Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3426
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Image

Encore une déception de Shyamalan..
Et c'est dommage car Trap tient un vrai concept pendant 1h en mode Hitman × De Palma-esque servi par une mise en scène maitrisée (et une belle photo du chef op' de Guadagnino).
Et si le tout n'est pas dénué de ficelles narratives, on pardonne devant le ludisme affiché.
Mais ensuite c'est le festival des couleuvres et des facilités ultra grossières (difficile d'en parler sans spoilers mais les manoeuvres du FBI dans ce film virent presque à la parodie) tandis que le personnage de Josh Hartnett se veut plus fouillé.

Dommage car ce dernier livre une performance plutot inspirée, et la fille de Shyamalan est convaincante en pop star.

Bref pas terrible au final...

2/5
Avatar du membre
robinne
Messages : 6797
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

NaughtyDog a écrit : ven. 2 août 2024 21:17 Image

Encore une déception de Shyamalan..
Et c'est dommage car Trap tient un vrai concept pendant 1h en mode Hitman × De Palma-esque servi par une mise en scène maitrisée (et une belle photo du chef op' de Guadagnino).
Et si le tout n'est pas dénué de ficelles narratives, on pardonne devant le ludisme affiché.
Mais ensuite c'est le festival des couleuvres et des facilités ultra grossières (difficile d'en parler sans spoilers mais les manoeuvres du FBI dans ce film virent presque à la parodie) tandis que le personnage de Josh Hartnett se veut plus fouillé.

Dommage car ce dernier livre une performance plutot inspirée, et la fille de Shyamalan est convaincante en pop star.

Bref pas terrible au final...

2/5
Qui croire ?
[mention]Pale[/mention] ou toi ? :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Wickaël a écrit : ven. 2 août 2024 17:56 J'ai decouvert Pearl cet après-midi. La performance de Mia Goth est hallucinante.
Clairement.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : ven. 2 août 2024 21:35 Qui croire ?
@Pale ou toi ? :D
Mon avis n'est pas hyper enthousiaste non plus, je me suis modéré qui plus est :D Car j'aurais pu en effet mentionner aussi certains personnages qui sont d'une stupidité confondante.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Vu :

Image

Je découvre ce film qui a très certainement propulsé Rob Lowe au sommet à l'époque. Film qui transpire les années 80 et surtout la testostérone a plein nez, j'avoue que tout ce virilisme ambiant prête plus à rire qu'autre chose à l'heure actuelle. Malgré tous les clichés éculés du genre, ça reste quand même sympa mais sans plus.

Je précise qu'à une époque, la jaquette me faisait penser à un film sur les arts martiaux mais non, c'est un film sur le hockey sur glace.

Image

Grosse préférence pour les deux premiers épisodes, le problème de ce Deadpool & Wolverine c'est qu'il veut tellement en faire qu'il y a parfois saturation. Après j'ai quand même passé un bon moment car dans tout ce bordel il y a quand même de très bonnes choses et le duo Deadpool/Wolverine offre des scènes vraiment jouissives. Par contre je n'en peux juste plus du multivers et toutes ces conneries.

Image

Ce nouveau Guy Ritchie me fait davantage pensé à un Expendables en pleine seconde guerre mondiale plutôt que Inglourious Basterds. Malgré des longueurs, ça reste jouissif dans l'ensemble et la plupart des scènes d'action dégomment pas mal.

Image

Ma réaction devant le film :

Image

Je fais référence à l'expression de Simon Pegg :D

Je vous avoue, depuis le début je ne le sentais pas du tout ce film. C'est exactement ce à quoi je m'attendais, à une immense guimauve indigeste. Ce film veut prôner le pouvoir de l'imagination, je trouve qu'il prône davantage la déficience mentale. N'est pas Spielberg ou Pixar qui veut.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mon programme ciné du week-end prochain :

Image

En VOD :

Image

Pour The Instigators ça va dépendre de mon humeur et ma motivation d'autant plus que les critiques US sont pas dingues.

Sinon cette semaine il y a ce film qui sort :

Image

Question : qui apprécie Ahmed Sylla ? :D

Il y a pas mal de films qui sont sortis avec cet acteur ces derniers temps mais j'ai l'impression qu'ils ont tous fait un flop (en même temps ça avait l'air ultra pourri).

Depuis son numéro bidon aux César 2023 et en prime sa réaction de demeuré durant l'intervention de la militante, je ne peux tout simplement pas le blairer.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

“Je sens que je peux me surpasser” : Xavier Dolan sort de sa retraite pour faire un film d’horreur

Image

Xavier Dolan avait annoncé arrêter le cinéma, mais le réalisateur prodige est déjà de retour avec un projet de film d’horreur.

L’annonce avait fait les choux gras de la presse cinéphile : il y a un peu plus d’un an, le réalisateur canadien Xavier Dolan avait dit vouloir se retirer du cinéma. Une nouvelle étonnante pour un cinéaste de seulement 35 ans, auréolé de succès depuis J’ai tué ma mère, son premier film réalisé à 20 ans. Depuis, le comédien-réalisateur avait continué d’enchanter la critique et les festivals, avec des films comme Laurence Anyways, Tom à la Ferme, Mommy ou Juste la fin du monde.

Mais la lassitude et la difficulté à monter des projets indépendants dans une actualité toujours plus déprimante avaient fini par avoir raison du jeune cinéaste. Pourtant, Xavier Dolan a révélé ces jours-ci au micro du podcast Sans Filtre qu’il préparait finalement un nouveau film. Une nouvelle d’autant plus surprenante qu’il s’agit d’un projet horrifique, un genre auquel Dolan s’est déjà frotté en tant que comédien (avec des petits rôles dans Martyrs en 2008 et Ça : chapitre 2 en 2019), mais jamais en tant que metteur en scène.

Selon les révélations faites à Sans Filtre, l’histoire du film se déroulerait en 1880 en France, et le tournage débuterait idéalement à l’automne 2025 (Dolan étant actuellement en train de peaufiner le scénario).

À la fois conscient d’être novice dans le genre horrifique, le réalisateur y voit non seulement l’occasion de sortir de sa zone de confort, mais aussi celle de finalement apporter un nouveau regard sur des sujets qui le travaillent depuis toujours, et surtout depuis sa retraite anticipée.

“Ça ne peut pas être plus éloigné de moi, de ma vie, de ce que je connais. Pourtant, en le relisant, je réalise que c’est un film sur la peur de l’échec, la peur d’être aliéné, d’être rejeté, d’être incompris, la difficulté de créer. […] Donc quelque chose que je connais, puis que je ne connais pas en même temps, dans une époque qui me fait envie, dans un style qui me fait envie, dans une proposition complètement différente où je sens que je peux me surpasser, apprendre, grandir, mais avec des thèmes qui mènent dans l’horreur.”

Un projet plus qu’intrigant à suivre de près, qui sera peut-être le grand retour du phénomène Dolan derrière la caméra. En attendant, on va peut-être se remater Tom à la ferme et sa série La Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé, ses deux œuvres qui s’amusaient déjà un petit peu à leur manière avec certains codes de l’horreur.


https://www.ecranlarge.com/films/news/x ... WZy2FPNFVQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Trap : les premiers avis sur le thriller de Shyamalan sont arrivés

Image

Les premiers avis concernant Trap, le nouveau film de M. Night Shyamalan sont tombés, et l’accueil est un peu tiède.

M. Night Shyamalan avait vendu son film pendant sa campagne de promo comme un « Silence des Agneaux à un concert de Taylor Swift« . Dans ce thriller façon huis clos au format XXL, la police a encerclé un stade dans lequel se produit Lady Raven, une superstar internationale de la musique, idole des jeunes de son état. Cette étrange stratégie des forces de l’ordre vise à coincer le tueur en série surnommé « The Butcher » (Le Boucher), dont la police sait qu’il assiste à ce concert avec l’un de ses proches.

Dans les rôles principaux de Trap, on retrouve Josh Hartnett dans le rôle de Cooper, le soi-disant tueur, Ariel Donoghue dans celui de Riley (la fille de Cooper) et Saleka Shyamalan (la fille de Shyamalan lui-même) incarne Lady Raven, la Taylor Swift locale. Gimmick de M. Night Shyamalan oblige, on s’attend à de multiples twists pour ce thriller, et surtout à une réponse tordue à la question : « Josh Hartnett est-il vraiment le tueur de Trap ?« . Question qui reste en suspens pour le moment, mais concernant la qualité du film, les premiers avis sont tombés. Revue de presse.

« Le film de Shyamalan est une expérience d’une simplicité trompeuse. L’intrigue est plutôt ingénieusement simple, au début, mais le voyage difficile d’un père et d’un tueur essayant de ne pas bouleverser la fabrication délirante soigneusement construite de sa vie – et la façon dont les deux identités se heurtent l’une à l’autre un jour fatidique – est exaltant et multidimensionnel. »
Rodrigo Perez – The Playlist

« Même s’il est un peu trop long, alors qu’il commence à se laisser porter par les idées initiales les plus fortes, c’est peut-être son œuvre la mieux conçue depuis Le Village et sans doute le divertissement le plus pur [que M. Night Shyamalan] ait jamais réalisé. »
Nick Newman – The Film Stage

« Ce film n’a pas la profondeur des films les plus importants de Shyamalan ni la théâtralité de ses expériences bizarres les plus mémorables. Mais c’est l’un de ses meilleurs thrillers.»
William Bibbiani – The Wrap

« En tant que délicieux jeu du chat et de la souris, cependant, il offre suffisamment de sensations fortes pour compenser ses illogismes, et avec Josh Harnett, il s’enorgueillit d’une star capable d’insinuer de la diablerie dans la paternité. »
Nick Schager – The Daily Beast

« Trap manque trop souvent du savoir-faire nécessaire pour déborder d’énergie et de tension. Malgré ces faux pas, Josh Hartnett fait presque de Trap un film digne d’être vu, imprégnant son personnage d’une espièglerie qui peut s’avérer captivante. Il est juste dommage que son excellent travail se sente parfois piégé dans un film qui ne sait pas quoi en faire. »
Brian Tallerico – RogerEbert.com

« Lorsque le film est littéralement pauvre en intrigue, seule la détermination et l’engagement du cinéaste parviennent à sauver une fin qui bouscule plusieurs fois la logique et la raison. »
Jeremy Mathai – Slashfilm

« Trap est un autre thriller plein de promesses de M. Night Shyamalan, mais ses choix cinématographiques ne peuvent tout simplement pas rendre justice à ce concept. »
Ross Bonaime – Collider

« Saleka Shyamalan apporte 14 chansons originales et fait un travail crédible sur scène, interprétant un certain nombre d’airs entraînants, mais une fois que Lady Raven est prise dans la série de développements insensés qui se produisent après le spectacle, nous sommes plongés jusqu’aux genoux dans le pays des rires involontaires. Trap est une coquille bien faite, sans rien à l’intérieur. »
Richard Roeper – Chicago Sun-Times

« Demander à un public d’accepter quelque chose d’aussi fondamentalement farfelu frise l’insulte. Pour précisons que ce n’est pas amusant. […] Un film comme « L’étrangleur de Boston » (1968) traitait de ce genre de choses d’une manière obsédante, mais les artifices de Trap se transforment en quelque chose de presque grotesque, à la limite de l’absurde. »
Owen Gleiberman – Variety

La plupart des critiques soulignent la prestation de Josh Hartnett, très crédible dans son rôle de père de famille doublé d’un tueur en série. L’intégralité du film parait d’ailleurs reposer sur ses seules épaules. Cependant, M. Night Shyamalan semble être loin d’avoir réalisé son meilleur film. Trap est décrit comme un thriller solide, mais qui ne transforme pas l’essai. Son concept de tueur pris au piège n’aboutit pas à l’épiphanie attendue.

Reste que la presse est très partagée quant aux rebondissements de Trap, certains estimant qu’ils sont trop absurdes pour être crédibles, d’autres qu’il s’agit des points forts du film. Le film Trap de M. Night Shyamalan sortira dans les salles de cinéma françaises le 7 août 2024.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... c504_EzWoA
Avatar du membre
robinne
Messages : 6797
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : lun. 5 août 2024 16:25 “Je sens que je peux me surpasser” : Xavier Dolan sort de sa retraite pour faire un film d’horreur
On le savait tous qu'il ne tiendrait pas :lol:

Je pense qu'il a les moyens de faire un truc bien, mais le genre "horreur" est casse-gueule :sweat:
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Le box-office US de ce week-end :

Image

https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw

Après son second week-end, Deadpool & Wolverine bat déjà le record monde des deux premiers épisodes.

Le premier avait fait 782 M$ et le second 785 M$.

Ce troisième épisode en est actuellement à 824 M$.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Jenna Ortega et Glen Powell dans le prochain film de J.J. Abrams ?

Image

Le réalisateur de Super 8 prépare un projet top secret chez Warner, avec deux des stars les plus demandées du moment.

Deadline annonce que J.J. Abrams est bel et bien de retour au travail, avec un projet chez Warner… dont on ne sait rien du tout pour le moment. Sauf les deux premiers noms du casting : Jenna Ortega et Glen Powell, déjà annoncé en mai dernier au générique du film. La star de Mercredi et Scream, et le charmant cow-boy de Top Gun : Maverick et Twisters. Super idée, tout le monde est d’accord.

Reste à savoir ce que c’est ! Le réalisateur de Star Trek et Super 8 n’a rien réalisé depuis l’Episode 9 de Star Wars, L’Ascension de Skywalker. Deadline annonce qu’Abrams a écrit le script de ce film-mystère, qui n’est pas un film de voyage dans le temps. Pourquoi la précision ? On ne sait pas, mais l’an dernier, Bad Robot, Warner et Appian Way (le studio de Leonardo DiCaprio) étaient prêts à adapter en film le roman Billy Summers (l’histoire tordue d’un tueur à gages qui se fait passer pour un écrivain) de Stephen King, paru en 2021. Il semble tout de même que le nouveau projet d’Abrams soit toutefois une oeuvre complètement originale.

Sinon, on retrouvera Glen Powell dans la nouvelle adaptation de Running Man par Edgar Wright d’après Stephen King. dont le tournage est imminent. Et avant de retrouver Jenna Ortega dans la saison 2 de Mercredi, vous pourrez la voir dans Beetlejuice Beetlejuice, la suite de vous-savez-quoi, le 11 septembre en France.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... EuWGxXTPVQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Brad Pitt star d'un film de SF dystopique de Jeff Nichols ?

Image

Le réalisateur de The Bikeriders veut filmer une nouvelle Grande Dépression touchant les Etats-Unis, après la disparition des réserves de pétrole.

Jeff Nichols a fait part, durant la promotion de son dernier film The Bikeriders, de son envie d'enchaîner avec un projet de science-fiction. On pensait qu'il s'agirait du remake d'Alien Nation, qu'il a évoqué quelques fois depuis 2016, mais il semblerait qu'il ressorte plutôt un vieux projet de ses tiroirs : Land of Opportunity. World of Reel rapporte que le réalisateur de Take Shelter avait écrit ce script au début des années 2010 pour en faire une série HBO, mais que comme la chaîne n'a finalement pas donné suite, il voudrait aujourd'hui reprendre son histoire sous forme de long métrage.

Land of Opportunity, c'est une dystopie se déroulant dans un futur proche en Arkansas, au cœur d'une nouvelle Grande Dépression, après une énorme chute du dollar liée à la disparition des dernières ressources de pétrole. Avec un twist de taille, puisqu'il s'agirait aussi en parallèle d'une histoire d'extra-terrestres ! Brad Pitt serait intéressé pour en être la star, précise l'article, après avoir lu son script retravaillé. La Paramount, qui s'est engagé à le produire dès 2021, voudrait lancer son tournage l'été prochain.
DR

"J'ai envie de tourner un film à gros budget, avait révélé le cinéaste lors de la promotion de Loving, en 2017. Ça va peut-être foutre ma carrière en l'air, mais tant pis. Je veux réaliser un film dans l'air du temps."

Quatre ans plus tard, il ajoutait, en ayant déjà en tête ce film de SF :

"J'adorerais que ce soit ma prochaine réalisation. Ce projet réunit tout ce que j'ai à dire à propos de l'humanité de l'univers. Ce sera un gros film. Avec une vision immense, et un grand cœur, aussi. Croyez-le ou non, il y aura des aliens dedans. Sauf que ça se passera en Arkansas et que ça ressemblera aux précédents trucs du mec qui a fait Mud. Mais avec des aliens."

Ce film porté par Matthew McConaughey avait connu un joli succès en 2013. Malgré l'absence d'aliens dans son intrigue...


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... jNR708KTyg
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

[youtube]_Hm9LQx0yvE[/youtube]
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
robinne
Messages : 6797
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mar. 6 août 2024 16:30 Brad Pitt star d'un film de SF dystopique de Jeff Nichols ?

Image

Le réalisateur de The Bikeriders veut filmer une nouvelle Grande Dépression touchant les Etats-Unis, après la disparition des réserves de pétrole.
Je signe :bounce:
Pale a écrit : mar. 6 août 2024 20:47 Image
intringant :??:
Avatar du membre
Kit
Messages : 9442
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

bon anniversaire à
Charlize Theron 49 ans
Image

Alexandre Aja 46 ans
Image
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Borderlands : les premiers avis sur l’adaptation du jeu vidéo sont tombés

Image

Les premiers avis pour le nouveau film d’Eli Roth, Borderlands, adaptation du jeu vidéo du même nom sont arrivés. Et ça fait très peur.

En pleine tournée promotionnelle pour Borderlands, portage au cinéma du jeu vidéo éponyme, Eli Roth avait déclaré que Borderlands était un mélange de New York 1997 et du Cinquième Élément. Entre ça et les bandes-annonces présentant le film comme un cocktail de Suicide Squad et des Gardiens de la Galaxie, les comparaisons plus ou moins prestigieuses ne manquaient pas. Il s’agissait sans doute d’une tentative pour nous faire oublier le développement infernal de Borderlands.

En dépit de tout ce bruit autour du film, l’annonce d’un casting comprenant entre autres Cate Blanchett, Jack Black, Kevin Hart et Jamie Lee Curtis avait donné espoir quant à la qualité du produit final, qu’on espérait être, a minima, une sympathique série B colorée et à l’humour grinçant. Mais les premiers avis sont tombés, et le résultat semble bien loin de ce qu’on pouvait attendre d’un tel projet. Revue de tweets assassins qui ne laissent que peu d’espoir.

« Eh bien, je peux vous dire que j’ai vu Borderlands maintenant et que c’est vraiment mauvais. Je voulais vraiment l’aimer, mais une intrigue sans inspiration, avec plusieurs performances sans panache et qui est coincé dans un endroit étrange où cela semble à la fois cher et bon marché en font un énorme ratage. »
Matthew Simpson – Awesome Friday !

« Borderlands est un désastre. Rempli de tous les clichés possibles et imaginables, ce film troque le chaos et l’imagination des jeux pour un film sans vie, sans drôlerie et visuellement répugnant, avec des personnages agaçants et un casting sans une once d’alchimie. »
Adriano Caporusso – Bitesize Break

« Borderlands est une adaptation de jeu vidéo déconcertante. Il y a un potentiel pour une grande construction du monde, mais cela ne se produit jamais en raison d’un scénario bâclé et ennuyeux. La conception des décors est impressionnante mais le film n’en profite jamais en raison de CGI médiocres.

Cate Blanchett, Ariana Greenblatt et Jack Black sont tous excellents, même si leurs personnages sont sous-développés et que la majorité des blagues tombent à plat. Et tandis que le jeu vidéo est classé M [soit à partir de 16 ans, ndlr], le film est classé PG-13 et clairement, on sent que cela a placé Eli Roth dans une situation inconfortable alors qu’il essayait de créer une aventure spatiale amusante et bizarre. Pas mal, mais totalement oubliable. »

Darren Movie – Movie Scene Cam

« Borderlands, c’est comme si un boomer déconnecté de la réalité tentait de faire un film pour les « jeunes branchés » sans vraiment savoir ce qu’ils trouvent attrayant. Il n’y a pas un seul moment de sincérité entre les personnages ici, juste des plaisanteries odieuses qui semblent datées dès qu’elles sortent de la bouche des acteurs. Il n’est même pas assez mauvais pour devenir sympa, c’est juste un désastre complet.«
Edgar Ortega – Loud and Clear

« L’embargo sur les réseaux sociaux est maintenant levé et je peux dire que Borderlands a un niveau de détail exceptionnel pour ceux qui ont joué aux jeux vidéo, mais je ne sais pas si ce sera suffisant pour empêcher les gens de l’accuser d’être une contrefaçon des Gardiens de la Galaxie. »
Sean Patrick Kelly – Screenrant

Les premiers avis concernant Borderlands sont donc plus qu’inquiétants. Les quelques critiques ayant pu le découvrir lors de l’avant-première mondiale de Los Angeles de ce 6 août 2024 décrivent un film à l’humour mal dosé, avec des acteurs pas vraiment concernés par ce qu’ils font, et surtout, une intrigye qui passe à côté du propos du jeu vidéo Borderlands. Qualifié de « désastre« , de film « sans vie« , voire d’énorme « ratage« , le film d’Eli Roth est loin d’avoir emporté les suffrages.

Ce n’est pas tellement une surprise puisque le film n’a pas du tout été montré à la presse française avant sa sortie (raison pour laquelle notre critique arrivera dans quelques jours), ni même à celle anglophone, obligé de se jeter sur l’unique présentation du film à Los Angeles pour la première mondiale. On pouvait donc se douter, comme d’autres films non dévoilés à la critique par le passé, que cela n’annonçait rien de bon. Pour se faire une idée précise, il suffit toutefois d’aller voir le film au cinéma désormais, Borderlands étant visible en salles depuis ce 7 août 2024 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... Uiqw2if_VQ
Avatar du membre
BOX OFFICE STORY
Messages : 6689
Enregistré le : mer. 2 sept. 2020 00:43
Contact :

Pale a écrit : mar. 6 août 2024 16:28 Jenna Ortega et Glen Powell dans le prochain film de J.J. Abrams ?

Image

Le réalisateur de Super 8 prépare un projet top secret chez Warner, avec deux des stars les plus demandées du moment.

Deadline annonce que J.J. Abrams est bel et bien de retour au travail, avec un projet chez Warner… dont on ne sait rien du tout pour le moment. Sauf les deux premiers noms du casting : Jenna Ortega et Glen Powell, déjà annoncé en mai dernier au générique du film. La star de Mercredi et Scream, et le charmant cow-boy de Top Gun : Maverick et Twisters. Super idée, tout le monde est d’accord.

Reste à savoir ce que c’est ! Le réalisateur de Star Trek et Super 8 n’a rien réalisé depuis l’Episode 9 de Star Wars, L’Ascension de Skywalker. Deadline annonce qu’Abrams a écrit le script de ce film-mystère, qui n’est pas un film de voyage dans le temps. Pourquoi la précision ? On ne sait pas, mais l’an dernier, Bad Robot, Warner et Appian Way (le studio de Leonardo DiCaprio) étaient prêts à adapter en film le roman Billy Summers (l’histoire tordue d’un tueur à gages qui se fait passer pour un écrivain) de Stephen King, paru en 2021. Il semble tout de même que le nouveau projet d’Abrams soit toutefois une oeuvre complètement originale.

Sinon, on retrouvera Glen Powell dans la nouvelle adaptation de Running Man par Edgar Wright d’après Stephen King. dont le tournage est imminent. Et avant de retrouver Jenna Ortega dans la saison 2 de Mercredi, vous pourrez la voir dans Beetlejuice Beetlejuice, la suite de vous-savez-quoi, le 11 septembre en France.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... EuWGxXTPVQ
Et Sydney Sweeney tourne Barbarella, la combinaison de Barbarella va craquer ça c'est sur.
Et Jenna Ortega est partie plusieurs mois sur le plateau de Mercredi saison 2 pour Netflix avec un gros chèque dans la poche.
Modifié en dernier par BOX OFFICE STORY le mer. 7 août 2024 16:34, modifié 1 fois.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Ben Affleck va bientôt jouer le catcheur Hulk Hogan dans un film de procès avec Matt Damon

Image

Ben Affleck et Matt Damon vont jouer dans un film sur la bataille judiciaire entre Hulk Hogan et Gawker, autour d’une affaire de sextape.

Vous avez été émus aux larmes devant La Différence de Robert Mandel ? Vous êtes nostalgiques de Ben Affleck et Matt Damon dans Will Hunting ? Vous étiez morts de rire devant Dogma et Jay et Bob contre-attaquent de Kevin Smith ? Vous aviez adoré voir les relations viriles et tendues des deux acteurs dans l’excellent Le Dernier Duel ? Vous ne jurez que par le rayonnant duo et son osmose dans Air de Ben Affleck ? Vous allez être comblés, parce que les deux acteurs vont définitivement reprendre du service.

En effet, alors que les deux complices ont fondé leur propre studio de production indépendant, Artists Equity, les projets n’arrêtent plus depuis entre leur très réussi Air et quelques films pour des plateformes studios (dont un film avec Cillian Murphy). Les deux ex-poulains de Miramax viennent donc d’acquérir un scénario de Charles Randolph (The Big Short), inspiré du livre de Ryan Holiday, Conspiracy: Peter Thiel, Hulk Hogan, Gawker and the Anatomy of Intrigue, qui pourrait être réalisé par un cinéaste qu’ils connaissent bien.

Le livre racontait le fameux procès de Hulk Hogan dans l’affaire de sa sextape publiée par le site Gawker en 2012. L’ancien catcheur avait finalement gagné son procès, ce qui lui avait rapporté pas moins de 140 millions de dollars. Le film, intitulé Killing Gawker (pour l’instant), devrait donc raconter la même histoire et selon The Hollywood Reporter, Gus Van Sant, qui a révélé au grand public le duo phénomène avec Will Hunting, serait en discussion pour réaliser cette adaptation.

Le moyen pour lui de faire son grand retour au cinéma, six ans après Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot, et donc de retrouver Ben Affleck et Matt Damon. Ben Affleck devrait jouer le très controversé catcheur, actuellement à contre-courant du tout Hollywood puisque pro-Trump, et Matt Damon pourrait jouer Peter Thiel, le co-fondateur de PayPal qui avait soutenu Hulk Hogan durant son procès (notamment en l’aidant à financer toutes les procédures…) pour se venger de Gawker, le site ayant révélé son homosexualité en 2007.

Ce n’est pas la première fois que ce projet est sur le point de se concrétiser. En effet, avant qu’Affleck et Damon jettent leur dévolu sur ce procès, Francis Lawrence (réalisateur d’une bonne partie des Hunger Games) avait failli réaliser un film sur le livre de Holiday avant de disparaître dans les limbes d’Hollywood. Plus encore, Netflix avait lancé en 2019 la production d’un film sur le catcheur avec Chris Hemsworth dans la peau de Hulk Hogan et Todd Phillips à la réalisation. Toutefois, le film du N rouge serait au point mort depuis.

Le projet de Ben Affleck et Matt Damon est donc particulièrement intriguant même si, à ce stade, la patience est de rigueur. Sans confirmation officielle de la part de Artists Equity, le film n’a évidemment aucune date de sortie. En revanche, pour les curieux, à défaut de concrétiser son film de fiction, Netflix avait bel et bien couvert l’affaire à travers un documentaire toujours disponible dans son catalogue : Le procès d’une presse libre.


https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... Ud6iOfeXlg
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL n'a pas aimé Trap (1,5 étoiles) :

Image

Le maître (ou le pourfendeur, selon les périodes) du suspense et du twist est de retour, après le plutôt réussi Knock at the Cabin sorti en 2023. M. Night Shyamalan revient avec Trap, un thriller raconté du point de vue du tueur et qui se déroule pendant le concert d’une pop star. Est-ce que l’exercice de style penche du (très) bon côté de la filmographie Shyamalan, comme Incassable ou Sixième Sens, ou du (très) mauvais, comme La Jeune Fille de l’Eau ou Glass ? Malheureusement, le jeu du chat et de la souris de Josh Hartnett s’avère tourner rapidement au ridicule depuis ce 7 août au cinéma.

FORCE DE TRAP


Sur le papier, Trap avait tout pour plaire, et sa bande-annonce rythmée mettait l’eau à la bouche. Le principe était clair : un gentil papa emmène sa fille de 12 ans voir le concert d’une chanteuse à succès, jusqu’à ce qu’il se rende compte que la salle de concert est cernée par les flics qui sont à sa recherche, parce qu’il serait en réalité le tueur en série qui terrorise la région…

A partir de là devait se mettre en place un escape game pointilleux opposant la minutie et la perversité du tueur à la puissance de feu et la perspicacité de la police, épaulée d’une redoutable profileuse. Ça aurait fait un super film, non ? Surtout avec le patron des labyrinthes psychologiques aux commandes, et le grand retour de Josh Hartnett dans un premier rôle. Sauf que le film ne ressemble finalement pas du tout à sa bande-annonce et à toutes ses promesses, comme c’est parfois le cas.

L’exemple le plus criant étant que le trailer laissait envisager un huis clos prenant place exclusivement pendant le concert, ce qui est loin d’être le cas. Sans en dire davantage, une bonne partie de l’intrigue se passe après le concert et en dehors de la salle de spectacle, ce qui ôte de facto beaucoup de tension à l’ensemble, rebattant les cartes établies au début du film qui posaient les règles de cette chasse à l’homme inversée en milieu clos.

En résulte une narration boiteuse qui allonge le film plus que de raison, et se termine en une cascade de différentes conclusions interminables et superflues (quelque part dans l’esprit de Shyamalan, il s’agissait sans doute de retournements de situation particulièrement subtils et étonnants). Mais malheureusement, il n’y a pas que dans la structure du film que les choses ne fonctionnent pas. Et Josh Hartnett, qui donne tout ce qu’il a, ne suffit pas à rattraper la catastrophe.

TRAP (PAS TRÈS) CHIRURGICAL

Bien avant que n’arrive la désillusion du faux huis clos se pose le problème de la crédibilité des événements. Que le spectateur soit tolérant envers quelques situations improbables, c’est une chose, mais qu’il puisse croire au déluge d’absurdités que propose Trap en est une autre. Admettons que la fille du tueur accepte que son père quitte sa place toutes les cinq minutes avec des prétextes tous plus fallacieux les uns que les autres passe encore (en fait, non), mais qu’elle tolère en bronchant à peine de rater plusieurs chansons de sa star préférée parce que son daron veut l’emmener “faire un tour” en plein milieu du concert, ça commence à faire sourire.

Ajoutons à ça que toutes les personnes présentes dans le stade semblent être enclines à aider le tueur en cavale, alors même que la sécurité est censée être poussée au maximum : le vendeur de t-shirt avec lequel le dialogue équivaut à “Bonjour, vous savez par où sortir au cas où on serait un dangereux psychopathe ?” “Oui c’est par-là, bonne soirée et gros bisous !”, le policier posté sur le toit qui veut avoir l’air très très méfiant mais qui dévoile en deux seconde la stratégie des forces de l’ordre, la chanteuse qui prend des risques inconsidérés…

A partir de ce moment-là, le suspens ne prend jamais tant le spectateur comprend que la situation ne sera jamais un tant soit peu réaliste. Par ailleurs, beaucoup d’éléments sont annoncés et placés avec précaution comme des fusils de Tchekov (l’issue par les coulisses, la trappe dans le sol, le badge de l’employé, le mot de passe de la police…), et donnent l’impression qu’ils seront les pièces d’un grand puzzle imaginé par le tueur pour s’en sortir, et que la révélation finale permettra de tous les assembler.

Or, chacun de ces accessoires s’avère soit inutile, soit utilisé lors de dialogues gadgets comme ceux précédemment cités, sans jamais être réellement utiles au récit. A croire que Shyalaman s’en sert comme d’esbroufe pour donner l’impression que son film est écrit au cordeau, alors qu’il tient sur un échafaudage branlant de situations risibles et de dialogues dépourvus de toute subtilité.

TRAP PAS FORT

Après l’escape game raté, la deuxième ambition du film est d’élaborer un peu sur les relations du tueur avec sa famille. Malheureusement, là non plus, rien ne fonctionne. Amenée trop tard, la dichotomie psychopathe sans merci/père de famille aimant est à peine creusée, tout juste esquissée dans des dialogues explicatifs et fourre-tout avec le personnage d’Alison Pill, qui incarne la femme du tueur. Et encore, c’est sans citer l’horrible séance de psychologie de comptoir dans la voiture, qui oblige à se cacher les yeux tant elle est gênante de ridicule.

Mais Shyamalan ne développe pas plus la relation du meurtrier à ses actes de violence : pourquoi les commet-il, qu’y trouve-t-il, pourquoi ne peut-il (ou ne veut-il) pas s’arrêter ? Ce n’est pas le sujet du film (aucun meurtre ni corps n’est même montré), certes, mais ignorer entièrement la question laisse un vide étonnant dans l’écriture du personnage. Un vide à peine rafistolé par les TOC du psychopathe, là aussi présentés tardivement et de manière terriblement artificielle comme étant une caractérisation du protagoniste (le coup de la serviette dans la salle de bain donnerait des cauchemars au scénariste le plus débutant).

Et au milieu de ce marasme demeure une question : le personnage de la profileuse arbore-t-il le même chignon en spirale très caractéristique de Kim Novak dans Sueurs Froides pour une raison particulière autre que de faire un clin d’œil à Hitchcock ? Shyamalan veut-il, par ce clin d’œil, se réclamer de l’héritage de l’autre maître des twists ? Si oui, le malheureux a mal choisi son film pour invoquer un tel mentor.

La véritable volonté du réalisateur était sans doute, avec Trap, de mettre en avant sa propre fille, Saleka, chanteuse de profession, qui incarne ici la pop star du film et en a écrit les chansons (insipides). La jeune femme y gagne un pseudo-concert filmé, et tant pis pour le public qui n’avait pas compris qu’en lieu et place d’un thriller, il assisterait à la fabrication d’un CV de nepo baby. Après qu’il a produit Les Guetteurs, le premier film de son autre fille (Ishana) sorti cette année, Shyamalan semble, ces jours-ci, davantage investi dans la carrière de ses enfants que dans la qualité de ses films, et ça se sent.

Après le sursaut d’espoir provoqué par Knock at the Cabin en 2023, M. Night Shyamalan prouve (encore) avec Trap qu’il a perdu le mojo. Le thriller tendu vire en deux secondes à la soupe aux situations téléphonées, artificielles et jamais crédibles, provoquant plus le rire involontaire que le suspense. 1,5 point pour la bande-annonce bien meilleure que le film et un Josh Hartnett investi.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... NOpRxkVevQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Premières images officielles pour Saturday Night de Jason Reitman, qui reviendra sur la première de l'émission culte SNL :

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Film qui a tout pour devenir un phénomène aux USA à sa sortie.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Pour rappel, le Soderbergh avait fait sensation durant le dernier festival de Sundance :

"Quel régal !" : cette histoire de fantôme du point de vue du fantôme "sort de l'ordinaire" et n'a pas laissé les premiers spectateurs indifférents

https://www.allocine.fr/article/fichear ... 61995.html
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

[youtube]9xkVxO-YibU[/youtube]

Ce teaser ne dévoile rien et pourtant l'ambiance se montre déjà terrifiante :roll:
Avatar du membre
robinne
Messages : 6797
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mer. 7 août 2024 19:37 [youtube]9xkVxO-YibU[/youtube]

Ce teaser ne dévoile rien et pourtant l'ambiance se montre déjà terrifiante :roll:
Ca va faire plaisir de voir un Soderbergh en salles :hot:
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a détesté Borderlands (1 étoile) :

Image

Eli Roth a gravi les échelons de la gloire avec ses films d’horreur : Cabin Fever, Hostel, The Green Inferno (et l’horreur d’Halloween pour pré-ado la Prophétie de l’Horloge)… Mais le bonhomme a l’esprit d’un couteau suisse et a aussi donné dans le remake décérébré avec Death Wish et dans la coproduction potache avec Baywatch. Pour sa nouvelle réalisation, l’adaptation de la franchise de jeux vidéo Borderlands, c’est plutôt le Eli Roth tournevis cruciforme à navets qui a pris les rênes. Et ce n’est pas sa brochette d’acteurs Cate Blanchett, Kevin Hart, Jamie Lee Curtis ou Jack Black qui parvient à sauver quoi que ce soit. Borderlands est une adaptation de jeu vidéo totalement ratée, digne de la fange des pires produits d’exploitation.

BORDERLANDS EN TROUBLE BORDERLINE


Si la licence Borderlands est moins connue du grand public qu’un GTA ou que le duo de sauteurs Mario/Sonic, il s’agit tout de même d’une vraie machine à billets. FPS se déroulant dans un univers post-apocalyptique, et proposant des mécaniques de looter-shooter (on tue des sbires, on ramasse des armes, on perd 10 minutes dans l’inventaire à choisir son équipement, et on recommence). Avec trois jeux principaux et trois spin-offs, la licence franchise Bordelands désormais 86 millions d’unités au compteur. Un score colossal synonyme de ticket pour Hollywood.

Mais comment adapter au cinéma un jeu interdit aux moins de 18 ans, sanglant, impertinent, malin, et porté par une galerie de personnages tous plus cinglés les uns que les autres ? Eh bien, c’est facile, on le transforme en une comédie de science-fiction classée PG-13 (avec supervision des parents recommandée), on abolit toute notion de gore. Pour le service au verre de ce cocktail, Arad production vous propose de ne pas tenir compte de l’histoire des jeux, et de concocter une sorte de synopsis hybride mal fichu, sans souci de cohérence.

Le film impose de suivre la chasseuse de prime Lilith (Cate Blanchett) alors qu’elle retourne sur Pandore, sa planète natale, pour retrouver Tina (Ariana Greenblatt), la fille « très spéciale » disparue d’Atlas, le Jeb Bezos de cet univers. Celle-ci a été kidnappée par Roland (Kevin Hart) et est suivie par son protecteur, Krieg (Florian Munteanu). On rentre aussi au forceps Claptrap (Jack Black), un robot comic-relief. Si la mission de Lilith est de ramener la gamine au bercail, rapidement, grâce à des failles scénaristiques et au pouvoir de l’amitié, le quintet se trouve embarqué dans la quête de l’Arche, une relique alien.

Dès les premières minutes du film, les premiers problèmes sautent au visage. Cate Blanchett nous assène en voix off les enjeux de cet univers à grands coups de jurons, parce qu’il faut bien être subversif. Il est évident que cette voix off a été ajoutée a posteriori pour faire comprendre le contexte du film et on y voit le début du déraillement du train Borderlands. Quand dans le quart d’heure qui suit on assène 50 fois au public « il faut trouver l’Arche« , on a déjà un avant goût de l’enfer que va être ce film vide de sens et dépourvu de toute intention artistique ou narrative.

CASTING SAUVAGE

En réalité les soucis étaient là dès le pitch de départ. Le choix a été fait de constituer une équipe avec des personnages de Borderlands 1 (Lilith et Roland) et de sa suite (Tina et Krieg), mais avec les enjeux du premier jeu. Les connaisseurs des jeux y verront un énorme je-m’en-foutisme qui témoigne du peu de considération que la production a accordé au matériau de base. Mais qu’importe, le propre des adaptations est de prendre des libertés.

Là où les choses empirent, c’est que si la promotion met en avant un casting « de choix », en réalité, ce ne sont là que des erreurs de casting. À commencer par Kevin Hart, dans le rôle du soldat d’élite Roland, devenu un pauvre tâcheron de seconde zone dont à du mal à croire qu’il arrive une arme sans se tirer une balle dans le genou. Cate Blanchett, trois oscars au compteur, nous gratifie de sa plus grande palette de non-émotion depuis sa lamentable Hela dans Thor 3, avec deux expressions faciales : avec froncement de sourcils, et sans froncements de sourcils. Chouette.

Jamie Lee Curtis est venue cachetonner, Florian Munteanu doit dire 10 phrases de trois mots, Ariana Greenblatt n’a aucune idée de ce qu’elle fait là, et Jack Black est clairement en roue libre, se complaisant dans trois blagues scatophiles. Tout ce petit monde se contrefout royalement de ce qui se passe à l’écran, et jouent comme s’ils étaient dans un mauvais épisode de Power Rangers. Personne n’est concerné, et c’est à se demander s’il y a eu la moindre direction d’acteurs sur le plateau.

À défaut d’acteurs ayant envie de faire le moindre effort, le monde de Pandore aurait pu donner vie à Borderlands : eh bien non. Outre la mise en scène ignoble, ne se souciant ni d’une quelconque lisibilité, ni de donner du sens à ce qui est filmé, la direction artistique ignoble brûle les rétines. Borderlands est moche de bout en bout : les costumes ont l’air d’avoir été fait par des amateurs de la Japan Expo, la colorimétrie ultra saturée pourrait tuer un daltonien, et les effets numériques semblent sorti d’une IA générative. Pour une production à 120 millions de dollars, on se demande où est passé le budget.

L’ENFER CE N’EST PAS LES AUTRES, C’EST BORDERLANDS

Après 1h40 de souffrance (en durée réelle, 4h25 en durée ressentie), il est évident que personne a bord n’a compris ce qu’était Borderlands. Arad Productions a cru qu’il s’agissait du American Pie du FPS et qu’il suffisait de dire « merde » et faire des blagues sur les golden showers pour conquérir les fans et le grand public. Le film est si stupide qu’il n’est pas destiné au cerveau d’un adulte. Sauf qu’il est interdit aux enfants. L’équation est simple à résoudre : à bord du vaisseau Borderlands, personne n’a su viser un quelconque public.

Le film est donc un enfer à regarder, subissant de plein fouet son intrigue ultra-prévisible et sa conception catastrophique ayant vu passer une dizaine de scénaristes et ayant changé de réalisateur (Tim Miller) pour des reshoots. Habituellement, ce n’est pas forcément rédhibitoire, mais ici, toutes ces turbulences se voient à l’écran. Borderlands est un amalgame foutraque de ce que le genre de l’adaptation de JV et du cinéma d’action ont fait de pire, un monstre de Frankenstein qui baigne dans une constante impression de déjà-vu.

Borderlands ne propose jamais rien de neuf. Une construction à la Suicide Squad/Gardiens de la Galaxie, une OST parsemé de morceaux qui n’ont rien à faire là : du Motorhead, du Electric Light Orchestra… Musiques rentrées là avec une bonne dose de lubrifiant pour essayer de faire croire au public que le film est « cool ». Avec un humour qui tombe toujours à plat, le film ne parvient jamais à faire sourire. Quant au fan-service obligatoire, il se résume à jeter des noms au hasard (Knox, Krom, Moxxi…) sans jamais se soucier de savoir si cela a du sens.

On a ainsi l’impression que la production balance des cacahuètes aux joueurs, les prenants pour des personnes aussi décérébrées que le film. Et c’est là la violence ultime dont fait preuve Borderlands : il prend les spectateurs pour des abrutis, et les joueurs pour des crétins finis. Eli Roth s’est dit fier d’annoncer que son Borderlands n’était que la première étape vers la construction d’un Borderlands Cinematic Universe (oui, encore un). Au vu de la non-qualité du film, il ne reste qu’à espérer que ce fiasco artistique, condescendant et absurde, enterre tout projet de ce genre.

Borderlands est l’une des pires choses jamais arrivées à l’histoire des adaptations de jeu vidéo au cinéma. Eli Roth a transformé un FPS impertinent et malin en une comédie de SF premier degré, jamais drôle, toujours stupide, flanquée d’une écriture au rabais et sans aucune vision artistique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... kPqirOauVA
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Le box-office français de la semaine :

Image

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... OPtIp3q1fQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

[youtube]iZ9O_tl5Npk[/youtube]
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

[tweet][/tweet]
Avatar du membre
Kit
Messages : 9442
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

:hello:
Dustin Hoffman a eu 87 ans hier
Image
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Kit
Messages : 9442
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

bon anniversaire à
Pierre Santini 86 ans (Un juge, un flic, Les 5 dernières minutes, Alice Nevers : Le juge est une femme)
Bulle Ogier 85 ans
Sam Elliott 80 ans :love2:
Melanie Griffith 67 ans
Amanda Bearse 66 ans (Mariés, deux enfants)
Eric Bana 56 ans
Gillian Anderson 56 ans (X-Files)
Kevin McKidd 51 ans (séries Rome, Grey's Anatomy)
Audrey Tautou 48 ans (Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain)
Jessica Capshaw 48 ans (Grey's Anatomy)
Jes Macallan 42 ans (séries Mistresses, Legends of Tomorrow)
Anna Kendrick 39 ans (saga Twilight, In The Air)
Paige Spara 35 ans (série Good Doctor)
Bill Skarsgård 34 ans (Deadpool 2, Ça, Ça : Chapitre 2)
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

[youtube]TbiPcMCz0Ek[/youtube]

Image

[youtube]o17MF9vnabg[/youtube]

Image

[youtube]hDZ7y8RP5HE[/youtube]
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Plusieurs images/news balancées à la D23 :

Image

Image

Image

Image

Image

[tweet][/tweet]
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
robinne
Messages : 6797
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : sam. 10 août 2024 08:35
Image
Ca peut envoyer du pâté :bounce:
De qui est le film ?
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : sam. 10 août 2024 08:41
Pale a écrit : sam. 10 août 2024 08:35
Image
Ca peut envoyer du pâté :bounce:
De qui est le film ?
Le norvégien Joachim Rønning.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Concept art de Zootopie 2 :

Image

Concept art de La Reine des neiges 3 :

Image
Avatar du membre
yhi
Messages : 488
Enregistré le : ven. 9 oct. 2020 10:48

Ils ont changé la méthode de rendu pour Toy Story 5 ? Ca fait bizarre. (ou alors ils ont publié une image mal finie :D )
Avatar du membre
yhi
Messages : 488
Enregistré le : ven. 9 oct. 2020 10:48

Pale a écrit : sam. 10 août 2024 08:37 Image
Cette affiche me fait penser à solaris
Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

yhi a écrit : sam. 10 août 2024 11:03 Ils ont changé la méthode de rendu pour Toy Story 5 ? Ca fait bizarre. (ou alors ils ont publié une image mal finie :D )
Oui je pense que c'est un simple concept art.

Disney a aussi balancé des infos sur un nouveau Pixar qui s'intitule Hoppers et prévu pour 2026 :

Image

Image

Image

Selon [mention]NaughtyDog[/mention] :
Hoppers est un Pixar prévu pour 2026 (avec Toy Story 5) au concept farfelu : une jeune fille transfere son cerveau dans un robot castor pour infiltrer une communauté de vrais castors, menacés par le maire de la ville (Jon Hamm). C'est Avatar en fait ^^
J'achète :hot: :hot: :hot:
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

BOX OFFICE STORY a écrit : mer. 7 août 2024 16:32 Et Sydney Sweeney tourne Barbarella, la combinaison de Barbarella va craquer ça c'est sur.
:lol: Hâte d'avoir un premier aperçu :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Vu :

Image

J'avais fait l'impasse dessus au ciné mais au final j'ai beaucoup aimé. C'est drôle mais en même temps chaque sketch est bien ficelé et tient en haleine.

Image

La première partie fait illusion, film de braquage dans lequel rien ne se passe comme prévu. Malheureusement les choses commencent à patiner dans la seconde partie, le rythme décline et le duo Matt Damon et Casey Affleck finit également par souler tant leurs échanges deviennent sérieusement redondants. Typiquement le genre de film où on a l'impression que les acteurs avaient besoin de payer des factures.

Image

Le film se fait massacrer et je peux le concevoir mais ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment. Il y a un côté cheapos mais le film est généreux en action et le rythme est tel que je ne me suis pas ennuyé. Disons que ça m'a rappelé le cas Monster Hunter de Paul W.S. Anderson que j'avais bien kiffé. Deux adaptations de jeux auxquels je n'ai pas joué donc je suis peut-être plus indulgent envers ces films :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mon programme ciné du week-end prochain :

Image

Peut-être :

Image

En VOD :

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Crawl 2 : une suite au film de crocodiles arrive et ça se passera en plein New York

Image

Alexandre Aja revient filmer des crocos pour le survival Crawl 2, qui est en préparation.

Malgré son scénario très classique écrit par les frères Michael et Shawn Rasmussen, Crawl d’Alexandre Aja (La Colline a des yeux, Piranha 3D) a été une bonne petite surprise en 2019. Fort de sa réalisation efficace, Crawl était même un des films préférés de Tarantino cette année-là (oui oui). En salles, le long-métrage produit par Sam Raimi n’a pas déçu du côté de la Paramount, étant donné qu’il avait rapporté la coquette somme de 91,5 millions de dollars dans le monde, pour moins de 14 de budget.

Pour ceux l’ayant raté, Crawl raconte l’histoire d’Haley (Kaya Scodelario) et de son père Dave (Barry Pepper), tous deux retranchés dans le vide sanitaire sous leur maison lors d’une tornade et qui vont devoir faire face à des alligators enragés. Ils doivent alors mettre leurs différends de côté pour espérer survivre. Et si on commençait à s’impatienter, c’est officiel, le survival va bien avoir droit à une suite, et on changera totalement d’endroit pour l’occasion.

C’est The Hollywood Reporter qui a annoncé la nouvelle : Crawl 2 est bien en développement du côté de la Paramount. Alexandre Aja sera de retour à la réalisation, Sam Raimi toujours à la production mais les scénaristes, eux, vont changer. Adieu les frères Rasmussen, bienvenue à Andrew Deutschman et Jason Pagan, duo notamment connue pour son travail sur Paranormal Activity 5 et Projet Almanac.

Pour être honnête, vu ce petit CV, le scénario ne devrait pas voler très haut. Cependant, les premiers éléments dévoilés sur ce Crawl 2 nous donnent très envie d’espérer un bon gros délire de série B comme on les aime. En effet, selon certaines sources de THR, l’univers va quitter la Floride et cette suite se déroulera désormais à New York et ses dangers plus urbains. On peut donc s’attendre à ce que les enjeux soient boostés à une plus grande échelle, et peut-être même à ce qu’on retrouve les crocos dans la rue.

Car oui, à ce stade, on ne sait même pas si Crawl 2 contiendra encore des crocodiles ou autres alligators prêts à tout dévorer sur leur passage comme dans le premier volet. Cela dit, les voir débarquer en plein New York serait-il vraiment étonnant ? Après tout, le film de requins Sous la Seine de Netflix a été un énorme succès à travers le monde, explosant les scores et dépassant toutes les espérances du N rouge.

Il ne serait donc pas surprenant que d’autres studios y aient vu l’opportunité rêvée de lancer des films du même type dans d’autres capitales ou ici, une ville majeure comme New York. Après les aliens de Sans un bruit : Jour 1, les crocodiles envahiront-ils le métro de la Grosse Pomme ou l’Hudson River dans Crawl 2 ? Mystère. En tout cas, le tournage devrait débuter à l’automne 2024. Aucune date de sortie n’est fixée pour Crawl 2 pour le moment.


https://www.ecranlarge.com/films/news/c ... DiKHvFSWeA
Avatar du membre
Pale
Messages : 11311
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Répondre