
Le Cercle des profileurs disparus
J'avais un peu de temps hier matin donc j'ai lancé un film au hasard sur Prime, Black Friday. Bon c'était pas fameux je l'avoue, malgré la présence du légendaire Bruce Campbell... après il y a quelques scènes un peu gore et d'autres amusantes mais l'ensemble demeure un peu ennuyeux... Et c'est après le film que j'ai découvert que l'actrice principale était la gamine du Labyrinthe de Pan, avec 15 ans de plus 



Vu :

Lorsque je regarde un ancien film, je me remets toujours dans le contexte de l'époque et je suis toujours impressionné lorsqu'un film traverse les âges et paraît toujours aussi moderne à l'heure actuelle. Or ce n'est pas le cas ici, ce film possède une grosse réputation mais j'ai trouvé ça d'une ringardise absolue. Je sauve principalement la musique et l'ambiance sonore, le reste n'est pas loin d'être à chier.
Merci pour l'infoMiamsolo a écrit : ↑ven. 13 sept. 2024 18:16Oui tous les mangas ont été publiés en français chez Pika éditionsPale a écrit : ↑jeu. 12 sept. 2024 18:59Ça existe en français ?Miamsolo a écrit : ↑jeu. 12 sept. 2024 18:25 Franchement je te conseille fortement de lire le manga! Le manga principal va bien plus loin que la série animée au niveau de l'histoire, car la série animée n'adapte pas l'entièreté du manga (et même les derniers épisodes à Okinawa sont des ajouts par rapport au manga dans mes souvenirs). Puis l'auteur a sorti un 2ème manga, intitulé "GTO Shonan 14 Days", qui se situe chronologiquement pendant GTO, où Onizuka quitte vite fait l'école pour se faire oublier après un incident survenu dans le manga original. Et enfin il y a un manga qui est encore en cours de publication et qui se situe après GTO, dans lequel Onizuka est en prison et raconte ses histoires de prof aux détenus (très bon aussi, et je n'en ai lu que la moitié car j'attends que le reste soit publié).
Bref, si GTO te manque, tu sais quoi faire![]()
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Sinon la partie à Okinawa dans l'animé est énorme![]()
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Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984 pour être exact). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont morts. Elle va alors commencer à être victime d'apparitions étranges. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.



Modifié en dernier par Pale le sam. 14 sept. 2024 10:57, modifié 2 fois.
Ouh sympaPale a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:48
Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont mort. Elle va alors commencer à être assaillie de visions. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.
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Pouet
Franchement dès que j'ai vu l'article dans mon fil d'actu, c'est devenu le film que j'avais le plus envie de voirCocu a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:52Ouh sympaPale a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:48
Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont mort. Elle va alors commencer à être assaillie de visions. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.
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je ne sais pas si j'aurai l'occasion de le voir mais j'aimerais bien!

L'article en question :
If You Love Stephen King, Check Out This Forgotten '80s Ghost Story
https://collider.com/soul-survivor-movie/
Et tu l'as trouvé où ?Pale a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:48
Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984 pour être exact). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont morts. Elle va alors commencer à être victime d'apparitions étranges. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.
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Nulle part justement, j'ai du demander de l'aide à quelqu'un pour m'aider à le trouverrobinne a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 13:11Et tu l'as trouvé où ?Pale a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:48
Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984 pour être exact). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont morts. Elle va alors commencer à être victime d'apparitions étranges. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.
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Obsessed est un thriller domestique de 2009 qui n'a rien de révolutionnaire mais je suis friand du genre. Le point de départ est on ne peut plus classique dans le genre : un couple pour qui tout va bien jusqu'à ce qu'une secrétaire très intrusive fasse son apparition dans l'entreprise du mari et qui va forcément flasher sur lui. Encore une fois rien de révolutionnaire, de plus le film est de facture assez télévisuelle (en même temps le réalisateur vient de cet univers) mais c'est bien ficelé et ça tient en haleine et il ne m'en fallait pas plus.
EL a modérément apprécié Boy Kills World (3 étoiles) :

Après son expédition punitive sponsorisée par Evanescence dans The Crow, l’acteur Bill Skarsgard est de retour dans un autre revenge movie tout aussi convenu, mais bien moins pénible à suivre. Avec son histoire sanglante et rétro à mi-chemin entre Hunger Games et Street Fighter, Boy Kills World marque des débuts prometteurs pour le réalisateur allemand Moritz Mohr. Sorti en salles aux États-Unis en avril dernier (où il a été un échec), le film est arrivé le 14 septembre en France sur Amazon Prime Video. ATTENTION : légers Spoilers !
L’EUPHORIXE
Un Bill Skarsgard en chute libre et tête d’affiche torturée, un réalisateur novice, une dystopie en solde à la Hunger Games et un énième concept qui lorgne sur la dynamique des jeux vidéo et comics… Ce serait mentir que de dire que Boy Kills World partait gagnant. Il restait toutefois les noms de Sam Raimi (à la production), de Yayan Ruhian (à la baston) ou encore de la trop rare Famke Janssen pour espérer voir un film qui casse plus les dents des figurants que les pieds des spectateurs. Et à peu de choses près, c’est le cas !
Tout est une question d’équilibre : Boy Kills World est autant pétri de petits défauts qu’il déborde de petites idées, que ce soit dans la mise en scène, les mouvements de caméra, les transitions, les costumes, les dialogues (de sourds, littéralement) ou les bagarres, surtout quand elles impliquent une râpe à fromage. Ça tourne parfois à la cacophonie, souvent au carnage attendu et on se demande plus d’une fois si ce qui se passe est parfaitement risible ou génialement grotesque. La réponse est sûrement quelque part entre les deux.
Cette histoire malade s’applique toutefois à prêter ses failles et son insanité à celles de son protagoniste coincé entre deux âges, deux vérités, deux identités et deux existences. L’histoire voulant rester au plus près de cet anti-héros aliéné, ses errances et son immaturité sont autant un défaut d’écriture qu’un possible parti-pris narratif. Ainsi, rien n’a trop de sens, tout est décousu et superficiel, sinon artificiel, mais Boy lui-même a du mal à appréhender la réalité et à rester maître de l’action.
C’est une excuse un peu trop arrangeante par moments (surtout pour désosser sans scrupule la mythologie), mais qui fonctionne à d’autres, notamment les séquences qui concernent le plan chaotique et imbitable de la « Résistance ».
KILL BILL
L’humour omniprésent, le ton gras et la violence crade de Boy Kills World empruntent à Kingsman et autres Deadpool. Le film peut donc vite saturer, en particulier dans les scènes qui surlignent au marqueur leurs références vidéoludiques et leur humour parodique. Le tout offre cependant une énergie suffisamment galvanisante et des coups assez bien placés pour faire oublier les redites scénaristiques, la voix off pipelette et les situations prévisibles (comme la pénible révélation du boss final du jeu film).
Étonnamment, l’autre plus-value est Bill Skarsgard qui poursuit sa reconversion en machine à tuer après The Crow. L’avantage est que cette fois, il ne se prend pas au sérieux, mais fait quand même les choses sérieusement avec un soin évident apporté aux chorégraphies et à sa gestuelle surexpressive.
Même si le rôle de Grippe-Sou dans les Ça reste en mémoire, l’acteur parvient à conjuguer son regard perçant (pour ne pas dire déstabilisant), son mètre 90 et ses abdos nouvellement saillants à une candeur désarmante et une vulnérabilité infantile touchante qui apportent des strates supplémentaires à ce personnage déjà croisé mille fois ailleurs.
Quant à Yayan Ruhian en espèce de Pai Mei toxicomane, il est toujours plaisant de voir le potentiel de l’artiste martial pleinement exploité après la frustration de John Wick 3 et Star Wars 7 dans lesquels il faisait de la figuration. Équilibre oblige, la réjouissance est contrebalancée par le rôle décevant de Famke Janssen qui aurait mérité plus d’épaisseur ou de temps à l’écran.
Toujours est-il que Boy Kills World rejoint facilement le haut du panier des comédies d’action azimutées, surtout après l’ennuyeux Jackpot!, la précédente production Amazon avec des gros bras, des vannes et un jeu mortel diffusé à la télé.
Boy Kills World est disponible sur Amazon Prime Video depuis le 14 septembre 2024 sur Amazon Prime Video
Boy Kills World voulait être un autre objet pop à la violence décomplexée et à l’absurdité assumée. Si tout n’est pas toujours assez bien dosé pour fonctionner, on est quand même plus proche du petit trip récréatif que de l’overdose.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... NcnaxkPUWw

Après son expédition punitive sponsorisée par Evanescence dans The Crow, l’acteur Bill Skarsgard est de retour dans un autre revenge movie tout aussi convenu, mais bien moins pénible à suivre. Avec son histoire sanglante et rétro à mi-chemin entre Hunger Games et Street Fighter, Boy Kills World marque des débuts prometteurs pour le réalisateur allemand Moritz Mohr. Sorti en salles aux États-Unis en avril dernier (où il a été un échec), le film est arrivé le 14 septembre en France sur Amazon Prime Video. ATTENTION : légers Spoilers !
L’EUPHORIXE
Un Bill Skarsgard en chute libre et tête d’affiche torturée, un réalisateur novice, une dystopie en solde à la Hunger Games et un énième concept qui lorgne sur la dynamique des jeux vidéo et comics… Ce serait mentir que de dire que Boy Kills World partait gagnant. Il restait toutefois les noms de Sam Raimi (à la production), de Yayan Ruhian (à la baston) ou encore de la trop rare Famke Janssen pour espérer voir un film qui casse plus les dents des figurants que les pieds des spectateurs. Et à peu de choses près, c’est le cas !
Tout est une question d’équilibre : Boy Kills World est autant pétri de petits défauts qu’il déborde de petites idées, que ce soit dans la mise en scène, les mouvements de caméra, les transitions, les costumes, les dialogues (de sourds, littéralement) ou les bagarres, surtout quand elles impliquent une râpe à fromage. Ça tourne parfois à la cacophonie, souvent au carnage attendu et on se demande plus d’une fois si ce qui se passe est parfaitement risible ou génialement grotesque. La réponse est sûrement quelque part entre les deux.
Cette histoire malade s’applique toutefois à prêter ses failles et son insanité à celles de son protagoniste coincé entre deux âges, deux vérités, deux identités et deux existences. L’histoire voulant rester au plus près de cet anti-héros aliéné, ses errances et son immaturité sont autant un défaut d’écriture qu’un possible parti-pris narratif. Ainsi, rien n’a trop de sens, tout est décousu et superficiel, sinon artificiel, mais Boy lui-même a du mal à appréhender la réalité et à rester maître de l’action.
C’est une excuse un peu trop arrangeante par moments (surtout pour désosser sans scrupule la mythologie), mais qui fonctionne à d’autres, notamment les séquences qui concernent le plan chaotique et imbitable de la « Résistance ».
KILL BILL
L’humour omniprésent, le ton gras et la violence crade de Boy Kills World empruntent à Kingsman et autres Deadpool. Le film peut donc vite saturer, en particulier dans les scènes qui surlignent au marqueur leurs références vidéoludiques et leur humour parodique. Le tout offre cependant une énergie suffisamment galvanisante et des coups assez bien placés pour faire oublier les redites scénaristiques, la voix off pipelette et les situations prévisibles (comme la pénible révélation du boss final du jeu film).
Étonnamment, l’autre plus-value est Bill Skarsgard qui poursuit sa reconversion en machine à tuer après The Crow. L’avantage est que cette fois, il ne se prend pas au sérieux, mais fait quand même les choses sérieusement avec un soin évident apporté aux chorégraphies et à sa gestuelle surexpressive.
Même si le rôle de Grippe-Sou dans les Ça reste en mémoire, l’acteur parvient à conjuguer son regard perçant (pour ne pas dire déstabilisant), son mètre 90 et ses abdos nouvellement saillants à une candeur désarmante et une vulnérabilité infantile touchante qui apportent des strates supplémentaires à ce personnage déjà croisé mille fois ailleurs.
Quant à Yayan Ruhian en espèce de Pai Mei toxicomane, il est toujours plaisant de voir le potentiel de l’artiste martial pleinement exploité après la frustration de John Wick 3 et Star Wars 7 dans lesquels il faisait de la figuration. Équilibre oblige, la réjouissance est contrebalancée par le rôle décevant de Famke Janssen qui aurait mérité plus d’épaisseur ou de temps à l’écran.
Toujours est-il que Boy Kills World rejoint facilement le haut du panier des comédies d’action azimutées, surtout après l’ennuyeux Jackpot!, la précédente production Amazon avec des gros bras, des vannes et un jeu mortel diffusé à la télé.
Boy Kills World est disponible sur Amazon Prime Video depuis le 14 septembre 2024 sur Amazon Prime Video
Boy Kills World voulait être un autre objet pop à la violence décomplexée et à l’absurdité assumée. Si tout n’est pas toujours assez bien dosé pour fonctionner, on est quand même plus proche du petit trip récréatif que de l’overdose.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... NcnaxkPUWw
Speak No Evil : les premiers avis sur le film d’horreur avec James McAvoy sont là

Les premiers avis sur Speak No Evil, remake du film d’horreur Ne dis rien, avec James McAvoy, sont tombés. Et ils sont plutôt tranchés.
Si le titre Speak No Evil vous dit quelque chose, c’est normal. C’est le remake du film dano-néerlandais Ne dis rien, réalisé par Christian Tafdrup. Sorti directement en VOD en France en 2022, il n’a pas rencontré un grand succès au box-office, là où il est sorti en tout cas. Pourtant, grâce à sa carrière en festival, il a vite attiré l’attention de tous les amateurs de cauchemars. Et c’est plus que mérité.
Ce n’était donc qu’une question de temps avant qu’un studio américain mette la main dessus. En avril 2023, Blumhouse Productions (Sinister, Insidious, Halloween) a ainsi annoncé un remake, écrit et réalisé par James Watkins (La Dame en noir, Eden Lake). Au casting : James McAvoy, Mackenzie Davis (Blade Runner 2049, Terminator: Dark Fate), Scoot McNairy (Cogan : Killing Them Softly, Halt and Catch Fire) et Aisling Franciosi (The Nightingale).
Les premiers avis sont tombés.
« Speak No Evil est le film d’horreur le plus violent depuis des lustres, un petit film d’horreur méchamment drôle et venimeux qui pousse le public à crier tout ce que ses personnages principaux étouffent.
Amy Nicholson – Washington Post
« Le cœur de cette histoire, dans les deux versions, est le suspense, et Watkins est très doué pour serrer les vis… mais il sait aussi provoquer des retournements de situation et des dénouements satisfaisants. »
Kim Newman – Empire
« Aussi épurés et efficaces que soient ses éléments de thriller, en particulier dans un troisième acte effréné, le film est surtout intrigant dans son sous-texte : un conflit implicite entre les conceptions de la masculinité et les époques auxquelles elles sont associées. »
Kyle Smith – Wall Street Journal
« Le grand rictus de McAvoy dissout rapidement tout semblant de crédibilité sociale. Mais le film est à la hauteur de la grossièreté de Paddy et arrive à être une comédie sur un mariage raté qui s’effondre sous le coup d’un hôte de vacances bizarre. »
J. Kim Murphy – Variety
« Épuré et toujours plus dérangeant, Speak No Evil s’inspire étroitement d’un film bien plus froid et carrément méchant de 2022 du même nom du réalisateur danois Christian Tafdrup. Pour l’essentiel, Watkins adhère à la conception et à la trajectoire globales de l’original tout en ajoutant quelques détails et scènes inédits ; il rallonge également la durée d’exécution d’une quinzaine de minutes inutiles. »
Manohla Dargis – The New York Times
« Le réalisateur James Watkins et surtout son excellente troupe d’acteurs, adultes et enfants confondus, font un excellent travail pour faire monter la tension, lentement mais sûrement. Jusqu’à ce que tout l’enfer sanglant se déchaîne, bien sûr. Et puis, dans son troisième acte, « Speak No Evil » devient un film d’horreur divertissant mais sans surprises, aux dénouements prévisibles. »
Jocelyn Noveck – The Associated Press
« Le rythme lent du film est un atout, pas un défaut. Speak No Evil fonctionne mieux lorsqu’il se concentre sur les peurs croissantes des Américains, et s’effondre vers la fin lorsque l’histoire d’horreur psychologique se transforme en un pot pourri prévisible. Mais pendant les trois quarts du film, cette production de Blumhouse est un grand cru du genre, et très divertissant. »
Caryn James – The Hollywood Reporter
« Cette version de Speak No Evil, malgré une performance effectivement effrayante de James McAvoy, transforme les contours troublants de l’original en un divertissement de home invasion sanglant, à la manière des « Chiens de paille », jusqu’à un dernier acte qui est exactement le genre de chose prévisible et interminable que Tafdrup cherchait à éviter. »
Ryan Lattanzio – IndieWire
« Si vous voulez donner au film de 2024 la meilleure chance possible, allez-y sans voir l’original. Cependant, si vous ne voulez consacrer votre temps qu’à voir une seule version de cette histoire, ce devrait être l’original Speak No Evil. C’est vraiment l’un des films d’horreur les plus sombres, les plus méchants et les plus dévastateurs qui existent. »
Emma Kiely – Collider
Comme toujours avec les remakes, il faudra donc faire la différence entre le public qui a vu l’original (et ne pourra que comparer), et celui qui découvrira l’histoire (et pourra donc apprécier l’horreur des révélations). Reste à savoir si James McAvoy convoque un peu de Split dans cette performance de psychopathe, et à vous de voir si c’est un compliment.
Speak No Evil sortira en France le 18 septembre.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... tbb0kNQoIQ

Les premiers avis sur Speak No Evil, remake du film d’horreur Ne dis rien, avec James McAvoy, sont tombés. Et ils sont plutôt tranchés.
Si le titre Speak No Evil vous dit quelque chose, c’est normal. C’est le remake du film dano-néerlandais Ne dis rien, réalisé par Christian Tafdrup. Sorti directement en VOD en France en 2022, il n’a pas rencontré un grand succès au box-office, là où il est sorti en tout cas. Pourtant, grâce à sa carrière en festival, il a vite attiré l’attention de tous les amateurs de cauchemars. Et c’est plus que mérité.
Ce n’était donc qu’une question de temps avant qu’un studio américain mette la main dessus. En avril 2023, Blumhouse Productions (Sinister, Insidious, Halloween) a ainsi annoncé un remake, écrit et réalisé par James Watkins (La Dame en noir, Eden Lake). Au casting : James McAvoy, Mackenzie Davis (Blade Runner 2049, Terminator: Dark Fate), Scoot McNairy (Cogan : Killing Them Softly, Halt and Catch Fire) et Aisling Franciosi (The Nightingale).
Les premiers avis sont tombés.
« Speak No Evil est le film d’horreur le plus violent depuis des lustres, un petit film d’horreur méchamment drôle et venimeux qui pousse le public à crier tout ce que ses personnages principaux étouffent.
Amy Nicholson – Washington Post
« Le cœur de cette histoire, dans les deux versions, est le suspense, et Watkins est très doué pour serrer les vis… mais il sait aussi provoquer des retournements de situation et des dénouements satisfaisants. »
Kim Newman – Empire
« Aussi épurés et efficaces que soient ses éléments de thriller, en particulier dans un troisième acte effréné, le film est surtout intrigant dans son sous-texte : un conflit implicite entre les conceptions de la masculinité et les époques auxquelles elles sont associées. »
Kyle Smith – Wall Street Journal
« Le grand rictus de McAvoy dissout rapidement tout semblant de crédibilité sociale. Mais le film est à la hauteur de la grossièreté de Paddy et arrive à être une comédie sur un mariage raté qui s’effondre sous le coup d’un hôte de vacances bizarre. »
J. Kim Murphy – Variety
« Épuré et toujours plus dérangeant, Speak No Evil s’inspire étroitement d’un film bien plus froid et carrément méchant de 2022 du même nom du réalisateur danois Christian Tafdrup. Pour l’essentiel, Watkins adhère à la conception et à la trajectoire globales de l’original tout en ajoutant quelques détails et scènes inédits ; il rallonge également la durée d’exécution d’une quinzaine de minutes inutiles. »
Manohla Dargis – The New York Times
« Le réalisateur James Watkins et surtout son excellente troupe d’acteurs, adultes et enfants confondus, font un excellent travail pour faire monter la tension, lentement mais sûrement. Jusqu’à ce que tout l’enfer sanglant se déchaîne, bien sûr. Et puis, dans son troisième acte, « Speak No Evil » devient un film d’horreur divertissant mais sans surprises, aux dénouements prévisibles. »
Jocelyn Noveck – The Associated Press
« Le rythme lent du film est un atout, pas un défaut. Speak No Evil fonctionne mieux lorsqu’il se concentre sur les peurs croissantes des Américains, et s’effondre vers la fin lorsque l’histoire d’horreur psychologique se transforme en un pot pourri prévisible. Mais pendant les trois quarts du film, cette production de Blumhouse est un grand cru du genre, et très divertissant. »
Caryn James – The Hollywood Reporter
« Cette version de Speak No Evil, malgré une performance effectivement effrayante de James McAvoy, transforme les contours troublants de l’original en un divertissement de home invasion sanglant, à la manière des « Chiens de paille », jusqu’à un dernier acte qui est exactement le genre de chose prévisible et interminable que Tafdrup cherchait à éviter. »
Ryan Lattanzio – IndieWire
« Si vous voulez donner au film de 2024 la meilleure chance possible, allez-y sans voir l’original. Cependant, si vous ne voulez consacrer votre temps qu’à voir une seule version de cette histoire, ce devrait être l’original Speak No Evil. C’est vraiment l’un des films d’horreur les plus sombres, les plus méchants et les plus dévastateurs qui existent. »
Emma Kiely – Collider
Comme toujours avec les remakes, il faudra donc faire la différence entre le public qui a vu l’original (et ne pourra que comparer), et celui qui découvrira l’histoire (et pourra donc apprécier l’horreur des révélations). Reste à savoir si James McAvoy convoque un peu de Split dans cette performance de psychopathe, et à vous de voir si c’est un compliment.
Speak No Evil sortira en France le 18 septembre.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... tbb0kNQoIQ
Lars Von Trier prépare un nouveau film après son thriller de serial killer The House That Jack Built

Six ans après The House That Jack Built, Lars Von Trier a décidé de sortir de sa retraite pour un mystérieux projet de film.
Lars Von Trier est l’un des grands noms du cinéma d’auteur européen grâce à son style sombre et pessimiste, mélangeant le naturalisme avec des élans esthétiques tétanisant. Son dernier film, The House That Jack Built sur un tueur en série, avait fait scandale. Présenté en première à Cannes, le film avait grandement divisé la critique, le décrivant comme l’œuvre « la plus extrême et la plus controversée » de 2018, autrement dit un film à la hauteur de la réputation que le réalisateur s’est forgée au fil des années.
Après ce film, le cinéaste, fondateur de dogma 95, s’était fait très discret. Atteint de la maladie de Parkinson, Lars Von Trier avait décidé de prendre sa retraite. Mais récemment, Lars Von Trier a fait savoir qu’il travaillait sur un mystérieux nouveau projet de film.
Selon, l’AFP, le nouveau long-métrage, écrit et réalisé par Lars Von Trier, s’intitule After. Malgré le flou total autour de ce nouveau projet, il a déjà reçu un budget de 1,3 million de couronnes (environ 174 000 dollars) provenant de subventions allouées par l’institut du film danois.
D’ailleurs, l’un de ses acteurs fétiches, Stellan Skarsgard (Dune), avait indiqué en juillet dernier au journal en ligne Taxidrivers que Lars von Trier travaillait sur son 15e long-métrage film « de chez lui ». Entre The House that Jack Built et le prochain After, le cinéaste avait surtout fait parler de lui pour sa série L’Hôpital et ses fantômes III en 2022, troisième saison d’une série qu’il a débuté en 1994.
L’histoire se déroule dans un département de neurochirurgie (l’hôpital du royaume) de Copenhague, le principal hôpital de la ville et de tout le pays. On suit un petit nombre de patients et membres de l’équipe médicale qui découvrent un monde surnaturel. Cette série avait bien déstabilisé son public par son voyeurisme et ses situations fantastiques et effrayantes.
Pour l’heure, aucune information sur le tournage, le casting ou la date de sortie d’After n’a été rendue publique.
https://www.ecranlarge.com/films/news/l ... nkkAw8_eyw

Six ans après The House That Jack Built, Lars Von Trier a décidé de sortir de sa retraite pour un mystérieux projet de film.
Lars Von Trier est l’un des grands noms du cinéma d’auteur européen grâce à son style sombre et pessimiste, mélangeant le naturalisme avec des élans esthétiques tétanisant. Son dernier film, The House That Jack Built sur un tueur en série, avait fait scandale. Présenté en première à Cannes, le film avait grandement divisé la critique, le décrivant comme l’œuvre « la plus extrême et la plus controversée » de 2018, autrement dit un film à la hauteur de la réputation que le réalisateur s’est forgée au fil des années.
Après ce film, le cinéaste, fondateur de dogma 95, s’était fait très discret. Atteint de la maladie de Parkinson, Lars Von Trier avait décidé de prendre sa retraite. Mais récemment, Lars Von Trier a fait savoir qu’il travaillait sur un mystérieux nouveau projet de film.
Selon, l’AFP, le nouveau long-métrage, écrit et réalisé par Lars Von Trier, s’intitule After. Malgré le flou total autour de ce nouveau projet, il a déjà reçu un budget de 1,3 million de couronnes (environ 174 000 dollars) provenant de subventions allouées par l’institut du film danois.
D’ailleurs, l’un de ses acteurs fétiches, Stellan Skarsgard (Dune), avait indiqué en juillet dernier au journal en ligne Taxidrivers que Lars von Trier travaillait sur son 15e long-métrage film « de chez lui ». Entre The House that Jack Built et le prochain After, le cinéaste avait surtout fait parler de lui pour sa série L’Hôpital et ses fantômes III en 2022, troisième saison d’une série qu’il a débuté en 1994.
L’histoire se déroule dans un département de neurochirurgie (l’hôpital du royaume) de Copenhague, le principal hôpital de la ville et de tout le pays. On suit un petit nombre de patients et membres de l’équipe médicale qui découvrent un monde surnaturel. Cette série avait bien déstabilisé son public par son voyeurisme et ses situations fantastiques et effrayantes.
Pour l’heure, aucune information sur le tournage, le casting ou la date de sortie d’After n’a été rendue publique.
https://www.ecranlarge.com/films/news/l ... nkkAw8_eyw
Pressure : le film de guerre sur le débarquement en Normandie agrandit son casting

Pressure, le film sur la Seconde Guerre mondiale et le D-Day d’Anthony Maras, agrandit un peu plus son casting cinq étoiles.
Alors que la France (et le monde) a célébré les 80 ans du débarquement de Normandie en juin 2024, le cinéma s’est régulièrement attardé sur ce tournant majeur de la Seconde Guerre mondiale. Entre Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, dont la séquence d’ouverture est devenue iconique, le légendaire Le Jour le plus long de Darryl Zanuck avec sa ribambelle de stars ou encore Patton de Franklin Schaffner, le débarquement de Normandie a eu le droit à ses chefs d’œuvres.
Certains cinéastes ont même raconté leur propre expérience, comme Samuel Fuller en 1980 avec Au-delà de la gloire. Si ce ne sera plus jamais le cas (à moins qu’un vétéran décide subitement de devenir cinéaste), le débarquement reste malgré tout un sujet passionnant pour Hollywood. Ainsi, le film Pressure réalisé par Anthony Maras est en cours de production avec un casting impressionnant entre Andrew Scott, Brendan Fraser ou Kerry Condon. Et justement, deux autres acteurs viennent de rejoindre le film de guerre.
Selon Deadline, Chris Messina et Damian Lewis vont en effet rejoindre le film Pressure. Chris Messina a régulièrement joué dans les films de Ben Affleck (Argo, Live by Night et Air), mais il est surtout connu pour ses rôles sur le petit écran. Il a ainsi notamment joué dans plusieurs saisons de Damages, The Newsroom, Sharp Objects et a surtout été nommé aux Critic’s Choice dans les années 2010 pour son rôle dans The Mindy Project. Plus récemment, il a joué le méchant Victor Zsasz dans Birds of Prey et il apparaîtra bientôt dans le prochain film de Clint Eastwood : Juror No 2.
Damian Lewis, lui, a évidemment explosé aux yeux du grand public avec son rôle de Marine dans la série Homeland. Mais plus amusant, il tenait un rôle dans la série de Tom Hanks et Spielberg Band of Brothers qui revenait justement sur… le Débarquement, déjà (d’ailleurs, Andrew Scott apparaissait également à l’intérieur). Pour être plus précis, Chris Messina jouera le météorologue Irving P. Krick dans Pressure et Lewis jouera le maréchal Bernard Montgomery.
Pour rappel, voici le synopsis de Pressure :
« Dans les soixante-douze heures précédant le Jour J, le chef météorologue britannique James Stagg est appelé à fournir les prévisions les plus importantes de l’histoire afin que les Alliés puissent débarquer sur les plages normandes. »
Le film est prévu pour 2025 à ce stade, mais il n’a pas encore de date de sortie officielle. D’ici là, pour les passionnés d’Histoire, l’énorme production Netflix-Pathé De Gaulle d’Antonin Baudry devrait sortir en 2025 aussi et ce ne serait pas étonnant qu’il évoque également le débarquement. Au casting, on retrouvera Simon Abkarian, Niels Schneider, Anamaria Vartolomei, Karim Leklou, Benoit Magimel et Thierry Lhermitte.
https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... rJu-6rZjIg

Pressure, le film sur la Seconde Guerre mondiale et le D-Day d’Anthony Maras, agrandit un peu plus son casting cinq étoiles.
Alors que la France (et le monde) a célébré les 80 ans du débarquement de Normandie en juin 2024, le cinéma s’est régulièrement attardé sur ce tournant majeur de la Seconde Guerre mondiale. Entre Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, dont la séquence d’ouverture est devenue iconique, le légendaire Le Jour le plus long de Darryl Zanuck avec sa ribambelle de stars ou encore Patton de Franklin Schaffner, le débarquement de Normandie a eu le droit à ses chefs d’œuvres.
Certains cinéastes ont même raconté leur propre expérience, comme Samuel Fuller en 1980 avec Au-delà de la gloire. Si ce ne sera plus jamais le cas (à moins qu’un vétéran décide subitement de devenir cinéaste), le débarquement reste malgré tout un sujet passionnant pour Hollywood. Ainsi, le film Pressure réalisé par Anthony Maras est en cours de production avec un casting impressionnant entre Andrew Scott, Brendan Fraser ou Kerry Condon. Et justement, deux autres acteurs viennent de rejoindre le film de guerre.
Selon Deadline, Chris Messina et Damian Lewis vont en effet rejoindre le film Pressure. Chris Messina a régulièrement joué dans les films de Ben Affleck (Argo, Live by Night et Air), mais il est surtout connu pour ses rôles sur le petit écran. Il a ainsi notamment joué dans plusieurs saisons de Damages, The Newsroom, Sharp Objects et a surtout été nommé aux Critic’s Choice dans les années 2010 pour son rôle dans The Mindy Project. Plus récemment, il a joué le méchant Victor Zsasz dans Birds of Prey et il apparaîtra bientôt dans le prochain film de Clint Eastwood : Juror No 2.
Damian Lewis, lui, a évidemment explosé aux yeux du grand public avec son rôle de Marine dans la série Homeland. Mais plus amusant, il tenait un rôle dans la série de Tom Hanks et Spielberg Band of Brothers qui revenait justement sur… le Débarquement, déjà (d’ailleurs, Andrew Scott apparaissait également à l’intérieur). Pour être plus précis, Chris Messina jouera le météorologue Irving P. Krick dans Pressure et Lewis jouera le maréchal Bernard Montgomery.
Pour rappel, voici le synopsis de Pressure :
« Dans les soixante-douze heures précédant le Jour J, le chef météorologue britannique James Stagg est appelé à fournir les prévisions les plus importantes de l’histoire afin que les Alliés puissent débarquer sur les plages normandes. »
Le film est prévu pour 2025 à ce stade, mais il n’a pas encore de date de sortie officielle. D’ici là, pour les passionnés d’Histoire, l’énorme production Netflix-Pathé De Gaulle d’Antonin Baudry devrait sortir en 2025 aussi et ce ne serait pas étonnant qu’il évoque également le débarquement. Au casting, on retrouvera Simon Abkarian, Niels Schneider, Anamaria Vartolomei, Karim Leklou, Benoit Magimel et Thierry Lhermitte.
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Coca-Cola vs Pepsi : la guerre entre les deux sodas va avoir le droit à son film

La guerre entre Coca-Cola et Pepsi va donner lieu à un film et avec une équipe de rêve aux commandes.
Judd Apatow est devenu un nom majeur de la comédie durant les années 2000. Le cinéaste a rencontré le succès en réalisant 40 ans, toujours puceau (qui avait révélé Steve Carell), En cloque, mode d’emploi ou encore Funny People avec Adam Sandler. Le réalisateur a aussi parfaitement saisi l’ère du temps en produisant des films maintenant cultes pour le public adulescent, comme SuperGrave de Greg Mottola ou encore Frangins malgré eux d’Adam McKay.
Problème, son humour ne fait pas toujours mouche. Alors qu’il avait beaucoup impressionné la critique avec The King of Staten Island en 2020, son dernier film Netflix La Bulle s’était fait conspuer (à juste titre) en 2022. On se demandait donc quel serait le prochain projet du cinéaste. Et justement, avec l’aide de Steven Spielberg à la production, Apatow va s’attaquer à la guerre entre Coca-Cola et Pepsi (rien que ça).
Selon Deadline, Judd Apatow va en effet réaliser un film sur la célèbre bataille entre les deux boissons (très) sucrées, notamment avec Sony qui a acheté le projet pour plus d’un million de dollars peu avant. En voilà le synopsis :
« Le film raconte l’histoire vraie de la tentative de Pepsi de mettre fin au règne centenaire de Coca-Cola en tant que meilleure marque de cola au monde. Le film met en lumière la « guerre du cola » du milieu des années 1980, qui comprenait tout, de la grave brûlure accidentelle de Michael Jackson au fiasco du New Coke, en tant que récit ultime de l’outsider le plus emblématique prétendant à la deuxième place de l’histoire (Pepsi) en lice pour la première place (Coca-Cola). »
Au scénario, on retrouvera Jason Shuman (créateur de la série Acapulco sur Apple TV+) et Ben Queen (passé sur Cars 2, Cars 3 ou encore La Famille Addams 2 : Une virée d’enfer). Sur le papier, ça fait un peu moins rêvé que les noms combinés d’Apatow et Spielberg, mais on demande à voir tant le sujet est passionnant. La guerre entre les deux géants du soda avait en effet déjà fait l’objet de nombreux documentaires comme Pepsi VS Coca, la guerre des colas en 2019, Coca vs Pepsi : le combat du siècle en 2015 ou Pepsi vs Cola: The Marketing Battle of the Century en 2014.
Transposer cette histoire dans un récit de fiction pourrait permettre à Apatow d’accentuer quelques éléments et donc de transformer cette guerre très sérieuse en véritable comédie burlesque. On est en tout cas curieux de voir qui pourrait rejoindre l’aventure. Pour le moment, le projet n’a pas de date de sortie. De son côté, Steven Spielberg avance toujours sur The Dish, son film sur les aliens dont le tournage débutera en février 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/c ... -nFEx90nkg

La guerre entre Coca-Cola et Pepsi va donner lieu à un film et avec une équipe de rêve aux commandes.
Judd Apatow est devenu un nom majeur de la comédie durant les années 2000. Le cinéaste a rencontré le succès en réalisant 40 ans, toujours puceau (qui avait révélé Steve Carell), En cloque, mode d’emploi ou encore Funny People avec Adam Sandler. Le réalisateur a aussi parfaitement saisi l’ère du temps en produisant des films maintenant cultes pour le public adulescent, comme SuperGrave de Greg Mottola ou encore Frangins malgré eux d’Adam McKay.
Problème, son humour ne fait pas toujours mouche. Alors qu’il avait beaucoup impressionné la critique avec The King of Staten Island en 2020, son dernier film Netflix La Bulle s’était fait conspuer (à juste titre) en 2022. On se demandait donc quel serait le prochain projet du cinéaste. Et justement, avec l’aide de Steven Spielberg à la production, Apatow va s’attaquer à la guerre entre Coca-Cola et Pepsi (rien que ça).
Selon Deadline, Judd Apatow va en effet réaliser un film sur la célèbre bataille entre les deux boissons (très) sucrées, notamment avec Sony qui a acheté le projet pour plus d’un million de dollars peu avant. En voilà le synopsis :
« Le film raconte l’histoire vraie de la tentative de Pepsi de mettre fin au règne centenaire de Coca-Cola en tant que meilleure marque de cola au monde. Le film met en lumière la « guerre du cola » du milieu des années 1980, qui comprenait tout, de la grave brûlure accidentelle de Michael Jackson au fiasco du New Coke, en tant que récit ultime de l’outsider le plus emblématique prétendant à la deuxième place de l’histoire (Pepsi) en lice pour la première place (Coca-Cola). »
Au scénario, on retrouvera Jason Shuman (créateur de la série Acapulco sur Apple TV+) et Ben Queen (passé sur Cars 2, Cars 3 ou encore La Famille Addams 2 : Une virée d’enfer). Sur le papier, ça fait un peu moins rêvé que les noms combinés d’Apatow et Spielberg, mais on demande à voir tant le sujet est passionnant. La guerre entre les deux géants du soda avait en effet déjà fait l’objet de nombreux documentaires comme Pepsi VS Coca, la guerre des colas en 2019, Coca vs Pepsi : le combat du siècle en 2015 ou Pepsi vs Cola: The Marketing Battle of the Century en 2014.
Transposer cette histoire dans un récit de fiction pourrait permettre à Apatow d’accentuer quelques éléments et donc de transformer cette guerre très sérieuse en véritable comédie burlesque. On est en tout cas curieux de voir qui pourrait rejoindre l’aventure. Pour le moment, le projet n’a pas de date de sortie. De son côté, Steven Spielberg avance toujours sur The Dish, son film sur les aliens dont le tournage débutera en février 2025.
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Tu peux le trouver en streaming en anglais sous titré anglaisrobinne a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 13:11Et tu l'as trouvé où ?Pale a écrit : ↑sam. 14 sept. 2024 10:48
Sole Survivor ou L'unique survivante en VF. J'ai appris l'existence de ce film il y a quelques jours dans un article de Collider qui vantait les mérites de ce film totalement oublié des années 80 (1984 pour être exact). C'est toujours un plaisir incommensurable de découvrir un film d'une décennie qu'on adore, surtout lorsque c'est réussi. C'est le cas ici même si je ne suis pas forcément convaincu pas certains détails scénaristiques. Ce film commence un peu comme Destination Finale ou Incassable, une femme survit à un crash aérien alors que tous les autres passagers sont morts. Elle va alors commencer à être victime d'apparitions étranges. À ce titre, l'ambiance sinistre de certaines scènes (qui m'ont parfois rappelé Le Sixième Sens) font leur petit effet, même 40 ans plus tard. Tout n'est pas parfait mais je suis heureux d'avoir pu découvrir ce film tombé totalement dans les oubliettes.
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Vu hier soir

J'avais très envie de le voir depuis que j'avais découvert la BA il y a pas mal de temps et comme il est arrivé sur Prime j'en ai profité.
Eh bien je n'ai pas été déçu, contrairement à beaucoup... C'est bien violent, souvent drôle (la voix-off), peu de ventre mou, ça va vraiment à l'essentiel. Je n'ai pas boudé mon plaisir devant. 7/10

J'avais très envie de le voir depuis que j'avais découvert la BA il y a pas mal de temps et comme il est arrivé sur Prime j'en ai profité.
Eh bien je n'ai pas été déçu, contrairement à beaucoup... C'est bien violent, souvent drôle (la voix-off), peu de ventre mou, ça va vraiment à l'essentiel. Je n'ai pas boudé mon plaisir devant. 7/10
Je le mate bientôtWickaël a écrit : ↑lun. 16 sept. 2024 18:40 Vu hier soir
J'avais très envie de le voir depuis que j'avais découvert la BA il y a pas mal de temps et comme il est arrivé sur Prime j'en ai profité.
Eh bien je n'ai pas été déçu, contrairement à beaucoup... C'est bien violent, souvent drôle (la voix-off), peu de ventre mou, ça va vraiment à l'essentiel. Je n'ai pas boudé mon plaisir devant. 7/10

De mon côté :

La magie a fonctionné sur moi, Tim Burton réussit l'exploit de faire aussi bien (voire mieux) que le premier épisode. La mise en place est un peu longue mais une fois que les choses sérieuses commencent, on retrouve un Tim Burton survolté qui offre un festival de scènes dingues. À ce titre le final est absolument grandiose. Le film bénéficie également d'une bande-originale du tonnerre. Je ne m'attendais pas à adorer de la sorte cette suite et ça fait vraiment plaisir.

Je n'ai jamais vu la série mais une fois j'ai été interpellé par une vidéo de la doubleuse Lila Lacombe qui double donc l'un des personnages principaux et ça avait l'air bien marrant. Du coup j'ai regardé le film (j'avais lu qu'il n'était pas nécessaire de voir la série pour apprécier). C'est un Mr. et Mrs. Smith pour les kids mais pas trop jeunes non plus vu la teneur de certaines scènes ou dialogues. En tout cas j'ai passé un bon moment. C'est dynamique, très beau visuellement et les scènes d'action dépotent pas mal.

La première heure est vraiment excellente, le film prend son temps pour instaurer son ambiance et propose une certaine originalité dans le genre films de possession. Certaines scènes surprennent pour leur violence et brutalité. Par contre j'ai été très déçu par le dernier acte où on a l'impression de regarder un autre film, limite une parodie qui transpire l'amateurisme. Bref c'est dommage que le film perde de sa puissance en cours de route, au final j'ai modérément apprécié mais ça mérite malgré tout le coup d’œil pour certaines scènes.
Heretic : les premiers avis sur le film d’horreur religieux avec Hugh Grant sont là

Les premiers avis sur le thriller horrifique Heretic réalisé par les scénaristes de Sans un bruit, et avec Hugh Grant, sont arrivés.
Heretic est le nouveau bébé de Bryan Woods et Scott Beck, propulsés comme scénaristes avec Sans un bruit, avant de marquer les esprits comme réalisateurs de l’énorme navet 65 – La Terre d’Avant – alias « ce film avec Adam Driver et des dinosaures ».
Heretic marque également le retour de Hugh Grant dans le champ du film d’horreur, lui qui avait notamment commencé sa carrière dans Le Repaire du ver blanc, version de Dracula par Ken Russell sortie en 1988. Il y interprète un type sadique au possible qui choisit pour proie deux jeunes missionnaires, Chloe East et Sophie Thatcher, et va tenter de mettre la foi de ces deux jeunes ouailles à l’épreuve.
Film à énigmes, de possession diabolique ou de tueur taré : la bande-annonce d’Heretic avait semé le trouble sur la nature exacte du film.
La maison A24 remet les pieds dans les territoires de la peur avec Heretic, après le ratage complet du film d’horreur The Front Room. Porté par un Hugh Grant, qui a expliqué que sa carrière avait été sauvée par Cloud Atlas, le film de Bryan Woods et Scott Beck a réussi à emporter les suffrages d’une partie de la critique. Revue de presse.
« Jamais la réflexion sur la théologie n’a été aussi divertissante – et c’est tant mieux. »
Maureen Lee Lenker – Entertainment Weekly
« Écrit et réalisé par Scott Beck et Bryan Woods, Heretic est un thriller d’horreur tour à tour intelligent et stupide qui se veut un dialogue pointu sur la foi par rapport à la raison, le libre arbitre par rapport à la préordination. Il n’arrive peut-être pas à un résultat profond, mais il s’amuse à exposer ses thèses. »
Richard Lawson – Vanity Fair
« Il est conçu pour accélérer votre pouls et votre esprit en même temps, ce qui est trop rare dans le cinéma de genre. Le film est également magnifiquement réalisé et merveilleusement interprété. »
Brian Tallerico – RogerEbert.com
« Heretic sait exactement comment nous tenir en haleine. C’est une expérience d’horreur unique qui ne manquera pas de faire parler d’elle. »
Mae Abdulbaki – Screen Rant
« Il s’agit d’un véritable voyage à travers les annales de l’histoire religieuse et les façons dont le concept de Dieu a été acheté et vendu par les charlatans et la culture pop. »
Jared Mobarak – The Film Stage
« La première moitié de Heretic est bien meilleure que la seconde, mais le film vous tient en haleine tout du long. La plus grande partie de sa charge dérangée vient de Grant, qui trouve la noirceur sous les marques agréables de son personnage de star vieillissante. »
A.A. Dowd – IGN
« Heretic n’est peut-être pas un bon divertissement, mais Grant fait en sorte qu’il vaille la peine d’y aller. »
Benjamin Lee – The Guardian
« Si seulement Heretic était aussi sérieux au sujet de la religion que n’importe lequel de ses personnages (qu’il soit pour ou contre), peut-être que la seconde moitié du film ne serait pas si prompte à sombrer dans des tours de passe-passe inventés et des démonstrations de suspense trop basiques. »
David Ehrlich – IndieWire
« Heretic a été conçu avec un soin particulier, et les performances solides aident à porter ce thriller axé sur le dialogue. Le problème est que les idées du film ne sont pas particulièrement excitantes. »
Tim Grierson – Screen Daily
Les premières critiques concernant Heretic montrent un consensus au sujet de la performance des acteurs du film, en particulier celle d’un Hugh Grant à contre-emploi particulièrement efficace. Cependant, malgré les prestations du trio d’acteurs, le film semble s’essouffler dans sa seconde partie. Heretic parait vraiment sortir les crocs quand il s’agit de traiter le thème de la religion, plus encore que lorsqu’il se confronte à la matière horrifique.
Pour se faire son propre avis sur Hugh Grant dans le rôle d’un tordu en gilet à carreaux, il faudra patienter jusqu’à la sortie du film le 4 décembre 2024.
https://www.ecranlarge.com/films/news/h ... MBTo5eHTvA

Les premiers avis sur le thriller horrifique Heretic réalisé par les scénaristes de Sans un bruit, et avec Hugh Grant, sont arrivés.
Heretic est le nouveau bébé de Bryan Woods et Scott Beck, propulsés comme scénaristes avec Sans un bruit, avant de marquer les esprits comme réalisateurs de l’énorme navet 65 – La Terre d’Avant – alias « ce film avec Adam Driver et des dinosaures ».
Heretic marque également le retour de Hugh Grant dans le champ du film d’horreur, lui qui avait notamment commencé sa carrière dans Le Repaire du ver blanc, version de Dracula par Ken Russell sortie en 1988. Il y interprète un type sadique au possible qui choisit pour proie deux jeunes missionnaires, Chloe East et Sophie Thatcher, et va tenter de mettre la foi de ces deux jeunes ouailles à l’épreuve.
Film à énigmes, de possession diabolique ou de tueur taré : la bande-annonce d’Heretic avait semé le trouble sur la nature exacte du film.
La maison A24 remet les pieds dans les territoires de la peur avec Heretic, après le ratage complet du film d’horreur The Front Room. Porté par un Hugh Grant, qui a expliqué que sa carrière avait été sauvée par Cloud Atlas, le film de Bryan Woods et Scott Beck a réussi à emporter les suffrages d’une partie de la critique. Revue de presse.
« Jamais la réflexion sur la théologie n’a été aussi divertissante – et c’est tant mieux. »
Maureen Lee Lenker – Entertainment Weekly
« Écrit et réalisé par Scott Beck et Bryan Woods, Heretic est un thriller d’horreur tour à tour intelligent et stupide qui se veut un dialogue pointu sur la foi par rapport à la raison, le libre arbitre par rapport à la préordination. Il n’arrive peut-être pas à un résultat profond, mais il s’amuse à exposer ses thèses. »
Richard Lawson – Vanity Fair
« Il est conçu pour accélérer votre pouls et votre esprit en même temps, ce qui est trop rare dans le cinéma de genre. Le film est également magnifiquement réalisé et merveilleusement interprété. »
Brian Tallerico – RogerEbert.com
« Heretic sait exactement comment nous tenir en haleine. C’est une expérience d’horreur unique qui ne manquera pas de faire parler d’elle. »
Mae Abdulbaki – Screen Rant
« Il s’agit d’un véritable voyage à travers les annales de l’histoire religieuse et les façons dont le concept de Dieu a été acheté et vendu par les charlatans et la culture pop. »
Jared Mobarak – The Film Stage
« La première moitié de Heretic est bien meilleure que la seconde, mais le film vous tient en haleine tout du long. La plus grande partie de sa charge dérangée vient de Grant, qui trouve la noirceur sous les marques agréables de son personnage de star vieillissante. »
A.A. Dowd – IGN
« Heretic n’est peut-être pas un bon divertissement, mais Grant fait en sorte qu’il vaille la peine d’y aller. »
Benjamin Lee – The Guardian
« Si seulement Heretic était aussi sérieux au sujet de la religion que n’importe lequel de ses personnages (qu’il soit pour ou contre), peut-être que la seconde moitié du film ne serait pas si prompte à sombrer dans des tours de passe-passe inventés et des démonstrations de suspense trop basiques. »
David Ehrlich – IndieWire
« Heretic a été conçu avec un soin particulier, et les performances solides aident à porter ce thriller axé sur le dialogue. Le problème est que les idées du film ne sont pas particulièrement excitantes. »
Tim Grierson – Screen Daily
Les premières critiques concernant Heretic montrent un consensus au sujet de la performance des acteurs du film, en particulier celle d’un Hugh Grant à contre-emploi particulièrement efficace. Cependant, malgré les prestations du trio d’acteurs, le film semble s’essouffler dans sa seconde partie. Heretic parait vraiment sortir les crocs quand il s’agit de traiter le thème de la religion, plus encore que lorsqu’il se confronte à la matière horrifique.
Pour se faire son propre avis sur Hugh Grant dans le rôle d’un tordu en gilet à carreaux, il faudra patienter jusqu’à la sortie du film le 4 décembre 2024.
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James Cameron : enfin un nouveau film hors Avatar (et en « réponse » à Oppenheimer)

Alors qu’il prépare Avatar 3, Avatar 4 et Avatar 5, James Cameron a décidé de changer d’univers avec un tout nouveau film, loin de Pandora. Et qui sera peut-être une parfaite réponse à Oppenheimer, de Christopher Nolan.
Vous vous souvenez de cette scène dans Titanic où Rose, âgée, commence à plonger dans ses souvenirs, et dit « Ça fait 84 ans… » ? 84 ans, c’est le temps ressenti depuis que James Cameron a réalisé un film qui n’est pas un Avatar. Occupé sur ce projet monstrueux depuis le début des années 2000, le réalisateur d’Abyss et Aliens, le retour y a mis toute son énergie. Normal : ce sont des superproductions aux dimensions pharaoniques, qui ont rencontré un succès phénoménal.
Mais le temps est venu de changer d’univers. James Cameron a ainsi choisi quel sera son prochain projet non-Avatar, qui sera donc son premier film non-Avatar depuis Titanic en 1997 (sans compter ses documentaires). Et ce sera un film loin de Pandora, qui reviendra sur un des événements les plus traumatisants de l’Histoire de l’humanité : les bombes atomiques au Japon.
Deadline annonce que James Cameron a acheté les droits du livre de Charles Pellegrino Ghosts of Hiroshima (publié en 2025), après avoir déjà mis la main sur le précédent, Last Train From Hiroshima (publié en 2015).
L’objectif : tourner un film adapté des livres, qui sera intitulé Last Train From Hiroshima, « dès que la production d’Avatar le lui permettra ».
Ce projet d’adaptation traîne depuis 2010, lorsque le cinéaste avait acheté les droits de Last Train From Hiroshima. Mais Avatar est sorti en 2009, pour rencontrer un succès faramineux et devenir sa priorité. Sachant que Charles Pellegrino a servi de consultant sur Titanic et Avatar, Cameron avait de toute évidence gardé l’idée dans un coin de sa tête.
Le succès d’Oppenheimer (975 millions au box-office, 7 Oscars) a-t-il aidé ? Difficile de ne pas l’imaginer.
Last Train From Hiroshima racontera notamment l’histoire extraordinaire d’un homme japonais durant la Seconde Guerre mondiale. Le 6 août 1945, Tsutomu Yamaguchi survit à la bombe atomique de Hiroshima, et prend un train, direction Nagasaki. Il survit alors à la deuxième bombe, le 9 août 1945.
Tsutomu Yamaguchi est la seule personne à avoir été officiellement reconnue par le Japon comme ayant survécu aux deux bombes, parmi environ 160 autres qui ont été touchées par Hiroshima et Nagasaki.
En s’inspirant des témoignages de survivants et de nombreuses recherches, Charles Pellegrino raconte en détail les événements de ces deux jours qui ont changé l’Histoire de l’humanité, et tué entre 150 000 et 246 000 personnes.
James Cameron a expliqué à Deadline en septembre 2024 :
« C’est un sujet sur lequel j’avais envie de faire un film, et avec lequel je me débattais pour savoir comment le faire, depuis des années. J’ai rencontré Tsutomu Yamaguchi, un survivant de Hiroshima et Nagasaki, quelques jours avant sa mort. Il était à l’hôpital. Il nous passait le relais de son histoire personnelle, donc je dois le faire. Je ne peux pas faire autrement. »
Le spectre du nucléaire plane sur les films de James Cameron, de Terminator à Abyss. Et après le succès d’Oppenheimer de Christopher Nolan, qui avait justement choisi de raconter uniquement le point de vue américain Robert Oppenheimer, cette histoire du côté japonais devrait particulièrement résonner.
Autre point commun entre les deux cinéastes : James Cameron a précisé à Deadline que son film sera impérativement exploité au cinéma. Si quelqu’un avait encore un doute sur le rapport du cinéaste au streaming.
Reste maintenant à savoir quand James Cameron trouvera du temps dans le calendrier Avatar. Le tournage d’Avatar 3 : Fire and Ash s’est terminé en décembre 2020, et la post-production est en cours pour la sortie prévue en décembre 2025. Des scènes des suites ont déjà été tournées, mais le cinéaste a déclaré début 2024 que le reste tournage d’Avatar 4 (sortie prévue en décembre 2029) ne reprendra pas avant la sortie du troisième épisode. Sachant que rien n’a encore été filmé pour Avatar 5, qui sortira normalement en décembre 2031.
https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... ppenheimer

Alors qu’il prépare Avatar 3, Avatar 4 et Avatar 5, James Cameron a décidé de changer d’univers avec un tout nouveau film, loin de Pandora. Et qui sera peut-être une parfaite réponse à Oppenheimer, de Christopher Nolan.
Vous vous souvenez de cette scène dans Titanic où Rose, âgée, commence à plonger dans ses souvenirs, et dit « Ça fait 84 ans… » ? 84 ans, c’est le temps ressenti depuis que James Cameron a réalisé un film qui n’est pas un Avatar. Occupé sur ce projet monstrueux depuis le début des années 2000, le réalisateur d’Abyss et Aliens, le retour y a mis toute son énergie. Normal : ce sont des superproductions aux dimensions pharaoniques, qui ont rencontré un succès phénoménal.
Mais le temps est venu de changer d’univers. James Cameron a ainsi choisi quel sera son prochain projet non-Avatar, qui sera donc son premier film non-Avatar depuis Titanic en 1997 (sans compter ses documentaires). Et ce sera un film loin de Pandora, qui reviendra sur un des événements les plus traumatisants de l’Histoire de l’humanité : les bombes atomiques au Japon.
Deadline annonce que James Cameron a acheté les droits du livre de Charles Pellegrino Ghosts of Hiroshima (publié en 2025), après avoir déjà mis la main sur le précédent, Last Train From Hiroshima (publié en 2015).
L’objectif : tourner un film adapté des livres, qui sera intitulé Last Train From Hiroshima, « dès que la production d’Avatar le lui permettra ».
Ce projet d’adaptation traîne depuis 2010, lorsque le cinéaste avait acheté les droits de Last Train From Hiroshima. Mais Avatar est sorti en 2009, pour rencontrer un succès faramineux et devenir sa priorité. Sachant que Charles Pellegrino a servi de consultant sur Titanic et Avatar, Cameron avait de toute évidence gardé l’idée dans un coin de sa tête.
Le succès d’Oppenheimer (975 millions au box-office, 7 Oscars) a-t-il aidé ? Difficile de ne pas l’imaginer.
Last Train From Hiroshima racontera notamment l’histoire extraordinaire d’un homme japonais durant la Seconde Guerre mondiale. Le 6 août 1945, Tsutomu Yamaguchi survit à la bombe atomique de Hiroshima, et prend un train, direction Nagasaki. Il survit alors à la deuxième bombe, le 9 août 1945.
Tsutomu Yamaguchi est la seule personne à avoir été officiellement reconnue par le Japon comme ayant survécu aux deux bombes, parmi environ 160 autres qui ont été touchées par Hiroshima et Nagasaki.
En s’inspirant des témoignages de survivants et de nombreuses recherches, Charles Pellegrino raconte en détail les événements de ces deux jours qui ont changé l’Histoire de l’humanité, et tué entre 150 000 et 246 000 personnes.
James Cameron a expliqué à Deadline en septembre 2024 :
« C’est un sujet sur lequel j’avais envie de faire un film, et avec lequel je me débattais pour savoir comment le faire, depuis des années. J’ai rencontré Tsutomu Yamaguchi, un survivant de Hiroshima et Nagasaki, quelques jours avant sa mort. Il était à l’hôpital. Il nous passait le relais de son histoire personnelle, donc je dois le faire. Je ne peux pas faire autrement. »
Le spectre du nucléaire plane sur les films de James Cameron, de Terminator à Abyss. Et après le succès d’Oppenheimer de Christopher Nolan, qui avait justement choisi de raconter uniquement le point de vue américain Robert Oppenheimer, cette histoire du côté japonais devrait particulièrement résonner.
Autre point commun entre les deux cinéastes : James Cameron a précisé à Deadline que son film sera impérativement exploité au cinéma. Si quelqu’un avait encore un doute sur le rapport du cinéaste au streaming.
Reste maintenant à savoir quand James Cameron trouvera du temps dans le calendrier Avatar. Le tournage d’Avatar 3 : Fire and Ash s’est terminé en décembre 2020, et la post-production est en cours pour la sortie prévue en décembre 2025. Des scènes des suites ont déjà été tournées, mais le cinéaste a déclaré début 2024 que le reste tournage d’Avatar 4 (sortie prévue en décembre 2029) ne reprendra pas avant la sortie du troisième épisode. Sachant que rien n’a encore été filmé pour Avatar 5, qui sortira normalement en décembre 2031.
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Le public du TIFF récompense Mike Flanagan, Stephen King, Tom Hiddleston...

The Life of Chuck a reçu le People's Choice Award au festival de Toronto, ce week-end. Un prix qui lui présage un bel avenir...
Déjà acclamé pour son adaptation de Doctor Sleep, la suite de Shining, au cinéma, Mike Flanagan (The Haunting of Hill House, La Chute de la maison Usher...) reviendra bientôt avec The Life of Chuck, une autre adaptation de Stephen King. Dévoilé au festival de Toronton la semaine dernière, celui-ci vient de gagner le People's Choice Award, soit le Prix du public.
Cela peut sembler anecdotique de remporter un trophée au cours d'un festival qui n'a pas véritablement de palmarès, mais le fait est que les spectateurs du TIFF se trompent rarement. Remporter ce prix en particulier à Toronto annonce bien souvent un bel avenir aux vainqueurs, qui entrent ensuite traditionnellement dans la course aux Oscars. Parmi les douze derniers vainqueurs du TIFF - parmi eux La La Land, Three Billboards ou The Fabelmans- trois ont carrément remporté la statuette majeure de l'Academy : Nomadland, Green Book et 12 Years a Slave.
Mike Flanagan est évidemment ravi de cette première récompense, qui montre qu'il ne s'est pas trompé de cible en adaptant cette œuvre courte de l'auteur de Carrie. Issue des nouvelles parues en 2020 dans le recueil Si ça saigne, The Life of Chuck se rapproche du registre de Stand by Me, Les Évadés ou encore La ligne verte, en racontant les bonheurs simples de la vie d'un homme, alors que le monde s'écroule autour de lui.
"Dans un film catastrophe, les gens courent à leur perte et fuient des raz-de-marée, et cette histoire montre des gens assis tranquillement, se tenant la main, et regardant les étoiles, a expliqué son réalisateur pour définir son concept. Il s'est entouré pour ce film de Tom Hiddleston (Loki), Chiwetel Ejiofor (12 Years a slave), Matthew Lillard (Scream), ainsi que Karen Gillian, Carl Lumbly et Mark Hamill, qu'il a déjà dirigés, respectivement dans The Mirror, Doctor Sleep et La Chute de la Maison Usher.
Félicité par Stephen King en personne sur les réseaux sociaux, peu de temps après un message de Hamill trop content de voir le film en avant-première aux côtés de l'écrivain, Flanagan écrit :
"Je suis fou de joie. Et tellement reconnaissant envers Steve de nous avoir fait confiance pour porter à l'écran sa belle histoire."
Le TIFF a également partagé des interviews en vidéo de Mike Flanagan réagissant à cette victoire, et expliquant en quoi ce projet, financé par FilmNation Entertainment, changeait de ses précédentes réalisations pour Netflix ou la Warner Bros :
"C'était comme si je rentrais chez moi, que je n'avais plus toute cette pression des studios... Bien sûr, il y avait du challenge, mais c'était différent. Le film a réveillé en moi quelque chose que j'adore dans le fait de tourner un film indépendant, en mode DIY. J'ai adoré faire ce film."
The Life of Chuck n'a pas encore de date de sortie française. Notez qu'Emilia Perez et Anora, réalisés par Jacques Audiard et Sean Baker, et déjà récompensés lors du dernier festival de Cannes, ont eux aussi été salués par le public du TIFF : s'ils ont reçu un peu moins de votes que The Life of Chuck, ils sont arrivés respectivement 2e et 3e du People's Choice Award.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... glyNHRU0mQ

The Life of Chuck a reçu le People's Choice Award au festival de Toronto, ce week-end. Un prix qui lui présage un bel avenir...
Déjà acclamé pour son adaptation de Doctor Sleep, la suite de Shining, au cinéma, Mike Flanagan (The Haunting of Hill House, La Chute de la maison Usher...) reviendra bientôt avec The Life of Chuck, une autre adaptation de Stephen King. Dévoilé au festival de Toronton la semaine dernière, celui-ci vient de gagner le People's Choice Award, soit le Prix du public.
Cela peut sembler anecdotique de remporter un trophée au cours d'un festival qui n'a pas véritablement de palmarès, mais le fait est que les spectateurs du TIFF se trompent rarement. Remporter ce prix en particulier à Toronto annonce bien souvent un bel avenir aux vainqueurs, qui entrent ensuite traditionnellement dans la course aux Oscars. Parmi les douze derniers vainqueurs du TIFF - parmi eux La La Land, Three Billboards ou The Fabelmans- trois ont carrément remporté la statuette majeure de l'Academy : Nomadland, Green Book et 12 Years a Slave.
Mike Flanagan est évidemment ravi de cette première récompense, qui montre qu'il ne s'est pas trompé de cible en adaptant cette œuvre courte de l'auteur de Carrie. Issue des nouvelles parues en 2020 dans le recueil Si ça saigne, The Life of Chuck se rapproche du registre de Stand by Me, Les Évadés ou encore La ligne verte, en racontant les bonheurs simples de la vie d'un homme, alors que le monde s'écroule autour de lui.
"Dans un film catastrophe, les gens courent à leur perte et fuient des raz-de-marée, et cette histoire montre des gens assis tranquillement, se tenant la main, et regardant les étoiles, a expliqué son réalisateur pour définir son concept. Il s'est entouré pour ce film de Tom Hiddleston (Loki), Chiwetel Ejiofor (12 Years a slave), Matthew Lillard (Scream), ainsi que Karen Gillian, Carl Lumbly et Mark Hamill, qu'il a déjà dirigés, respectivement dans The Mirror, Doctor Sleep et La Chute de la Maison Usher.
Félicité par Stephen King en personne sur les réseaux sociaux, peu de temps après un message de Hamill trop content de voir le film en avant-première aux côtés de l'écrivain, Flanagan écrit :
"Je suis fou de joie. Et tellement reconnaissant envers Steve de nous avoir fait confiance pour porter à l'écran sa belle histoire."
Le TIFF a également partagé des interviews en vidéo de Mike Flanagan réagissant à cette victoire, et expliquant en quoi ce projet, financé par FilmNation Entertainment, changeait de ses précédentes réalisations pour Netflix ou la Warner Bros :
"C'était comme si je rentrais chez moi, que je n'avais plus toute cette pression des studios... Bien sûr, il y avait du challenge, mais c'était différent. Le film a réveillé en moi quelque chose que j'adore dans le fait de tourner un film indépendant, en mode DIY. J'ai adoré faire ce film."
The Life of Chuck n'a pas encore de date de sortie française. Notez qu'Emilia Perez et Anora, réalisés par Jacques Audiard et Sean Baker, et déjà récompensés lors du dernier festival de Cannes, ont eux aussi été salués par le public du TIFF : s'ils ont reçu un peu moins de votes que The Life of Chuck, ils sont arrivés respectivement 2e et 3e du People's Choice Award.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... glyNHRU0mQ
Je croyais James Cameron définitivement perdu avec sa saga full-numérique. Content de le voir revenir aux affaires !Pale a écrit : ↑mar. 17 sept. 2024 17:59 James Cameron : enfin un nouveau film hors Avatar (et en « réponse » à Oppenheimer)
Alors qu’il prépare Avatar 3, Avatar 4 et Avatar 5, James Cameron a décidé de changer d’univers avec un tout nouveau film, loin de Pandora. Et qui sera peut-être une parfaite réponse à Oppenheimer, de Christopher Nolan.
Vous vous souvenez de cette scène dans Titanic où Rose, âgée, commence à plonger dans ses souvenirs, et dit « Ça fait 84 ans… » ? 84 ans, c’est le temps ressenti depuis que James Cameron a réalisé un film qui n’est pas un Avatar. Occupé sur ce projet monstrueux depuis le début des années 2000, le réalisateur d’Abyss et Aliens, le retour y a mis toute son énergie. Normal : ce sont des superproductions aux dimensions pharaoniques, qui ont rencontré un succès phénoménal.
Mais le temps est venu de changer d’univers. James Cameron a ainsi choisi quel sera son prochain projet non-Avatar, qui sera donc son premier film non-Avatar depuis Titanic en 1997 (sans compter ses documentaires). Et ce sera un film loin de Pandora, qui reviendra sur un des événements les plus traumatisants de l’Histoire de l’humanité : les bombes atomiques au Japon.
Deadline annonce que James Cameron a acheté les droits du livre de Charles Pellegrino Ghosts of Hiroshima (publié en 2025), après avoir déjà mis la main sur le précédent, Last Train From Hiroshima (publié en 2015).
L’objectif : tourner un film adapté des livres, qui sera intitulé Last Train From Hiroshima, « dès que la production d’Avatar le lui permettra ».
Ce projet d’adaptation traîne depuis 2010, lorsque le cinéaste avait acheté les droits de Last Train From Hiroshima. Mais Avatar est sorti en 2009, pour rencontrer un succès faramineux et devenir sa priorité. Sachant que Charles Pellegrino a servi de consultant sur Titanic et Avatar, Cameron avait de toute évidence gardé l’idée dans un coin de sa tête.
Le succès d’Oppenheimer (975 millions au box-office, 7 Oscars) a-t-il aidé ? Difficile de ne pas l’imaginer.
Last Train From Hiroshima racontera notamment l’histoire extraordinaire d’un homme japonais durant la Seconde Guerre mondiale. Le 6 août 1945, Tsutomu Yamaguchi survit à la bombe atomique de Hiroshima, et prend un train, direction Nagasaki. Il survit alors à la deuxième bombe, le 9 août 1945.
Tsutomu Yamaguchi est la seule personne à avoir été officiellement reconnue par le Japon comme ayant survécu aux deux bombes, parmi environ 160 autres qui ont été touchées par Hiroshima et Nagasaki.
En s’inspirant des témoignages de survivants et de nombreuses recherches, Charles Pellegrino raconte en détail les événements de ces deux jours qui ont changé l’Histoire de l’humanité, et tué entre 150 000 et 246 000 personnes.
James Cameron a expliqué à Deadline en septembre 2024 :
« C’est un sujet sur lequel j’avais envie de faire un film, et avec lequel je me débattais pour savoir comment le faire, depuis des années. J’ai rencontré Tsutomu Yamaguchi, un survivant de Hiroshima et Nagasaki, quelques jours avant sa mort. Il était à l’hôpital. Il nous passait le relais de son histoire personnelle, donc je dois le faire. Je ne peux pas faire autrement. »
Le spectre du nucléaire plane sur les films de James Cameron, de Terminator à Abyss. Et après le succès d’Oppenheimer de Christopher Nolan, qui avait justement choisi de raconter uniquement le point de vue américain Robert Oppenheimer, cette histoire du côté japonais devrait particulièrement résonner.
Autre point commun entre les deux cinéastes : James Cameron a précisé à Deadline que son film sera impérativement exploité au cinéma. Si quelqu’un avait encore un doute sur le rapport du cinéaste au streaming.
Reste maintenant à savoir quand James Cameron trouvera du temps dans le calendrier Avatar. Le tournage d’Avatar 3 : Fire and Ash s’est terminé en décembre 2020, et la post-production est en cours pour la sortie prévue en décembre 2025. Des scènes des suites ont déjà été tournées, mais le cinéaste a déclaré début 2024 que le reste tournage d’Avatar 4 (sortie prévue en décembre 2029) ne reprendra pas avant la sortie du troisième épisode. Sachant que rien n’a encore été filmé pour Avatar 5, qui sortira normalement en décembre 2031.
https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... ppenheimer
Ca m'intéresse clairement bien plus que les suites de Avatar, même si ça peut vite être larmoyant à outrance un tel projet.
Bon de là à ce qu'à la fin il délègue une fois encore la réalisation à un de ses potes qui en fera de la merde, il n'y a qu'un pas.
Bon de là à ce qu'à la fin il délègue une fois encore la réalisation à un de ses potes qui en fera de la merde, il n'y a qu'un pas.

Pour le larmoyant faut voir. J’ai rien contre les bons mélos (Titanic c’était ça avant tout).

Après, pas sûr qu’il arrive à caser à tout ça d’ici la sortie d’Avatar 5 en 2031.

Mais quitte à déléguer, je préférerais qu’il délégue ce dernier…

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Après avoir vu l'ensemble des 8 épisodes, je dois avouer qu'on tient là une belle surprise !
Démarrant directement une semaine après les évènements de The Batman, The Penguin nous invite à un focus sur le vilain éponyme (renommé Oz Cobb ici) : de petite frappe secondaire dans le film de Matt Reeves, c'est à tout un parcours de personnage dans la pure tradition des films de gangster que nous invite cette série très bien narrée.
Pas de bout de gras, The Penguin gère même mieux son ton résolument adulte comparé au film, embrassant un R-Rated et parfois même des relents de Goodfellas/The Sopranos tandis qu'on découvrira lors de courts instants la jeunesse d'Oz, et toutle contexte de lutte intestine de la pègre pour le contrôle des bas-fonds de Gotham.
Pris en sandwich entre les Maroni (dont il se sert) et les Falcone (dont il fait partie en sous-marin), l'ascension du Pingouin est un moteur dramaturgique efficace (bien que finalement classique dans ses circonvolutions narratives).
Mais c'est véritablement parce qu'elle s'intéresse à ses personnages que la série convaint : Colin Farrell est absolument excellent dans ce personnage de truand ayant gravi les échelons qu'on se surprend à aimer (avant de virdr en ultime pourriture). Jamais trop antipathique ni dans un dolorisme à la Joker, on est véritablement dans du HBO pour ce qui est de la manière d'aborder l'intimité sous-jacente du perso (sa relation à sa mère, sa dimension de mentor avec un jeune délinquant bien incarné par Rhenzy Feliz, mais aussi via une Carmen Ejogo malheureusement sous-utilisée).
Ce n'est certes pas The Wire ou The Corner, mais montrer l'envers du décor de Gotham la rend plus palpable, même si on abandonne un tantinet l'esthétique du film pour quelque chose de plus télévisuel (tendance Detroit/New York)
Et outre un cast secondaire convaincant (excepté Theo Rossi qui semble mal casté à mon sens en psychiatre), il faut compter sur une Cristin Milioti absolument géniale en Sofia Falcone. La véritable antagoniste de The Penguin, bénéficiant elle aussi d'une craie trajectoire cristallisée par un épisode 4 à Arkham réellement prenant, encapsulant à lui seul toute la complexité bienvenue d'une victime transformée en sociopathe.
Bref il y a quelques éléments ici et là qui méritaient plus de développement, mais jusqu'à son ultime scène, on tient là une série spin-off vraiment réussie, portée par un super casting. Le tout sans aucun fan-service (récit autonome)
7.5/10 donc 4/5
- NaughtyDog
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La véritable histoire des personnes ayant incarnés Mickey ?



Modifié en dernier par ClintReborn le mer. 18 sept. 2024 14:53, modifié 1 fois.
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Un nouveau film Jeanne D’Arc arrive, et personne n’est prêt pour cette version et son réalisateur

Un nouveau biopic dédié à la figure historique de Jeanne D’Arc est en préparation, avec un réalisateur inattendu aux commandes.
Le mythe de Jeanne D’Arc s’apprête à faire son retour sur grand écran, encore. Avec plus d’une trentaine d’adaptations au cinéma au compteur, la figure de la Pucelle d’Orléans fait sans doute partie des personnages historiques dont la vie a le plus inspiré les réalisateurs de tout bord. De La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer en 1928, un classique du cinéma muet, à Jeanne Captive de Philippe Ramos avec Clémence Poésy, sans oublier le Jeanne d’Arc de Luc Besson, elle a eu droit à tous les traitements, et pas forcément heureux.
D’après des informations recueillies auprès de la Warner Bros, un nouveau biopic de Jeanne D’Arc est actuellement en préparation, et personne n’aurait pu se douter de qui a été mis aux commandes, car le nom du réalisateur est plutôt synonyme de métrages baroques et flamboyants, aux antipodes de la fidélité historique obsessionnelle.
La nouvelle a été divulguée en exclusivité par Deadline le 17 septembre 2024 : un nouveau projet de biopic dédié au personnage historique de Jeanne D’Arc a été mis en chantier du côté de la Warner Bros. Intitulé Jehanne or Jehanne d’Arc, le film sera réalisé par le réalisateur de Moulin Rouge, Roméo + Juliette et Gatsby le Magnifique, Baz Luhrmann. Il ne lui aura pas fallu grand temps pour se remettre en selle après l’abandon du projet d’adaptation du roman Le Maitre et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov.
Le réalisateur souhaite adopter un point de vue décalé sur la vie de la jeune femme qui a fini sur le bûcher à l’âge de 19 ans, non sans avoir au passage acquis le statut de figure guerrière et religieuse durant le XVème siècle. Le film devrait présenter « l’histoire ultime du passage à l’âge adulte d’une adolescente, se déroulant pendant la guerre de Cent Ans ». Une approche qui n’est pas sans rappeler celle de Bruno Dumont pour ses films Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc de 2017 et Jeanne en 2019, avec son héroïne très jeune incarnée par Lise Leplat Prudhomme.
Avec son style électrique très vif, flamboyant et très emphatique, Baz Luhrmann coche donc une nouvelle case sur la carte de fidélité de la production de biopic, après le très réussi Elvis (288 millions de dollars de recettes à l’international, tout de même). Sur le papier, il s’agit d’une formule alchimique très étrange. Entre le sérieux de la question du rapport à la foi, de l’exploitation d’une figure féminine devenue martyre, et le style baroque de Luhrmann, on s’attend à un trip quasi psychédélique autour du mythe de la Pucelle d’Orléans.
On avoue être animé par une bonne dose de curiosité concernant ce futur métrage. On a hâte de savoir quelles chansons pop le réalisateur nous balancera au visage pendant les délires mystiques de sa Jeanne, et l’idée de voir des scènes de batailles de la Guerre de Cent Ans mises en scène par Luhrmann donne sacrément envie (et fait tout de même un peu peur). Pour le moment, le projet en est à ses premières étapes de production, puisque Baz Luhrmann en est encore à rechercher qui incarnera sa Jeanne D’Arc.
https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... 9aRT7bI6TA

Un nouveau biopic dédié à la figure historique de Jeanne D’Arc est en préparation, avec un réalisateur inattendu aux commandes.
Le mythe de Jeanne D’Arc s’apprête à faire son retour sur grand écran, encore. Avec plus d’une trentaine d’adaptations au cinéma au compteur, la figure de la Pucelle d’Orléans fait sans doute partie des personnages historiques dont la vie a le plus inspiré les réalisateurs de tout bord. De La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer en 1928, un classique du cinéma muet, à Jeanne Captive de Philippe Ramos avec Clémence Poésy, sans oublier le Jeanne d’Arc de Luc Besson, elle a eu droit à tous les traitements, et pas forcément heureux.
D’après des informations recueillies auprès de la Warner Bros, un nouveau biopic de Jeanne D’Arc est actuellement en préparation, et personne n’aurait pu se douter de qui a été mis aux commandes, car le nom du réalisateur est plutôt synonyme de métrages baroques et flamboyants, aux antipodes de la fidélité historique obsessionnelle.
La nouvelle a été divulguée en exclusivité par Deadline le 17 septembre 2024 : un nouveau projet de biopic dédié au personnage historique de Jeanne D’Arc a été mis en chantier du côté de la Warner Bros. Intitulé Jehanne or Jehanne d’Arc, le film sera réalisé par le réalisateur de Moulin Rouge, Roméo + Juliette et Gatsby le Magnifique, Baz Luhrmann. Il ne lui aura pas fallu grand temps pour se remettre en selle après l’abandon du projet d’adaptation du roman Le Maitre et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov.
Le réalisateur souhaite adopter un point de vue décalé sur la vie de la jeune femme qui a fini sur le bûcher à l’âge de 19 ans, non sans avoir au passage acquis le statut de figure guerrière et religieuse durant le XVème siècle. Le film devrait présenter « l’histoire ultime du passage à l’âge adulte d’une adolescente, se déroulant pendant la guerre de Cent Ans ». Une approche qui n’est pas sans rappeler celle de Bruno Dumont pour ses films Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc de 2017 et Jeanne en 2019, avec son héroïne très jeune incarnée par Lise Leplat Prudhomme.
Avec son style électrique très vif, flamboyant et très emphatique, Baz Luhrmann coche donc une nouvelle case sur la carte de fidélité de la production de biopic, après le très réussi Elvis (288 millions de dollars de recettes à l’international, tout de même). Sur le papier, il s’agit d’une formule alchimique très étrange. Entre le sérieux de la question du rapport à la foi, de l’exploitation d’une figure féminine devenue martyre, et le style baroque de Luhrmann, on s’attend à un trip quasi psychédélique autour du mythe de la Pucelle d’Orléans.
On avoue être animé par une bonne dose de curiosité concernant ce futur métrage. On a hâte de savoir quelles chansons pop le réalisateur nous balancera au visage pendant les délires mystiques de sa Jeanne, et l’idée de voir des scènes de batailles de la Guerre de Cent Ans mises en scène par Luhrmann donne sacrément envie (et fait tout de même un peu peur). Pour le moment, le projet en est à ses premières étapes de production, puisque Baz Luhrmann en est encore à rechercher qui incarnera sa Jeanne D’Arc.
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J'espère que ce sera un film réaliste pour une fois c'est à dire une personne instable mentalement utilisée par des gens puissantsPale a écrit : ↑mer. 18 sept. 2024 16:21 Un nouveau film Jeanne D’Arc arrive, et personne n’est prêt pour cette version et son réalisateur
Un nouveau biopic dédié à la figure historique de Jeanne D’Arc est en préparation, avec un réalisateur inattendu aux commandes.
Le mythe de Jeanne D’Arc s’apprête à faire son retour sur grand écran, encore. Avec plus d’une trentaine d’adaptations au cinéma au compteur, la figure de la Pucelle d’Orléans fait sans doute partie des personnages historiques dont la vie a le plus inspiré les réalisateurs de tout bord. De La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer en 1928, un classique du cinéma muet, à Jeanne Captive de Philippe Ramos avec Clémence Poésy, sans oublier le Jeanne d’Arc de Luc Besson, elle a eu droit à tous les traitements, et pas forcément heureux.
D’après des informations recueillies auprès de la Warner Bros, un nouveau biopic de Jeanne D’Arc est actuellement en préparation, et personne n’aurait pu se douter de qui a été mis aux commandes, car le nom du réalisateur est plutôt synonyme de métrages baroques et flamboyants, aux antipodes de la fidélité historique obsessionnelle.
La nouvelle a été divulguée en exclusivité par Deadline le 17 septembre 2024 : un nouveau projet de biopic dédié au personnage historique de Jeanne D’Arc a été mis en chantier du côté de la Warner Bros. Intitulé Jehanne or Jehanne d’Arc, le film sera réalisé par le réalisateur de Moulin Rouge, Roméo + Juliette et Gatsby le Magnifique, Baz Luhrmann. Il ne lui aura pas fallu grand temps pour se remettre en selle après l’abandon du projet d’adaptation du roman Le Maitre et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov.
Le réalisateur souhaite adopter un point de vue décalé sur la vie de la jeune femme qui a fini sur le bûcher à l’âge de 19 ans, non sans avoir au passage acquis le statut de figure guerrière et religieuse durant le XVème siècle. Le film devrait présenter « l’histoire ultime du passage à l’âge adulte d’une adolescente, se déroulant pendant la guerre de Cent Ans ». Une approche qui n’est pas sans rappeler celle de Bruno Dumont pour ses films Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc de 2017 et Jeanne en 2019, avec son héroïne très jeune incarnée par Lise Leplat Prudhomme.
Avec son style électrique très vif, flamboyant et très emphatique, Baz Luhrmann coche donc une nouvelle case sur la carte de fidélité de la production de biopic, après le très réussi Elvis (288 millions de dollars de recettes à l’international, tout de même). Sur le papier, il s’agit d’une formule alchimique très étrange. Entre le sérieux de la question du rapport à la foi, de l’exploitation d’une figure féminine devenue martyre, et le style baroque de Luhrmann, on s’attend à un trip quasi psychédélique autour du mythe de la Pucelle d’Orléans.
On avoue être animé par une bonne dose de curiosité concernant ce futur métrage. On a hâte de savoir quelles chansons pop le réalisateur nous balancera au visage pendant les délires mystiques de sa Jeanne, et l’idée de voir des scènes de batailles de la Guerre de Cent Ans mises en scène par Luhrmann donne sacrément envie (et fait tout de même un peu peur). Pour le moment, le projet en est à ses premières étapes de production, puisque Baz Luhrmann en est encore à rechercher qui incarnera sa Jeanne D’Arc.
https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... 9aRT7bI6TA



Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Kaizen est sorti en Belgique aussi ?Pale a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 17:51 Le box-office français de la semaine :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 1DKSDTnmTQ
Peut-être irais-je vois Beetlejuice Beetlejuice ce WE.
Rien de réellement enthousiasmant en ce moment je trouve. J'attends Megalopolis

On a une idée de la date de sortie de Horizon : une saga américaine Chapitre 2 (s'il sort...) ?
Kaizen a eu des séances en Belgique, en Suisse, au Canada, au Luxembourg, en Espagne, en Algérie, au Maroc, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Tunisie.robinne a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:23
Kaizen est sorti en Belgique aussi ?
Peut-être irais-je vois Beetlejuice Beetlejuice ce WE.
Rien de réellement enthousiasmant en ce moment je trouve. J'attends Megalopolis![]()
On a une idée de la date de sortie de Horizon : une saga américaine Chapitre 2 (s'il sort...) ?

Horizon Chap 2 a vu sa sortie décalée (devrait déjà l'être initialement), mais pas encore daté il me semble.
Merci M'sieur NextNext a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:29Kaizen a eu des séances en Belgique, en Suisse, au Canada, au Luxembourg, en Espagne, en Algérie, au Maroc, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Tunisie.robinne a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:23
Kaizen est sorti en Belgique aussi ?
Peut-être irais-je vois Beetlejuice Beetlejuice ce WE.
Rien de réellement enthousiasmant en ce moment je trouve. J'attends Megalopolis![]()
On a une idée de la date de sortie de Horizon : une saga américaine Chapitre 2 (s'il sort...) ?
Horizon Chap 2 a vu sa sortie décalée (devrait déjà l'être initialement), mais pas encore daté il me semble.

J'ai lu quelques retours catastrophiques sur Horizon... Chapitre 2, et d'autres plus bienveillants. Le 1er chapitre m'avait moyennement accroché

Pas vu le premier. J'avoue que 4 films pour un tel sujet, ça me rebute. Surtout avec cette imagerie très "petit écran" qui ressort des trailers.robinne a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:36Merci M'sieur NextNext a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:29Kaizen a eu des séances en Belgique, en Suisse, au Canada, au Luxembourg, en Espagne, en Algérie, au Maroc, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Tunisie.robinne a écrit : ↑jeu. 19 sept. 2024 18:23
Kaizen est sorti en Belgique aussi ?
Peut-être irais-je vois Beetlejuice Beetlejuice ce WE.
Rien de réellement enthousiasmant en ce moment je trouve. J'attends Megalopolis![]()
On a une idée de la date de sortie de Horizon : une saga américaine Chapitre 2 (s'il sort...) ?
Horizon Chap 2 a vu sa sortie décalée (devrait déjà l'être initialement), mais pas encore daté il me semble.
J'ai lu quelques retours catastrophiques sur Horizon... Chapitre 2, et d'autres plus bienveillants. Le 1er chapitre m'avait moyennement accroché![]()