Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Deux nouvelles images de Fear Street: Prom Queen :

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3389
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a moyennement apprécié Piégé (2,5 étoiles) :

Image

Le film argentin 4×4 de 2019 a déjà eu droit à trois remakes étrangers, dont le dernier est Piégé, réalisé par David Yarovesky et porté par Bill Skarsgård et Anthony Hopkins. Malheureusement, si le film a de bons arguments pour nous faire embarquer, dont la présence de Sam Raimi à la production, le récit peine à passer la seconde, encombré par son propre concept. En salles dès le 9 avril 2025.

UN SAW DANS LE VIDE


Les gens coincés dans une voiture est un concept qui revient de plus en plus souvent au cinéma (Detour, En plein feu, Centigrade, Curve, Lost Identity), qui plus est depuis le film argentin 4×4 de 2019 qui a déjà eu droit à trois remakes étrangers, dont le dernier est Piégé.

On comprend sans mal que l’idée ait fait du chemin, le postulat étant franchement amusant : un voleur veut braquer une voiture de luxe, mais se retrouve enfermé à l’intérieur, à la merci du propriétaire cinglé et décidé à se venger. En d’autres termes, la promesse d’un cauchemar claustrophobe bien sadique, quelque part entre Saw, Buried et Phone Game.

Malheureusement, Piégé n’a ni la violence graphique de l’un, ni la tension anxiogène et crescendo des deux autres. L’histoire ne manque pourtant pas d’idées pour torturer et humilier à distance le personnage de Skarsgård : tasers planqués dans les sièges, chauffage ou climatisation à fond, privation de nourriture, musique infernale qui tourne en boucle et appels incessants de son bourreau (qu’il ne peut pas refuser). Le tout dans un endroit exigu entièrement coupé du reste du monde.

Avec les plans serrés, le jeu affligé de l’acteur principal, le ton narquois d’Anthony Hopkins et la déclinaison du supplice de Tantale (via un panneau publicitaire et un toit panoramique), la première demi-heure passe plutôt bien, même si on peut regretter que les désagréments dont le protagoniste est victime se succèdent les uns aux autres, mais ne s’accumulent pas, comme sa blessure à la jambe qui est rapidement soignée, sans aggravation de son état.

Assez vite, le film semble avoir fait le tour de son concept et abandonne donc son minimalisme et son inertie de départ. Le récit passe alors en pilotage automatique pour enchainer les péripéties alambiquées jusqu’au face-à-face faussement tendu avec Hopkins et la conclusion franchement mièvre avec rédemption obligatoire à la clé.

« LES RICHES SONT TARÉS », ÉPISODE N°1625

Dans Piégé, la tension est censée s’installer durant les dialogues entre les deux personnages. Et s’il y a beaucoup de dialogues, la plupart sont inconsistants et se contentent d’opposer un riche boomer vigilante à un délinquant malgré lui, le film s’appliquant à faire d’Hopkins un vrai cinglé dont l’illégitimité ne peut pas être remise en question (même avec une fille morte comme excuse), et de Skarsgard un pauvre bougre contre qui se l’univers entier s’est ligué.

Ce dernier est donc aussi sympathique que pathétique, mais aucunement ambivalent. La preuve, il aime très fort sa fille qui aime aussi très fort son papa déficient…

Piégé apparait de fait comme une version beaucoup plus manichéenne du film original qui appuyait bien moins la paternité ratée du séquestré et en faisait en comparaison un personnage moins aimable. En résulte ici un discours politique simpliste, pareil à « La sociologie pour les nuls ». Et ce n’est pas en citant Dostoïevski que le propos gagne en épaisseur ou en subtilité, au contraire.

Surtout que le message est abandonné au bord de la route dès qu’Anthony Hopkins entre dans le véhicule, faute de savoir quoi en faire d’intéressant ou d’un minimum intelligent. Restent donc quelques idées ludiques, globalement empruntées au matériau d’origine, et un duo d’acteurs qui fonctionne plutôt bien pour le peu qu’on leur demande de jouer.

Piégé est un film à concept qui, passé ses séquences de torture plutôt marrantes, ne sait plus trop quoi faire de son concept ni de son propos socio-politique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... PIRaDmU2_g
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Le box-office français de la semaine :

Image

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... xGyfaWiUSg
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 1091
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

Image

Vu cette première saison en 2 soirées (8 épisodes d'environ 30 minutes chacun). Très sympa, pas vraiment le temps de s'ennuyer. Un mélange entre Ash vs Evil Dead et Supernatural. C'est parfois bien gore. Le seul reproche que j'aurais à faire c'est le peu d'épisodes à se mettre sous la dent. 7/10
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Vu :

Image

J'ai adoré ce film d'horreur old school qui ressemble à des films d'horreur d'antan un peu comme Chucky avec ici une araignée mutante à la place d'une poupée tueuse. Les effets spéciaux ne sont pas forcément dingues mais c'est dans l'esprit du truc et même si on n'est pas chez Sam Raimi il y a de bons mouvements de caméra. Le réalisateur prend également son temps pour développer quelques bons personnages sans trop en faire.

Image

Comédie sortie au début des années 90, j'avoue que je m'attendais à mieux. C'est très sympa mais l'histoire devient répétitive à la longue. Par contre j'ai apprécié l'ambiance d'époque (ça se déroule dans les années 60) et on ressent bien l'esprit de camaraderie et d'amusement durant les vacances d'été.

Image

Très heureux d'avoir pu découvrir ce film en salle. C'est un très bon film de guerre, c'est immersif et stressant (le film joue bien sur l'attente, on a toujours peur qu'une balle jaillisse de nulle part). Il manque un petit quelque chose au niveau de l'affect pour que je sois transcendé à 100% (comme je l'ai été devant Civil War) mais c'est quand même très bon.

Image

J'ai particulièrement apprécié la première partie, ici aussi l'ambiance et la reconstitution d'époque (début des années 90) sont très bonnes. Pas mal de longueurs par la suite mais il y a toujours ici et là des moments qui interpellent. Je ne sais pas si c'est moi mais l'ambiance et l'histoire m'ont parfois fait penser au film The Place Beyond the Pines ^^
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mon programme ciné du week-end prochain :

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

J'ai également vu :

Image

Difficile de ne pas être impressionné par le dispositif de mise en scène de la série, j'avoue que j'ai trouvé celle-ci bluffante. Concernant l'histoire, il y a des trucs qui paraissent forcés à certains moments mais ça mérite le détour malgré tout, difficile de rester insensible face à l'ensemble.
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 1091
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

J'ai decouvert hier soir Willow.

Bon film d'aventure/fantasy, j'ai beaucoup aimé l'univers qui m'a fait pensé un peu à Tolkien. Certains FX ont pris un coup de vieux mais dans l'ensemble c'est très bien, surtout pour l'époque. Après l'histoire est intéressante et les personnages également, on suit avec plaisir la quête de Willow. Et Val Kilmer en Madmartigan est drôle et attachant. 7/10

RIP également à l'interprète de la Reine Bavmorda, Jean Marsh, dont je viens d'apprendre le décès.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Wickaël a écrit : dim. 13 avr. 2025 19:58 J'ai decouvert hier soir Willow.

Bon film d'aventure/fantasy, j'ai beaucoup aimé l'univers qui m'a fait pensé un peu à Tolkien. Certains FX ont pris un coup de vieux mais dans l'ensemble c'est très bien, surtout pour l'époque. Après l'histoire est intéressante et les personnages également, on suit avec plaisir la quête de Willow. Et Val Kilmer en Madmartigan est drôle et attachant. 7/10

RIP également à l'interprète de la Reine Bavmorda, Jean Marsh, dont je viens d'apprendre le décès.
Ah Willow, rien que les premières notes de cette musique me transportent déjà :

Avatar du membre
Cocu
Messages : 2468
Enregistré le : mar. 14 juil. 2020 21:15

Wickaël a écrit : dim. 13 avr. 2025 19:58 J'ai decouvert hier soir Willow.
Va falloir que je le regarde un jour :D
Pouet
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 1091
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

Pale a écrit : dim. 13 avr. 2025 20:15 Ah Willow, rien que les premières notes de cette musique me transportent déjà :

Oui j'ai oublié de toucher un mot sur la BO, James Horner a fait du très beau boulot. D'ailleurs on retrouve des similitudes dans le morceau que tu as posté et dans la musique du film Avatar, je crois que c'est la scène de l'Arbre Maison...
Avatar du membre
Kit
Messages : 9348
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

Cocu a écrit : dim. 13 avr. 2025 21:18
Wickaël a écrit : dim. 13 avr. 2025 19:58 J'ai decouvert hier soir Willow.
Va falloir que je le regarde un jour :D
je l'ai revu avec plaisir il y a quelques jours en hommage à Val Kilmer
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

The Smashing Machine : Dwayne Johnson est méconnaissable sur les nouvelles images de tournage

Image

De nouvelles images de tournage du film de Benny Safdie, The Smashing Machine, ont été dévoilées avec Dwayne Johnson encore plus méconnaissable.

Dwayne Johnson commence à se racheter une carrière au cinéma après l’échec de Black Adam (ce fameux film censé changer la « hiérarchie du pouvoir chez DC »). Certes, le fait que son dernier rôle en date soit dans l’abominable film de Noël Red One rend l’affirmation un peu cocasse, comme le fait qu’il sera prochainement à l’affiche du remake en prises de vues réelles de Vaiana et, si, tout se passe « bien », du prochain Fast & Furious 11.

L’acteur et catcheur ajoutera toutefois deux lignes plus nobles que les autres à son CV, la première étant le film de Martin Scorsese sur la mafia hawaïenne actuellement en développement. Le reste du casting devrait comprendre Leonardo DiCaprio et Emily Blunt. Actrice qu’il pourrait donc retrouver après Jungle Cruise et surtout The Smashing Machine, le biopic de Benny Safdie sur le champion de MMA Mark Kerr, qui a terminé son tournage l’été dernier et sortira en octobre prochain. Il s’agira ainsi du premier film indépendant de l’acteur depuis le méconnu Southlands Tales de 2007, et peut-être même de son premier « rôle à Oscar ».

Deux nouvelles photos du tournage de The Smashing Machine ont été dévoilé et The Rock y est méconnaissable.

Une première image de Dwayne Johnson dans The Smashing Machine avait déjà été dévoilée en mai 2024, laissant apparaitre un Dwayne Johnson transformé (comprenez, maquillé et avec des cheveux). Deux autres photos de tournage ont plus récemment été partagées sur Instagram par le vrai Mark Kerr, également scénariste du film avec Safdie, où la métamorphose physique de The Rock est encore plus flagrante.



Le scénario de The Smashing Machine devrait revenir sur son ascension en tant que champion UFC, mais aussi ses problèmes d’addiction aux opioïdes. Le reste du casting comprendra Emily Blunt, qui incarnera Dawn Staples (l’épouse de Kerr), ainsi que Whitney Moore et plusieurs anciens combattants et/ou cascadeurs-acteurs, tels que James Moontasri, Andre Tricoteux, Bas Rutten (qui jouera son propre rôle), Paul Lazenby ou encore Yoko Hamamura .

Le film sortira au cinéma le 29 octobre prochain en France, tandis que le remake de Vaiana sortira le 8 juillet 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... KcBCrTnODA
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
robinne
Messages : 6753
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : dim. 13 avr. 2025 17:51 Image

Très heureux d'avoir pu découvrir ce film en salle. C'est un très bon film de guerre, c'est immersif et stressant (le film joue bien sur l'attente, on a toujours peur qu'une balle jaillisse de nulle part). Il manque un petit quelque chose au niveau de l'affect pour que je sois transcendé à 100% (comme je l'ai été devant Civil War) mais c'est quand même très bon.
Toujours pas de date pour la France :sarcastic:
Et IMDB n'est pas à jour, car pas de date de sortie pour la Belgique : https://m.imdb.com/fr/title/tt31434639/ ... tt_dt_rdat
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Le box-office français de la semaine :

Image

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... WTVMpgyszg
Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3389
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Image


Sinners est excellent pendant 1h15, via une fabrication/melancolie/reconstitution/presentation de personnages surprenante de maîtrise dans ce Mississipi sous Jim Crow.

Ryan Coogler met tout : post-western, film de gangsters, chronique historique à la Steve McQueen/Spike Lee et tout le cast est excellent (la double perf de Michael B Jordan, Wunmi, Delroy Lindo, Hailee, le nouveau Miles Caton...) avant de basculer dans la pure série B vampirique.

Sur ce point c'est efficace, graphique mais finalement peu surprenant via les references citées (Rodriguez et Carpenter en tête), jusqu'à un climax un peu trop vite expédié à mon goût.

Pourtant, derrière ce mariage des genres se cache une voix distincte dans le paysage blockbusteresque contemporain, traitant avant tout des traumas d'une Amérique bâtie sur des vents migratoires contrariés, et où l'assimilation semble l'unique issue pour panser ses plaies. Coogler retrouve encore son comparse Ludwig Goransson (un 3e Oscar ?) pour une dimension musicale enivrante, céritable déclaration d'amour pour le blues et la musique folklorique dans son ensemble.

Je retiens d'ailleurs 2-3 séquences dingues de pure transe musicale (dopée par le format Imax et du plan séquence), et toute la bascule vers le survival horrifique conjuguant séquences charnelles et spiritualité questionnée.

Du beau film de genre en somme (j'aurai adoré voir Jordan Peele là dessus, nul foute qu'il aurait poussé le concept plus loin)

7.5/10
Avatar du membre
robinne
Messages : 6753
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mer. 16 avr. 2025 16:47 Image

Image
Et ce film est inspiré du roman Vineland de Thomas Pynchon ?
Je ne m'attendais pas à autant de violence :ouch:

Wikipedia annonce 140 M$ de budget :eek:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_batai ... cite_ref-4
C'est le salaire de Leo ?? :??:
Modifié en dernier par robinne le mer. 16 avr. 2025 23:11, modifié 1 fois.
Avatar du membre
robinne
Messages : 6753
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mer. 16 avr. 2025 21:15 Image
Aucun de ces 10 films n'a eu le privilège de m'avoir comme spectateur :o
NaughtyDog a écrit : mer. 16 avr. 2025 22:00 Image
Sinners [...]
7.5/10
J'y vais vendredi soir :sol:
Avatar du membre
ClintReborn
Messages : 5146
Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
Localisation : Avalon

robinne a écrit : mer. 16 avr. 2025 23:07
Pale a écrit : mer. 16 avr. 2025 16:47 Image

Image
Et ce film est inspiré du roman Vineland de Thomas Pynchon ?
Je ne m'attendais pas à autant de violence :ouch:

Wikipedia annonce 140 M$ de budget :eek:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_batai ... cite_ref-4
C'est le salaire de Leo ?? :??:
En effet c'est bien le budget Léo ! Car comme tu le vois sur les photos le budget chemises usagées à 3 dollars pièce était plutôt serré (ils ont eu le lot) et ils avaient même pas de coiffeurs sur place ! C'est le tonton du producteur qui a fournit les armes air soft le fusil de léo est déjà pété sur l'image regarde bien et la mitrailleuse avec la fausse bande de balles collées n'a surement pas survécu de la façon dont elle la tient c'est du zarmac pété au centre, le réalisateur a du roulé dessus avec son 4x4 noir avant le tournage :o :lol: Bref pas de budget on pourrait même sentir l'odeur du stand de bouffe macdo en arrière plan :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : mer. 16 avr. 2025 23:07 Je ne m'attendais pas à autant de violence :ouch:

Wikipedia annonce 140 M$ de budget :eek:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_batai ... cite_ref-4
C'est le salaire de Leo ?? :??:
Il y a beaucoup d'action apparemment, dont une immense poursuite en voiture d'où ce budget.

Extrait d'un ancien article de EL :

"One Battle After Another avait été montré lors de projections tests en janvier dernier. Les premiers échos parlaient d’une « grosse comédie d’action » avec un spectacle « assez fou », contenant « beaucoup d’action et de poursuites en voiture »"
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39



J'évite de le regarder vu qu'il s'agit du 84ème trailer.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a aimé Sinners (3,5 étoiles) :

Image

Jeune cinéaste remarqué grâce au film engagé Fruitvale Station, Ryan Coogler a très vite été coopté par l’industrie hollywoodienne, qui lui a confié le spin-off de Rocky alias Creed et bien sûr la saga Marvel Black Panther. Fort du succès des trois films, qui ont eu un impact culturel indéniable aux Etats-Unis, il revient à un projet plus modeste. Du moins en principe, car Sinners aurait coûté la modique somme de 90 millions de dollars et donne encore des suées froides à Warner au moment où sont écrites ces lignes. Une sacrée somme pour un film de vampire dont une bonne partie se déroule en huis-clos, avec Michael B. Jordan dans un double rôle, Hailee Steinfeld et Miles Caton. En salles depuis le 16 avril.

APPROPRIATIONS CULTURELLES


La presse américaine a réservé un accueil très chaleureux à Sinners. Ce n’est pas surprenant : non seulement elle a toujours soutenu le réalisateur, au point de faire passer le navet Black Panther pour un chef-d’œuvre politique et populaire (on ne s’en remet toujours pas), mais ce nouveau film correspond à son idée du blockbuster fantastique idéal. À savoir un slow-burner tourné en 70mm dont l’argument surnaturel est avant tout une métaphore sociale.

Et dans le genre, Sinners est effectivement de haute volée. Consacrant presque une heure à l’introduction de chacun de ses protagonistes, Coogler croque un Mississippi des années 1930 crépusculaire, où la ségrégation et le terrorisme du Ku Klux Klan pèsent sur une population entière. Techniquement convaincant, surtout quand il case dans le même plan deux Michael B. Jordan, il laisse ainsi l’espace aux comédiens – tous très bons – pour incarner chaque facette de la communauté, au cœur des enjeux. Une communauté qui va se rassembler quand deux frangins ex-gangsters décident de créer un club de blues.

La métaphore en question, elle, apparait clairement au cœur du film, lorsque la soirée d’inauguration bat son plein. Au gré d’un plan-séquence encore une fois assez virtuose, Coogler explicite, expose même, son sujet : la culture noire passée, présente et future, s’épanouissant justement dans la ferveur d’un club de blues paumé au beau milieu d’une région, d’un pays absolument raciste. La musique qui « attire le diable », c’est bien cette culture atypique, que la société blanche dominante aimerait bien accaparer.

Évidemment, quand les monstres débarquent, c’est pour littéralement vampiriser la musique noire, ceux qui en profitent et ceux qui en jouent. Heureusement, grâce à son rythme lancinant et au soin apporté à la caractérisation, le scénario densifie un peu le parallèle, ajoutant dans la mixture la religion catholique, déjà un joug américain, et les perspectives individuelles des personnages, dont la personnalité, les particularités et les contradictions ne sont pas pour autant éclipsées.

VAMPIRE, VOUS AVEZ DIT VAMPIRE ?

Malin et nuancé dans sa description d’une guerre culturelle toujours d’actualité (y compris en France), Sinners est indéniablement bien écrit et mis en scène. Du moins jusqu’au moment de rentrer dans le lard de ses morts-vivants. C’est à vrai dire le gros défaut de la plupart des productions du même style : les antagonistes sont principalement des symboles, voire de simples outils au service d’une démonstration.

Non pas que les effets spéciaux soient ratés ni que le mythe soit sous-exploité. Au contraire, le cinéaste fait bon usage de son gros budget et parvient – si tant est que ce soit encore possible – à se réapproprier les codes surexploités du vampire. La nécessité d’une invitation pour rentrer dans une habitation, par exemple, est primordiale : les prédateurs qu’il met en scène ont besoin qu’on leur ouvre les portes pour gommer l’identité de ses proies.

En revanche, lorsque l’affrontement devient inévitable, il se contente d’un plan au ralenti et d’une séquence de chaos vite expédiée. Tout entier centré sur son propos et sa gigantesque métaphore, aussi pertinente soit-elle, Sinners est assez chiche en frissons. Ou plutôt, il n’a que faire de la baston pourtant annoncée, dans la grande tradition de l’horreur friquée, théorique et un peu snob, la seule capable de pénétrer les cérémonies de récompense et mettre d’accord la presse américaine.

Ce qu’il représente le mieux, c’est plutôt la musique. Tombant complètement à plat dans son dernier acte, Sinners comporte avant ça de véritables instants de grâce fantastiques, lorsqu’il se perd dans la sueur et l’extase du blues ou, plus marquant encore, dans une danse démoniaque qui envahit le cinémascope, avec en guise de fil rouge sang la superbe partition de Ludwig Göransson. À cet instant et à cet instant seulement, la viscéralité se mêle à l’allégorie politique, l’horreur se déploie complètement.

Rien que pour ça, le film oblitère les produits de franchises préfabriqués face auxquels il risque malheureusement de s’incliner au box-office. Car, malgré ses défauts, des blockbusters originaux de cette trempe, on ne va pas en voir beaucoup cette année.

Un blockbuster un poil trop théorique pour son propre bien, mais qui comporte des moments de cinéma tels qu’Hollywood a cessé d’en produire depuis belle lurette désormais.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 9NocpRvgZw
Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3389
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Avatar du membre
Next
Administrateur du site
Messages : 8820
Enregistré le : mar. 14 juil. 2020 10:30

Donne sacrément envie celui-ci !
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

La fameuse comédie de science-fiction dans laquelle les machines se retournent contre les humains durant le réveillon de l'an 2000. J'ai apprécié malgré des réserves. Le concept est sympa et je me suis marré à de nombreuses reprises mais le côté SF n'est pas assez développé, en même temps il y a un espèce de je-m'en-foutisme qui transparait où tout est sujet à la blague, ce qui intéresse davantage le réalisateur c'est les scènes à base de défonce.

Image

Thriller dont l'intrigue est quand même pas mal tirée par les cheveux et comprenant son lot d’invraisemblances mais je n'ai pas passé un mauvais moment pour autant. Il y a un côté thriller domestique à l'ancienne et le tout est parsemé de rebondissements.

Image

Ma préférence va toujours pour Creed mais ce nouveau Ryan Coogler n'en reste pas moins excellent. On sent que cet univers tient à cœur le réalisateur, un peu trop d'ailleurs si on prend en compte certaines longueurs, notamment à la fin. Mais ça ne gâche en rien le plaisir que j'ai ressenti devant ce beau morceau de cinéma. La reconstitution et l'ambiance sont excellentes, le réalisateur prend son temps pour exposer ses personnages et c'est peut-être la partie que j'ai préféré. La partie horrifique est très bonne aussi, le réalisateur prend son temps pour construire ses scènes en y injectant ce qu'il faut de tension. Dommage que le climax soit si vite expédié à mon gout sans compter une certaine illisibilité. Comme je disais plus haut, le réalisateur veut parfois trop en faire à certains moment et on n'évite pas certaines lourdeurs ici et là. Sinon les conditions optimales sont primordiales pour profiter du son, j'avoue que musicalement parlant le film envoie du très lourd.

Image

Une immense surprise que ce Cuckoo qui vaut principalement pour son ambiance démentielle et qui rappelle parfois le giallo italien des grandes heures. Au-delà de ça, ce thriller horrifique m'a tenu en haleine du début à la fin. L'histoire est folle et la tension ne fait que s'intensifier jusqu'à un final dingue. Bref j'ai adoré.

Image

Après avoir découvert Leurs enfants après eux le week-end dernier, on peut se rendre compte du gouffre qui règne entre les frères Boukherma et Gilles Lellouche niveau talent. J'ai beaucoup de sympathie pour Lellouche mais son film n'arrive pas à la cheville de Leurs enfants après eux. Si je fais la comparaison, c'est parce que les deux films comptent pas mal de similitudes. Bref, j'ai que très moyennement apprécié L'Amour ouf où la durée se fait énormément ressentir. Je n'ai cru en rien ou presque. A la limite j'ai apprécié les versions jeunes des deux personnages principaux donc bravo aux deux jeunes acteurs mais pour tout le reste, je n'y ai vu que du cabotinage et les dialogues sont pour la plupart insignifiants et neuneus.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mon programme ciné du week-end prochain :

Image

Image

Image

Image

En VOD :

Image

Image

Heureusement que mon week-end prochain est très long ^^
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Pale a écrit : dim. 20 avr. 2025 23:57 Mon programme ciné du week-end prochain :

Image

Image

Image

Image

En VOD :

Image

Image

Heureusement que mon week-end prochain est très long ^^
Malheureusement La Légende d'Ochi ne sort pas dans le cinéma français à proximité de chez moi.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Je découvre ce petit classique des années 90. À l'époque j'aimais beaucoup la jaquette du film avec cette posture de Andy García. C'est un bon film de gangsters même si l'élément déclencheur est assez faible, ce qui rend certains points de l'intrigue à venir moyennement convaincants. Cela dit le film dispose d'une excellente performance de la part de tous les acteurs et d'une bonne ambiance contenant son lot de tension et de mélancolie.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39





Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3389
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Mon.attente numero 1 de l'été
Avatar du membre
Pale
Messages : 11188
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

:hot:
Répondre