A ce qu'il paraît, c'est effectivement une jolie ville.
Pas trop de problème avec la langue locale ?
C'est une superbe ville, extrêmement vivante et riche. Pour la langue non, je suis devenu un adepte de ce genre de city trip et c'est très simple de se faire comprendre et inversement
robinne a écrit : ↑sam. 22 juin 2024 18:20
@Next , @Pale
Vous connaissiez avant d'y aller ?
Ca faisait partie des endroits que je voulais voir en y allant à l'époque oui.
Mais effectivement cela reste assez peu méconnu par rapport à la beauté et l'originalité du lieu.
Next a écrit : ↑sam. 22 juin 2024 18:43
Au-delà du grand palais sur la montée on croise des lieux comme ça.
Faut que je m'en inspire pour le jardin
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Randonnée pour un tueur est un film des années 80 réalisé par le bon faiseur Roger Spottiswoode. Dans ce film, un agent du FBI (Sidney Poitier) traque un tueur qui s'incruste dans un groupe de randonneurs pour traverser la frontière canadienne. L'agent du FBI va demander de l'aide à une sorte d'ermite local (Tom Berenger) pour l'aider à rejoindre le groupe dans lequel se trouve le tueur. Bien sûr il y a des points qui paraissent un peu vieillots mais c'est un bon film d'aventure doublé d'un bon buddy movie car il y a un vrai choc des cultures entre l'agent et Tom Berenger qui vit un peu reclus du monde extérieur. Le film offre quelques touches d'humour et de bonnes scènes d'action, notamment dans sa dernière partie qui est assez haletante. Je suis presque sûr que le film et son ambiance ont eu une petite influence sur Cliffhanger avec Stallone.
Un bon drame policier pas dénué d'humour qui vaut surtout pour les performances de Lino Ventura et Patrick Dewaere, inutile de dire que certains dialogues sont incroyables.
J'ai regardé Un coup de dés sans rien connaître de l'histoire/intrigue et en fait j'ai beaucoup aimé. C'est bien rythmé et c'est ce genre d'histoire que j'apprécie avec un engrenage infernal dans lequel plonge un personnage. Bon la courte durée (1h20) fait que les événements s'enchainent un peu trop vite vers la fin mais j'ai quand même passé un bon moment.
Aujourd'hui j'ai vu le spectacle Notre Dame de Paris à Marseille. C'était la dernière représentation de la tournée, et Richard Cocciante était présent, il a parlé un peu sur la fin.
Ma chanson préférée depuis toute jeune étant Marguerite de Cocciante ça m'a fait un petit pincement au coeur de le voir. Mais ça m'a aussi fait comprendre que j'ai toujours eu un caractère romantique, et que cette chanson me fait beaucoup penser à Bridgerton
Sans un bruit Jour 1 : les premiers avis sur la suite de la saga d’horreur sont arrivés
Les premiers avis sur Sans un bruit : Jour Un de Michael Sarnoski sont là et c’est plutôt rassurant pour la franchise horrifique.
Sans un bruit et Sans un bruit 2 de John Krasinski ont été de gros succès critiques et financiers, avec respectivement 341 millions et 298 millions de dollars de recettes au box-office mondial. L’annonce d’un nouveau film n’était ainsi pas vraiment surprenante, et on est curieux de voir ce que Michael Sarnoski, notamment derrière Pig avec Nicolas Cage, va nous proposer.
Sans un bruit : Jour 1, qui sera le film le plus long de la saga horrifique, était donc particulièrement attendu en sa qualité de spin-off agrémentant l’univers sous un nouveau jour. Et justement, les premiers avis américains sur le film de Michael Sarnoski sont enfin apparus. Revue de tweets.
« Sans un bruit : Jour 1 pourrait être mon préféré de la saga. Le décor urbain apporte de nouvelles sensations fortes et un suspense palpitant. Mais ce qui distingue vraiment ce film, c’est l’histoire poignante sur la recherche de paix intérieure racontée par Lupita Nyong’o et le réalisateur Michael Sarnoski, même pendant l’apocalypse. »
Andrew J. Salazar – Discussing Film
« Ça vous dirait une excellente trilogie d’horreur ? Parce que Sans un bruit : Jour 1 est lui aussi très bon ! J’ai adoré les deux premiers films, leur tension vertigineuse et leurs décors plus intimistes, mais j’aime aussi un film épique dans un cadre de grande ville dévastée. Jour 1 offre ça, tout en tirant le meilleur parti du concept de base de la franchise et en gardant les mêmes idées pour ses personnages principaux. »
Perri Nemiroff – Collider
« J’ai adoré Sans un bruit : Jour 1. La tension est encore plus forte par rapport aux deux premiers, notamment grâce à l’ajout d’une multitude d’extraterrestres. Mais dans le fond, c’est une histoire émouvante sur deux personnes perdues qui se retrouvent. Le chat Schnitzel vole la vedette à tout le monde. La fin est exceptionnelle. »
Mark Daniell – Toronto Sun
« Sans un bruit : Jour 1 est un blockbuster estival sombre et extrêmement oppressant. Le troisième film de la franchise est émotionnellement éprouvant et se trouve à son meilleur lorsqu’il met en avant ces lueurs d’humanité et d’espoir dont nous avons tous besoin dans des temps désespérés. Lupita Nyong’o et Joseph Quinn font de leur mieux par rapport à leurs personnages assez minces, et Sarnoski met bien en scène le chaos et la destruction à grande échelle.
Cela dit, la majorité du film ressemble un peu à une mise à jour peu innovante de ce que nous avions déjà découvert de l’univers dans les premiers films. Bravo au chat pour avoir volé la vedette aux deux stars en restant simplement silencieux et en s’occupant de ses affaires.»
Matt Neglia – Next Best Picture
« J’ai adoré Sans un bruit : Jour 1. Si les deux premiers films s’apparentent davantage à Alien – de petits moments étouffés de terreur – Jour 1 est plus proche d’Aliens, avec son carnage et ses énormes monstres bruyants et effrayants. Nyong’o donne un aspect déchirant à son rôle – et le plan final vous laissera BRISÉ. »
Les critiques américaines semblent donc très satisfaites de Sans un bruit : Jour 1. Comme on pouvait s’y attendre, elles mettent notamment en avant les différences de style et d’ambiance de ce troisième opus par rapport aux deux premiers films, ainsi que la mise en scène efficace de Michael Sarnoski. Il est toutefois difficile de dire si Jour 1 se place au même niveau de ses grands frères qualitativement, d’autant plus que les critiques sont quand même assez rares.
Une autre salve de critiques moins élogieuses tombera-t-elle lors de sa sortie en salles aux États-Unis ? Rien n’est moins sûr. Quoi qu’il en soit, Sans un bruit : Jour 1 arrivera dans nos salles françaises le 26 juin 2024, nous pourrons très rapidement nous faire notre propre avis sur la suite de la franchise horrifique.
Une actrice sculpturale, à la filmographie que l’on qualifiera poliment d’irrégulière, roule des mécaniques façon badass sur Netflix au printemps 2024. Jennifer Lopez dans Atlas ? Non, Riposte avec Jessica Alba (Sin City). La réalisatrice indonésienne Mouly Surya embringue également Jake Weary et Tone Bell dans un jeu de massacre qu’on espérait cantonné à l’écran, pas dans la réception critique. Ce John Wick féminin mérite-t-il mieux que ses concurrents tristounets conçus sur le même moule ?
ALBA TORD LE COU DES MÉCHANTS
Einstein disait que la folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. Alors quand on voit Netflix bégayer sa recette algorithmique, l’appréhension s’installe. Mais après tout, Mon p’tit renne avait brillamment prouvé que l’absence de promotion n’était pas forcément mauvais signe : on avait donc (un tout petit peu) envie de croire en Riposte.
Après avoir essoré Jennifer Lopez (The Mother, Atlas), Netflix mise sur un nouveau cheval pour sa course de lenteur : Jessica Alba. Si l’ancien mannequin jouait déjà de sa physicalité dans la série Dark Angel de James Cameron il y a vingt ans, elle a peu à peu disparu de la circulation et ne compte guère que Los Angeles : Bad Girls (dérivée de Bad Boys) comme référence récente.
Pour revenir sur le devant de la scène, Alba hérite du rôle d’une militaire qui a raccroché l’uniforme, mais qui va rapidement recommencer à casser du ripou pour [insérer motif de vengeance générique]. Alors oui, elle joue du couteau comme un boucher turc (et très proprement puisque sans effusion de sang, ou peu s’en faut) et de la machette en hommage probable à sa filmographie, mais le tout cruellement d’incarnation.
Et si on était intrigué par l’implication de la réalisatrice indonésienne Mouly Surya, force est d’admettre qu’elle est complètement fondue dans le moule générique. Remarquée en 2017 à Cannes avec Marlina, la tueuse en quatre actes, elle échoue à insuffler la moindre personnalité à sa mise en scène.
Les combats sont pauvrement découpés, et leur intérêt se résume à deux ou trois mouvements trop brefs qui singent ses modèles plus talentueux. Un balai, une tenaille viennent ponctuellement améliorer l’ordinaire, mais le tout manque cruellement d’idées et d’ampleur. Et que dire de la laideur de ce money shot numérique racoleur dans le désert… La réalisation est si anonyme qu’on est malheureusement plus proche de John Doe que de John Wick.
RIEN NE SERT DE COURIR, IL FAUT ALLER NULLE PART
Le scénario de Josh Olson et John Brancato traine dans les cartons depuis 2016 et on se demande pourquoi il en a été sorti. Halley Gross, qui a tout de même écrit pour Westworld et The Last of us (le jeu et la série) serait repassée dessus après l’acquisition par Netflix, ce qui fait beaucoup d’hémisphères cérébraux pour un résultat aussi creux.
On comprend que ça va tirer sévèrement à la ligne dès la seconde scène et son dialogue insipide au commissariat. L’enquête sur la mort du père n’a aucun intérêt, et on se dit que quitte à reprendre un bar, Alba aurait mieux fait de finir au Road House : ça aurait fait d’une pierre deux bouses.
Mais le pire dans Riposte n’est pas sa stricte nature de remplissage mais la manière dont son scénario brasse des thèmes pseudo-progressistes avec un je-m’en-foutisme rare. Croyant parler de féminisme et de racisme, il case aux forceps et au détour d’une réplique des concepts auxquels il ne comprend rien et sur lesquels il n’a rien à dire (les latinx). Ça pue l’opportunisme mais à ce stade, on est déjà trop assoupi pour se demander si c’est juste idiot ou carrément offensant.
La même rigueur se retrouve dans la caractérisation des personnages, avec son héroïne sans peur et sans reproche qui encaisse les coups en traitant ses tortionnaires de gonzesses, mais qui a abandonné toute aspérité dans le désert. Quant aux méchants, ils tuent le temps en détruisant des bouis-bouis de tacos au lance-roquette parce que c’est ce que les méchants font.
Bref : sorti dans l’indifférence générale, Riposte semble décidé à y retomber aussitôt. On surveillera toutefois les courbes de visionnage, on est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise ou d’une frénésie suicidaire après ce printemps pluvieux.
Riposte est disponible sur Netflix depuis le 21 juin 2024
Le titre original annonçait pourtant la couleur. Il importe donc de rendre à Riposte son trigger warning : visionnage à vos risques et périls, risque de traumatisme pour cause d’extrême médiocrité.
J'ai vu les 4 premiers épisodes de la S4 de The Boys. Faut avoir l'estomac bien accroché
Ca vaut le coup de regarder les précédentes saisons ?
C'est une évidence The Boys c'est tout ce que les films marveis ne seront jamais et n'oseront jamais
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Pale a écrit : ↑mar. 25 juin 2024 19:01
Premier aperçu de Here, le nouveau Zemeckis avec Tom Hanks et Robin Wright :
"Retours vers le futur" en 1 film ?
J'ai plutôt pensé à Forrest Gump dans une dimension parallèle
Le synopsis de Here : "D'après la nouvelle graphique éponyme de Richard McGuire qui se passe sur une seule pièce et se concentre sur les nombreuses personnes qui l'habitent au fil des ans."