En route pour les 2 milliards chacun !Bon bah Hugh Jackman fera au minimum les 2 prochains Avengers.
Deadpool /// (3)
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Breaking the Bat
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Et bien pour moi ce Deadpool & Wolverine est tout simplement le moins bon des trois !
Alors que l'équipe jurait fidélité au film Logan avant d'entamer son 3e opus, et bien le film chie dessus dès son intro, qui pourra en ravir certains et agacera les autres !
Pour le reste, le scénario du film tient sur un timbre poste, tant toute l'histoire entre la TVA, la raison de l'effondrement de l'univers de Deadpool, le retour de Wolverine, les motivations de Paradox ou Cassandra Nova ne tiennent absolument pas debout... Shawn Levy oblige, le film se regarde mais aucune vraie fulgurance de mise en scène. Reste quelques empoignades sympathiques . Pour d'autres moments, ça tombe souvent à l'eau La BO est anecdotique, hormis les gros tubes qui s'enchaînent façon jukebox !
Les seules vraies qualités louables du film sont son amour pour ses personnages principaux et ce duo enfin à l'écran, qui il faut le dire, fonctionne plutôt pas mal, Jackman étant toujours parfait en Wolverine. L'autre point positif est cet espèce d'hommage naïf que tente de rendre le film aux défunts héros de la Fox, les boudés, les ignorés, ceux qui n'ont même pas pu avoir leur propre film, à qui le film offre un dernier baroud d'honneur. Certes, on dépasse le simple caméo classique, mais au final, il faut bien avouer qu'ils ne servent pas à grand-chose même si ça reste plaisant .
Ce qui est dommage, c'est que ces bonnes intentions soient parasitées, voire noyées dans un océan de références méta et d'humour trash qui au final, desserve plus le film qu'autre chose. Voir Wolverine répété pour la 37e fois à Deadpool de la boucler, ça fatigue... Après, le film ne se refuse rien et n'hésite pas à tacler Marvel, notamment sur son manque d'originalité et sa grosse période à vide du moment. Reste que, à l'image d'une fin où , le film devient au final le parfait instrument de ce qu'il moque et dénonce...
Alors que l'équipe jurait fidélité au film Logan avant d'entamer son 3e opus, et bien le film chie dessus dès son intro, qui pourra en ravir certains et agacera les autres !
Pour le reste, le scénario du film tient sur un timbre poste, tant toute l'histoire entre la TVA, la raison de l'effondrement de l'univers de Deadpool, le retour de Wolverine, les motivations de Paradox ou Cassandra Nova ne tiennent absolument pas debout... Shawn Levy oblige, le film se regarde mais aucune vraie fulgurance de mise en scène. Reste quelques empoignades sympathiques . Pour d'autres moments, ça tombe souvent à l'eau La BO est anecdotique, hormis les gros tubes qui s'enchaînent façon jukebox !
Les seules vraies qualités louables du film sont son amour pour ses personnages principaux et ce duo enfin à l'écran, qui il faut le dire, fonctionne plutôt pas mal, Jackman étant toujours parfait en Wolverine. L'autre point positif est cet espèce d'hommage naïf que tente de rendre le film aux défunts héros de la Fox, les boudés, les ignorés, ceux qui n'ont même pas pu avoir leur propre film, à qui le film offre un dernier baroud d'honneur. Certes, on dépasse le simple caméo classique, mais au final, il faut bien avouer qu'ils ne servent pas à grand-chose même si ça reste plaisant .
Ce qui est dommage, c'est que ces bonnes intentions soient parasitées, voire noyées dans un océan de références méta et d'humour trash qui au final, desserve plus le film qu'autre chose. Voir Wolverine répété pour la 37e fois à Deadpool de la boucler, ça fatigue... Après, le film ne se refuse rien et n'hésite pas à tacler Marvel, notamment sur son manque d'originalité et sa grosse période à vide du moment. Reste que, à l'image d'une fin où , le film devient au final le parfait instrument de ce qu'il moque et dénonce...
"- Tu fumes après l'amour ?
- J'en sais rien baby, j'ai jamais regardé !"
- J'en sais rien baby, j'ai jamais regardé !"
J’en sors.
C’est presque une bonne surprise (dans la mesure où je n’en attendais strictement rien). J’avais souverainement snobé le second volet ainsi que tout un tas de produits Marvel sortis depuis et je me suis laissé tenté par une sortie entre potes (comme toujours…). Dans le même genre, le film m’a fait pensé à la version de The Suicid Squad de James Gunn, même si ce dernier, de mémoire, m’avait paru plus abouti (parce que James Gunn, cinéaste surestimé même en tant que simple faiseur, mais pas totalement dénué de talent - son Horribilis est délicieusement régressif dans son outrance par exemple).
Disons qu’il y a une même générosité à l’œuvre dans les deux films ainsi qu’un amour criant pour leurs personnages. Scénaristiquement, je n’ai pas cherché à comprendre de quoi il en retournait, ça m’est passé globalement au-dessus, ce qui, paradoxalement, ne m’a pas du tout empêché de repérer tout un tas de références, caméos et de percevoir dans les grandes largeur la teneur du discours méta du film. J’ai réussi à peu près à raccrocher les wagons en somme (exemple : l’apparition de Chris Evans qui laisse penser dans un premier temps qu’il reprend son rôle de Captain America avant qu’on ne comprenne qu’il s’agit en réalité de celui de la Torche Humaine dans Les 4 fantastiques - j’avoue, super trouvaille). Le film évite quelque peu le cynisme insupportable du premier opus, même s’il n’est pas dénué d’ironie, plus maîtrisée, plus réfléchie, plus critique aussi sur l’état de l’industrie Marvel et de l’industrie du système de production hollywoodienne en général. Critique qui retombe sur ses pattes assez largement ceci dit puisqu’elle légitime toute une série de suites et éventuels reboots à venir, dans le même temps. Le cynisme est donc toujours là in fine. Bref, rien de subversif en somme. Mais suffisamment généreux dans ses excès, ses outrances (que ce soit la violence graphique ou sa capacité à enchaîner les liens et ponts vis-à-vis de la production Marvel de ces 25 dernières années) pour ne pas passer un moment trop dégueu.
C’est presque une bonne surprise (dans la mesure où je n’en attendais strictement rien). J’avais souverainement snobé le second volet ainsi que tout un tas de produits Marvel sortis depuis et je me suis laissé tenté par une sortie entre potes (comme toujours…). Dans le même genre, le film m’a fait pensé à la version de The Suicid Squad de James Gunn, même si ce dernier, de mémoire, m’avait paru plus abouti (parce que James Gunn, cinéaste surestimé même en tant que simple faiseur, mais pas totalement dénué de talent - son Horribilis est délicieusement régressif dans son outrance par exemple).
Disons qu’il y a une même générosité à l’œuvre dans les deux films ainsi qu’un amour criant pour leurs personnages. Scénaristiquement, je n’ai pas cherché à comprendre de quoi il en retournait, ça m’est passé globalement au-dessus, ce qui, paradoxalement, ne m’a pas du tout empêché de repérer tout un tas de références, caméos et de percevoir dans les grandes largeur la teneur du discours méta du film. J’ai réussi à peu près à raccrocher les wagons en somme (exemple : l’apparition de Chris Evans qui laisse penser dans un premier temps qu’il reprend son rôle de Captain America avant qu’on ne comprenne qu’il s’agit en réalité de celui de la Torche Humaine dans Les 4 fantastiques - j’avoue, super trouvaille). Le film évite quelque peu le cynisme insupportable du premier opus, même s’il n’est pas dénué d’ironie, plus maîtrisée, plus réfléchie, plus critique aussi sur l’état de l’industrie Marvel et de l’industrie du système de production hollywoodienne en général. Critique qui retombe sur ses pattes assez largement ceci dit puisqu’elle légitime toute une série de suites et éventuels reboots à venir, dans le même temps. Le cynisme est donc toujours là in fine. Bref, rien de subversif en somme. Mais suffisamment généreux dans ses excès, ses outrances (que ce soit la violence graphique ou sa capacité à enchaîner les liens et ponts vis-à-vis de la production Marvel de ces 25 dernières années) pour ne pas passer un moment trop dégueu.
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Breaking the Bat
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Sans surprise, ça cartonne dur :
Domestic (47,8 %)
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International (52,2 %)
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Worldwide
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PierrotDameron
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Quel titre
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DEADPOOL & WOLVERINE’ has surpassed ‘THE PASSION OF THE CHRIST’ to become the highest grossing R-rated film at the domestic box office.
‘THE PASSION OF THE CHRIST’ held the record for 20 years.
The movie has already surpassed $820M at the global box office.
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Deadpool = Marvel Jesus qu'on le surnomme, c'est pas pour rien !
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Après la clim du bureau, je n'avais pas envie de succomber au 75° parisiens du jour, donc je suis allé m'enfermer 2h au ciné d'à côté.
Comme sur le créneau, il n'y avait que Deadpool je me suis lancé !
Et bien c'est fidèle à ce que j'attendais : une comédie sous la ceinture en forme de buddy movie vaguement trash qui joue avec le multivers sans se prendre la tête à se raccrocher absolument avec le MCU (et c'est très bien comme ça). Bien qu'il y fasse évidemment tout le temps référence.
Je ne peux pas dire que ce soit un bon film, mais je ne peux pas dire que j'aie passé un mauvais moment non plus. Ca a fait son taffe de divertissement, même si certaines scènes et blagues sont sans doute un peu excluantes pour qui n'a pas tout vu des univers Fox et Disney Marvel.
Le problème du film est qu'au-delà de son mince fil rouge, il n'est en réalité plus qu'une suite de sketchs qu'autre chose. Les persos secondaires apparaissent et disparaissent au gré des besoins, mais de toute façon je n'en a pas grand chose à foutre vu ce que ça raconte alors je me laisse porter dans le délire.
La qualité plus inattendue c'est ce côté hommage à tout l'univers Fox qui parait plus sincère que je ne l'aurais cru. Si l'ensemble n'est pas dénué du cynisme de Disney, on sent que ça a été produit avec un certain amour de ces personnages, avec leurs qualités et défauts.
Et le fait est que le duo Jackman / Reynolds marche pas mal, même si comme d'hab l'overdose arrive avant la fin concernant Deadpool.
S'il fallait le comparer à un autre film "doudou Marvel" qui joue la carte des caméos / surprise / nostalgie, c'est mille fois plus sympa que le dernier Spider-Man duquel ne ressortait pas la moindre forme de bienveillance sincère vis à vis des personnages historiques.
Comme sur le créneau, il n'y avait que Deadpool je me suis lancé !
Et bien c'est fidèle à ce que j'attendais : une comédie sous la ceinture en forme de buddy movie vaguement trash qui joue avec le multivers sans se prendre la tête à se raccrocher absolument avec le MCU (et c'est très bien comme ça). Bien qu'il y fasse évidemment tout le temps référence.
Je ne peux pas dire que ce soit un bon film, mais je ne peux pas dire que j'aie passé un mauvais moment non plus. Ca a fait son taffe de divertissement, même si certaines scènes et blagues sont sans doute un peu excluantes pour qui n'a pas tout vu des univers Fox et Disney Marvel.
Le problème du film est qu'au-delà de son mince fil rouge, il n'est en réalité plus qu'une suite de sketchs qu'autre chose. Les persos secondaires apparaissent et disparaissent au gré des besoins, mais de toute façon je n'en a pas grand chose à foutre vu ce que ça raconte alors je me laisse porter dans le délire.
La qualité plus inattendue c'est ce côté hommage à tout l'univers Fox qui parait plus sincère que je ne l'aurais cru. Si l'ensemble n'est pas dénué du cynisme de Disney, on sent que ça a été produit avec un certain amour de ces personnages, avec leurs qualités et défauts.
Et le fait est que le duo Jackman / Reynolds marche pas mal, même si comme d'hab l'overdose arrive avant la fin concernant Deadpool.
S'il fallait le comparer à un autre film "doudou Marvel" qui joue la carte des caméos / surprise / nostalgie, c'est mille fois plus sympa que le dernier Spider-Man duquel ne ressortait pas la moindre forme de bienveillance sincère vis à vis des personnages historiques.
C'est sur que c'est mieux que le dernier Spiderman, mais ce Deadpool 3 est très moyen et vite lassant à la longue (tout comme l'utilisation du titre de Madonna répété ad nauseam).
J'ai commencé à décrocher au moment où on découvre les caméos de . Parfaitement inutile et même pas réjouissant.
A ce propos,
Par contre, j'ai adoré le caméo
Cela dit, il faut avouer qu'on craignait tous que le personnage serait plus sage et politiquement correct sous l'ère Disney... Bien au contraire, il est encore plus sale gosse qu'auparavant.
J'ai commencé à décrocher au moment où on découvre les caméos de . Parfaitement inutile et même pas réjouissant.
A ce propos,
Par contre, j'ai adoré le caméo
Cela dit, il faut avouer qu'on craignait tous que le personnage serait plus sage et politiquement correct sous l'ère Disney... Bien au contraire, il est encore plus sale gosse qu'auparavant.
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Zefurin
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T'as tout résumé.Kahled a écrit : ↑mer. 31 juil. 2024 01:44 Le cynisme est donc toujours là in fine. Bref, rien de subversif en somme. Mais suffisamment généreux dans ses excès, ses outrances (que ce soit la violence graphique ou sa capacité à enchaîner les liens et ponts vis-à-vis de la production Marvel de ces 25 dernières années) pour ne pas passer un moment trop dégueu.
J'en sors à l'instant et c'est effectivement une plutôt bonne surprise.
Pour une fois, j'ai trouvé que ce film Deadpool se lachait comme il fallait pour rendre hommage à ce personnage...
Oserai-je même le dire : c'est un film à la "hauteur" (notez les guillemets) d'un comics Deadpool.
Il ose tous les excès, au point même de rendre son intrigue aussi imbittable que simplette... mais en fait, le côté totalement foutraque est là.
Du passage "Furiosa" au destin complètement sordide de Chris Evans en passant par les retour de Elektra, Blade... et bon sang... le Deadpool Corps
C'est con.
C'est foutraque.
Ca n'arrête pas.
Mais bon sang que c'est drôle...
J'ai tout particulièrement apprécié tout ce délire sur la Honda Odyssey : c'est tout à fait le genre de fixation qu'aurait pu se permettre un comics de Deadpool, et j'adore ça.
J'ai retrouvé le plaisir complètement régressif de la lecture de ces comics y a 15 ans (déjà
)Y a des trucs pas bon : certains combats vraiment mal filmés, des méchants vraiment OSEF (en fait... je crois que le meilleur méchant qu'on vera dans Deadpool... c'est peut-être Francis... et ça dit le niveau), des effets spéciaux assez dégueux par moment.
Mais voilà... je me suis amusé.
Et puis mince... Ryan Reynolds est vraiment fantastique. Il met une pêche complète à ce personnage qui n'aura pas pu trouver meilleur interprête car un personnage comme ça demande un acting verbal et gestuel qui n'est pas donné à tout le monde.
Deadpool a un langage corporel presque de mime... et y a des moments je me suis carrément dit que même en "mute" le personnage arriverait à se faire comprendre.
Bref, j'ai passé un bon moment... et rien que pour ça, je lui donne un 7.
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
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aureliagreen
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Franchement, j'ai bien aimé.
Loin d'avoir édulcoré Deadpool et Logan comme tout le monde pouvait le craindre, Disney s'est au contraire vraiment laissée aller en livrant pour une fois un film Marvel non seulement impertinent et empli d'audace, mais gore, vraiment gore, et même viscéral, au point que la classification française est insuffisante et même grossièrement complaisante.
Le duo Deadpool/Wolverine fonctionne à plein régime, leur synergie est parfaite, Hugh Jackman a vraiment bien fait de reprendre son rôle (même si, en fait surtout si, il s'agit d'une version alternative, plusieurs en fait). Deadpool est égal à lui-même, après avoir épuisé les nerfs de Cable, il le fait avec Logan, la rencontre de leurs caractères excessifs amène son lot de comiques de situations (et que Deadpool soit insupportable au point qu'on ait envie de lui tirer une grande claque, c'est simplement un trait de base du personnage, il faut l'accepter avant d'aller voir le film - sinon, en effet, mieux vaut passer son chemin).
L'introduction du multivers a fait jaser, mais elle est utile dans le contexte d'un film qui se permet de porter un regard acide sur ce qu'est devenu le MCU par le biais de son caractère déjanté (le seul que puisse sans doute s'autoriser une compagnie qui joue ses sous en la matière, mais qui est bien consciente de l'évolution problématique de ses productions récentes). Et il permet aux scénaristes de verser dans un fan-service à foison de bon aloi dans une telle farce, sans trop se soucier de cohérence (ainsi, les Vengeurs dans l'univers de Deadpool, qui est celui des X-Men de la Fox, où ils ne sont clairement pas à leur place ?). Et je me suis plu à voir les différentes caméos, avec les nombreuses blagues autour de leurs "heures de gloire". Chris Evans s'en donne manifestement à cœur joie pour nous ramener l'insupportable métrosexuel de 2004 et 2007 (et oui, ils nous ont fait le gag de la confusion qu'on évoquait plus haut). Et si Elektra et Blade n'ont pas beaucoup d'importance, Jennifer Garner et Wesley Snipes assurent et prennent leur travail au sérieux. J'ai moins aimé Gambit, mais le décalage entre l'image du personnage et la prestation de l'acteur n'est pas un gros problème pour une œuvre qui se veut décalée et auto-parodique ; et n'aimant pas beaucoup le personnage, je pense de toute façon que ça joue dans ma perception de sa performance. Quant au "duel" entre Dents-de-Sabre et Logan, il est un beau pied-de-nez aux fans qui l'attendaient (car traité, de façon si ironique, de façon réaliste, un comble pour un tel film).
L'ajout de la T.V.A. passe bien, car elle est de par sa nature un gros morceau d'humour nonsense à la british (et gagne vraiment à ne pas être traitée de façon sérieuse. Et, du côté des inédits à l'écran, Cassandra Nova ? Eh bien, si cela peut déplaire à certains, elle est parfaitement à sa place dans cette pantomime, justement car elle est un personnage qui n'a jamais eu une once de plausibilité. Elle m'a toujours paru être une pure création d'un auteur de fan-fiction. Il n'y avait que dans cette parodie qu'elle pouvait avoir un rôle. Quant au Deadpool Corps, il est renversant.
En bref, après les très fades récents films "sérieux" de Marvel, ce nouveau Deadpool qui est tout autant un film de Wolverine redonne (un peu) espoir de voir dans le futur des films du MCU qui valent d'être regardés.
Loin d'avoir édulcoré Deadpool et Logan comme tout le monde pouvait le craindre, Disney s'est au contraire vraiment laissée aller en livrant pour une fois un film Marvel non seulement impertinent et empli d'audace, mais gore, vraiment gore, et même viscéral, au point que la classification française est insuffisante et même grossièrement complaisante.
Le duo Deadpool/Wolverine fonctionne à plein régime, leur synergie est parfaite, Hugh Jackman a vraiment bien fait de reprendre son rôle (même si, en fait surtout si, il s'agit d'une version alternative, plusieurs en fait). Deadpool est égal à lui-même, après avoir épuisé les nerfs de Cable, il le fait avec Logan, la rencontre de leurs caractères excessifs amène son lot de comiques de situations (et que Deadpool soit insupportable au point qu'on ait envie de lui tirer une grande claque, c'est simplement un trait de base du personnage, il faut l'accepter avant d'aller voir le film - sinon, en effet, mieux vaut passer son chemin).
L'introduction du multivers a fait jaser, mais elle est utile dans le contexte d'un film qui se permet de porter un regard acide sur ce qu'est devenu le MCU par le biais de son caractère déjanté (le seul que puisse sans doute s'autoriser une compagnie qui joue ses sous en la matière, mais qui est bien consciente de l'évolution problématique de ses productions récentes). Et il permet aux scénaristes de verser dans un fan-service à foison de bon aloi dans une telle farce, sans trop se soucier de cohérence (ainsi, les Vengeurs dans l'univers de Deadpool, qui est celui des X-Men de la Fox, où ils ne sont clairement pas à leur place ?). Et je me suis plu à voir les différentes caméos, avec les nombreuses blagues autour de leurs "heures de gloire". Chris Evans s'en donne manifestement à cœur joie pour nous ramener l'insupportable métrosexuel de 2004 et 2007 (et oui, ils nous ont fait le gag de la confusion qu'on évoquait plus haut). Et si Elektra et Blade n'ont pas beaucoup d'importance, Jennifer Garner et Wesley Snipes assurent et prennent leur travail au sérieux. J'ai moins aimé Gambit, mais le décalage entre l'image du personnage et la prestation de l'acteur n'est pas un gros problème pour une œuvre qui se veut décalée et auto-parodique ; et n'aimant pas beaucoup le personnage, je pense de toute façon que ça joue dans ma perception de sa performance. Quant au "duel" entre Dents-de-Sabre et Logan, il est un beau pied-de-nez aux fans qui l'attendaient (car traité, de façon si ironique, de façon réaliste, un comble pour un tel film).
L'ajout de la T.V.A. passe bien, car elle est de par sa nature un gros morceau d'humour nonsense à la british (et gagne vraiment à ne pas être traitée de façon sérieuse. Et, du côté des inédits à l'écran, Cassandra Nova ? Eh bien, si cela peut déplaire à certains, elle est parfaitement à sa place dans cette pantomime, justement car elle est un personnage qui n'a jamais eu une once de plausibilité. Elle m'a toujours paru être une pure création d'un auteur de fan-fiction. Il n'y avait que dans cette parodie qu'elle pouvait avoir un rôle. Quant au Deadpool Corps, il est renversant.
En bref, après les très fades récents films "sérieux" de Marvel, ce nouveau Deadpool qui est tout autant un film de Wolverine redonne (un peu) espoir de voir dans le futur des films du MCU qui valent d'être regardés.
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[mention]aureliagreen[/mention]
Je te rejoins sur quasi-tout.
J'ai globalement bien pris mon pied et je pense finalement qu'il ressemble à ce à quoi j'aurais préféré que DrStrange Madness into the Multiverse ou Spiderman No Way Home ressemblent.
Deadpool est finalement un bien meilleur personnage pour embarquer le spectateur dans une intrigue multiverse absurde.
Et j'avoue que le fan service (qui est pléthorique dans ce film) ne m'a absolument pas dérangé pour une fois dans un film Marvel.
Et il s'autorise des fulgurence de situation comique (la Honda Odyssey... franchement je ne me remets pas de tout ce passage avec cette voiture... je riais tellement que j'en avais mal aux côtes).
Plus le temps passe, et plus le film bonifie dans ma tête.
Et c'est vrai que le duo Deadpool/Wolverine fonctionne.
Là où les deux précédents films Deadpool voulaient faire entrevoir un duo comique entre Deadpool et Colossus puis Cable en guise de gros badass taciturne... ce dernier film sort le badass charismatique que tout le monde adore, à savoir Logan... et effectivement, ils fonctionnent vachement bien.
Et ce générique hommage aux acteurs du vieux Marvel de la Fox m'a finalement assez plu... et montre finalement une certain respect pour les acteurs qui avaient autrefois tenté l'expérience Marvel sans succès (j'ai même un instant espéré voir le Daredevil de Ben Affleck ou le Hulk d'Eric Bana).
Dans sa nonchalance et son impertinence, Deadpool fait preuve d'un certain coeur et d'une vrai amour pour ces super-héros que la Fox puis Disney ont exploité/rejeté/surexploité...
Comment rendre hommage à un univers sans forcément approuver la méthode de production qui est d'un cynisme mércantile.
Il a presque ce petit côté Matrix Resurrection : je fais partie du système, mais je me permet de me foutre de sa gueule tout en sachant qu'il me permet de le faire.
En comics, Deadpool a toujours été un peu comme ça, en tournant en dérision les poncifs de production de BD...
Je te rejoins sur quasi-tout.
J'ai globalement bien pris mon pied et je pense finalement qu'il ressemble à ce à quoi j'aurais préféré que DrStrange Madness into the Multiverse ou Spiderman No Way Home ressemblent.
Deadpool est finalement un bien meilleur personnage pour embarquer le spectateur dans une intrigue multiverse absurde.
Et j'avoue que le fan service (qui est pléthorique dans ce film) ne m'a absolument pas dérangé pour une fois dans un film Marvel.
Et il s'autorise des fulgurence de situation comique (la Honda Odyssey... franchement je ne me remets pas de tout ce passage avec cette voiture... je riais tellement que j'en avais mal aux côtes).
Plus le temps passe, et plus le film bonifie dans ma tête.
Et c'est vrai que le duo Deadpool/Wolverine fonctionne.
Là où les deux précédents films Deadpool voulaient faire entrevoir un duo comique entre Deadpool et Colossus puis Cable en guise de gros badass taciturne... ce dernier film sort le badass charismatique que tout le monde adore, à savoir Logan... et effectivement, ils fonctionnent vachement bien.
Et ce générique hommage aux acteurs du vieux Marvel de la Fox m'a finalement assez plu... et montre finalement une certain respect pour les acteurs qui avaient autrefois tenté l'expérience Marvel sans succès (j'ai même un instant espéré voir le Daredevil de Ben Affleck ou le Hulk d'Eric Bana).
Dans sa nonchalance et son impertinence, Deadpool fait preuve d'un certain coeur et d'une vrai amour pour ces super-héros que la Fox puis Disney ont exploité/rejeté/surexploité...
Comment rendre hommage à un univers sans forcément approuver la méthode de production qui est d'un cynisme mércantile.
Il a presque ce petit côté Matrix Resurrection : je fais partie du système, mais je me permet de me foutre de sa gueule tout en sachant qu'il me permet de le faire.
En comics, Deadpool a toujours été un peu comme ça, en tournant en dérision les poncifs de production de BD...
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MisterM 06/02/2024
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[mention]Zefurin[/mention]
Totalement d’accord !
Pas lu les Comics, les Marvel ça n’a jamais été trop mon truc en films (si ce n’est les tous premiers - les Spider-Man, les X-Men, etc.). Donc en BD, ça ne m’a jamais trop tenté. Mais j’ai l’impression que les Deadpool c’est effectivement à part dans l’univers. Plus délirant, moins second degrés. Dommage que le premier film m’ait à ce point emmerdé !
Mais pour un passionné / connaisseur, j’imagine à quel point le film doit regorger d’easter eggs. Même si le procédé a tendance à me gonfler lorsqu’il joue trop sur la connivence du spectateur avec l’univers mis en scène, dans le cas présent j’imagine bien le plaisir ludique qu’un fan doit prendre à tous les déceler (en ce qui me concerne, je me félicite déjà d’en avoir capté une ou deux ! ).
Totalement d’accord !
Pas lu les Comics, les Marvel ça n’a jamais été trop mon truc en films (si ce n’est les tous premiers - les Spider-Man, les X-Men, etc.). Donc en BD, ça ne m’a jamais trop tenté. Mais j’ai l’impression que les Deadpool c’est effectivement à part dans l’univers. Plus délirant, moins second degrés. Dommage que le premier film m’ait à ce point emmerdé !
Mais pour un passionné / connaisseur, j’imagine à quel point le film doit regorger d’easter eggs. Même si le procédé a tendance à me gonfler lorsqu’il joue trop sur la connivence du spectateur avec l’univers mis en scène, dans le cas présent j’imagine bien le plaisir ludique qu’un fan doit prendre à tous les déceler (en ce qui me concerne, je me félicite déjà d’en avoir capté une ou deux !
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Zefurin
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Y a un truc qui est clair, c'est que le procédé :Kahled a écrit : ↑mar. 20 août 2024 20:17 Mais pour un passionné / connaisseur, j’imagine à quel point le film doit regorger d’easter eggs. Même si le procédé a tendance à me gonfler lorsqu’il joue trop sur la connivence du spectateur avec l’univers mis en scène, dans le cas présent j’imagine bien le plaisir ludique qu’un fan doit prendre à tous les déceler (en ce qui me concerne, je me félicite déjà d’en avoir capté une ou deux !
- brisage du 4ème mur
- blague référencée intermédia
- jeu sur le média et ses caractéristiques.
Tout celà est bien plus grisant à lire en BD qu'à regarder ça en film.
Lire une BD de Deadpool, c'est souvent un moment savoureux car on sait que c'est une BD qui va susciter tout un tas de procédés narratifs qu'on a peu l'habitude de voir.
Y a des passages où Deadpool est capable d'avoir une information qu'il n'est pas sensé avoir sous prétexte qu'il n'était pas présent dans la scène lorsque l'information a été formulé... mais Deadpool se défendra en disant : "Bah si ! L'information a été révélé page 30 case 3 de la BD... c'est pas de ma faute si vous savez pas lire !
" Il joue totalement avec la BD.Y fera en BD des remarque du style : "Heureusement que c'est une BD et pas un film : Ryan Reynolds aurait été incapable d'exprimer la peine qui m'accable à cet instant. Vous ne me croyez pas ? Ben regardez X-Men Origins..."
Il peut même se foutre de la gueule du dessinateur ou du coloriste : "Sérieusement... un costume jaune pour l'antagoniste principal de l'album ? C'était la dernière couleur qui te restait ? T'es sur la paille ? T'as besoin d'argent ? En même temps si t'étais un dessinateur réputé, tu serais en train de bosser sur un Batman ou un Spiderman... pas une de mes aventures..."
A lire... mais c'est à crever de rire, parce qu'on ressent tellement ce lâchage total pour les scénaristes et dessianteurs qui balancent tout. Et c'est ce que j'adore dans la BD, comme c'est principalement 2 à 3 personnes qui font la BD (scénariste, dessinateur et coloriste) et bien on sent plus nettement la BD Deadpool comme un exutoire pour les auteurs de la BD.
Marvel leur dit : "Faite un Deadpool qui se bat contre des zombis."
Ben si le scénariste il aime pas faire des histoires de zombis, ben il permet à Deadpool de le dire : "Bon au départ... le scénariste voulait faire une BD où je me battait contre les Avenger... mais il a pas su être surffisamment persuasif, donc voilà... des zombis. On va faire avec..."
Ou alors il va jouer avec ça et va transformer les avenger... en zombi !
Dans Deadpool, tu sens que tout est possible. Et que le moindre interdit... est justement autorisé parce que c'est tout ce qu'on attend d'un tel personnage
C'est une sorte de Fluide Glacial en Comics...
En film c'est moins le cas, car il y a des contraintes techniques que Deadpool ne peut pas complètement enfreindre sans l'aval des autres de l'équipe de tournage. Ca serait marrant par exemple que Deadpool dise : "Bon... là il va falloir que je sois discret : est-ce que les ingénieurs du son peuvent réduire le gain sonore des micros ? ... Non parce que là le destin du monde en dépend !"
C'est totalement le scénariste, le réalisateur et l'acteur qui peuvent jouer à avec ce personnage... mais pas les autres membres de l'équipe de tournage et c'est dommage.
Il pourrait faire une réflexion du style : "Logan... place toi plutôt ici... voilà... tu comprends ? Le chef opérateur insiste pour utiliser un objectif longue focale pour ce plan-ci et je le comrpends : regarde un peu la beauté de cette lumière !"
Ils font pas assez ça dans les films.
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
MisterM 06/02/2024
Davantage que Wolverine, c'est surtout Hugh Jackman dont Marvel semble se féliciter du retour. Et quel retour... On avait quitté le personnage à son apogée pour le retrouver dans un film médiocre, énième maillon d'une saga qui n'a plus rien à raconter en dehors du fait de se commenter elle-même.
Le scénario n'est qu'un prétexte à enchaîner des sketchs qui se voudraient corrosifs mais qui m'ont personnellement exaspéré, tant je ne supporte plus le cynisme de Reynolds. Et par pitié, que l'on arrête de mettre des musiques hors sujet sur des scènes d'action, ce n'est plus drôle depuis longtemps !
Une fois n'est pas coutume, le film contient son lot d'inconsistances quant au fonctionnement du Multivers :
Je n'ai même pas envie d'évoquer les caméos tant ces derniers ne servent à rien et sont tous traités sur le ton de la blague. Le film se voudrait d'ailleurs un hommage aux super-héros mal-aimés de la Fox, mais il faut attendre le générique de fin pour que cette intention devienne un tant soit peu palpable.
Domestic (47,8 %)
$603,760,117
International (52,2 %)
$658,400,000
Worldwide
$1,262,160,117
Cette daube devient le 7eme plus gros succés ever de Marvel.
J'ose pas imaginer le Melon de Reynolds (aussi gros que Robert Money Jnr).
$603,760,117
International (52,2 %)
$658,400,000
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Cette daube devient le 7eme plus gros succés ever de Marvel.
J'ose pas imaginer le Melon de Reynolds (aussi gros que Robert Money Jnr).
Rob Liefeld tourne la page Marvel après la première de « Deadpool & Wolverine »
https://www.eklecty-city.fr/cinema/rob- ... 8916462365
https://www.eklecty-city.fr/cinema/rob- ... 8916462365
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Discussion intéressante sur deux points de vue supposément opposés sur le film (et sur Ryan Reynolds).
Et c'est drôle parce que j'arrive à être d'accord avec à la fois Yannick Dahan et Stéphane Moïssakis. Parce qu'en fait ils sont d'accord sur la forme et les travers criants du film et sa production, mais ne reçoivent pas la même chose sur le fond ou ne se concentrent pas sur les mêmes aspects.
Comme à son habitude, Moïssakis ne voit ça que par le prisme du cynisme là où Dahan a son envie profonde d'être un enthousiaste qui ressort toujours.
Et c'est drôle parce que j'arrive à être d'accord avec à la fois Yannick Dahan et Stéphane Moïssakis. Parce qu'en fait ils sont d'accord sur la forme et les travers criants du film et sa production, mais ne reçoivent pas la même chose sur le fond ou ne se concentrent pas sur les mêmes aspects.
Comme à son habitude, Moïssakis ne voit ça que par le prisme du cynisme là où Dahan a son envie profonde d'être un enthousiaste qui ressort toujours.
J'adore la passion sans concession de Dahan et son immense culture sur le sens du récit, il est souvent passionnant.
Le problème c'est qu'il a la profondeur émotionnelle d'un ado. Combien de fois l'ai-je vu pété un boulard devant un truc juste bien voire moyen (style Primal ou Avatar 2) qui deviennent des chef-d'oeuvres intemporels ou complètement chier sur d'autres. Très peu de nuances et très peu de recul sur son ressenti.
Sans avoir vu la vidéo je suppose qu'il doit déféquer jusqu'à son dernier atome d'excrément sur Deadpool 3 mais en vrai je ne serais pas si surpris qu'au contraire il le porte au diapason pour une absconse raison.
Il a un plaisir coupable sur Ryan Reynolds.
Mais son argumentaire pour le justifier me plait assez, sans qu'il nie les aspects très cynique du système et que l'acteur/producteur en fasse tout à fait partie.
Prout !
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
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ConFucKamus
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- Enregistré le : lun. 31 août 2020 12:17
Ah mais il a un vrai talent pour la comédie. Ce qui pose problème, c'est qu'il n'a pratiquement qu'un seul registre pour l'aborder : jouer Ryan Reynolds.
Ce qui me gonfle singulièrement depuis le premier Deadpool. Je dois avouer que j'ai pris beaucoup de plaisir à le voir mourir dans Life
"Bloodshot est la meilleure chose qui soit arrivée au cinéma en 2020 " - ©MisterM