Le Cercle des profileurs disparus
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NaughtyDog
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Pas mal bien qu'un peu propre
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
J'espère que le côté numérique sera moins marqué dans le film.
Un peu comme pour la France, mon ciné le diffuse seulement durant 2 jours, le 1er et 2 décembre et heureusement pas en 4DX
Ah je ne connaissais pas.J'au vu Je ne suis pas un héros, et j'ai bien rigolé (mais pas que
(Tu as versé une larmichette ?
)-
ClintReborn
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Je suis autant déconcerté par l'affiche que le trailer
J'ai l'impression d'une bouillie numérique ou chaque seconde me sort de la bande annonce 
Et c'est super désagréable vu l'attente 
Pourquoi proposer un truc aussi dégueulasse comme promotion ?Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Ça m'a un peu piqué les yeux la première fois mais le trailer se bonifie au fil des visionnages. Bon après j'ose espérer que certains plans seront améliorés d'ici la sortieClintReborn a écrit : ↑sam. 2 déc. 2023 11:24Je suis autant déconcerté par l'affiche que le trailer
Plus je réfléchis, plus je me dis que j'irai tout de même
Sauf si ton retour est catastrophique
C'est le dernier film avec Vincent Dedienne. Et il y a quelques moments émotionnels, mais je n'ai pas versé de larmichette pour autantAh je ne connaissais pas.J'au vu Je ne suis pas un héros, et j'ai bien rigolé (mais pas que
(Tu as versé une larmichette ?
Je n'ai rien regardé de Mad Max
je verrai ça au moment de sa sortie en salles 
Vu :
Beaucoup aimé, c'est redoutablement efficace dans son genre. Eli Roth s'amuse et fait preuve de générosité. Mon plus gros reproche c'est la vitesse à laquelle les événements s'enchainent à la fin alors que tout était de bonne tenue jusque là. Mais bon, ça reste très bien dans l'ensemble.
Le thriller domestique était un genre très en vogue à la fin des années 80/début années 90. Perso c'est un genre que j'affectionne. La mise en scène, l'ambiance, la musique atmosphérique et la prestation des acteurs (mention spéciale à Ray Liotta) font de Obsession fatale un petit chef d’œuvre dans le genre. Le film est d'une intensité assez remarquable.
Je suis on ne peut plus heureux d'avoir eu la chance de le découvrir en salle. C'est une claque monumentale et très certainement le blockbuster de l'année. Outre l'aspect apocalyptique propre à l'univers de Godzilla, j'ai parfois pensé à Les Dents de la mer ou encore Dunkerque pour certaines scènes maritimes et aériennes. Mélange parfait entre spectacle et intimité, certaines scènes sont hallucinantes tandis que l'aspect humain dégage une émotion qui parait vraiment authentique et palpable. Bref j'ai adoré et comme si ça ne suffisait pas, la BO est également épique.
Autre thriller domestique dans lequel un couple bien sous tous rapports va basculer dans une spirale infernale perpétrée par Michael Keaton qui joue un locataire sociopathe et qui va donner du fil à retordre aux propriétaires de son appartement. J'ai modérément apprécié, ça commence bien et ça se suit sans déplaisir mais au final ça manque d'intensité, notamment durant la seconde partie.
Beaucoup aimé, c'est redoutablement efficace dans son genre. Eli Roth s'amuse et fait preuve de générosité. Mon plus gros reproche c'est la vitesse à laquelle les événements s'enchainent à la fin alors que tout était de bonne tenue jusque là. Mais bon, ça reste très bien dans l'ensemble.
Le thriller domestique était un genre très en vogue à la fin des années 80/début années 90. Perso c'est un genre que j'affectionne. La mise en scène, l'ambiance, la musique atmosphérique et la prestation des acteurs (mention spéciale à Ray Liotta) font de Obsession fatale un petit chef d’œuvre dans le genre. Le film est d'une intensité assez remarquable.
Je suis on ne peut plus heureux d'avoir eu la chance de le découvrir en salle. C'est une claque monumentale et très certainement le blockbuster de l'année. Outre l'aspect apocalyptique propre à l'univers de Godzilla, j'ai parfois pensé à Les Dents de la mer ou encore Dunkerque pour certaines scènes maritimes et aériennes. Mélange parfait entre spectacle et intimité, certaines scènes sont hallucinantes tandis que l'aspect humain dégage une émotion qui parait vraiment authentique et palpable. Bref j'ai adoré et comme si ça ne suffisait pas, la BO est également épique.
Autre thriller domestique dans lequel un couple bien sous tous rapports va basculer dans une spirale infernale perpétrée par Michael Keaton qui joue un locataire sociopathe et qui va donner du fil à retordre aux propriétaires de son appartement. J'ai modérément apprécié, ça commence bien et ça se suit sans déplaisir mais au final ça manque d'intensité, notamment durant la seconde partie.
Godzilla Minus One : les premiers avis pour le grand retour du roi des monstres sont là
Le roi des monstres va bientôt faire son retour sur le grand écran dans Godzilla Minus One, et les premiers avis sur le film viennent de tomber.
Qu'il se fait attendre ce Godzilla Minus One. Après le génial Godzilla Resurgence (Shin Godzilla pour les puristes que nous sommes) de Hideaki Anno et Shinji Higuchi, qui fait partie des meilleurs films sur le roi des monstres de tous les temps, le voilà de retour au Japon. Cette fois-ci, Takashi Yamazaki est aux manettes, et ce qu'on en a vu dans la bande-annonce nous attire grandement.
En plus de la série Monarch : Legacy of Monsters dont on a beaucoup aimé les premiers épisodes et Godzilla vs Kong 2 qui s'est montré en images, Minus One devrait ravir les fans du roi des monstres. Et pour ceux qui étaient encore sceptiques, les premiers avis sur le film viennent de tomber et nourrissent un peu plus notre impatience.
"Si vous êtes fan de Godzilla, préparez-vous à être époustouflé avec Godzilla Minus One. Fixez des attentes élevées, et profitez de la balade." Film Treat
"Tout comme le film qui a tout déclenché, Godzilla Minus One s'impose parmi les meilleures œuvres de la série, en alternant entre un film catastrophe évocateur et un drame plus orienté vers l'humain, utilisant chaque moitié pour renforcer l'autre." Paste Magazine
"Top Gun : Maverick nous a montré qu'il existait toujours un public pour les films qui combinent une action concise et créative avec des personnages à forte résonance émotionnelle. Godzilla Minus One est un autre rappel – et probablement le meilleur film des deux." Washington Post
"Godzilla : Minus One, un blockbuster captivant et plein de spectacles, ramène le roi des monstres à ses racines dans le Japon de l'après-Seconde Guerre mondiale. L'histoire est axée sur les personnages, mais les scènes de monstre sont passionnantes et efficaces." IGN
"Malgré quelques passages vers un mélodrame grumeleux, le scénario réfléchi de Yamazaki tient bon, est parsemé d’un humour délicieux au bon moment." Variety
"Godzilla Minus One n'est pas seulement un bon film Godzilla. C’est un excellent film Godzilla – sans doute parmi les meilleurs jamais vus à l’écran." ReelViews
"Il y a autant du Ikiru d'Akira Kurosawa ici que d'Ishirō Honda, le génie du costume en caoutchouc créateur de Godzilla, qui n'avait pas peur des sous-textes politiques. Et c'est un couple aussi puissant que n'importe quel mélange de monstres." Austin Chronicle
"Même si certains arcs émotionnels sont un peu fades, la façon dont Yamazaki s'attaque aux nuances plus larges des traumatismes de la guerre est fraîche et innovante, voire radicale, prouvant que même après sept décennies de ruines, ce monstre emblématique a encore beaucoup de carburant dans le réacteur." Los Angeles Time
"L'arc héroïque fait grincer des dents, mais malgré les clichés kitsch sur les films Godzilla, celui-ci est un blockbuster fait avec brio, qui nous laisse parfois avec le cœur serré." The New York Times
Avec une moyenne de 80/100 sur Metacritic et uniquement des avis positifs, Godzilla Minus One nous fait désormais encore plus envie. Après le très grand Shin Godzilla, le roi des monstres est visiblement de retour en très grande forme. SI certaines critiques appuient sur le côté larmoyant de certaines scènes, toutes sont d'accord pour dire que chaque apparition de Godzilla est réussie. Pour rappel, le long-métrage ne sort que deux jours en France, les 7 et 8 décembre 2023.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 4FE_dVJbsk
Le roi des monstres va bientôt faire son retour sur le grand écran dans Godzilla Minus One, et les premiers avis sur le film viennent de tomber.
Qu'il se fait attendre ce Godzilla Minus One. Après le génial Godzilla Resurgence (Shin Godzilla pour les puristes que nous sommes) de Hideaki Anno et Shinji Higuchi, qui fait partie des meilleurs films sur le roi des monstres de tous les temps, le voilà de retour au Japon. Cette fois-ci, Takashi Yamazaki est aux manettes, et ce qu'on en a vu dans la bande-annonce nous attire grandement.
En plus de la série Monarch : Legacy of Monsters dont on a beaucoup aimé les premiers épisodes et Godzilla vs Kong 2 qui s'est montré en images, Minus One devrait ravir les fans du roi des monstres. Et pour ceux qui étaient encore sceptiques, les premiers avis sur le film viennent de tomber et nourrissent un peu plus notre impatience.
"Si vous êtes fan de Godzilla, préparez-vous à être époustouflé avec Godzilla Minus One. Fixez des attentes élevées, et profitez de la balade." Film Treat
"Tout comme le film qui a tout déclenché, Godzilla Minus One s'impose parmi les meilleures œuvres de la série, en alternant entre un film catastrophe évocateur et un drame plus orienté vers l'humain, utilisant chaque moitié pour renforcer l'autre." Paste Magazine
"Top Gun : Maverick nous a montré qu'il existait toujours un public pour les films qui combinent une action concise et créative avec des personnages à forte résonance émotionnelle. Godzilla Minus One est un autre rappel – et probablement le meilleur film des deux." Washington Post
"Godzilla : Minus One, un blockbuster captivant et plein de spectacles, ramène le roi des monstres à ses racines dans le Japon de l'après-Seconde Guerre mondiale. L'histoire est axée sur les personnages, mais les scènes de monstre sont passionnantes et efficaces." IGN
"Malgré quelques passages vers un mélodrame grumeleux, le scénario réfléchi de Yamazaki tient bon, est parsemé d’un humour délicieux au bon moment." Variety
"Godzilla Minus One n'est pas seulement un bon film Godzilla. C’est un excellent film Godzilla – sans doute parmi les meilleurs jamais vus à l’écran." ReelViews
"Il y a autant du Ikiru d'Akira Kurosawa ici que d'Ishirō Honda, le génie du costume en caoutchouc créateur de Godzilla, qui n'avait pas peur des sous-textes politiques. Et c'est un couple aussi puissant que n'importe quel mélange de monstres." Austin Chronicle
"Même si certains arcs émotionnels sont un peu fades, la façon dont Yamazaki s'attaque aux nuances plus larges des traumatismes de la guerre est fraîche et innovante, voire radicale, prouvant que même après sept décennies de ruines, ce monstre emblématique a encore beaucoup de carburant dans le réacteur." Los Angeles Time
"L'arc héroïque fait grincer des dents, mais malgré les clichés kitsch sur les films Godzilla, celui-ci est un blockbuster fait avec brio, qui nous laisse parfois avec le cœur serré." The New York Times
Avec une moyenne de 80/100 sur Metacritic et uniquement des avis positifs, Godzilla Minus One nous fait désormais encore plus envie. Après le très grand Shin Godzilla, le roi des monstres est visiblement de retour en très grande forme. SI certaines critiques appuient sur le côté larmoyant de certaines scènes, toutes sont d'accord pour dire que chaque apparition de Godzilla est réussie. Pour rappel, le long-métrage ne sort que deux jours en France, les 7 et 8 décembre 2023.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 4FE_dVJbsk
Pale a écrit : ↑dim. 3 déc. 2023 21:32
Je suis on ne peut plus heureux d'avoir eu la chance de le découvrir en salle. C'est une claque monumentale et très certainement le blockbuster de l'année. Outre l'aspect apocalyptique propre à l'univers de Godzilla, j'ai parfois pensé à Les Dents de la mer ou encore Dunkerque pour certaines scènes maritimes et aériennes. Mélange parfait entre spectacle et intimité, certaines scènes sont hallucinantes tandis que l'aspect humain dégage une émotion qui parait vraiment authentique et palpable. Bref j'ai adoré et comme si ça ne suffisait pas, la BO est également épique.
Place réservée !
Le box-office US de ce week-end :
https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
Disney morfle bien en cette fin d'année
https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
Disney morfle bien en cette fin d'année
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BOX OFFICE STORY
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On m'aurait dit que les trolls éclateraient wish et ferait jeu égal avec the Marvels sur j'aurais bien ri
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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EL a modérément apprécié Migration (2,5 étoiles) :
Après le méga-carton de Super Mario Bros., le Film plus tôt dans l'année, le studio d'animation Illumination est de retour en salles dès le 6 décembre avec Migration, une histoire sur une famille de colverts présentée en partie au Festival d'Annecy de 2023. Pour l'occasion, c'est le talentueux Benjamin Renner, derrière les géniaux Ernest et Célestine et Le Grand Méchant Renard et autres contes, qui s'est chargé de la réalisation (aidé par Guylo Homsy). Mais si elle est plutôt gentillette, cette première oeuvre outre-Atlantique ne casse malheureusement pas trois pattes à un canard.
UN PAVÉ DANS LA MARE ?
Depuis près de 13 ans, Ilumination enchaîne les braquages en salles. La filiale d'Universal est derrière quelques-uns des plus gros succès du cinéma d'animation contemporain, si bien qu'elle apparaît trois fois parmi les 10 longs-métrages animés les plus performants au box-office, aux côtés de Disney et Pixar. L'empire a commencé à s'ériger avec leur franchise reine, Moi moche et méchant (surtout le 2 et le 3), puis les spin-offs Les Minions, avant de détrôner La Reine des Neiges et Les Indestructibles 2 avec le casse incroyable de Super Mario Bros.
Forcément, dans une industrie de plus en plus instable et incertaine depuis la pandémie, le sort du nouveau Migration a de quoi intriguer.
Si Migration n'a a priori rien de particulier pour Illumination et semble même plutôt anecdotique comparé aux poids lourds cités plus haut, il est pour l'instant assez unique en son genre. C'est d'abord le premier film à ne pas être une suite depuis Le Grinch de 2018, mais aussi le seul à ne pas être une adaptation (du Dr Seuss ou de Nintendo).
Pourtant, à plus d'un égard, le long-métrage a de gros airs de déjà-vu, entre ses graphismes 3D standardisés loin des traits finement esquissés et des aquarelles d'Ernest et Célestine ou du Grand Méchant Renard, son humour potache et son récit qui ne s'écarte jamais du chemin tout tracé qu'il emprunte.
Le scénariste Mike White a en effet repris le schéma bien connu de la famille gentiment dysfonctionnelle avec le papa surprotecteur et/ou rabat-joie qui inculque sa peur du monde à ses enfants, mais finit par se décoincer en prenant des risques, façon Le Monde de Nemo, Les Croods ou même Paddington et Beethoven. Comme dans Gus petit oiseau, grand voyage (pour lequel Benjamin Renner a d'ailleurs assuré le développement visuel), la thématique aviaire permet de créer une métaphore sur l'importance de "quitter son nid et de voler de ses propres ailes", mais version pattes palmées.
Enfin, pour terminer le jeu des comparaisons tièdes, le réalisateur français a rapproché le périple de la famille Mallard (notez le jeu de mots) de celui de la famille Hoover dans Little Miss Sunshine. Les parents volent cependant la vedette à leurs enfants, le sauvetage de leur couple est finalement plus intéressant et touchant que la réparation de la relation père-fils.
CANARD BOITEUX, MAIS QUI MARCHE QUAND MÊME
Migration ne devrait pas avoir trop de mal à rencontrer son public tant il se glisse parfaitement dans le moule du "sympathique divertissement qui ravira petits et grands". D'ailleurs, cette simplicité, autant dans le fond que la forme, ne joue pas entièrement en sa défaveur. Le déroulé a beau être programmatique et les différentes situations plus ou moins prévisibles, les figures imposées sont plutôt bien exécutées, qu'il s'agisse de l'oncle débile qui sert continuellement d'élément déclencheur, de la petite soeur tendre comme un gésier ou de son grand-frère en mal de reconnaissance paternelle.
Côté technique et plastique, le fait que le film s'articule autour de canards, c'est-à-dire d'adorables créatures tout-terrain, lui permet naturellement de varier les décors et environnements. Les séquences alternent entre les vols et les barbotages, les paysages champêtres et urbanisés, le tout avec un joli travail sur la lumière et la brume. Ces différentes escales et prises de hauteur permettent au film de garder un bon rythme, sans temps morts ou ventre mou, ce qui constitue une autre réussite.
S'il est aussi générique qu'une boîte d'ibuprofène, Migration ne devrait pas trop freiner l'envolée d'Illumination ni faire passer un mauvais moment à qui que ce soit tant il s'avère simple (voire simpliste) mais efficace.
Il y a finalement peu de choses à dire sur Migration, qui reste anecdotique et inoffensif, mais a le mérite de moins baragouiner et gigoter que Les Minions.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... G7HrreVVbM
Après le méga-carton de Super Mario Bros., le Film plus tôt dans l'année, le studio d'animation Illumination est de retour en salles dès le 6 décembre avec Migration, une histoire sur une famille de colverts présentée en partie au Festival d'Annecy de 2023. Pour l'occasion, c'est le talentueux Benjamin Renner, derrière les géniaux Ernest et Célestine et Le Grand Méchant Renard et autres contes, qui s'est chargé de la réalisation (aidé par Guylo Homsy). Mais si elle est plutôt gentillette, cette première oeuvre outre-Atlantique ne casse malheureusement pas trois pattes à un canard.
UN PAVÉ DANS LA MARE ?
Depuis près de 13 ans, Ilumination enchaîne les braquages en salles. La filiale d'Universal est derrière quelques-uns des plus gros succès du cinéma d'animation contemporain, si bien qu'elle apparaît trois fois parmi les 10 longs-métrages animés les plus performants au box-office, aux côtés de Disney et Pixar. L'empire a commencé à s'ériger avec leur franchise reine, Moi moche et méchant (surtout le 2 et le 3), puis les spin-offs Les Minions, avant de détrôner La Reine des Neiges et Les Indestructibles 2 avec le casse incroyable de Super Mario Bros.
Forcément, dans une industrie de plus en plus instable et incertaine depuis la pandémie, le sort du nouveau Migration a de quoi intriguer.
Si Migration n'a a priori rien de particulier pour Illumination et semble même plutôt anecdotique comparé aux poids lourds cités plus haut, il est pour l'instant assez unique en son genre. C'est d'abord le premier film à ne pas être une suite depuis Le Grinch de 2018, mais aussi le seul à ne pas être une adaptation (du Dr Seuss ou de Nintendo).
Pourtant, à plus d'un égard, le long-métrage a de gros airs de déjà-vu, entre ses graphismes 3D standardisés loin des traits finement esquissés et des aquarelles d'Ernest et Célestine ou du Grand Méchant Renard, son humour potache et son récit qui ne s'écarte jamais du chemin tout tracé qu'il emprunte.
Le scénariste Mike White a en effet repris le schéma bien connu de la famille gentiment dysfonctionnelle avec le papa surprotecteur et/ou rabat-joie qui inculque sa peur du monde à ses enfants, mais finit par se décoincer en prenant des risques, façon Le Monde de Nemo, Les Croods ou même Paddington et Beethoven. Comme dans Gus petit oiseau, grand voyage (pour lequel Benjamin Renner a d'ailleurs assuré le développement visuel), la thématique aviaire permet de créer une métaphore sur l'importance de "quitter son nid et de voler de ses propres ailes", mais version pattes palmées.
Enfin, pour terminer le jeu des comparaisons tièdes, le réalisateur français a rapproché le périple de la famille Mallard (notez le jeu de mots) de celui de la famille Hoover dans Little Miss Sunshine. Les parents volent cependant la vedette à leurs enfants, le sauvetage de leur couple est finalement plus intéressant et touchant que la réparation de la relation père-fils.
CANARD BOITEUX, MAIS QUI MARCHE QUAND MÊME
Migration ne devrait pas avoir trop de mal à rencontrer son public tant il se glisse parfaitement dans le moule du "sympathique divertissement qui ravira petits et grands". D'ailleurs, cette simplicité, autant dans le fond que la forme, ne joue pas entièrement en sa défaveur. Le déroulé a beau être programmatique et les différentes situations plus ou moins prévisibles, les figures imposées sont plutôt bien exécutées, qu'il s'agisse de l'oncle débile qui sert continuellement d'élément déclencheur, de la petite soeur tendre comme un gésier ou de son grand-frère en mal de reconnaissance paternelle.
Côté technique et plastique, le fait que le film s'articule autour de canards, c'est-à-dire d'adorables créatures tout-terrain, lui permet naturellement de varier les décors et environnements. Les séquences alternent entre les vols et les barbotages, les paysages champêtres et urbanisés, le tout avec un joli travail sur la lumière et la brume. Ces différentes escales et prises de hauteur permettent au film de garder un bon rythme, sans temps morts ou ventre mou, ce qui constitue une autre réussite.
S'il est aussi générique qu'une boîte d'ibuprofène, Migration ne devrait pas trop freiner l'envolée d'Illumination ni faire passer un mauvais moment à qui que ce soit tant il s'avère simple (voire simpliste) mais efficace.
Il y a finalement peu de choses à dire sur Migration, qui reste anecdotique et inoffensif, mais a le mérite de moins baragouiner et gigoter que Les Minions.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... G7HrreVVbM
Godzilla Minus One écrase tout sur son passage et bat de nouveaux records au box-office américain
Godzilla Minus One, dernier film japonais dédié au gros lézard, vient de battre plusieurs records au box-office, suite à sa sortie américaine.
Depuis la création du gros monstre Godzilla par le studio Tôhô en 1954, le lézard géant est devenu une figure emblématique de la culture japonaise. Depuis, une trentaine de films mettant en vedette le grand kaiju sont sortis au Pays du Soleil Levant. Mais les Japonais ne sont vraisemblablement pas les seuls à être tombés sous le charme de Godzilla. En effet, un premier film américain réalisé par Roland Emmerich est sorti en 1998, avant que le MonsterVerse ne soit lancé avec un nouveau film en 2014.
Mais alors que les Américains préparent Godzilla vs Kong 2, dont le teaser vient de sortir, le dernier film japonais, Godzilla Minus One, a débarqué Amérique du Nord. Et il vient définitivement de confirmer l'attrait outre-Atlantique pour le gros lézard radioactif, puisque le film vient déjà de battre plusieurs records au box-office national.
Après avoir fait ses débuts au Japon, Godzilla Minus One vient de sortir ce 1er décembre sur le sol nord-américain. Le film a totalement dépassé les attentes en rapportant 11,4 millions de dollars sur ses trois premiers jours d'exploitation. Avec un tel exploit, ce nouveau Godzilla a réalisé le meilleur démarrage pour un film japonais en prises de vue réelles sur le territoire américain. À titre de comparaison, le dernier film japonais de la franchise à être sorti aux États-Unis, Godzilla Resurgence, sorti en 2016, avait débuté autour des 450 000 dollars chez l'Oncle Sam (pour finir son exploitation à 1,9 million de dollars).
Autant dire qu'avec 11,4 millions de dollars cumulés en seulement un week-end, Godzilla Minus One a frappé fort. En vérité, il s'agit même du deuxième plus gros démarrage de l'histoire du box-office américain pour un film live action non-anglophone. La première place est toujours détenue par Hero, film de sabre chinois avec Jet Li sorti en 2002, qui avait terminé son premier week-end avec 18 millions de dollars, mais c'est dire l'énorme succès du film.
Evidemment, Godzilla Minus One a profité du format IMAX, puisqu'il représenterait 13% de ses ventes aux États-Unis. Pour ce premier week-end, les recettes IMAX s'élèveraient à 1,7 million de dollars, le total cumulé aurait atteint les 4,6 millions de dollars. Godzilla Minus One est donc déjà, incontestablement, un pari réussi aux États-Unis et prouve que le gros lézard japonais reste une figure iconique de la pop culture.
Malheureusement pour les fans français du monstre, le film n'aura pas le même succès puisqu'il ne sera à l'affiche que les 7 et 8 décembre 2023. Foncez donc le voir avant qu'il ne soit trop tard.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... w1NYIgrvaM
Godzilla Minus One, dernier film japonais dédié au gros lézard, vient de battre plusieurs records au box-office, suite à sa sortie américaine.
Depuis la création du gros monstre Godzilla par le studio Tôhô en 1954, le lézard géant est devenu une figure emblématique de la culture japonaise. Depuis, une trentaine de films mettant en vedette le grand kaiju sont sortis au Pays du Soleil Levant. Mais les Japonais ne sont vraisemblablement pas les seuls à être tombés sous le charme de Godzilla. En effet, un premier film américain réalisé par Roland Emmerich est sorti en 1998, avant que le MonsterVerse ne soit lancé avec un nouveau film en 2014.
Mais alors que les Américains préparent Godzilla vs Kong 2, dont le teaser vient de sortir, le dernier film japonais, Godzilla Minus One, a débarqué Amérique du Nord. Et il vient définitivement de confirmer l'attrait outre-Atlantique pour le gros lézard radioactif, puisque le film vient déjà de battre plusieurs records au box-office national.
Après avoir fait ses débuts au Japon, Godzilla Minus One vient de sortir ce 1er décembre sur le sol nord-américain. Le film a totalement dépassé les attentes en rapportant 11,4 millions de dollars sur ses trois premiers jours d'exploitation. Avec un tel exploit, ce nouveau Godzilla a réalisé le meilleur démarrage pour un film japonais en prises de vue réelles sur le territoire américain. À titre de comparaison, le dernier film japonais de la franchise à être sorti aux États-Unis, Godzilla Resurgence, sorti en 2016, avait débuté autour des 450 000 dollars chez l'Oncle Sam (pour finir son exploitation à 1,9 million de dollars).
Autant dire qu'avec 11,4 millions de dollars cumulés en seulement un week-end, Godzilla Minus One a frappé fort. En vérité, il s'agit même du deuxième plus gros démarrage de l'histoire du box-office américain pour un film live action non-anglophone. La première place est toujours détenue par Hero, film de sabre chinois avec Jet Li sorti en 2002, qui avait terminé son premier week-end avec 18 millions de dollars, mais c'est dire l'énorme succès du film.
Evidemment, Godzilla Minus One a profité du format IMAX, puisqu'il représenterait 13% de ses ventes aux États-Unis. Pour ce premier week-end, les recettes IMAX s'élèveraient à 1,7 million de dollars, le total cumulé aurait atteint les 4,6 millions de dollars. Godzilla Minus One est donc déjà, incontestablement, un pari réussi aux États-Unis et prouve que le gros lézard japonais reste une figure iconique de la pop culture.
Malheureusement pour les fans français du monstre, le film n'aura pas le même succès puisqu'il ne sera à l'affiche que les 7 et 8 décembre 2023. Foncez donc le voir avant qu'il ne soit trop tard.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... w1NYIgrvaM
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ClintReborn
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C'est certainement du Terence Malick
Ils ont fait une ambiance mystérieuse mais en fait la musique de la bande annonce c'est ça ! Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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je ne fais qu'y penser depuis mes 2 visionnages il y a 6 mois
probablement le plus grand film de ces dernières années
Très déçu de ce retour d'Esmail avec Leave the World Behind. Un film apocalyptique néanmoins intéressant de par un axe plutôt réaliste, avant tout centré sur une poignée de personnages vivant dans une grande demeure à l'écart de New York. Le postulat offre donc une approche anti-spectaculaire, préférant garder tout le monde (y compris le spectateur) à l'écart de ce qu'il se passe réellement : attentat ? Incident nucléaire ? Guerre civile ? Attaque biologique ?
On reste dans le flou...jusqu'au final qui dévoile la nature de ce blackout, et qui nous fait pointer le vrai problème du métrage : son écriture !
Car in fine, malgré une approche réaliste, il faut aussi se farcir quelques réactions stéréotypées et un aspect sur-écrit qui nuit justement au sentiment d'authenticité voulue (on ne va pas aller vers le spoil, mais cela implique une séquence au forceps avec Kevin Bacon, et certaines interactions manquant grandement de naturel).
C'est dommage, car niveau fabrication on retrouve la team de Mr Robot, ce qui fait que niveau mise en scène c'est extrêmement léché, avec notamment des mouvements de caméra qui sembleraient par instant issus d'un Fincher.
Le film arrive aussi à gêrer quelques moments de tension (l'avion !) et à boen distiller son mystère.
Mais finalement cela se révèle assez crapoteux, et dilué dramaturgiquement (le tout gagnait à être plus reserré), sans proposer grand chose dans le genre pour le subvertir (là encore la révélation finale intervient trop tard, ou bien le récit aurait dû construire autre chose avec).
Heureusement les acteurs sont très bons, en particulier l'ultra charismatique Mahershala Ali, et une Julia Roberts plutôt investie.
Enfin il y a bien un discours sur notre propension à nous reposer sur les technologies modernes, mais quand on a vu Mr Robot tout cela relève du petit plus.
2 ou 2.5/5
Tiger 3, ou déjà le 5e opus du YRF Spy Universe indien, mais aussi le plus faible de la trilogie Tiger selon moi. La faute à un scénar manquant clairement de focus malgré sa volonté d'enjeux plus personnels, et qui met plus d'1h à correctement démarrer.
Heureusement après ça le film se réveille avec quelques morceaux d'action bien nerveux (peut-être les meilleurs combats de la trilo),dont un passage cameo qui demande qu'à être concrétisé dans Tiger vs Pathaan
2.5/5
Un bon prequel, plus âpre et qui réussit à donner de l'épaisseur à Snow, servi par un bon casting et une fabrication carrée.
Par contre fin beaucoup trop précipitée (vis à vis de la relation avec Lucy Gray), mais globalement le meilleur opus de la saga derrière l'Embrasement
6,5/10 donc 3,5/5
Le Temps d'Aimer, ou un mélodrame aux vélléités romanesques qui ne fonctionne pas, la faute à un réel manque de tenue dans l'écriture, et une absence réelle d'alchimie avec un Vincent Lacoste des plus monocorde.
C'est dommage, car ça commence bien en introduisant une protagoniste tondue suite à un amour consommé avec un soldat allemand. Mais même ce point de départ est trop éludé au lieu d'en faire un pivot émotionnel, pour une romance un peu foireuse emplie de digressions, le tout sans passion.
Il y a des arcs narratifs intéressants par moments (dont un avec un soldat US mais qui n'amène rien au final), et il faudra attendre la dernière ligne droite du récit pour commencer à toucher du doigt le projet de Katell Quillévéré.
Dommage, car Anaïs Demoustier est très bien comme d'habitude
2/5
Une très bonne dramédie romantique, qui s'affirme comme le meilleur film de Monia Chokra, et un film authentique sur l'amour, le désir, le couple et le passage du temps.
Porté par de très bons comédiens autant qu'un aspect charnel appuyé (clairement Simple comme Sylvain n'airait pas pu être réalisé/écrit par un homme), c'est une vraie belle surprise
7.5/10 donc 4/5
6 ans plus tard, voilà enfin la suite de l'excellent Chicken Run...et c'est sympa.
Aardman livre encore un boulot d'orfèvre via une claymation impressionnante de détails, pour encore plus de personnages.
Malheureusement, on reste quand même largement en-dessous du 1er, ou bien du prime du studio avec Wallace & Gromit.
La faute a un scénario plus balisé, versant cette fois dans le film de casse à la Ocean's Eleven, et le film d'espionnage tendance Mission Impossible-James Bond.
Des influences galvaudées aujourd'hui que d'autres films d'animation ont pillé en large et en travers (Indestructibles, Bad Guys, Toy Story 2..) et qui donc n'apportent pas spécialement le niveau de singularité du 1er Chicken Run (qui lorgnait entre la Grande Évasion et Luke la main froide).
Même niveau doublage ou humour c'est pas la même tambouille, et je regrette une imagerie trop clean, là où le travail de photographie ancrait totalement le précédent dans le réel.
Qu'à cela ne tienne, le tout se suit sans déplaisir avec un vrai respect des personnages, le retour de Mrs Tweedy, et diverses petites idées régulières assez bien digérées (Truman Show par exemple). C'est fun et encore une fois un travail admirable (1 semaine pour un animateur afin de mettre en boîte 4 secondes de film), mais on reste sur une suite de bien moindre envergure.
3/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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NaughtyDog
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Un vrai bon opus, mais qui ne touche pas le génie de Shin Godzilla en terme de représentation horrifique/métaphorique/philosophique du Roi des monstres.
Avec Godzilla Minus One, on replace Gojira dans un cadre post-WW2, pour nourrir un film de guerre incarné et humain. C'est impressionnant pour son budget, avec de beaux moments de tension, et un climax semblant tout droit sorti de Dunkirk (excellente OST par ailleurs).
Je regrette peut-être un héros un peu monolithique (mais avec un vrai parcours), moins de destruction massive que je l'espérais (une séquence bien musclée à Ganji puis le reste du film est sur l'eau) et surtout un choix scenaristique un peu honteux lors de l'épilogue.
Mais pas de fine bouche, ça fait plaisir de voir Godzilla aussi bien respecté comparé aux daubes du Monsterverse américain.
7/10
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Plus jamais de 4DX
C'était horrible
Et je viens de voir que le film est diffusé ce soir en Dolby Cinema : ils ont ajouté une séance
Tant pis, je vais voir le Bidegain
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ClintReborn
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Un poste de défense sur la flamme de la statue de la liberté alors que cette dernière est fragilisée et fermée au public depuis 1916...
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
À mon avis c'est très dystopiqueClintReborn a écrit : ↑ven. 8 déc. 2023 22:31
Vu :
C'est un extrait sur la page FB de Allociné qui m'a donné envie de le voir et c'est une très bonne comédie dramatique/romantique. Même si il n'est aucunement question de boucle temporelle, le film m'a un peu fait penser à Un jour sans fin sur certains aspects, notamment l'évolution du personnage principal dont une petite touche fantastique le pousse à se remettre en question. C'est très drôle et parfois touchant, la prestation de José Garcia est assez exceptionnelle.
Teen movie culte, j'ai modérément apprécié. Certes c'est très dynamique mais le côté girly et nian-nian m'a parfois exaspéré mais cela dit le film comporte quelques très beaux moments.
C'est un extrait sur la page FB de Allociné qui m'a donné envie de le voir et c'est une très bonne comédie dramatique/romantique. Même si il n'est aucunement question de boucle temporelle, le film m'a un peu fait penser à Un jour sans fin sur certains aspects, notamment l'évolution du personnage principal dont une petite touche fantastique le pousse à se remettre en question. C'est très drôle et parfois touchant, la prestation de José Garcia est assez exceptionnelle.
Teen movie culte, j'ai modérément apprécié. Certes c'est très dynamique mais le côté girly et nian-nian m'a parfois exaspéré mais cela dit le film comporte quelques très beaux moments.