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Bah si t'aimes pas le 1er peu de chances que tu aimes le second à mon avis

Vu beetlejuice 2.
Je precise je n'ai pas accroche au premier film car ma decouverte du personnage de Beetlejuice c'est fait par la serie animée que j'ai toujours trouver genial enfant.
Et quand j'ai vu le film pour la premiere fois j'étais adulte et j'ai été extremement decu car le film n'est pas un film sur Beetlejuice mais sur le couple Maitland.
Du coup j'étais voir celui là avec beaucoup de reserve et pourtant j'adore les films de Tim Burton tel Sleepy Hollow, Mars Attacks, Edward aux mains d'argent, Sweeney Todd, Dark Shadows...
Et là encore une fois decu mais cette fois ci pas à cause de l'absence de Beeltejuice non là il est tres present mais à cause des personnages. Il y en a trop du coup on a 4 à 5 sous intrigue en même temps et du coup le film part dans tout les sens et toute les resolutions finales sont expedie en deux temps trois mouvements.
Tim et ses scenaristes se serait concentré sur la seule intrigue pour moi la plus interresant celle sur Astrid jouer par Jenna Ortega et ca relation avec sa mere jouer par Winona Ryder ca aurait suffit.
Au niveau technique par contre faire à l'ancienne c'est tres bien. Et l'ambiance est toujours là.
Mais malheuresement pour moi je n'accroche toujours pas à ces films car trop vu la serie animé dans mon enfance et qui m'avait marqué.
Dommage

Vu ce soir...
C'était pas fameux.
J'aurai dû m'en tenir à la promesse que je m'étais faite il y a à peu près 20 ans (suite au visionnage de Big Fish): ne retourne plus au cinéma voir un film de Tim Burton.
Le gars est finito, il n'a plus rien à dire et son univers tourne en rond. Ce Beetlejuice 2 ne déroge pas à la règle, c'est particulièrement poussif en terme de scénario (ça part dans tous les sens pour aboutir à une conclusion d'une fainéantise absolue). La mise en scène est fonctionnelle (pour être poli), les personnages sont inintéressants,... Reste le plaisir de revoir Michael Keaton dans le rôle de ce protagoniste qu'on adore détester, quelques effets pratiques bien sentis et un humour noir pas trop édulcoré. Mais ça pèse pas bien lourd dans la balance des points positifs.

Gekko a écrit : ↑ven. 4 oct. 2024 23:35J'aurai dû m'en tenir à la promesse que je m'étais faite il y a à peu près 20 ans (suite au visionnage de Big Fish): ne retourne plus au cinéma voir un film de Tim Burton.

Big Fish, l’un des films les plus surestimés des années 2000. Je n’en croyais pas mes yeux quand je lisais la presse et les avis sur AlloCiné, entre autres.

Pile-Poil a écrit : ↑sam. 5 oct. 2024 01:32

Gekko a écrit : ↑ven. 4 oct. 2024 23:35J'aurai dû m'en tenir à la promesse que je m'étais faite il y a à peu près 20 ans (suite au visionnage de Big Fish): ne retourne plus au cinéma voir un film de Tim Burton.

Big Fish, l’un des films les plus surestimés des années 2000. Je n’en croyais pas mes yeux quand je lisais la presse et les avis sur AlloCiné, entre autres.

Une merveille de conte ce Big fish. Vu beaucoup de fois, ça prend jamais une ride, il y a tjrs des niveaux de lecture différent, des facons d'appréhender l'histoire et les personnages différemment, des acteurs au top, une Real à la fois sombre et lumineuse.
J'oserais presque dire que c'est mon Burton préféré

Je l’ai vu aussi ce Beetlejuice Beetlejuice. Perso, je suis assez réjoui de voir Burton revenir à l’esprit bricolé de ses premiers films et donc de son premier Beetlejuice, surtout quand ça lui permet de se montrer aussi inventif et généreux. Il y a un effet de trop plein dans la seconde moitié avec de multiples intrigues qui évoluent en parallèle et se télescopent parfois effectivement mais Burton se lâche tellement qu’il est difficile de bouder son plaisir pour ma part. C’est son meilleur film depuis 15 - 20 ans à mes yeux (si ce n’est plus - je n’ai jamais été fan de Big Fish, je dirais que c’est à partir de celui-ci qu’il s’embourgeoise pour de bon en commençant par rentrer dans une logique de mélo / grosse production hollywoodienne bien sirupeuse, même si le film possède quelques belles saillies).

Pile-Poil a écrit : ↑sam. 5 oct. 2024 01:32

Gekko a écrit : ↑ven. 4 oct. 2024 23:35J'aurai dû m'en tenir à la promesse que je m'étais faite il y a à peu près 20 ans (suite au visionnage de Big Fish): ne retourne plus au cinéma voir un film de Tim Burton.

Big Fish, l’un des films les plus surestimés des années 2000. Je n’en croyais pas mes yeux quand je lisais la presse et les avis sur AlloCiné, entre autres.

Ce n'est pas ce qu'il a fait de pire, mais disons que c'est à partir de ce moment là où il se caricature et que je ne trouve plus de satisfaction à découvrir son univers.
Beaucoup diront que sa chute commence à partir de son remake de La planète des singes, pour moi c'est Big fish car ce film, n'a pas l'excuse de la commande de studio hyper calibrée !

Une suite qui se suit sans déplaisir, plus délurée que les précédentes réalisations de Burton mais toujours pas au niveau de ses premières œuvres.

Comme pour le premier volet, le principal intérêt réside dans la prestation hallucinée de Michael Keaton en esprit frappeur qui, tel un toon sous acide, peut s'affranchir des conventions cinématographiques. Je me suis d'ailleurs dit en voyant cette suite que Beetlejuice était un peu le Deadpool originel !

Tout ce qui touche à l'Au-delà est plutôt drôle et enlevé, avec un recours aux effets pratiques qui fait effectivement plaisir à voir. C'est surtout la partie se déroulant dans le monde des vivants qui pèche par sa paresse : scénario robotique qui coche toutes les cases de la suite tardive, humour médiocre, photographie impersonnelle... Des passages qui auraient pu être mis en boîte par n'importe quel autre réal tant on peine à y retrouver la patte de Burton.

Le film souffre également d'un surplus de sous-intrigues qui ne mènent nulle part, à l'image des personnages joués par Monica Bellucci et Willem Dafoe.

En bref : pas une franche réussite, mais pas une immonde daube non plus.

Kahled a écrit : ↑sam. 5 oct. 2024 10:55 Je l’ai vu aussi ce Beetlejuice Beetlejuice. Perso, je suis assez réjoui de voir Burton revenir à l’esprit bricolé de ses premiers films et donc de son premier Beetlejuice, surtout quand ça lui permet de se montrer aussi inventif et généreux. Il y a un effet de trop plein dans la seconde moitié avec de multiples intrigues qui évoluent en parallèle et se télescopent parfois effectivement mais Burton se lâche tellement qu’il est difficile de bouder son plaisir pour ma part.

Je suis assez d'accord avec ça. Burton a réussi à bien retrouver l'allant et l'ambiance du premier, comme si les 40 ans qui séparent les deux épisodes ne s'étaient pas écoulés. Et utiliser des effets spéciaux de cette période était le meilleur choix à faire, il n'est pas pour rien dans cette réussite d'avoir créé cette sensation de continuité. Et tous ses personnages sont réussis, avec toujours une bonne tonalité caustique animant nombre d'entre eux (Jeremy, Rory, Delia...). Le vrai problème est qu'il a du mal à exploiter à fond toutes les (trop) nombreuses sous-intrigues, surtout vers la fin, le personnage de Delores la mangeuse d'âme étant certainement le plus sacrifié, alors que son potentiel était très grand.

aureliagreen a écrit : ↑dim. 6 oct. 2024 23:07

Kahled a écrit : ↑sam. 5 oct. 2024 10:55 Je l’ai vu aussi ce Beetlejuice Beetlejuice. Perso, je suis assez réjoui de voir Burton revenir à l’esprit bricolé de ses premiers films et donc de son premier Beetlejuice, surtout quand ça lui permet de se montrer aussi inventif et généreux. Il y a un effet de trop plein dans la seconde moitié avec de multiples intrigues qui évoluent en parallèle et se télescopent parfois effectivement mais Burton se lâche tellement qu’il est difficile de bouder son plaisir pour ma part.

Je suis assez d'accord avec ça. Burton a réussi à bien retrouver l'allant et l'ambiance du premier, comme si les 40 ans qui séparent les deux épisodes ne s'étaient pas écoulés. Et utiliser des effets spéciaux de cette période était le meilleur choix à faire, il n'est pas pour rien dans cette réussite d'avoir créé cette sensation de continuité. Et tous ses personnages sont réussis, avec toujours une bonne tonalité caustique animant nombre d'entre eux (Jeremy, Rory, Delia...). Le vrai problème est qu'il a du mal à exploiter à fond toutes les (trop) nombreuses sous-intrigues, surtout vers la fin, le personnage de Delores la mangeuse d'âme étant certainement le plus sacrifié, alors que son potentiel était très grand.

Oui le personnage de Bellucci est malheureusement beaucoup trop sous-exploité alors qu’il y avait matière à en faire une véritable antagoniste en jouant sur son côté mante religieuse. Ca m’a un peu déçu pour le coup.