NaughtyDog a écrit : ↑mer. 6 nov. 2024 20:01
Décidément ce dénigrement de Zemeckis doit cesser
Nouvelle réussite que ce Here, [...] évidemment à ne pas manquer !
7/10

NaughtyDog a écrit : ↑mer. 6 nov. 2024 20:01
Décidément ce dénigrement de Zemeckis doit cesser
Nouvelle réussite que ce Here, [...] évidemment à ne pas manquer !
7/10
Je suis allé le voir aujourd'huirobinne a écrit : ↑jeu. 7 nov. 2024 08:12NaughtyDog a écrit : ↑mer. 6 nov. 2024 20:01
Décidément ce dénigrement de Zemeckis doit cesser
Nouvelle réussite que ce Here, [...] évidemment à ne pas manquer !
7/10![]()
Je te trouve dur... surtout pour un film d'un réalisateur qui a 94 ans.ConFucKamus a écrit : ↑ven. 1 nov. 2024 19:49Je l'ai fini tout à l'heure.NaughtyDog a écrit : ↑jeu. 31 oct. 2024 20:27
Du vrai bon Eastwood (à 94 ans chapeau), carré et traitant encore une fois d'une thématique de prédilection de l'acteur-réalisateur : la justice !
une justice américaine traitée en zone de grise constante dans ce thriller juridique faisant initialement penser à Douze Hommes en colère, mais où les questionnements humains sur comment véritablement appliquer une justice impartiale se voit compromettre par des partis mouillés à divers degrés au sein d'une affaire de meurtre.
le cast est top, la réal sobre, mais toujours avec un regard aiguisé.
Le tout jusqu'à un final en suspens qui pourrait être la dernière injonction du réalisateur tant elle est pertinente.
Un bon film tout simplement
3.5/5
J'ai pas trouvé ça aussi bien que toi
Je dirais même que c'était bof. Le sujet me plait, le cast aussi. Mais qu'est-ce que c'est plan-plan.
Je veux bien que Eastwood en soit à son dernier et qu'il n'a peut-être pas la volonté de renouveler le Schmilblick mais bon, il y a une marge.
Là, c'est raconté de manière plate. Si encore l'idée d'un personnage en pleine lutte interne me plait (et est caractéristique des meilleurs films d'Eastwood), il manque le suspense
et l'intensité. J'ai quand même apprécié le casting, et les divers échos à 12 Hommes en Colère
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Je ressors du film... et j'ai pleuré.Tulio a écrit : ↑lun. 11 nov. 2024 22:25
Un magnifique film d'animation, immersif et contemplatif à souhait. Si les mouvements des animaux se veulent réalistes, le film contient juste ce qu'il faut d'imprécision dans les textures pour éviter le côté documentaire animalier/démonstration technique des remakes en prise de vues réelles Disney.
Chose assez rare pour un film animé mettant en scène des animaux, le film refuse toute forme d'anthropomorphisme. Flow consiste donc en une succession de plans-séquences hypnotiques, qui évoquent de véritables tableaux (le passage dans la ville immergée m'a rappelé l'œuvre de Piranèse).
Une odyssée sensorielle à la portée écologique évidente, qui émet un beau message d'entraide et de solidarité.
J'ai trouvé que Eastwood faisait une nouvelle démonstration de ses convictions au sujet de la part vraiment noire de la nature humaine, plus encore que dans Le cas Richard Jewell. N'ayant toujours pas vu Douze hommes en colère, je ne peux pas juger des références que tout le monde m'assure exister en quantité, mais j'y vois d'amples illustrations de bassesse revancharde, de jurés nullement motivés par la justice ou la morale commune mais par leur volonté d'élever la violation de leurs préjugés, de leur "sensibilité" et de leurs "valeurs" personnelles au niveau de crime. Allant pour certains d'entre eux jusqu'à vouloir punir le "coupable" même s'il se révélait qu'aucun vrai crime ne pouvait lui être reproché, seule leur confusion morale prévalant. À ce niveau, la duplicité de Justin Kemp est bénigne, il n'est qu'un égoïste et manipulateur qui plus est, mais au moins chercher à sauver sa peau et celle de toute sa famille est moins effrayant que le sectarisme borné d'autres jurés comme Marcus, Yolanda et Courtney. Ajoutons à leur jusqu'au-boutisme (hélas réaliste) le portrait d'une enquête menée exclusivement à charge par une police décidée à trouver un coupable facile le plus vite possible, qui s'est révélée avoir manipulé par questions directrices des témoins à vrai dire très complaisants, jusqu'à un médecin légiste qui a mené une analyse affligeante des blessures de la victime - comment a-t'il pu ne pas remarquer les bleus très étendus qui ne peuvent qu'avoir couvert la partie de la jambe de la victime heurtée par la voiture ; on imagine que là encore il n'a fait que suivre les suggestions de la police. Le portrait qui en ressort du système judiciaire des USA est vraiment très peu flatteur.NaughtyDog a écrit : ↑jeu. 31 oct. 2024 20:27 Du vrai bon Eastwood (à 94 ans chapeau), carré et traitant encore une fois d'une thématique de prédilection de l'acteur-réalisateur : la justice !
une justice américaine traitée en zone de grise constante dans ce thriller juridique faisant initialement penser à Douze Hommes en colère, mais où les questionnements humains sur comment véritablement appliquer une justice impartiale se voit compromettre par des partis mouillés à divers degrés au sein d'une affaire de meurtre.
le cast est top, la réal sobre, mais toujours avec un regard aiguisé.
Le tout jusqu'à un final en suspens qui pourrait être la dernière injonction du réalisateur tant elle est pertinente.
Un bon film tout simplement
3.5/5
Globalement d'accord avec toi.aureliagreen a écrit : ↑sam. 16 nov. 2024 23:34 J'ai trouvé que Eastwood faisait une nouvelle démonstration de ses convictions au sujet de la part vraiment noire de la nature humaine, plus encore que dans Le cas Richard Jewell. N'ayant toujours pas vu Douze hommes en colère, je ne peux pas juger des références que tout le monde m'assure exister en quantité, mais j'y vois d'amples illustrations de bassesse revancharde, de jurés nullement motivés par la justice ou la morale commune mais par leur volonté d'élever la violation de leurs préjugés, de leur "sensibilité" et de leurs "valeurs" personnelles au niveau de crime. Allant pour certains d'entre eux jusqu'à vouloir punir le "coupable" même s'il se révélait qu'aucun vrai crime ne pouvait lui être reproché, seule leur confusion morale prévalant. À ce niveau, la duplicité de Justin Kemp est bénigne, il n'est qu'un égoïste et manipulateur qui plus est, mais au moins chercher à sauver sa peau et celle de toute sa famille est moins effrayant que le sectarisme borné d'autres jurés comme Marcus, Yolanda et Courtney. Ajoutons à leur jusqu'au-boutisme (hélas réaliste) le portrait d'une enquête menée exclusivement à charge par une police décidée à trouver un coupable facile le plus vite possible, qui s'est révélée avoir manipulé par questions directrices des témoins à vrai dire très complaisants, jusqu'à un médecin légiste qui a mené une analyse affligeante des blessures de la victime - comment a-t'il pu ne pas remarquer les bleus très étendus qui ne peuvent qu'avoir couvert la partie de la jambe de la victime heurtée par la voiture ; on imagine que là encore il n'a fait que suivre les suggestions de la police. Le portrait qui en ressort du système judiciaire des USA est vraiment très peu flatteur.
Dans les jours suivant ma vision du film, il m'est aussi apparu que les têtes brûlées du jury sont noirs ou ont un discours néo-féministe (envers un mec qui doit être châtié à vie juste parce qu'il frappait sa compagne, au détriment de l'analyse d'une liaison très complexe – et ce alors qu'on voit clairement que c'est elle qui le frappait), tandis que l'innocent injustement condamné est un petit blanc "white trash". De la à penser qu'Eastwood veut illustrer que de nos jours ce n'est vraiment pas un avantage d'être de cette catégorie (qui expose à être immédiatement qualifié par certains de sympathisant du Ku Klux Klan qui se distrait à ses moments perdus en battant sa femme)... Ce positionnement latent peut expliquer pourquoi la Warner a choisi de ne distribuer que cinquante copies aux USA, geste compréhensible quand on sait quel niveau les polémiques à ce sujet peuvent atteindre dans ce pays, surtout en période d'élections.
Quoi qu'il en soit au sujet de ce potentiel message politique, Eastwood réussit à mes yeux à rester à son meilleur, même quand il se contente de livrer un récit très concentré, et s'il livre un portrait acerbe de certains jurés, il sait le contrebalancer par d'autres nuancés ou réellement investis dans la quête de justice, malheureusement desservis par les failles du système. Mais il se garde de condamner complètement ce dernier, notamment par le portrait de cette femme procureur sans parti pris, fort bien rendue par Toni Collette. Eastwood sait longtemps laisser le doute sur l'issue du procès, et évite toute fin heureuse et/ou moralisatrice (non, le vrai coupable ne sera pas rattrapé, et Kemp – le visage de Hoult mêlant remarquablement traits d'honnête homme et trace de duplicité – pourra continuer à se présenter comme un innocent malchanceux protégeant sa famille) néanmoins il laisse par le tout dernier plan planer encore le doute sur les suites une fois le rideau tiré.
A partir du 2, outre l'intro de l'autoroute qui envoyait quand même pas mal, on accentue chaque fois un peu plus l'aspect comico-horrifique au détriment du reste clairement.ConFucKamus a écrit : ↑mar. 26 nov. 2024 17:36À l'inverse; j'avais aimé le 2 et quand je l'ai revu il y a deux ans, niveau mise en scène c'est parfois très cheap.
Je n'ai vu que le 1, le 5 et quelques bribes du 2 ou du 3...ConFucKamus a écrit : ↑mar. 26 nov. 2024 17:36 Assez d'accord avec toi. Je l'avais trouvé fendard à la sortie, et c'est toujours pareil. À l'inverse; j'avais aimé le 2 et quand je l'ai revu il y a deux ans, niveau mise en scène c'est parfois très cheap.
J'ai lâché à partir du 3ème volet. Et le duo s'est paumé de toute façon
Je l'ai vu hier.Tulio a écrit : ↑ven. 1 nov. 2024 17:20
Une Palme d'or mineure dans l'histoire récente du festival.
Si le film commence comme un remake contemporain de Pretty Woman et une relecture moderne de Cendrillon, celui-ci préfère se muer en escapade désenchantée et tendue dans le Brooklyn nocturne, qui n'est pas sans rappeler le cinéma des frères Safdie. Anora adopte alors un rythme naturaliste (le récit se déroulant quasiment en temps réel) mais, à l'instar de l'héroïne éponyme, le film ne retrouve jamais l'énergie et l'ingénuité de sa première partie.
Les acteurs sont cependant excellents, mention spéciale à la très bonne Mikey Mason (sans mauvais jeu de mots) et au toujours très bon Yura Borisov.
Au vu des autres films présentés sur la Croisette cette année (Emilia Pérez, L'Amour ouf), je trouve cette édition assez moyenne pour le moment.
CQFD.ConFucKamus a écrit : ↑dim. 8 déc. 2024 09:48 Je pense que pour le moment, je vais le classer en tête des films de Baker, attendu que je suis passé à côté de The Florida Project![]()
Je t'avoue que j'apprécie le fait que Baker n'essaie pas de faire d'Anora quelqu'un de très sympathique.MisterM a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 16:50CQFD.ConFucKamus a écrit : ↑dim. 8 déc. 2024 09:48 Je pense que pour le moment, je vais le classer en tête des films de Baker, attendu que je suis passé à côté de The Florida Project![]()
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Très sympa cet Anora, on voit le savoir-faire technique de Baker, mais ça reste trop programmatique, surtout dans sa dernière partie.
Alors là, c'est vraiment une comparaison que je n'imaginais pas lire un jour !Zefurin a écrit : ↑jeu. 14 nov. 2024 22:52 C'est un peu le film ANTITHESE TOTALE à la Zone d'Intérêt.
Y en a un qui montre ce qui y a de pire dans l'humain, à savoir la cruauté et l'apathie... l'autre qui montre ce qu'il peut y avoir de plus beau entre les êtres vivants, à savoir l'entre-aide et l'amitié.
Y en a un qui cache volontairement la réalité la plus atroce... l'autre qui montre un monde onirique d'une grande beauté.
Y en a un qui est d'un réalisme cru... l'autre est un film d'animation esthétiquement magnifique.
Les deux te font pleurer... pour des raison diamétralement opposées.
Ben justement ça se sent.
C'est très possible. Ca me fait penser à mon visionnage du Parrain 2, je lui ai mis 4 (oui, sur 10ConFucKamus a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 17:12 The Florida Project, je peinais à rentrer dedans, à avoir de l'empathie pour la matriarche qui s'enferre dans ses conneries. Mais je me demande si je l'ai vu dans les meilleures dispositions...
Tiens, c'est intéressant. Je préfère Le Parrain au Parrain 2 un peu pour ces mêmes raisons. J'adore Pacino et j'aime beaucoup son personnage mais tandis qu'il prend de l'ampleur il perd aussi son humanité.MisterM a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 17:21C'est très possible. Ca me fait penser à mon visionnage du Parrain 2, je lui ai mis 4 (oui, sur 10ConFucKamus a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 17:12 The Florida Project, je peinais à rentrer dedans, à avoir de l'empathie pour la matriarche qui s'enferre dans ses conneries. Mais je me demande si je l'ai vu dans les meilleures dispositions...) parce que j'ai passé la moitié du film à discuter et rien compris à l'intrigue... et donc zéro implication émotionnelle de ma part (sauf pour cette scène finale totalement inoubliable). Donc je peux comprendre qu'on soit passé à côté de Florida Project... mais UNIQUEMENT pour cette raison.
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C'est justement toute l'ironie du Parrain 2 ! Comment un homme qui fait tout pour protéger sa famille ne fait en réalité que l'anéantir.ConFucKamus a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 19:29 Tiens, c'est intéressant. Je préfère Le Parrain au Parrain 2 un peu pour ces mêmes raisons. J'adore Pacino et j'aime beaucoup son personnage mais tandis qu'il prend de l'ampleur il perd aussi son humanité.
J'aime beaucoup le film mais ce qu'il raconte me paraît moins aimable que le premier.
Aimable, je ne sais pas si le terme est heureux concernant l'histoire du Parrain.ConFucKamus a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 19:29 J'aime beaucoup le film mais ce qu'il raconte me paraît moins aimable que le premier.
J'ai pas trouvé les acteurs si mauvais.MisterM a écrit : ↑lun. 9 déc. 2024 17:16 Ben justement ça se sent.Pour une fois je suis plus de l'avis de M.@ConFucKamus, c'est mou et l'âge n'excuse rien, il y a des assistants réal pour ça. Outre la pauvreté de la mise en scène générale, la direction d'acteur est également aux fraises, c'est souvent très mal interprété, heureusement Hoult parvient à tenir l'ensemble, même Collette est un peu monolithique malgré un personnage plutôt travaillé.
C'est d'ailleurs la principale force du film, cette capacité unique d'Eastwood à relier de lourds sujets de société avec des questions philosophiques, le tout sans manquer de nuance (en général). Ca reste un film passionnant à suivre mais qui lorgne plus vers le 5 que le 7 selon moi.
Les thématiques sont là, les acteurs sont là (Toni Collette, géniale comme d'hab') mais pour moi la mise en scène est un problème. Il y avait matière à faire beaucoup plus et à te travailler bien après la sortie de la salle.Zefurin a écrit : ↑mar. 10 déc. 2024 10:56 J'ai pas trouvé les acteurs si mauvais.![]()
J'ai trouvé qu'ils faisaient le job et que l'intrigue faisait le job pour présenter le problème et la réflexion du réalisateur sur les instances juridiques. Ce que je veux dire c'est que c'est cool de voir un film qui a un scénario qui raconte efficacement une histoire qui nous renvoie (à nous spectateurs) à des questionnements sur le système juridique. Pas forcément pour dresser volontairement un manifeste négatif de la chose, mais un constat.
Voilà le système. Ce qu'il permet. Ce qu'il ne permet pas. Il a des forces. Il a des faiblesse. Qu'en pensez-vous ?
Un film qui pose des questions... et qui évite de nous marteler des réponses toutes faites... moi je plébiscite.
En un sens, la mise en scène trés neutre/platte ne m'a pas dérangé dans le sens où... elle m'a paru adapté pour ce qu'elle souhaite raconter : une histoire de procès. Quand je pense "monde juridique", je pense univers un peu froid, procédurier, rigide où l'on suit les consignes comme de parfaits petit citoyen pour rendre un verdict avec intransigeance.ConFucKamus a écrit : ↑mar. 10 déc. 2024 12:54
Les thématiques sont là, les acteurs sont là (Toni Collette, géniale comme d'hab') mais pour moi la mise en scène est un problème. Il y avait matière à faire beaucoup plus et à te travailler bien après la sortie de la salle.
Va falloir corriger toutes ces fautes de frappeNaughtyDog a écrit : ↑mer. 18 déc. 2024 21:57 Ptite fournée de films que j'ai découvert récemment
[...]
Et puis j'ai hurlé de rire dans la conclusion avec les parents qui retrouvent leurs enfants : les parents de choco qui ramènent... une Domino's Pizza pour fêter leurs retrouvailles.Au sujet du zizi du David de Michelange
Mikey : Oh imbécile ! Tu l'a recollée dans le mauvais sens...
Brent : Connard ! Si Dieu nous l'avait mise comme ça on se pisserait dans la figure !
Je me rappelle l'avoir vu pour la première fois à 20 ans et m'être dit "dommage, c'est le genre de film à voir avant 13 ans pour l'apprécier pleinement".
James Stewart a toujours été mon acteur préféré même si depuis je n'apprécie pas l'homme qu'il fut (côté film de Noël avec lui et la délicieuse Margaret Sullavan dans Rendez-vous (The Shop Around the Corner) d'Ernst Lubitsch - il y a eu un remake sous le titre "Vous avez un message" avec Tom Hanks et Meg Ryan)Zefurin a écrit : ↑jeu. 2 janv. 2025 11:15
La vie est belle de Frank Capra
Un assez beau film, précurseur des téléfilm de noël qui pullulent désormais.
C'est marrant quand on y pense mais les magnats de l'immobilier font toujours de super méchants (comme dans les Goonies).
Ce qui est surtout assez marrant dans ce film, c'est surtout de voir la trééééés grande influence de Citizen Kane sorti 5 ans avant. La structure du film est quasi la même, mais avec une volonté de raconter quelque chose de... plus chrétien où tout est très bien qui finit très bien.
Y a de très bonnes idées de mise en scène
C'est un peu un film berceuse... mais avec un arrière goût cynique à côté de la réalité. (surtout en 2024 qui a vu Trump gagner de nouveau la présidence)
Non l'Amérique ne ressemble pas à ça.![]()
C'est un joli film naïf... mais joli quand même... mais vraiment naïf dans sa peinture de l'Amérique.
Et James Stewart... quel acteur !
Et Donna Reed aussi... que je ne connaissais pas.