Rant qu’il s’agira d’un recommencement pour Spidey :

« Je sais que nous vous avons laissé sur un énorme cliffhanger à la fin de No Way Home… alors Spider-Man : Brand New Day est un nouveau départ… »



L’arc Brand New Day est une suite directe d’un autre récit majeur : One More Day. Il s’agit d’un arc très controversé qui a bouleversé la vie de Peter Parker et redéfini son statu quo dans l’univers Marvel. Dans One More Day, Peter Parker traversait une période de crise après les événements de Civil War. Ayant révélé son identité secrète au grand public sous l’influence de Tony Stark, il est devenu une cible pour ses ennemis.

Une décision qui a des conséquences dramatiques lorsque Tante May est grièvement blessée par un tireur embauché par Wilson Fisk (alias Le Caïd). Désespéré, Peter est approché par Mephisto, une entité démoniaque, qui lui propose un marché : sauver Tante May en échange de son mariage avec Mary Jane. En d’autres termes, leur union et tous les souvenirs associés seront effacés de la réalité.

À contrecœur, Peter et MJ acceptent le marché, et leur relation est anéantie d’un claquement de doigts. Toute ressemblance avec les enjeux de No Way Home n’est absolument pas fortuite, puisque ce troisième opus solo de Spider-Man au sein de MCU s’est largement inspiré de One More Day.

C’est là qu’intervient Brand New Day. À la suite du pacte avec Mephisto, l’histoire de Peter Parker est réinitialisée à plusieurs égards. Son identité secrète est de nouveau protégée, effaçant les souvenirs de ceux qui savaient qu’il était Spider-Man. Son mariage avec Mary Jane n’a jamais existé, et ils sont désormais séparés. Peter redevient un jeune célibataire, avec des difficultés financières et un retour à un mode de vie plus classique de super-héros new-yorkais. Cet arc marquait un retour aux fondamentaux du personnage.

L’arc Brand New Day introduisait également de nouveaux personnages et repensait certains antagonistes. Par exemple, J. Jonah Jameson était ruiné et contraint de vendre le Daily Bugle. Mr. Negative arrivait à New York (on a pu le voir dans le jeu Marvel’s Spider-Man) et devenait l’un des nouveaux adversaires majeurs de Spider-Man. Et une nouvelle version du Bouffon Vert nommée Menace faisait son apparition.

Faire un parallèle entre One More Day et No Way Home est aisé, et il n’est pas bien difficile d’imaginer comment Spider-Man 4 : Brand New Day pourrait servir de base à Spider-Man 4. Peter Parker est de nouveau un inconnu, sa relation avec MJ a été effacée et il est redevenu le petit super-héros de quartier avec des problèmes très terre à terre (comment réussir ses examens, payer son loyer, gérer ses problèmes de relations amoureuses…).

Reste à savoir si Mr. Negative et Menace pourraient apparaitre dans Spider-Man 4, et surtout savoir comment les préoccupations plus intimes pour Peter Parker pourront s’articuler de façon logique et naturelle avec les enjeux cosmiques d’organisation du Multivers d’Avengers : Doomsday et Secret Wars.

Premiers éléments de réponse le 29 juillet 2026, date de sortie de Spider-Man : Brand New Day en France. Quant aux films Avengers, Doomsday attendu pour mai 2026 et Secret Wars arrivera en mai 2027.

https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... Gwb1hHvRDQ

[Pale]

EL n'a pas trop aimé Holland (2 étoiles) :



Révélée au grand public par le très sympathique Fresh, Mimi Cave revient avec Holland sur Amazon Prime Video. Pour son deuxième long-métrage, la réalisatrice réunit Nicole Kidman, Gael García Bernal et Matthew Macfadyen dans un mélange de comédie noire, drame familial et thriller horrifique. Alléchant sur le papier, le projet est malheureusement une déception totale.

PARADIS PERDU

Après le petit événement qu’avait été Fresh en 2022, on attendait le nouveau long-métrage de Mimi Cave avec une curiosité évidente. D’autant que Holland permet à la cinéaste de s’associer à l’éternelle Nicole Kidman qui tient le rôle principal et co-produit le projet. Le concept même du film semblait également très prometteur avec cette héroïne atypique qui remet en question le paradis artificiel dans lequel elle évolue en découvrant l’étrange double vie de son mari presque parfait.

Et s’il y a bien un point positif à retenir de Holland, c’est que Mimi Cave confirme son sens de l’esthétique. Longtemps affiliée à l’univers du clip, la cinéaste semble avoir un don inné pour donner vie à des images saisissantes. Sa mise en scène ludique fait des merveilles et chaque plan est soigneusement réfléchi. On retiendra tout particulièrement certaines expérimentations marquantes, que ce soit l’utilisation de miniatures ou les extravagances visuelles lors des séquences de cauchemars.

Autre aspect intéressant, la réalisatrice se forge déjà un univers singulier et reconnaissable. On retrouve ainsi son goût pour le mélange des genres. Comme pour Fresh, le ton du film est volontairement grinçant et les quelques explosions de violence sont accompagnées d’un commentaire social plus vaste. Il y a également quelque chose de presque lynchien – toute proportion gardée – dans cette curiosité malsaine avec laquelle Mimi Cave vient gratter le vernis trop parfait des banlieues américaines pour en révéler la monstruosité qui s’y cache.

La rencontre entre l’univers de la cinéaste et Nicole Kidman apparaît comme une évidence. Bien qu’elle semble parfois en pilote automatique dans un registre qu’elle maîtrise par cœur, l’actrice livre une performance irréprochable. Quelque part entre l’ironie et le grotesque, elle fait de son mieux pour donner un peu de consistance à son personnage. À ses côtés, Gael García Bernal apporte une touche de légèreté particulièrement appréciable.

GOD SAVE THE SCRIPT

Malheureusement, les qualités techniques évidentes du long-métrage se heurtent à une écriture médiocre qui vient gâcher tout son potentiel. Là où Fresh trouvait un équilibre malin entre ses différents registres, le mélange ne prend jamais avec Holland. Le décalage entre le drame familial qui se joue, l’humour noir et le twist horrifique ne fonctionne absolument pas. Une des raisons évidentes se trouve dans le manque de radicalité du scénario.

Pour que la comédie satirique soit réellement mordante, il faudrait que l’humour vienne réellement secouer et mettre à mal le spectateur. À l’inverse, le film se contente de venir chercher des sourires timides et convenus. Idem pour la bascule horrifique qui manque cruellement de méchanceté pour convaincre. Même le drame conjugal n’est pas efficace, noyé sous un océan de poncifs réchauffés.

Écrit par Andrew Sodroski, le scénario de Holland traînait dans les tiroirs des studios hollywoodiens depuis près d’une décennie. Et on comprend aisément pourquoi, tant la narration du film est bancale. Le défaut le plus handicapant est sans doute le rythme infernal du récit. En effet, il faut près de 1h15 au long-métrage pour qu’il dévoile enfin son grand twist terriblement prévisible qui était déjà annoncé dès le synopsis et les bandes-annonces.

Une fois la bascule enfin opérée, Holland n’a tout simplement pas l’intensité nécessaire pour faire durer le suspense. Le développement lent n’a pas créé cette tension vénéneuse essentielle au genre. Pire encore, on ne peut que quitter le film avec un arrière-goût amer quand on découvre son final bâclé et sa tentative laborieuse de fin ouverte qui manque autant de finesse que de cohérence.

VOUS AVEZ DIT CLICHÉ ?

Comme pour Fresh, on sent l’envie chez Mimi Cave d’apporter une dimension féministe au récit. De façon assez évidente, Holland veut apporter un regard critique sur le modèle de la famille nucléaire américaine et toute la charge mentale engendrée pour les femmes au foyer enfermées dans un rôle spécifique. Malheureusement, la cinéaste semble avoir oublié qu’il y a une différence colossale entre un message clairement développé et une note d’intention énoncée telle quelle dans des dialogues balourds.

Sans doute aurait-il été plus facile d’apporter un commentaire pertinent si les personnages étaient au moins un peu attachants. L’héroïne n’est jamais rien de plus qu’un concept archétypal. Un personnage fonction pour lequel on peine à ressentir autre chose qu’un ennui distant. Et la relation qu’elle entretient avec son fils, censée être le cœur émotionnel du dénouement, n’a tellement pas été développée au préalable qu’on l’observe sans se sentir concernés. Au final, Holland est une belle promesse non tenue.

Holland est disponible depuis le 27 mars 2025 sur Amazon Prime Video

Mimi Cave livre un film trop cynique pour fonctionner au premier degré, pas assez drôle pour être une comédie dérangeante, pas assez tendu pour être le thriller horrifique promis. À vouloir être tout à la fois sans jamais trancher, Holland ressemble à un téléfilm tiède à peine sauvé par sa mise en scène inventive.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... G2EK9jZJ3w

[Pale]

La bande-annonce du nouveau Paul Thomas Anderson en VOST :

[robinne]

Gundam : cette super actrice rejoint le nouveau film américain sur les robots géants

[...]
La nouveauté, c’est que Sydney Sweeney (Euphoria, Immaculée, Tout sauf toi) serait en négociations pour avoir le rôle principal du long-métrage.
[...]

De pas intéressé, je suis devenu très intéressé

Coquinou

[Pale]

Gundam : cette super actrice rejoint le nouveau film américain sur les robots géants

[...]
La nouveauté, c’est que Sydney Sweeney (Euphoria, Immaculée, Tout sauf toi) serait en négociations pour avoir le rôle principal du long-métrage.
[...]

De pas intéressé, je suis devenu très intéressé

Coquinou

Cela n'a pas été sans mal de ne pas accompagner l'article d'une petite photo

Bon du coup...

[Pale]

[robinne]

C'est beau, les images générées par IA

[Pale]

C'est beau, les images générées par IA

Il n'y a point de IA

[Next]

Sweeney > l'IA

[Pale]

Sweeney > l'IA

Eh mais ça a l'air sacrément bien ça.

[robinne]

C'est beau, les images générées par IA

Il n'y a point de IA

Je rigolais

Sweeney > l'IA

[Kit]

EL n'a pas trop aimé Holland (2 étoiles) :



Révélée au grand public par le très sympathique Fresh, Mimi Cave revient avec Holland sur Amazon Prime Video. Pour son deuxième long-métrage, la réalisatrice réunit Nicole Kidman, Gael García Bernal et Matthew Macfadyen dans un mélange de comédie noire, drame familial et thriller horrifique. Alléchant sur le papier, le projet est malheureusement une déception totale.

PARADIS PERDU

Après le petit événement qu’avait été Fresh en 2022, on attendait le nouveau long-métrage de Mimi Cave avec une curiosité évidente. D’autant que Holland permet à la cinéaste de s’associer à l’éternelle Nicole Kidman qui tient le rôle principal et co-produit le projet. Le concept même du film semblait également très prometteur avec cette héroïne atypique qui remet en question le paradis artificiel dans lequel elle évolue en découvrant l’étrange double vie de son mari presque parfait.

Et s’il y a bien un point positif à retenir de Holland, c’est que Mimi Cave confirme son sens de l’esthétique. Longtemps affiliée à l’univers du clip, la cinéaste semble avoir un don inné pour donner vie à des images saisissantes. Sa mise en scène ludique fait des merveilles et chaque plan est soigneusement réfléchi. On retiendra tout particulièrement certaines expérimentations marquantes, que ce soit l’utilisation de miniatures ou les extravagances visuelles lors des séquences de cauchemars.

Autre aspect intéressant, la réalisatrice se forge déjà un univers singulier et reconnaissable. On retrouve ainsi son goût pour le mélange des genres. Comme pour Fresh, le ton du film est volontairement grinçant et les quelques explosions de violence sont accompagnées d’un commentaire social plus vaste. Il y a également quelque chose de presque lynchien – toute proportion gardée – dans cette curiosité malsaine avec laquelle Mimi Cave vient gratter le vernis trop parfait des banlieues américaines pour en révéler la monstruosité qui s’y cache.

La rencontre entre l’univers de la cinéaste et Nicole Kidman apparaît comme une évidence. Bien qu’elle semble parfois en pilote automatique dans un registre qu’elle maîtrise par cœur, l’actrice livre une performance irréprochable. Quelque part entre l’ironie et le grotesque, elle fait de son mieux pour donner un peu de consistance à son personnage. À ses côtés, Gael García Bernal apporte une touche de légèreté particulièrement appréciable.

GOD SAVE THE SCRIPT

Malheureusement, les qualités techniques évidentes du long-métrage se heurtent à une écriture médiocre qui vient gâcher tout son potentiel. Là où Fresh trouvait un équilibre malin entre ses différents registres, le mélange ne prend jamais avec Holland. Le décalage entre le drame familial qui se joue, l’humour noir et le twist horrifique ne fonctionne absolument pas. Une des raisons évidentes se trouve dans le manque de radicalité du scénario.

Pour que la comédie satirique soit réellement mordante, il faudrait que l’humour vienne réellement secouer et mettre à mal le spectateur. À l’inverse, le film se contente de venir chercher des sourires timides et convenus. Idem pour la bascule horrifique qui manque cruellement de méchanceté pour convaincre. Même le drame conjugal n’est pas efficace, noyé sous un océan de poncifs réchauffés.

Écrit par Andrew Sodroski, le scénario de Holland traînait dans les tiroirs des studios hollywoodiens depuis près d’une décennie. Et on comprend aisément pourquoi, tant la narration du film est bancale. Le défaut le plus handicapant est sans doute le rythme infernal du récit. En effet, il faut près de 1h15 au long-métrage pour qu’il dévoile enfin son grand twist terriblement prévisible qui était déjà annoncé dès le synopsis et les bandes-annonces.

Une fois la bascule enfin opérée, Holland n’a tout simplement pas l’intensité nécessaire pour faire durer le suspense. Le développement lent n’a pas créé cette tension vénéneuse essentielle au genre. Pire encore, on ne peut que quitter le film avec un arrière-goût amer quand on découvre son final bâclé et sa tentative laborieuse de fin ouverte qui manque autant de finesse que de cohérence.

VOUS AVEZ DIT CLICHÉ ?

Comme pour Fresh, on sent l’envie chez Mimi Cave d’apporter une dimension féministe au récit. De façon assez évidente, Holland veut apporter un regard critique sur le modèle de la famille nucléaire américaine et toute la charge mentale engendrée pour les femmes au foyer enfermées dans un rôle spécifique. Malheureusement, la cinéaste semble avoir oublié qu’il y a une différence colossale entre un message clairement développé et une note d’intention énoncée telle quelle dans des dialogues balourds.

Sans doute aurait-il été plus facile d’apporter un commentaire pertinent si les personnages étaient au moins un peu attachants. L’héroïne n’est jamais rien de plus qu’un concept archétypal. Un personnage fonction pour lequel on peine à ressentir autre chose qu’un ennui distant. Et la relation qu’elle entretient avec son fils, censée être le cœur émotionnel du dénouement, n’a tellement pas été développée au préalable qu’on l’observe sans se sentir concernés. Au final, Holland est une belle promesse non tenue.

Holland est disponible depuis le 27 mars 2025 sur Amazon Prime Video

Mimi Cave livre un film trop cynique pour fonctionner au premier degré, pas assez drôle pour être une comédie dérangeante, pas assez tendu pour être le thriller horrifique promis. À vouloir être tout à la fois sans jamais trancher, Holland ressemble à un téléfilm tiède à peine sauvé par sa mise en scène inventive.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... G2EK9jZJ3w

la façon qu'elle tient la tulipe me donne l'impression qu'elle a une barbichette

[Kit]

Sweeney > l'IA

celui qui l'a conçe cette IA a les mêmes goûts que Russ Meyer

[Pale]

Dragons : premiers avis sur le remake live-action du super film d’animation



Krokmou et Harold sont de retour dans le remake live-action Dragons toujours réalisé par Dean DeBlois et les premiers avis sont déjà là.

Les derniers remakes live-action de film d’animation à succès ont été de terribles désillusions (pour ceux qui avaient de l’espoir) entre l’inutile Mufasa : Le Roi Lion et surtout Blanche-Neige, catastrophe artistique et énorme four au box-office mondial. À tel point que le remake porté par Rachel Zegler et Gal Gadot devrait faire perdre un sacré tas d’argent à Disney, environ 115 millions de dollars selon les experts. L’avenir nous dira si Lilo & Stitch réussira à combler ce trou dans la caisse de Mickey en mai prochain, mais la bande-annonce n’a rien de rassurant.

Cela dit, cette stratégie de remake en live-action a parfois (souvent ?) porté ses fruits commercialement parlant. Dreamworks a donc décidé de se lancer dans cette mode pour la première fois avec Dragons, remake en live-action du film d’animation Dragons sorti en 2010, prévu pour juin prochain. Et le studio semble confiant puisque le film, réalisé et scénarisé par Dean DeBlois (derrière la trilogie animée), a déjà été montré à une partie de la presse lors du CinemaCon. Les avis n’ont pas tardé à fleurir. Revue de tweets.

« Dragons est une réinterprétation majestueuse de l’un des films d’animation les plus appréciés de tous les temps. Avec du cœur, il reprend tout ce qui a rendu l’original si spécial et atteint de nouveaux sommets avec des visuels à couper le souffle et une histoire spectaculaire pour toute une nouvelle génération. » Daniel Baptista – The Movie Podcast

« Franchement, j’ai été assez époustouflé par Dragons. Il y a cette profondeur, ce cœur et cette intensité que le live-action apporte, et quelques petits ajustements narratifs parfaits qui le rendent vraiment palpitant. La musique est incroyable, j’en ai pleuré ! C’est tellement bon. » Erik Davis – Fandango

« Dragons était INCROYABLE. Il y a des scènes époustouflantes qui m’ont vraiment coupé le souffle. Deux scènes en particulier m’ont fait pleurer. Mason Thames incarne parfaitement Harold et c’était un spectacle à voir. C’est le film familial de l’été. » Junior Félix – The Hashtag Show

« Dragons était tout ce que je recherchais en tant que fan du film original. Une fois installé, on est de retour à Beurk. Les dragons sont fantastiques et ce premier vol est un rêve. Je suis ravi que ça ait si bien fonctionné. » Kaitlyn Booth – Bleeding Cool

« Je n’ai qu’une petite relation avec la version animée Dragons [comprendre qu’elle ne le connaît pas pas cœur, ndlr], donc voir la version live a été une belle aventure. Krokmou est comme un chat, et je mourrais pour lui. » Rachel Leishman – The Mary Sue

« Le live-action Dragons capture la magie de l’original sur presque tous les plans. Tous les grands moments sont là, tout le cœur et l’excitation aussi. Les performances sont magnifiques de tous les côtés. Mon seul reproche concerne les nouveautés, bien que bonnes et subtiles, mais qui ne subliment jamais suffisamment le film. » Germain Lussier – Gizmodo

« Dragons est l’une des meilleures adaptations live-action d’un film d’animation jamais réalisées ! Les personnages et les dragons prennent vraiment vie et il y a énormément de moments magiques, fantastiques et émouvants. Je suis déjà prêt à le revoir ! » John Nguyen – Nerd Reactor

« Dragons ne s’élève pas toujours aussi haut que l’original, mais il possède une magie qui lui est propre. Des graphismes époustouflants, notamment dans les séquences de vol classiques, en font un film captivant sur grand écran. L’un des meilleurs remakes en live-action de récente mémoire. Mason Thames est un Harold parfait, empreint de maladresse et d’assurance. Il rend cette histoire vraiment réussie.

Et le meilleur dans tout ça ? Les dragons sont toujours pleins de vie et de personnalité, un aspect généralement perdu dans les remakes de ce genre. L’animation est vraiment spectaculaire. Bien sûr, le film est parfois freiné par ses décors, mais la cinématographie de Bill Pope comporte de nombreux moments époustouflants qui se marient à merveille avec la musique de Powell. Est-ce meilleur que l’original ? Avions-nous besoin d’un remake ? Eh bien, non. Mais c’est néanmoins très divertissant. » Daniel Howat – Next Best Picture

On ne va évidemment pas s’emballer avec ces premiers retours concernant une poignée de privilégiés présents à la CinemaCon, où l’ambiance est rarement à la critique négative. Reste qu’ils sont malgré tout plutôt rassurants, notamment sur l’aspect visuel, et semblent assez sincères en expliquant clairement que ce remake reste un remake et n’apporte pas grand-chose au récit original du film d’animation. On attendra désormais le 11 juin 2025 en France pour découvrir Dragons, et se faire une idée plus précise.

https://www.ecranlarge.com/films/news/d ... qpLqgpbS7g

[Pale]

Le biopic sur Michael Jackson bientôt coupé en deux par Lionsgate, pour éviter un nouveau bide ?



Le studio Lionsgate joue gros avec Michael, son méga-biopic de Michael Jackson. Il envisagerait actuellement de séparer le film en deux parties.

Ce n’est pas la forme chez Lionsgate. L’année 2024 a été particulièrement rude pour le studio aux portes qui s’ouvrent, puisqu’il a produit une bonne partie des plus gros bides du box-office annuel. Borderlands, Boy Kills World, Le Ministère de la sale guerre, The Crow, Killer’s Game… Tout ça, c’est eux. Autant dire qu’ils doivent beaucoup miser sur leurs blockbusters à venir, à savoir en premier lieu Ballerina, malgré sa production, paraît-il, cataclysmique, puis Michael.

Et c’est de loin le plus gros morceau. Réalisé par Antoine Fuqua (Training Day, The Equalizer), interprété par Jaafar Jackson (filleul de), le biopic du roi de la pop aurait coûté plus de 150 millions de dollars. Comme beaucoup d’autres avant lui, il tente de répliquer le succès colossal de Bohemian Rapsody avec une autre vedette de la musique populaire. Les enjeux sont énormes… au point de couper le (très) long-métrage en deux ?

Des sources de Deadline l’affirment : Lionsgate songerait à couper le film en deux parties. L’option serait sur la table, mais aucune décision n’a été prise à ce moment. En effet, le montage actuel atteindrait presque les quatre heures ! Il faut dire que l’intrigue ambitionne de raconter sa carrière des Jackson 5 aux dernières semaines avant sa mort, soit beaucoup, beaucoup d’évènements. Transformer la chose en diptyque épargnerait un remontage qui les parcourrait trop rapidement… et s’attirerait les foudres de la critique. Cette solution pourrait donc limiter les risques d’un nouveau flop, dont Lionsgate aurait bien du mal à se relever.

C’est toutefois un risque pour le studio, qui devrait alors maintenir l’intérêt du public pour les deux volets et trouver deux créneaux suffisamment rapprochés, comme ceux des Wicked par exemple. Va-t-il donc tenir sa date du 3 octobre ? Rien n’est moins sûr selon Deadline, qui souligne la complexité de la situation : Universal s’occupe de la distribution internationale et le marché japonais a été vendu séparément. Autre facteur : l’accessibilité des salles IMAX, très lucratives pour les biopics musicaux de cette ampleur.

Le maître des rumeurs hollywoodiennes InSneider planche lui sur un report à l’année 2026. Mais c’est loin d’être une certitude : le film (ou tout du moins sa première partie) pourrait très bien rester calé à la fin d’année afin de profiter de la saison des récompenses. Enfin, il y a l’impact des problématiques légales et contractuelles autour des accusations d’agressions sexuelles sur mineurs. Toujours selon le média, les Jackson ont demandé explicitement à exclure toute mention des Chandler (la famille à l’origine du scandale).

Or, les accusations seraient bien présentes dans la première version, ce qui aurait mené à des conflits internes et de gros reshoots. Pour rappel, Jackson avait payé 20 millions de dollars en 1994 à la famille sans admission de culpabilité. En 2005, il a fait face à un autre procès pour le même motif, au cours duquel il a été acquitté. En 2019, le documentaire controversé Leaving Neverland partageait des témoignages supplémentaires.

https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... MxzKt8f7jQ

[Pale]

[Pale]

J'ignorais un peu ce film jusque maintenant mais en fait ça a l'air pas mal.

[Pale]

[Pale]

Ça a l'air sacrément plus fun et jouissif que le premier.

[Pale]

[Pale]

Une version légèrement différente en VOST :

[Pale]

[Pale]

Predator : Badlands promet plein d’aliens dans les détails de la bande-annonce alléchante



Les premières images de Predator : Badlands ont été diffusées à la CinemaCon et elles promettent l’un des volets les plus originaux de cette saga imparfaite.

En 2022, la saga Predator renaissait de ses cendres grâce au réalisateur Dan Trachtenberg et son Prey. Bien que sa diffusion sur Disney+ empêche de tirer des conclusions sur son hypothétique rentabilité, il a connu une très belle réception critique et populaire, inespérée après un Predators tombé dans l’oubli depuis 2010 et surtout la catastrophe industrielle qu’était The Predator en 2018. Il n’en fallait pas plus à Mickey, qui a racheté la Fox entre 2017 et 2019, pour lancer un nouveau film.

Toujours mis en scène par Trachtenberg, Predator : Badlands a bien sûr eu droit à une place dans la conférence de Disney lors du CinemaCon, gigantesque convention organisée par les exploitants américains au cours de laquelle les studios détaillent leur catalogue. Une bande-annonce a été diffusée sur place, mais elle n’a pas été postée en ligne. À en croire DiscussingFilms et d’autres médias présents sur place, elle grouillait de bestioles en tous genres.

Jusqu’ici, la promotion laissait entendre que le Yautja serait pour la première fois le véritable héros de cette histoire. On se demandait comment Trachtenberg allait préserver les enjeux avec un monstre aussi redoutable en tête d’affiche. Cette bande-annonce donne la réponse : en le balançant dans un univers plus dangereux encore.

Un Predator s’écrase donc sur ce qui, selon DiscussingFilm, pourrait être aussi bien une planète éloignée qu’une Terre post-apocalyptique. Fini de rire : notre héros est devenu la proie, notamment pourchassé par des hordes d’humains qui lui tirent dessus avec des fusils laser. On aperçoit alors plusieurs autres éléments importants, comme une Elle Fanning capable de rendre ses yeux complètement blancs, ainsi qu’un nouveau variant de chef Predator en plein rituel.

Heureusement, ces images promettraient quelques parties de chasse d’aliens divers, où le Yautja fait étalage de ses nouvelles armes. C’est la fin de la bande-annonce qui nous donne le plus l’eau à la bouche : Fanning lui explique que la chose qu’il traque est imbattable, tandis qu’un Kaiju massif fait son apparition. Sans casque, le Predator pousse un cri guerrier avant de se jeter dessus.

Enfin, la franchise semble en passe d’explorer de nouveaux territoires de sa mythologie SF avec Badlands donc. À ce rythme, elle pourrait bien concrétiser la fausse promesse de Predators. Le film est attendu en France pour le 5 novembre 2025, en salles cette fois !

https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... jq9hRwnsQg

[Pale]

Avatar 3 : premiers détails sur la bande-annonce épique et guerrière face aux Na’vis du feu



Avatar 3 : Fire and Ash a présenté sa première bande-annonce au CinemaCon. Les premiers détails sur le film de James Cameron font déjà saliver.

S’il y a bien un line-up qui était attendu au CinemaCon de Las Vegas, c’était celui de Disney. Pas tant pour le remake de Lilo & Stitch ou un énième trailer de Thunderbolts*, mais pour voir (enfin) les premières images d’Avatar 3 : Fire and Ash. James Cameron sait se faire attendre à chaque suite de sa saga multimilliardaire, et c’était d’ailleurs son argument pour excuser son absence lors de l’événement. Dans une petite vidéo, le cinéaste a expliqué être en Nouvelle-Zélande pour fignoler le long-métrage : « Je pense que c’est une bonne utilisation de mon temps, étant donné que ce film arrive sur nous comme un train de marchandises pour le 19 décembre », a-t-il dit en rigolant.

Le réalisateur s’est néanmoins voulu plus solennel par la suite : « j’espère que ce film donnera un coup de boost aux salles de cinéma, qui souffrent encore après l’enchaînement de coups que furent la pandémie et le streaming ». Avatar 3 sera à n’en pas douter le spectacle absolu de Noël, pensé pour le grand écran, la 3D et le HFR. C’est dans ces conditions que le public de la CinemaCon a pu découvrir une première bande-annonce du long-métrage.

Pas de doute, le Peuple des Cendres sera bien l’antagoniste principal de ce nouvel Avatar. Alors que Jake, Neytiri et leurs enfants se cachent toujours auprès des Metkayina pour échapper à la RDA (Resources Development Administration, la corporation humaine bien décidée à prendre le contrôle de Pandora), on nous avait promis la découverte de nouvelles tribus Na’vis, dont la philosophie serait potentiellement différente de celles vues jusqu’à présent. La bande-annonce a justement débuté sur la vision des Windtraders, des marchands nomades qui se déplacent avec des sortes de montgolfières organiques.

Mais face à ces êtres pacifistes, le Peuple des Cendres a été présenté au travers de sa soif de sang. À dos d’ikrans, ils débarquent et déclenchent une attaque aérienne sur le clan des Metkayina. Une flèche est tirée, un Na’vi se fait toucher et meurt. Visiblement, le Peuple des Cendres cherche à déloger le Peuple de l’Eau de leur habitant naturel, déclenchant chez Neytiri (Zoe Saldana) une colère de plus en plus grondante (ce que laissait déjà supposer la fin d’Avatar 2). « On ne peut pas vivre comme ça, mon amour. On ne peut pas vivre avec toute cette haine », lui dit Jake (Sam Worthington).

Une confrontation a été aperçue entre Neytiri et Varang, la cheffe du Peuple des Cendres incarnée par Oona Chaplin. La méchante affirme à l’héroïne que « [sa] déesse n’a aucun pouvoir ici ». Sur la scène du CinemaCon, Zoe Saldana a présenté Varang comme quelqu’un ayant rejeté Eywa (la « conscience » de Pandora).

Mais le plus spectaculaire sera définitivement le climax, qui devrait voir s’affronter les différents clans Na’vis et la RDA dans la bataille du siècle, à la fois sur l’eau, dans les airs et sur Terre. La fin de la bande-annonce a d’ailleurs insisté sur la variété d’environnements visités par les personnages (forêts, montagnes, océans…). Les camps et leurs délimitations, jusque là très évidents, devraient évoluer avec ce troisième volet. On est notamment curieux de voir comment Spider (Jack Champion) va trouver sa place dans le récit (on le voit ici se faire briser son masque à oxygène).

Quoi qu’il en soit, on a très hâte d’en savoir plus, et de foncer en salles le 17 décembre (en France).

https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... XJEO214zgA

[Pale]

[Pale]

[NaughtyDog]

[Pale]

[Pale]

Running Man promet une chasse à l’homme spectaculaire dans les détails de sa bande-annonce



Le public de la CinemaCon a pu découvrir une première bande-annonce du film d’action Running Man avec Glen Powell, et ça promet du grand spectacle.

2025 est encore une très riche année en perspective pour les adaptations de Stephen King au cinéma, puisqu’entre The Monkey d’Oz Perkins (sorti en février), The Life of Chuck de Mike Flanagan et le The Long Walk de Francis Lawrence, pour ne citer qu’eux, une autre adaptation est attendue pour compléter le tableau. Et pas des moindres.

Il s’agit de Running Man, le nouveau film d’Edgar Wright qui arrive quatre ans après Last Night in Soho, et qui sera une fidèle adaptation du roman éponyme. Glenn Powell y incarnera Ben, candidat à un jeu télévisé dont le principe est de survivre à une traque filmée en direct et menée par des chasseurs de primes. D’après les retours sur la bande-annonce dévoilée à la CinemaCon, le film aura pour but de nous en mettre plein les yeux, et c’est tant mieux. Voici des détails sur ces nouvelles images.

L’histoire de Running Man a déjà été racontée, dans les grandes lignes, à plusieurs reprises. L’auteur Robert Sheckley a tout d’abord publié, en 1958, une nouvelle au postulat similaire. Celle-ci a été adaptée par Yves Boisset en 1983 avec Le Prix du Danger, thriller haletant et déprimant avec Gérard Lanvin, Michel Piccoli et Marie-France Pisier. L’année d’avant, Stephen King publiait son Running Man, librement adapté au cinéma par Paul Michael Glaser en 1987, avec Arnold Schwarzenegger dans le rôle principal.

Mais il faut croire que la dystopie autour d’un jeu télévisé meurtrier auquel les candidats participent dans l’espoir de se tirer de la misère est encore pertinente aujourd’hui (sans blague ?), puisqu’Edgar Wright s’apprête à en livrer sa version avec Glen Powell dans le rôle du héros, Josh Brolin dans celui du méchant producteur de télé et Colman Domingo dans celui du présentateur.

Sans surprise, le réalisateur de la trilogie Cornetto et de Baby Driver semble avoir mis l’accent sur le grand spectacle, comme en atteste la description de la bande-annonce (inaccessible au grand public) faite par Discussing Film. Le média précise, par ailleurs, que le tournage a été bouclé il y a seulement quelques semaines, et que les images montrées à la CinemaCon sont donc absolument exclusives et fraîchement pondues.

Celles-ci sont, apparemment, bourrées de scènes d’action et de décors en tous genres. Discussing Film parle notamment d’une séquence de lutte dans le cockpit d’un avion en train de tomber, d’un plan long au cours duquel Powell court pour tenter d’échapper à des assassins (ça sent d’ici la relève de Tom Cruise en pleine démonstration de course façon Ethan Hunt), et une scène où le héros tente de se débarrasser d’une grenade comme d’une patate chaude alors qu’il est coincé dans un ascenseur.

Le présentateur, Bobby Thompson (Colman Domingo, donc), se tient ensuite sur le plateau, devant une version déformée et bleue et blanche du drapeau américain. Extatique, il déclare : “Aux États-Unis, on ne s’emmerde pas avec ce genre de conneries”. Parle-t-il de morale, de droits fondamentaux, de réflexions sur la peine de mort ou le port d’arme ?

Quoi qu’il en soit, les retours sur ces premières images indiquent que Wright s’est amusé à mettre en scène des situations impossibles qui font se demander comment Ben va bien pouvoir se sortir d’un pareil pétrin. L’action prendra-t-elle le pas sur la fable philosophique et politique ? Wright et Powell, qui touchent leur bille en termes d’humour, auront-ils instillé du second degré au grand spectacle ? Ou bien le thriller sombre sera-t-il assumé jusqu’au bout, comme chez Boisset ?

On espère très fort avoir, en France aussi, bientôt accès à des images pour nous donner encore plus envie de découvrir Running Man. La sortie du film sur les écrans français est, pour le moment, fixée au 5 novembre 2025.

https://www.ecranlarge.com/films/news/r ... M77EgLrUFA

Comme d'habitude, toujours hypé par chaque Edgar Wright.

[Wickaël]

Le Master of Horror John Carpenter a (enfin) obtenu son étoile sur le Walk of Fame, tellement mérité.

[ClintReborn]

Le Master of Horror John Carpenter a (enfin) obtenu son étoile sur le Walk of Fame, tellement mérité.

Alors Euh va falloir démonter un MYTHE c'est pas une question de mérite en fait mais uniquement de fric Si un studio décide de mettre une étoile en accord avec la célébrité cela se fera contre 55 000 doillars Eastwood l'a toujours refusé par exemple. le rêve d’Hollywood n'existe pas mais l'égo oui !

Top 10 des stars qui ont refusé d'avoir leur nom sur le Hollywood Walk of Fame
https://www.topito.com/top-stars-refuse-walk-of-fame

[NaughtyDog]

La BO sera mortelle

[Pale]

La BO sera mortelle

Ça a grave de la gueule.

[NaughtyDog]

Techniquement la franchise a toujours été mortelle

Par contre niveau scenar on verra

[Pale]

[Wickaël]

Techniquement la franchise a toujours été mortelle

Par contre niveau scenar on verra

J'avais pas aimé Legacy à sa sortie (je me souviens m'être emmerdé comme pas possible) et jamais vu le premier

[Wickaël]

Top 10 des stars qui ont refusé d'avoir leur nom sur le Hollywood Walk of Fame
https://www.topito.com/top-stars-refuse-walk-of-fame

Certaines stars mentionnées dans l'article n'ont pas refusé leur étoile, faut lire.

Personnellement je trouve ça bien d'avoir son étoile, et la façon de l'avoir m'importe peu. Ça laisse un souvenir de l'artiste et de sa contribution au monde de l'art, quel qu'il soit.

[NaughtyDog]

Techniquement la franchise a toujours été mortelle

Par contre niveau scenar on verra

J'avais pas aimé Legacy à sa sortie (je me souviens m'être emmerdé comme pas possible) et jamais vu le premier

En fait Tron Legacy c'est tres cool pendant 30 min et après c'est chiant (heureusement c'est beau)

[Wickaël]

En fait Tron Legacy c'est tres cool pendant 30 min et après c'est chiant (heureusement c'est beau)

Je pense le revoir et découvrir également le premier sous peu.

[ClintReborn]

Top 10 des stars qui ont refusé d'avoir leur nom sur le Hollywood Walk of Fame
https://www.topito.com/top-stars-refuse-walk-of-fame

Certaines stars mentionnées dans l'article n'ont pas refusé leur étoile, faut lire.

Personnellement je trouve ça bien d'avoir son étoile, et la façon de l'avoir m'importe peu. Ça laisse un souvenir de l'artiste et de sa contribution au monde de l'art, quel qu'il soit.

C'est la même si ils n'en ont rien eu à faire.... Dans un musée du cinéma je dis pas non c'est une véritable reconnaissance de l'artiste et de son travail ... Mais sur un trottoir ou les gens marchent dessus qui est juste une grosse zone de stagnation commerciale de plus bordée par des devantures et recruteurs de sectes comme les scientologues j'ai du mal a y voir le rêve hollywoodien de ce hochet marketing C'est édifiant de voir sur place la réalité de ces étoiles

[Wickaël]

C'est la même si ils n'en ont rien eu à faire.... Dans un musée du cinéma je dis pas non c'est une véritable reconnaissance de l'artiste et de son travail ... Mais sur un trottoir ou les gens marchent dessus qui est juste une grosse zone de stagnation commerciale de plus bordée par des devantures et recruteurs de sectes comme les scientologues j'ai du mal a y voir le rêve hollywoodien de ce hochet marketing C'est édifiant de voir sur place la réalité de ces étoiles

[ClintReborn]

Je trouve toujours ça amusant de démystifier les choses avec l'envers du décor

[Wickaël]

Tu passes beaucoup trop de temps sur internet.

[Pale]

[Pale]

[Pale]

Vu :



C'est assez instructif (le film parle du mouvement khmer rouge au Cambodge) et même si ça se regarde sans problème, ça devient un peu soporifique sur la durée.



Beaucoup aimé, c'est ce genre de film qui laisse un peu dubitatif sur le moment mais qui mûrit très bien par la suite. Tout est dans l'ambiance et la manière dont les thèmes sont développés, c'est un film assez stimulant.



La première partie laisse espérer un bon thriller mais certaines tournures scénaristiques et les (énormes) facilités peinent à convaincre par la suite. Au final c'est juste moyen.



En général je suis bon public pour les grosses productions mais c'est un des films les plus nuls que j'ai vu ces dernières années. Techniquement parlant c'est pas trop mal mais l'humour (incroyablement gênant), l'histoire, les dialogues et les personnages sont aberrants +++.



C'te blague quand même cette pluie de récompenses pour ce film. En vrai j'ai pas détesté mais j'ai que très moyennement apprécié. Si un film pouvait définir le mot hystérique, ce serait ce film haut la main. C'est une cacophonie effrénée parfois à la limite du supportable où l'on se tape une galerie de personnages plus antipathiques les uns que les autres et qui ne font que geindre et hurler. D'un autre côté, c'est suffisamment bien rythmé pour qu'on n'ait pas trop le temps de s'ennuyer et à la limite j'ai apprécié la petite histoire qui se dessine dans la grande histoire à savoir le rapprochement entre Anora et Igor. Mais voilà c'est pas un film qui va me laisser un souvenir impérissable et je ne dis pas cela pour aller à l'encontre de la critique, j'aurais dit exactement la même chose si ça avait été un film passé totalement inaperçu.



Moyennement apprécié cette comédie sur fond de mafia. La première partie n'est pas terrible, l'humour est lourd mais il y a quand même un retournement de situation qui fait que la seconde partie devient un peu plus intéressante et trépidante mais c'est pas dingue pour autant.

[Pale]

Mon programme ciné du week-end prochain :





Peut-être :





Warfare et Death Of A Unicorn sortent en Belgique ce 9 avril mais je ne sais pas encore si mon ciné les diffusera.

Piégé et The Amateur ne me donnent pas plus envie que ça pour le moment. Le second a l'air d'être un thriller ultra classique.

[Pale]

[Pale]