Migration (Illumination Noel 2023)
Voilà le nouveau illumination apres Mario ca va être le gros carton de Noel.
Le film familliale par excellence.
Plus fort que le Wish de Disney et les 3 mousquetaire partie 2 vont encore se faire bouffer par Illumination apres Mario.
Vu ce matin avec le fiston Gekko junior.
Le film ne casse pas trois pattes à un canard (lol, mdr, ptdr, xpdr, j'aime rigoler, car c'est rigolo de rigoler), néanmoins il demeure fort sympathique, de par son rythme soutenu, et de par sa qualité d'animation. Visuellement, c'est magnifique, y a rien à dire là dessus. Une histoire simple mais pas abrutissante, bref, c'est à mon sens, dans le top 3 de ce que peut proposer le studio Illumination.

Le film ne casse pas trois pattes à un canard (lol, mdr, ptdr, xpdr, j'aime rigoler, car c'est rigolo de rigoler), néanmoins il demeure fort sympathique, de par son rythme soutenu, et de par sa qualité d'animation. Visuellement, c'est magnifique, y a rien à dire là dessus. Une histoire simple mais pas abrutissante, bref, c'est à mon sens, dans le top 3 de ce que peut proposer le studio Illumination.





"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Comme on pouvait facilement s'y attendre, le film ne casse pas trois pattes à un canard.
Malgré la présence de Benjamin Renner à la réalisation, le film souffre des défauts habituels des productions Illumination : scénario basique qui ressemble à celui de Chicken Run 2 (des parents surprotecteurs au faux paradis pour oiseaux), arcs cousus de fil blanc, humour infantile et lourdingue...
On peut mesurer la paresse d'un film d'animation lorsque celui-ci se termine par une séquence musicale où tous les personnages se mettent à danser.
Malgré la présence de Benjamin Renner à la réalisation, le film souffre des défauts habituels des productions Illumination : scénario basique qui ressemble à celui de Chicken Run 2 (des parents surprotecteurs au faux paradis pour oiseaux), arcs cousus de fil blanc, humour infantile et lourdingue...
On peut mesurer la paresse d'un film d'animation lorsque celui-ci se termine par une séquence musicale où tous les personnages se mettent à danser.