Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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robinne
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Pale a écrit : dim. 2 févr. 2025 08:45

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La première partie est sublime. La seconde partie comprend des longueurs mais ça n'entache en rien mon enthousiasme face à l'ensemble, la prestation de Timothée Chalamet est remarquable et certaines scènes m'ont procuré de gros frissons.
Je ne connais pas bien Dylan, et je trouve que le film ne l'épargne pas.
Vivement la suite :D
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robinne
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Pale a écrit : mer. 12 févr. 2025 18:07
Sympa :)
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Vu :

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J'ai abandonné la série mais j'ai apprécié ce second film d'animation qui est une rencontre entre La Petite Sirène, Aquaman et Pirates des Caraïbes 2 ^^ L'histoire est agréable à suivre et ça fait le job niveau action.

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Magnifique film de Ang Lee qui adapte ici Jane Austen. On va donc suivre les amours contrariés de Emma Thompson et Kate Winslet. Les deux sont excellentes mais mention spéciale à Emma Thompson qui est fabuleuse. Bref on passe par toutes les émotions et on retrouve également une satire assez savoureuse de la haute société.

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J'ai moyennement apprécié. J'ai l'impression que Michael Cimino possède une carte d'invulnérabilité où il parait impossible de dire du mal d'un de ses films. De L'Année du dragon je sauve principalement l'ambiance policière du film mais à part ça le scénario est on ne peut plus simple et prévisible et les personnages sont on ne peut plus caricaturaux. La palme revient au flic interprété par Mickey Rourke et qui ferait passer L'Inspecteur Harry pour un modèle de vertu. J'ai beau me remettre dans le contexte de l'époque, ce film et surtout le personnage de Mickey Rourke ont l'air de provenir d'un autre temps et d'un autre monde.

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Beaucoup aimé The Gorge et à vrai dire je n'en attendais pas davantage. Beau mélange de romance, d'action et de fantastique/horreur. Bien évidemment on n'est pas chez Wong Kar-wai mais j'ai apprécié le lien qui se noue entre les deux personnages, deux âmes en perdition qui se trouvent et se rapprochent dans un endroit et une situation totalement improbables. Les deux acteurs portent aisément cette histoire sur leurs épaules. Niveau action ça fait également le job.

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Très bon film sorti en 1992. Une lueur dans la nuit est un mélange de drame/romance et de film d'espionnage/d'infiltration se déroulant durant la seconde guerre mondiale et j'ai particulièrement été impressionné par l'ambiance et la reconstitution d'époque. Le film possède malgré tout des longueurs, des facilités et des invraisemblances (notamment dans sa seconde partie) mais j'ai passé un bon moment.
Modifié en dernier par Pale le sam. 15 févr. 2025 07:56, modifié 1 fois.
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Un nouveau ajout de taille dans L'Odyssée de Nolan :

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J'ai moyennement apprécié ce film policier sorti en 1992. On va suivre deux flics infiltrés dans le milieu de la drogue et qui n'ont pas d'autre choix que se droguer pour faire illusion. Bien évidemment ils vont devenir accros petit à petit. Je n'ai pas trouvé la partie policière très crédible et convaincante car on sent venir les personnages à 1000 KM avec leurs gros sabots. Le film est plus convaincant en traitant les problèmes liés à l'addiction et à ce niveau les acteurs sont convaincants. Bref c'est pas mal mais sans plus, c'est assez soporifique dans l'ensemble.
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EL n'a pas trop aimé The Gorge (2 étoiles) :

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Habitué de l’horreur, le réalisateur Scott Derickson (Sinister, L’Exorcisme d’Emily Rose, Black Phone) est de retour avec une idée alléchante : deux agents d’élite doivent protéger une mystérieuse zone, qui cache des monstres et secrets terrifiants. Avec Anya Taylor-Joy, Miles Teller et Sigourney Weaver, il y avait de quoi être très curieux. Que vaut The Gorge, arrivé sur Apple TV+ ce 14 février 2025 ?

MAL DE GORGE


L’affiche (Miles Teller et Anya Taylor-Joy, front contre front et bouches entrouvertes) et la date de sortie (le 14 février, pic de vente des chocolats Mon chéri) étaient de subtils indices. Il y a des monstres mais surtout de l’amour dans The Gorge, et la seule chose profonde ici est la niaiserie. Les deux agents secrets sont là pour sauver le monde d’une horrible menace tapie dans l’ombre et la brume d’une mystérieuse vallée, mais la vraie bataille se joue dans leurs petits cœurs d’artichaut.

Si vous vous endormez devant la première heure de The Gorge et vous réveillez à la fin, vous aurez donc l’impression d’avoir sous les yeux une comédie romantique, quelque part entre Love Actually et Vous avez un message (le coup de foudre par cartons interposés). Et c’est ça le vrai cauchemar puisque le point de départ vendait plutôt une bonne série B horrifique, type survival en milieu hostile.

Le CV du scénariste Zack Dean (Fast X, The Tomorrow War) était un avertissement en soi, mais la présence de Scott Derrickson donnait envie. Du moins le Scott Derrickson de Black Phone et surtout Sinister, capable de créer quelques bons frissons et belles ambiances avec trois fois rien d’original. Mais c’est celui de Hellraiser 5, Délivre-nous du Mal et Le Jour où la Terre s’arrêta qui est à l’œuvre dans The Gorge, production Apple Studios et Skydance Media qui fleure bon le DTV de luxe.

LAME, ACTUALLY

Imaginez. Vous avez toléré les scènes d’exposition neuneu de Barbie et Ken militaires. Vous avez survécu à la première heure chiantissime, aveuglé par les possibilités de cette mystérieuse vallée encerclée de gros canons et mines explosives, et enivré par le parfum de complot dirigé par la reine Sigourney Weaver.

Vous avez digéré les numéros de drague dignes d’un téléfilm de Noël. Vous avez surmonté le moment où Miles Teller montre ses abdos sous la douche puis son petit cul dans la forêt, et où Anya Taylor-Joy danse toute seule dans son salon. Vous avez même accepté leur hommage de Dirty Dancing et leur stoïcisme face aux monstres après la première rencontre. Et vous pensiez être sorti de votre propre enfer quand, au bout d’une heure environ, les deux personnages se retrouvent ENFIN au fond de cette foutue gorge.

À ce moment-là, vous reprenez espoir en un rien de temps, principalement grâce à un insecte géant tout droit sorti du King Kong de Peter Jackson et une créature gluante parfaitement effroyable (la meilleure idée de tout le film). Dans ce purgatoire violacé et halluciné, tout semble décidé à buter ou bouffer les deux amoureux tête-à-claque. Leur cauchemar commence, notre bonheur aussi. The Gorge semble enfin démarrer… et les problèmes aussi.

UN CHARLATAN DANS LA GORGE

Il devient vite clair que cette fameuse Gorge se résume à beaucoup de fumée et d’enfumage. Hormis quelques grosses araignées et crânes posés dans le paysage (c’est le chef déco de Sleepy Hollow et ça se voit), le danger se résume vite à une poignée de troncs d’arbre énervés présentés comme la grande cavalerie des enfers. C’est peu, surtout avec ce design de Marcheurs Blancs version The Green Knight utilisé dans deux ou trois scènes d’affrontement extrêmement basiques.

The Gorge préfère continuer à expliquer plutôt qu’exploiter, notamment dans une scène fabuleuse où les héros lancent un vieux film déroulant toutes les réponses aux grands mystères du récit, avant de se refaire une déclaration d’amour effroyablement ringarde. Comme s’il avait peur d’affronter le néant de cette vallée, le réalisateur Scott Derrickson enchaîne alors les décors de bunker pourrave et les plans larges embrumés, avant de se presser vers la sortie. Car oui, la Gorge n’est finalement qu’un gros détail dans ce bordel, et les créatures sont réduites à de simples guerriers humanoïdes à éliminer.

The Gorge traîne les mêmes problèmes jusque dans sa dernière ligne droite, plus spectaculaire. Le passage visqueux à la Dead Space tombe à l’eau, Scott Derrickson ayant bien du mal à intégrer les éléments numériques dans sa mise en scène pour créer le moindre frisson. La course poursuite finale est d’une banalité absolue, et l’épilogue désastreux laisse de côté la toute dernière miette un tant soit peu intéressante du récit, pourtant répétée en boucle jusque là – c’est ce qu’on appelle une écriture ratée.

The Gorge se termine donc avec beaucoup de questions à propos de ce kamoulox horrifico-mielleux. Notamment sur la présence des excellents musiciens Trent Reznor et Atticuss Ross (que sont-ils venus faire là-dedans puisque leurs morceaux sont noyés dans des choix musicaux affreux ?), et de la précieuse Sigourney Weaver (comment a t-elle pu accepter un rôle si moisi, mille fois moins amusant que son apparition dans La Cabane dans les bois par exemple ?).

Il y a beaucoup de manières de dire que The Gorge est raté, mais la meilleure est peut-être la plus drôle : ça ressemble presque à un bon film de Paul W.S. Anderson (Resident Evil). Milla Jovovich aurait été parfaite dans ce numéro d’escalade en jeep, et ils auraient remplacé les scènes d’amour par des bastons au ralenti. C’est tout ce qu’on demandait à la vie en fait.

The Gorge est disponible sur Apple TV+ en France depuis le 14 février 2025

The Gorge ressemble à un film de Paul W.S. Anderson, si le réalisateur de Resident Evil avait essayé de faire sa version d’Annihilation. Est-ce une bonne nouvelle, ou un pur cauchemar ? À vous de voir.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... hLuzc6H2rw

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EL n'a pas aimé The Witcher : Les Sirènes des abysses (1,5 étoiles) :

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En attendant la quatrième et dernière saison de The Witcher, Geralt de Riv est de retour sur Netflix dans le long-métrage d’animation The Witcher : Les Sirènes des abysses. Toujours adapté de l’œuvre de l’écrivain polonais Andrzej Sapkowski, il succède au précédent film d’animation Netflix consacré à l’univers des sorceleurs, puisque The Witcher : Le Cauchemar du loup, qui se concentrait sur la jeunesse de Vesemir, était sorti en 2021. Avec Les Sirènes des abysses, qui troque Kwang Il Han pour Kang Hei Chul à la réalisation, c’est ce bon vieux Geralt qui revient sur le devant de la scène. Mais ça n’est manifestement pas suffisant pour relever le niveau.

QUAND NETFLIX VEUT FAIRE DU DISNEY


The Witcher : Les Sirènes des abysses est une adaptation d’un texte bien précis de Sapkowski, qui s’appelle Une once d’abnégation et qui fait partie du recueil intitulé L’Épée de la providence, initialement publié en 1992. On retrouve donc, dans le film d’animation, cette histoire d’un jeune prince humain et d’une jeune princesse sirène qui s’aiment et qui devront lutter contre leurs familles respectives pour permettre leur union. Geralt, comme à son habitude, se retrouve au milieu du conflit tantôt pour tuer des monstres, tantôt pour servir de psychologue de fortune.

C’est (déjà) là que commencent les problèmes pour le loup blanc et, malheureusement, pour le film lui-même. L’histoire de Sapkowski est évidemment inspirée de La Petite Sirène, célèbre conte d’Andersen, et c’est un héritage que le film Netflix ne prend pas à la légère. Disons même qu’il l’assume avec une lourdeur assez incroyable qui laisse le spectateur pantois…

Du design du château du prince au climax opposant les personnages à un monstre marin (Pirates des Caraïbes 2 est aussi largement pompé) en passant par la caractérisation d’une sorcière des mers qui n’est ni plus ni moins qu’une Ursula bon marché, tout est repris directement de la version Disney du conte. Malheureusement, il manque l’inventivité, la beauté esthétique et la qualité de l’animation (rien que ça).

Pour dire à quel point Les Sirènes des abysses verse beaucoup plus dans le colmatage de fissures à coups de références épaisses que dans le noble hommage, il suffit de repenser à la séquence au cours de laquelle la jeune sirène va chercher l’aide de sa tante la sorcière des mers. Celle-ci chante à l’héroïne les bienfaits de ses potions en jetant des fioles dans un tourbillon dans une redite trait pour trait mais extrêmement cheap de la scène du Disney.

Sauf qu’il s’agit de la seule chanson du film (si on oublie les une ou deux chansonnettes poussées par Jaskier lorsqu’il se donne en spectacle) et qu’elle intervient au bout de plus d’une heure de récit, faisant arriver le concept de passage chanté comme un cheveu sur la soupe dans cet univers où aucun autre personnage ne chante ses dialogues.

GERALTMENT VU ÇA

L’effet est ridicule (autant que l’intérêt musical est inexistant), mais pas tout à fait autant que l’approximation totale du scénario, qui se permet d’enchaîner une séquence au cours de laquelle les deux jeunes amants discutent après une partie de jambes (et de queue de poisson) en l’air, et une séquence ou les deux amoureux ont tout à coup besoin d’une interprète pour se comprendre.

Quel dommage que Les Sirènes des abysses soit continuellement tiré vers le bas par de telles énormités, parce que la perspective de voir Geralt explorer un univers fantastique marin était très alléchante, et l’occasion de mettre en scène des créatures variant un peu des monstres habituels croisés par le sorceleur. De plus, la reprise du récit d’Andersen, avec une fin détournée ici de façon plutôt maligne, aurait pu être une vraie réussite si le film Netflix ne s’était pas appliqué à plagier le Disney sans vergogne et sans talent.

Les efforts réels de mise en scène, avec des plans plutôt inventifs qui viennent dynamiser efficacement les scènes de combat, et une reprise réussie du ton si particulier des dialogues du jeu sont comme le vague reliquat d’une envie de bien faire les choses. Et peut-être que le résultat aurait été digeste si le film avait au moins assuré soit son écriture, soit son esthétique.

Malheureusement, le dessin fade et sans personnalité, les couleurs horriblement ternes et l’animation raide ne font que confirmer que l’animation made in Netflix a décidément encore beaucoup à faire pour convaincre, puisque The Witcher : Le Cauchemar du loup ou la série Tomb Raider : La Légende de Lara Croft ne renieraient pas ce style de médiocrité généralisée.

JEU VIDÉO OU SÉRIE, IL FAUT CHOISIR

A force de vouloir rentrer dans le moule en nivelant par le bas, Les Sirènes des abysses ne sait d’ailleurs pas à quel saint se vouer pour parler au plus grand nombre. Confondre Andersen et Disney est une chose, mais le film oscille constamment entre la fidélité à la série et la fidélité au jeu vidéo, la fidélité à Sapkowski n’étant sans doute pas suffisante pour contenter l’idée que Netflix se fait du grand public. Si le Jaskier des Sirènes des abysses est beaucoup plus proche de celui de la série (c’est d’ailleurs Joey Batey qui le double), ce n’est pas le cas de Geralt qui retrouve ici sa voix de The Witcher 3 (Doug Cockle en anglais, Daniel Njo Lobé en français).

Certains personnages sont aussi beaucoup plus proches de leur version vidéoludique : on pense aux apparitions de Yennefer, à Essi (au doublage absolument catastrophique en VO) qui est un ersatz de la Priscilla du jeu, et au roi qui est une pâle copie de Crach an Craite. De même que certains éléments de décor sont tout simplement copiés-collés de l’œuvre de CD Projekt RED.

Dans cette indécision artistique globale, entre références plus ou moins assumées et molles prises de liberté, Les Sirènes des abysses ne parvient pas à affirmer une direction et à se suffire à lui-même. Il en va de même pour le récit, truffé de renvois à la vie de Geralt, qui laisseront sur le carreau ceux qui ne sont pas familiers du sorceleur, alors même que Les Sirènes des abysses n’est pas censé être la suite directe d’une œuvre préexistante.

On retiendra quand même de ce film ce qu’il aurait pu être : un conte reliant Geralt à l’univers tragique d’Andersen avec un monde proche de Skellige dans lequel les sirènes sont, contrairement à celles du jeu vidéo, une civilisation intelligente, le tout avec quelques belles scènes de bataille et une jolie fin. La prochaine fois, peut-être ?

En oubliant l’animation médiocre et les dessins sans saveur, The Witcher : Les Sirènes des abysses aurait pu s’en tirer pas trop mal avec son humour pince-sans-rire et ses scènes de combat correctes. Mais le film se vautre dans les incohérences grossières et le pompage honteux, qui en font un obscur plagiat DTV de La Petite Sirène par Disney.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... HWTQwFN-fA

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EL n'a pas trop aimé Captain America 4 : Brave New World (2 étoiles) :

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Après le super-carton Deadpool & Wolverine, unique film des studios Marvel sorti au cinéma en 2024, Disney revient en force en 2025 avec trois films pour préparer les prochains Avengers. Avant Thunderbolts* (en salles le 30 avril) et Les 4 Fantastiques : Premiers pas (sortie le 23 juillet), Captain America 4 : Brave New World arrive donc pour ouvrir les festivités dans la Phase 5 du MCU. Que vaut le film avec Anthony Mackie et Harrison Ford, qui est une suite directe de la série Falcon et le soldat de l’hiver ?

CAPTAIN AMERICAN’T


À quoi sert ce film Captain America : Brave New World ? À présenter le nouveau Captain America incarné par Anthony Mackie ? La (mauvaise) série Falcon et le soldat de l’hiver s’en est déjà chargé en 2021. À tenter un pseudo thriller politique à la sauce MCU ? Captain America 2 l’avait déjà tenté. À jouer avec un gros Hulk qui casse tout ? Déjà fait même si cette fois il est rouge. À préparer le futur de la saga du Multivers où les Avengers affronteront Doctor Doom ? Non, puisqu’il n’y a rien de nouveau ici – et certainement pas dans la scène post-générique.

Peut-être que c’était une formalité, pour entretenir coûte que coûte la flamme Captain America, et offrir à Sam Wilson sa première grande parade au cinéma après une dizaine d’années à traîner dans le MCU. Choisi comme successeur par Steve Rogers à la fin d’Avengers : Endgame et finalement intronisé à la fin de sa série, le personnage est désormais seul, sans Steve ni Bucky. Et puisque son titre super-héroïque en fait en théorie un futur pilier des Avengers, il était temps de le rendre un minimum intéressant et attachant.

Le passage au blockbuster à 180 millions de dollars est un sacré baptême du feu, d’autant que le film réalisé par Julius Onah (The Cloverfield Paradox) arrive avec le bruit de quelques casseroles – gros reshoots, grosses réécritures, grosses rumeurs de bordel en coulisses. Mais pas d’inquiétude : Captain America : Brave New World n’a quasiment aucune saveur ni conséquence, et pourra être consommé ou évité sans problème.

CAPTAIN AMERICA 2 BIS

Même si le scénario tourne autour du Céleste des Éternels et répète en boucle le nom d’un élément qui prépare les X-Men, Captain America : Brave New World est un film de transition avant Les 4 Fantastiques, qui devra forcément préparer le terrain pour Avengers : Doomsday et Doctor Doom. Mais c’est surtout un film de recyclage, qui reprend presque tous les éléments de Captain America 2.

Il y a donc une autre histoire de complot politique et de contrôle de cerveau, un autre « Falcon » pour épauler Captain America, une autre « Widow » pour les accompagner, et un autre grand acteur qui semble s’être égaré dans un rôle de méchant (après Roberd Redford, Harrison Ford). Ce n’est sûrement pas un hasard si la présence de Red Hulk a été cramée durant la promo pour devenir le grand argument de vente : c’est l’une des seules choses qui attire l’attention.

C’est pourtant l’un des éléments les moins intéressants du film, plus efficace lorsqu’il colle à sa simple petite enquête. Quand Sam et son acolyte Joaquin Torres (vous l’avez sûrement déjà oublié, mais il était dans Falcon et le soldat de l’hiver) cherchent à remonter le fil pour trouver le vrai ennemi, Captain America 4 rappelle les bons côtés de Captain America 2. Il y a même quelques moments au début où le réalisateur Julius Onah marque des points, grâce à certaines ambiances servies par la musique de Laura Karpman.

Ça en ferait presque oublier les quelques blagues poussiéreuses, les décors sans âme, Giancarlo Esposito toujours aussi à l’aise dans le rôle de Giancarlo Esposito, ou encore le choix de l’actrice Shira Haas pour incarner une ex-Widow et cheffe de la sécurité du président – aussi crédible que Harrison Ford qui dit être honoré de jouer dans un Marvel. Mais tout ça s’envole rapidement lorsqu’il devient clair que Captain America 4 n’a pas grand-chose à raconter, si ce n’est le cahier des charges habituel.

LA LIGNE ROUGE

Sans surprise, la baston finale tourne autour de Red Hulk qui s’énerve et Sam Wilson qui essaye de l’arrêter. Et sans surprise, c’est le morceau le plus insipide du film puisque ça ressemble à n’importe quel Marvel. Pas à cause des effets visuels, relativement satisfaisants surtout après les monuments Thor 4 et Ant-Man 3. C’est l’un des rares atouts d’une histoire aussi terre-à-terre et grisâtre que Captain America 4 : le risque est moindre comparé aux aventures cosmiques de The Marvels par exemple.

Sans surprise, ce qui manque à Brave New World est un minimum d’imagination et d’ambition pour exploiter ce monde et ses personnages. Même le Céleste, pourtant placé au cœur de l’intrigue histoire d’assumer l’héritage des Éternels, est plus un fond d’écran qu’autre chose dans la grande scène d’action autour de lui.

Sam Wilson en est un autre exemple : il n’a pas de capacités surhumaines puisqu’il n’a pas pris de sérum de super-soldat comme Steve Rogers, mais il est équipé de nombreuses babioles technologiques, notamment des super-ailes. Le ciel est donc son terrain de jeu. Mais le film n’en fait pas grand-chose, si ce n’est transformer le héros en mini-avion de chasse à chaque séquence aérienne, sans parvenir à raconter visuellement sa puissance et ses exploits.

Qu’il se batte à mains nues contre un mercenaire mastoc, plusieurs soldats armés, des avions japonais ou un Red Hulk, Sam Wilson répète des coups, des chorégraphies voire des punchlines vus et revus. Sacrée ironie pour un film nommé Brave New World.

C’est d’autant plus frustrant que le blockbuster semblait avoir quelque chose à raconter avec ce Captain America noir et son coéquipier d’origine mexicaine, le président Thaddeus Ross hanté par des cadavres dans le placard, et les trajectoires d’Isaiah Bradley (Falcon et le soldat de l’hiver) et Samuel Sterns (L’Incroyable Hulk) – on ne citera pas la pauvre Liv Tyler, par respect pour ses sept secondes en plan large à l’écran. Mais le film ne fait rien de ces cartes politiques, notamment dans une conclusion particulièrement facile et pratique.

Mais le pire échec de Captain America 4 reste sûrement Sam Wilson. Marvel n’a toujours pas réussi à en faire un personnage solide et touchant, avec un tant soit peu d’âme. L’interprétation d’Anthony Mackie n’aide pas, mais c’est l’écriture qui pèche. Qu’a-t-il appris et compris sur lui-même et le monde dans Brave New World ? Bonne question. Auquel le film répond, normalement.

Captain America 4 refait Captain America 2 mais en moins bien, malgré la grosse diversion Red Hulk. Dommage pour le personnage de Sam Wilson, dont Marvel ne sait toujours pas quoi faire, apparemment.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... WZpf0gqRNg
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Après le méga-bide de Donjons & Dragons, Netflix va relancer la franchise culte

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Alors que la série Donjons & Dragons de Paramount+ a été abandonnée après l’échec du film L’Honneur des voleurs, Netflix va relancer la célèbre franchise de fantasy.

En janvier 2023, avant même la sortie du film Donjons & Dragons : L’Honneur des voleurs réalisé par Jonathan Goldstein et John Francis Daley, Paramount+ a sauté sur une série Donjons & Dragons, l’idée étant de développer une nouvelle franchise autour de la célèbre licence. Sauf que le film, aussi sympathique soit-il, a été un terrible échec : 205 millions de dollars, dont seulement 93 millions à domicile, pour un budget estimé à 150 millions hors marketing.

Et si la douche froide au box-office n’était pas suffisante, la société eOne, qui appartenait à Hasbro et devait co-produire la série, a été vendue à Lionsgate fin 2023. En plus de la potentielle suite de Donjons & Dragons qui était en discussion, Paramount a donc abandonné le chantier, qui attendait depuis de trouver repreneur. Et c’est désormais chose faite, du côté de Netflix.

Selon Variety, Netflix va développer une série Donjons & Dragons en prises de vues réelles. Paramount n’est plus impliqué dans le projet, contrairement à Hasbro qui assurera la production, tandis que Shawn Levy sera un des producteurs exécutifs via sa compagnie 21 Laps Entertainment (derrière, entre autres, Stranger Things, Adam à travers le temps ou Shadow and Bone).

Drew Crevello, qui devait servir de showrunner au projet de Paramount+, est attaché à cette nouvelle version en tant que producteur exécutif, scénariste et showrunner. En revanche, on ne sait pas si Rawson Marshall Thurber (qui devait au moins réaliser le pilote de la précédente mouture) sera lui aussi rappelé.

L’histoire et les personnages qui seront impliqués restent aussi inconnus, mais aucun protagoniste du précédent film ne devrait être de retour. Le seul indice sur cette nouvelle adaptation est le titre, Dungeons & Dragons : The Forgotten Realms qu’on peut traduire par Donjons & Dragons : Les Royaumes oubliés, en référence à un des plus célèbres univers du jeu de rôle.

Le géant du streaming mise ainsi sur une autre figure culte de fantasy avant la fin de The Witcher et après l’annulation de Dark Crystal : Le Temps de la résistance et les adaptations relativement peu connues des jeux Dragon’s Dogma et Dota : Dragon’s Blood.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... LWOO3l8dWA
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Mickey 17 : premiers avis pour le film de science-fiction de Bong Joon-ho (Parasite) avec Robert Pattinson

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Robert Pattinson est la star multiple dans Mickey 17, nouveau film de Bong Joon-ho après son phénomène Parasite, et les premiers avis sont là.

En 2019, après une carrière déjà prestigieuse entre Memories of Murder, The Host ou encore Snowpiercer : Le Transperceneige, Bong Joon-ho était consacré pour son Parasite. Palme d’or au Festival de Cannes, quadruple oscarisé dont meilleur film, meilleure réalisation et meilleur scénario original, Parasite a été un incroyable phénomène et a permis au cinéaste coréen d’enfin conquérir les spectateurs du monde entier.

Fin 2021, avec Warner Bros., il s’est lancé dans l’adaptation du roman de science-fiction d’Edward Ahston : Mickey 7. Tourné en 2022, le film intitulé Mickey 17 a connu une production assez chaotique, probablement à cause de différends en coulisses, causant de nombreux reports. Alors qu’il devait sortir en mars 2024, puis janvier 2025, puis avril 2025… Mickey 17 a finalement été fixé au 7 mars 2025 en France. Sélectionné hors-compétition au Festival de Berlin, le film a d’abord été présenté en avant-première mondiale à Londres ce 13 février et forcément les premiers avis sont tombés. Revue de tweets.

« Mickey 17 de Bong Joon-ho est un vrai grand délire et Robert Pattinson prouve une fois de plus qu’il est l’un des meilleurs et des plus polyvalents acteurs de sa génération.

La première moitié est formidable – drôle, violente, attachante –, puis elle se transforme en quelque chose de plus puissant et d’actuel, ce qui est assez classique dans un film de Bong Joon-ho. L’ensemble du casting est excellent : Mark Ruffalo est particulièrement amusant. Une recommandation absolue, surtout pour les fans de science-fiction à la fois ample, intelligente et folle. »
Erik Davis – Fandango

« Mickey 17 est à la fois un drame de science-fiction et une satire politique. Le sens de l’humour de Bong Joon-ho est souvent subtil et effronté quand il le faut, évoquant même parfois le cinéma de Paul Verhoeven type Starship Troopers. Cela permet à Robert Pattinson de livrer une double performance folle, subversive et hilarante. » Andrew J. Salazar – Discussing Film

« Mickey 17 est étrange, tordu et c’est ce que j’aime dans le travail de Bong Joon-ho. C’est vraiment l’une des histoires les plus originales qui existent et c’est un regard percutant sur la colonisation, le consumérisme et bien plus encore. Et puis franchement, on ne peut jamais avoir « trop » de Robert Pattinson. » Rachel Leishman – TheMarySue

« J’ai globalement aimé Mickey 17. L’union de Robert Pattinson et Bong Joon-ho avec un tel monde de science-fiction fonctionne très bien. MAIS – le film pivote et fait des parallèles politiques trop évidents ou classiques qui sapent une partie du reste, le rendant trop réel pour être aussi amusant qu’il le voudrait. » Germain Lussier – Gizmodo

« Il ne fait aucun doute que Bong Joon-ho a obtenu le final cut pour Mickey 17 et son voyage profondément chaotique sur les pires instincts de l’humanité (et c’est un compliment). Une sorte de Moon aux airs d’Okja, mais bien mieux que ce simple résumé. Mark Ruffalo offre le meilleur Trump de notre génération car il l’infuse correctement avec le Baby Billy de Walton Goggins [dans The Righteous Gemstones]. » Barry Hertz – Globe and Mail

« Mickey 17 valait bien une telle attente : drôle, étrange et beau, avec un ensemble de performances vraiment merveilleuses de Robert Pattinson et un peu de Nausicaä pour faire bonne mesure. Des pitreries de blockbusters et des réflexions sur la responsabilité de chacun envers la société dans un même package, c’est parfait. » Karen Ha – The New York Times

« Bong Joon-ho a réalisé un autre chef-d’œuvre avec Mickey 17, une réflexion profondément sincère et inconfortablement drôle sur le capitalisme, la colonisation et la corruption avec un casting sublime. C’est un film parfait pour notre époque et le meilleur film en langue anglaise du réalisateur à ce jour. » BJ Colangelo – SlashFilm

« C’est un plaisir de voir Robert Pattinson jouer différents personnages dans Mickey 17. Cependant, j’ai eu l’impression que c’était une occasion manquée de concentrer le troisième acte sur des menaces surnaturelles au lieu de continuer à suivre le drame des Mickey se déroulant sous nos yeux. D’ailleurs, je pense que le film aurait mieux fonctionné en tant que série. » John Nguyen – Nerd Reactor

« Mickey 17 est un conte anarchique, captivant et qui incite à la réflexion. Robert Pattinson plonge complètement dans le rôle et Ruffalo vole la vedette à chaque scène. J’aurais aimé qu’il soit plus sombre et moins comique. Néanmoins, il m’a laissé avec un nouveau point de vue sur l’humanité et notre éthique. » Liam Crowley – Screenrant

Bong Joon-ho semble donc avoir encore frappé avec Mickey 17 si l’on en croit ces premiers avis. Il y a peu de chance pour que le film soit un aussi gros phénomène critique que Parasite, certains avis étant assez nuancés sur quelques éléments du scénario (notamment le dernier acte). Toutefois, malgré le chaos en coulisses, le Coréen a pu a priori réaliser le film qu’il imaginait, mélangeant à la fois son aventure de science-fiction à une comédie satirique profondément politique.

De quoi nous rassurer sur ce retour hollywoodien de Bong Joon-ho, quelques années après Snowpiercer et Okja (pour Netflix). Pour en avoir le coeur net, il ne faudra plus attendre très longtemps puisque Mickey 17 va bel et bien arriver en France dès le 5 mars 2025 au cinéma.


https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... D7UOVQf5mw
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Pale
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Captain America 4 se fait détruire par la critique américaine et devient (un peu) le pire film du MCU

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Captain America 4 alias Brave New World est une vraie catastrophe et la critique américaine n’y est pas allé de main morte pour le faire comprendre.

Après une production chaotique, Captain America 4 est enfin dans les salles de cinéma françaises. Comme on pouvait le craindre vu les rumeurs autour du film, les premières aventures du Captain America de Sam Wilson (Anthony Mackie) sont loin d’être à la hauteur, voire une nouvelle grosse déception pour le MCU. Car oui, hormis Les Gardiens de la Galaxie 3 qui affichait une moyenne de 64/100 sur Metacritic, tous les films de la Phase 5 ont reçu un très mauvais accueil critique.

Deadpool & Wolverine avait mitigé la presse avec un minuscule 56/100, quand le reste a été plutôt rejeté : The Marvels avec 50/100 et Ant-Man et la Guêpe : Quantumania et son terrible 48/100. Depuis sa sortie en février 2023, la troisième aventure du héros de Paul Rudd affichait la pire moyenne du MCU. Sauf que c’est désormais du passé, Captain America 4 ayant battu son triste record. Revue de presse.

« Captain America : Brave New World ne semble jamais bien courageux, et pas bien plus nouveau non plus. » IGN

« Comme le film s’éparpille avec de nombreuses intrigues secondaires qui s’éloignent rapidement les unes des autres, il est obligé d’opérer des sauts constants entre les personnages et les lieux qui ne font que perturber davantage la bonne narration des événements. » Slant Magazine

« C’est un véritable exploit qu’un film avec autant de scénaristes et un montage aussi compliqué soit finalement aussi solide. Oui, beaucoup de scènes d’action sont incohérentes et saccadées. Une grande partie des CGI sont toujours bon marché et bâclés. Mais au final, ils ont réussi à transformer ce qui aurait pu être un désastre embarrassant en quelque chose de divertissant et inspirant (en tout cas, parfois). » Looper

« En cherchant un mot pour décrire au mieux Captain America : Brave New World, celui qui vient à l’esprit est « inconséquent ». » Screencrush

« Si cela semble un peu compliqué, avec une exposition lourde et un ensemble confus, eh bien, c’est parce que c’est le cas. Ce n’est jamais un bon signe lorsqu’un scénario a cinq scénaristes crédités, comme c’est le cas de Brave New World… Pourtant, Brave New World fonctionne bien mieux que d’autres films Marvel. » Entertainment Weekly

« Ce film est tout sauf courageux. C’est le blockbuster le plus inefficace et le plus mou de la dernière décennie. » RogerEbert.com

« C’est comme si quelqu’un avait délicatement versé une cuillère café d’arôme artificielle saveur « thriller politique » sur un film Marvel inférieur au standard habituel, en prenant bien soin de ne pas contrarier les chefs du studio ou le statu quo. Un titre plus approprié aurait pu être Captain America : Business Avant Tout. » Rolling Stone

« Brave New World suit un groupe de personnages errant à la recherche d’un sens, la machine Marvel grinçant bruyamment alors qu’elle essaie de créer un grand mythe autour de personnages de troisième classe. » Vanity Fair

« Autant dire que Captain America : Brave New World n’est pas le début 2025 que les fans de Marvel espéraient, et la pression devient encore plus forte désormais sur les épaules de Thunderbolts* et Les Quatre Fantastiques : Premiers Pas. En fait, le film a plus en commun avec les tentatives désastreuses de Sony de faire ses propres films Marvel qu’avec les entrées précédentes qui ont fait du MCU ce qu’il est aujourd’hui. » Collider

Avec une moyenne de 42/100 (et déjà 42 critiques recensées), Captain America : Brave New World est donc un petit carnage et affiche le pire score du MCU sur la base de données Metacritic. La dernière comparaison opérée par Collider semble d’ailleurs plus que légitime, puisque le film se trouve au milieu des rejetons du Sony-Spiderverse avec Venom 3 et son 41/100 et Venom 2 et son 49/100.

Autant dire que la confiance retombe forcément un petit peu pour les événements Marvel de cette année 2025 sur le grand écran. Reste qu’on sera malgré tout au rendez-vous, dès le 30 avril pour Thunderbolts* et le 23 juillet pour Les 4 Fantastiques : Premiers pas. On a en tout cas hâte de savoir désormais comment va s’en sortir Captain America : Brave New World au box-office.


https://www.ecranlarge.com/films/news/c ... aUOasBcqXA
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The Odyssey : Christopher Nolan prépare une scène qui a l’air déjà énorme, évidemment

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The Odyssey, le nouveau film de Christopher Nolan, avec Matt Damon et Tom Holland, pourrait avoir donné des indices sur son tournage, et sa méthodologie.

À force, c’est un peu devenu une sorte de marronnier marketing : Christopher Nolan n’aime pas les VFX (ou effets visuels numériques). Si le réalisateur a fini par embrasser cette donnée dans la promotion de ses films, la réalité est plus complexe. De la trilogie Dark Knight à Interstellar en passant par Inception, Nolan a permis à certaines équipes dans les effets visuels d’être inventives et même pionnières (la représentation du trou noir d’Interstellar a été obtenue par des calculs compliqués), qui plus est avec des propositions spectaculaires, voire invisibles pour le commun des mortels.

Nolan a même tenu à apporter ces nuances en interview. Sauf que depuis quelques années, Hollywood ment sur l’authenticité de ses tournages et cherche à dissimuler la présence des VFX dans les films, comme si le public les rejetait obligatoirement (alors que le public rejette les « mauvais » VFX, souvent provoqués par des productions mal organisées). Dans le cas précis de Christopher Nolan, il évite les effets visuels numériques pour avoir un maximum de « vrais » éléments à l’image, mais aussi par rapport à ses tournages en pellicule (notamment en IMAX 70mm).

Pour Oppenheimer, une majorité du montage a pu être réalisée à partir du négatif original, et non avec une version numérisée de la pellicule, qui est entre autres essentielle lorsque vous y ajoutez des VFX. Malheureusement, ces détails sont souvent omis des vidéos de making of marketing à destination du grand public. C’est donc en partie une question de qualité d’image qui pousse le cinéaste vers de tels extrêmes, bien qu’on se demande comment il pourra s’en tirer avec son adaptation de L’Odyssée, l’un des récits épiques et fantastiques ultimes. On a déjà quelques éléments de réponse.

Selon le média grec Tharros News, une partie de The Odyssey sera tournée en Grèce. Christopher Nolan se permettra pour l’occasion de poser sa caméra dans des décors impressionnants, comme le château de Methóni, l’Acrocorinthe, la plage de Voïdokilia ou la grotte de Nestor dans la ville de Pýlos (Nestor étant justement un roi présent dans le récit de L’Iliade et de L’Odyssée). Le ministère de la Culture a autorisé le tournage avec un respect strict des règles de préservation des lieux.

Mais plus intéressant, on apprend par ce même article que la plage de Voïdokilia et la grotte de Nestor devraient servir pour y filmer les scènes avec Polyphème, l’un des épisodes les plus connus de L’Odyssée. Le cyclope enferme dans sa grotte Ulysse et ses compagnons, avant que ceux-ci ne lui crèvent l’œil et ne s’échappent en se dissimulant sous ses brebis. Apparemment, une animatronique géante de 6 mètres sur 6 sera construite au cœur même de la grotte de Nestor pour les besoins de ce passage mythique.

Christopher Nolan peut se permettre ce type d’excentricité, et à vrai dire, ce choix d’une marionnette grandeur nature n’étonne guère. Cela étant dit, il convient de nuancer son emploi potentiel. Nul doute que le réalisateur cherche à rendre hommage aux grandes heures du péplum à l’ancienne, mais son animatronique ne va pas nécessairement s’opposer aux VFX.

D’une part, il est fort probable que les imperfections mécaniques inévitables de Polyphème soient corrigées par des ajouts numériques. D’autre part, cette création pourrait servir de référence, non seulement pour l’immersion des acteurs sur le plateau, mais aussi pour des animateurs. C’est encore aujourd’hui la meilleure manière d’obtenir des modèles 3D convaincants, puisque la caméra a capté sur un véritable objet les ombres, les lumières et plus généralement les interactions des matières.

Par exemple, pour The Dark Knight Rises, le Batwing a été réellement conçu, notamment pour la course-poursuite finale. Nolan voulait l’utiliser dans les plans, malgré ses mouvements aériens limités par sa monture sur roues. Résultat, il a été convaincu de troquer ce Batwing authentique pour sa version numérique, parfaitement exécutée grâce aux références de la vraie version.

En tout cas, difficile d’imaginer que The Odyssey pourra se priver de l’usage de VFX par sa nature de fresque épique et fantastique. Pour rappel, le film est prévu pour le 15 juillet 2026 dans les salles françaises, et possède un casting impressionnant, avec Tom Holland, Zendaya, Matt Damon, Robert Pattinson, Lupita Nyong’o, Charlize Theron, Anne Hathaway ou encore Jon Bernthal.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... GM9uHIxDDQ
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... quSIbh5NlA
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Pale
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The Gorge sur Apple TV+ : que vaut le film avec Anya Taylor-Joy et Miles Teller ? [critique]

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Un film d'action soigné, au dispositif intrigant, tourné par des vétérans : et ça sort directement en streaming ?

Deux snipers sexy - Ana Taylor-Joy en Lituanienne genre Black Widow et un Américain avec les abdos de Miles Teller - sont chargés de surveiller à l'aide d'un arsenal conséquent un mystérieux (et immense) gouffre embrumé paumé dans la pampa. En voilà un pitch rigolo, d'autant que Scott Derrickson (oui, le réalisateur de Black Phone et Doctor Strange) compose un savant mélange entre le cinéma bis et une langueur un brin pompeuse (Teller, soldat en légère PTSD, écrit des poèmes et cite T.S. Eliot)...

Bon, ne soyez pas surpris, le scénariste de The Gorge est aussi celui de Fast X et le résultat se révèle donc forcément plus bourrin qu'étrange (oui, on ira au fond de la gorge ; oui, des saloperies y rôdent ; oui, l'épilogue est cringe à mort), mais au fond qu'importe ?

Derrickson a fait comme les autres réalisateurs de l'écurie Apple, et à raison : il a tiré du studio un maximum de pognon pour produire sa série B, dont le score est signé Trent Reznor et Atticus Ross, la photo shootée par Dan Laustsen (La Forme de l'eau, John Wick 4...) et le look global assuré par le vétéran Rick Heinrichs (Sleepy Hollow, les Pirates des Caraïbes de Verbinski).

Le résultat est donc particulièrement qualitatif, sans être bouleversant, avec même une grosse dose de gun porn que ne renieraient pas les franchises japonaises mélangeant horreur et militarisme comme Resident Evil. Vu que le modèle économique d'Apple est sur le fil, profitez-en : on ne voit pas souvent des films sortis directement en streaming aussi gaulés, et on risque de ne pas en revoir beaucoup.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... aNuVD6KY6Q
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Cocu
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Pale a écrit : ven. 14 févr. 2025 22:46 Vu :

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Magnifique film de Ang Lee qui adapte ici Jane Austen.
Tu l'as vu où ?
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Cocu a écrit : sam. 15 févr. 2025 12:07
Pale a écrit : ven. 14 févr. 2025 22:46 Vu :

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Magnifique film de Ang Lee qui adapte ici Jane Austen.
Tu l'as vu où ?
On va dire que cela faisait quelques années que je l'avais sous la main :hehe:
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Ce trailer m'a donné des frissons.
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Pale a écrit : sam. 15 févr. 2025 11:41 Le box-office français de la semaine :

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3 :bounce:
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Dans le panier Marvel, il se situe entre le haut et le milieu. J'ai donc beaucoup aimé. La première partie est plus axée enquête/investigation et se suit avec plaisir tandis que la seconde contient plus d'action. Il y a ici et là quelques beaux moments de tension qui amènent le fameux climax final que j'ai trouvé assez satisfaisant.

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Il y a quelques années j'avais découvert Oslo, 31 août sur le tard et il figurait en première position de mes découvertes en 2020. Je ne m'attendais pas à revivre pareille expérience devant Julie (en 12 chapitres) de Joachim Trier. Ce dernier livre non seulement un beau portrait de femme mais il aborde énormément de préoccupations et thèmes universels et actuels. Il faut ajouter à cela la mise en scène, la bande-originale et la prestation des acteurs qui font de ce film un petit chef d’œuvre devant lequel il est impossible de rester insensible.

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Je découvre enfin ce classique et je n'ai pas été déçu. Plus de 50 ans au compteur et toujours aussi puissant. Ce pamphlet contre l'absurdité de la guerre ne laisse pas insensible, on plonge et on perd pied entre les rêves et les souvenirs du personnage principal.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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J'ai hâte :hot:
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NaughtyDog
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Pas trouvé terrible le dernier Captain America, à cause de plein de pistes narratives ou persos jamais exploités, et une facture visuelle televisuelle (Falcon et Winter Soldier etaient mieux)


Jrevois Un parfait inconnu ce soir par contre ! :love:

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NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:20
Je sens que Nolan va pondre un des meilleurs blockbusters de ces dernières années :D

J'espère que la bande-originale sera puissante.
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NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:20
C'est une image générée par IA ?
Ou c'est une vraie photo de promo ?
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C'est évidemment une vraie photo annonçant le début de tournage du film (qui s'étale jusqu'à juillet)
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robinne a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:43
NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:20
C'est une image générée par IA ?
Ou c'est une vraie photo de promo ?
Bonjour la parano :D

L'image provient de la page officielle du film donc c'est la première photo officielle du film. Je pense pas que Nolan accepterait des trucs générés par IA pour la promo du film :o
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NaughtyDog
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Pale a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:41
NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:20
Je sens que Nolan va pondre un des meilleurs blockbusters de ces dernières années :D

J'espère que la bande-originale sera puissante.
Ai du mal à visualiser le style de Nolan sur du peplum-fzntasy mais bon vu le sujet/budget/cast/compositeur/real/chef op' ça sent la grosse attente ^^
Rdv en juillet pour le traditionnel 1er teaser un avant la sortie !
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robinne
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NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:44 C'est évidemment une vraie photo annonçant le début de tournage du film (qui s'étale jusqu'à juillet)
Pale a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:45
robinne a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:43
NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:20
C'est une image générée par IA ?
Ou c'est une vraie photo de promo ?
Bonjour la parano :D

L'image provient de la page officielle du film donc c'est la première photo officielle du film. Je pense pas que Nolan accepterait des trucs générés par IA pour la promo du film :o
Mea culpa.
Je n'avais pas vu que ça venait de la page officielle du film (ce qui n'est pas une assurance à 100 % de l'authenticité de la photo non plus :o ). Et j'ai regardé ça sur mon téléphone intelligent, sur un "petit" écran, donc je voyais mal la photo :p
Et je pense pareil pour Nolan ; mais tu sais comment sont les producteurs :D
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robinne a écrit : lun. 17 févr. 2025 19:02
NaughtyDog a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:44 C'est évidemment une vraie photo annonçant le début de tournage du film (qui s'étale jusqu'à juillet)
Pale a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:45
robinne a écrit : lun. 17 févr. 2025 17:43

C'est une image générée par IA ?
Ou c'est une vraie photo de promo ?
Bonjour la parano :D

L'image provient de la page officielle du film donc c'est la première photo officielle du film. Je pense pas que Nolan accepterait des trucs générés par IA pour la promo du film :o
Mea culpa.
Je n'avais pas vu que ça venait de la page officielle du film (ce qui n'est pas une assurance à 100 % de l'authenticité de la photo non plus :o ). Et j'ai regardé ça sur mon téléphone intelligent, sur un "petit" écran, donc je voyais mal la photo :p
Et je pense pareil pour Nolan ; mais tu sais comment sont les producteurs :D
Nul doute que même Nolan utilise aussi des images générées par I.A pour voir ce que cela donne :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit : lun. 17 févr. 2025 19:12 Nul doute que même Nolan utilise aussi des images générées par I.A pour voir ce que cela donne :lol:
Merci d'apporter des preuves à ce que tu avances :o
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robinne a écrit : mar. 18 févr. 2025 17:39
ClintReborn a écrit : lun. 17 févr. 2025 19:12 Nul doute que même Nolan utilise aussi des images générées par I.A pour voir ce que cela donne :lol:
Merci d'apporter des preuves à ce que tu avances :o
Vu la multitude de logiciels qui sortent et la qualité de plus en plus grande du contenu proposer par de simples amateurs il est évident que l'industrie du cinéma quelque soit l’échelon créatif ne passe pas à coté non plus de cette nouvelle technologie :saint:

L’IA et le cinéma : moins de tournages, plus de postproduction
https://www.liberation.fr/culture/lia-e ... QZMUC64JE/

Sinon voici la position de Nolan :

"Je pense, précisait-il auparavant, que l'IA peut être quand même un outil très puissant pour nous. Je suis optimiste à ce sujet. Je le suis vraiment. Mais nous devons la considérer comme un outil. La personne qui le manie doit encore assumer la responsabilité de cet outil". Christopher Nolan, qui compte bien tirer profit de cette technologie dans l'exercice de son art, a ainsi sa recette pour l'aborder. "Ma position sur la technologie, en ce qui concerne mon travail, est que je veux [l]'utiliser pour ce qu'elle a de mieux à offrir", résume-t-il.

https://www.francetvinfo.fr/culture/cin ... 28620.html
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale a écrit : mar. 18 févr. 2025 16:48 Image
On n'en finira jamais :rofl:
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Pale a écrit : mar. 18 févr. 2025 16:48 Image
Ça me fait penser que j'ai toujours pas terminé la série Cobra Kai, je ne sais même plus à quelle saison je me suis arrêté, et pourtant j'adore la série...

Et sinon moi content j'ai reçu mon coffret David Lynch

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Wickaël a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:41 Et sinon moi content j'ai reçu mon coffret David Lynch

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:love:

Concernant Cobra Kai, j'ai commencé la sixième et dernière saison hier :D
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Cocu a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:41
Pale a écrit : mar. 18 févr. 2025 16:48 Image
On n'en finira jamais :rofl:
En effet :lol:
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Wickaël a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:41 Et sinon moi content j'ai reçu mon coffret David Lynch

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:bounce:
J'attends l'intégrale :saint:
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robinne a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:49
Wickaël a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:41 Et sinon moi content j'ai reçu mon coffret David Lynch

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:bounce:
J'attends l'intégrale :saint:
Vu les différents distributeurs je doute qu'un intégrale avec tous ses films voit le jour...
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Pale a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:46 Concernant Cobra Kai, j'ai commencé la sixième et dernière saison hier :D
Hâte d'avoir ton avis (sans spoils bien sûr :D)
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Wickaël a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:55
robinne a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:49
Wickaël a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:41 Et sinon moi content j'ai reçu mon coffret David Lynch

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:bounce:
J'attends l'intégrale :saint:
Vu les différents distributeurs je doute qu'un intégrale avec tous ses films voit le jour...
Sait-on jamais ;)
Un "one-shot" exceptionnel, en édition très limitée.
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Pale a écrit : mar. 18 févr. 2025 18:46
Concernant Cobra Kai, j'ai commencé la sixième et dernière saison hier :D
J'ai commencé les 5 derniers aussi :D
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Un thriller complotiste sur les OVNIs : Hollywood s’arrache le prochain film du réalisateur de Top Gun 2

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Hollywood se fait la guerre pour acheter le thriller « complotiste » sur les OVNIs réalisé par Joseph Kosinski, derrière Top Gun : Maverick et F1.

Top Gun : Maverick a été un énorme carton au box-office lors de sa sortie au cinéma en 2022. Présenté comme le grand sauveur du cinéma par Steven Spielberg (entre autres), la suite du film culte avec Tom Cruise a rapporté près de 1,5 milliard de dollars dans le monde (dont 718 millions rien que sur le sol domestique, le cinquième plus gros score de tous les temps). Un succès à tous les niveaux puisque le film a aussi été largement salué par le public et la critique, en plus de donner des idées de suite aux producteurs dont Jerry Bruckheimer.

Avec Joseph Kosinski, ils ont refait équipe pour raconter l’histoire d’un autre pilote… cette fois de Formule 1 avec F1 mené par un autre cador : Brad Pitt. Ce nouveau rendez-vous à vitesse grand V promet un spectacle impressionnant avec ses courses de voitures et son côté immersif… mais semble surtout avoir convaincu un paquet de monde à Hollywood. Car en effet, Joseph Kosinski prépare déjà un autre film sur les OVNIs et c’est apparemment la guerre entre les studios pour l’acheter.

The Hollywood Reporter a expliqué dans un papier exclusif que Jerry Bruckheimer et Joseph Kosinski avaient donc décidé de retravailler pour la troisième fois sur un nouveau projet. Il s’agit d’un film décrit comme Les hommes du président avec des OVNIs, écrit par Zach Baylin, scénariste capable de tout entre La Méthode Williams sur le père des soeurs Williams, Gran Turismo, le reboot The Crow ou encore le violent The Order sur la traque de suprémacistes blancs.

Si l’on en sait peu sur le film, il semble en tout cas vouloir jouer sur certains éléments révélés publiquement ces dernières années. En effet, David Grusch, ancien officier de l’armée américaine et lanceur d’alerte sur les OVNIs, serait consultant sur le film. Un choix intrigant puisque Grusch avait témoigné devant le Congrès en 2023, affirmant que le gouvernement étudiait des vaisseaux spatiaux et des aliens en secret (et faisait supprimer toutes les fuites pour ne pas éveiller de soupçons).

Évidemment, difficile de juger de l’authenticité et de la véracité de son témoignage. Les experts sur le sujet estiment qu’il ne faut pas parler de complotisme ou conspirationnisme ici puisque David Grusch a toujours été décrit comme un officier irréprochable ayant de bons rapports avec ses hiérarchies et collègues. Ses propos suivaient en plus l’avancée logique des débats autour des OVNIs, plus vraiment considérés comme de simples théories du complot depuis la déclassification de certaines images et vidéos militaires authentifiées par le gouvernement.

New York Times avait d’ailleurs révélé l’existence, dès 2017, qu’un groupe du Pentagone était chargé d’enquêter sur les UPA, soit les phénomènes anormaux non-identifiés (bref les OVNIs sans dire OVNIs). De quoi alimenter un peu plus des discussions. Cela dit, Grusch s’était épanché sur ses révélations dans le podcast de Joe Rogan, aficionados de toutes les conspirations possibles, et il y avait de quoi tomber de son siège. Car même si ses propos ont été pris au sérieux, il semblait y avoir de nombreuses incohérences et il n’avait surtout aucune preuve tangible pour démontrer ce qu’il affirmait.

Tout ça pour dire que le projet de film sur un grand secret gouvernemental autour des OVNIs est sur toutes les lèvres à Hollywood. Selon THR, cinq studios seraient sur le coup : Amazon, Apple, Lionsgate, Paramount et Warner. Selon Deadline, ils seraient même neuf avec 20th Century, Sony, Skydance et Universal en plus. Une chose est sûre, ils se battraient « agressivement » pour en obtenir les droits en faisant grimper les enchères toujours plus haut.

Reste désormais à attendre pour savoir qui va remporter la mise et si le film sera à la hauteur des grands classiques conspirationnistes d’Alan Pakula. Aucune autre information n’est disponible pour le moment, ni date de sortie, ni casting.


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