Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Jamais un Pixar ne m'a donné aussi peu envie.
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Alto Knights : que vaut le film de mafieux avec un double Robert De Niro ?

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Alto Knights, thriller semi-historique de Barry Levinson avec Robert De Niro dans un double rôle de mafieux débarque enfin au cinéma.

Si on avait envie de croire en Alto Knights, c’est bien car le film promettait un coup d’éclat audacieux pour Barry Levinson (Rain Man, Good Morning Vietnam) et Robert De Niro. Tous deux octogénaires et riches d’une imposante filmographie, leur collaboration autour d’un récit crépusculaire sur la mafia italienne sonnait comme une idée excitante. D’autant plus quand le film s’est vendu sur un nouveau tour de force de son comédien dans le rôle des deux mafieux rivaux du film.

Dans le génial Killers of the Flower Moon, De Niro avait encore prouvé qu’il savait toujours se montrer terrifiant lorsqu’il le fallait. Alors bien sûr, Alto Knights n’avait pas que des arguments pour nous séduire. Entre le risque qu’il se repose un peu trop sur son concept d’un double De Niro et ses projections tests très négatives en 2024 (qui ont repoussé la sortie du film de plus d’un an), on avait de quoi avoir peur. Finalement, Alto Knights est sorti en France ce 19 mars et les premières critiques françaises sont là. Revue de presse.

« Une forme pas totalement convaincante pour réussir à créer un semblant de suspens dans le récit. Le film reste néanmoins solide et bien interprété. Mais l’intérêt de The Alto Knights n’est pas là. Ce film sonne avant tout comme la lettre d’adieu de toute une génération de légendes de Hollywood aux films de gangsters. » Le Dauphiné Libéré

« Un peu de maquillage, une coiffure et une voix différentes, quelques effets spéciaux, et la magie du cinéma opère. Un tour de force technique, qui n’était certes pas indispensable, mais vient renforcer l’intérêt de ce film par ailleurs captivant. » Le Parisien

« Basé sur un concept hasardeux, ce portrait croisé de deux mafieux intéresse néanmoins pour la dimension testamentaire qu’y injecte Robert De Niro. » Première

« Quand bien même l’acteur est à son aise dans ce numéro bicéphale et carnavalesque, difficile d’y voir là une authentique plus-value. » L’Obs

« Le scénario se traîne terriblement, sans surprise ni suspense. Barry Levinson (Rain Man, Des hommes d’influence) fait aussi son âge (82 ans) derrière la caméra. Seules les voitures d’époque, rutilantes, ont de l’allure. » Le Figaro

« Couvert de latex, Robert De Niro incarne à la fois Frank Costello et Vito Genovese dans un affligeant pastiche de film mafieux qui semble passé à la moulinette de l’IA. » Libération

Comme on pouvait s’y attendre, les premiers sons de cloche de la critique sont mitigés et même assez décevants. Si la presse salue parfois le travail (toujours remarquable) de Robert De Niro dans son interprétation à deux faces, la performance ne semble pas suffire. Ainsi, si Alto Knights voulait se la jouer Il était une fois en Amérique, dans le genre film de gangsters qui referme une page de l’Histoire du cinéma, on a l’air d’être loin du compte.

Les avis sont d’ailleurs assez similaires aux Etats-Unis puisque le film affiche un pauvre 47/100 sur Metacritic. À moins que le public n’en décide autrement, difficile d’imaginer Alto Knights devenir l’un des nouveaux chef d’œuvre de la carrière de De Niro.


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... lsb0qPE3Hw
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EL n'a pas trop aimé Blanche-Neige (2 étoiles) :

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En 1937, Walt Disney a révolutionné le 7e art avec Blanche-Neige et les Sept nains, qui a posé toutes les bases du cinéma d’animation traditionnel. 88 ans plus tard, ce chef-d’œuvre intemporel est de retour après un méchant coup de bistouri. La folie des remakes de Disney n’a pas épargné le tout premier Classique de l’Histoire, qui subit sans surprise les mêmes affronts que La Petite Sirène, Le Roi Lion, Aladdin ou La Belle et la Bête avant lui. Blanche-Neige version Marc Webb, avec Rachel Zegler et Gal Gadot, est en salles depuis le 19 mars.

SOUFFLER EN TRAVAILLANT


Il suffit de taper « Blanche-Neige » dans n’importe quel moteur de recherche pour comprendre à quel point le nouveau remake de Disney est un sujet explosif. Mille et un articles ont résumé en long, en larmes et en travers les différentes polémiques et controverses qui ont entaché la sortie du film, même si le reproche le plus récurrent concerne le supposé « wokisme » du projet.

Comprenez : Rachel Zegler a des origines colombiennes et se revendique latina, ce qui a provoqué des torsions neuronales chez certaines personnes, lesquelles, au-delà de manifester leur scepticisme, se sont lancées dans des campagnes de harcèlement racistes et misogynes à son encontre (et pas seulement sur les réseaux sociaux). Rappelons que c’était déjà le cas de Halle Bailey (La Petite Sirène) et malheureusement de beaucoup trop d’autres actrices racisées.

Il faut ajouter à ça les questions soulevées par Peter Dinklage sur la représentation du nanisme, qui ont mis le feu aux poudres, l’opinion de Rachel Zegler sur le film original (la situation en Palestine et la réélection de Donald Trump), les tensions en coulisses avec Gal Gadot ou encore l’absence de Prince Charmant dans le scénario – à mettre au même niveau que tout le reste, apparemment. Et comme si ça ne suffisait pas, David Hand, le fils nonagénaire du réalisateur de Blanche-Neige et les Sept nains, a jeté une semi-remorque d’huile sur le feu en parlant de « nouvelles choses wokes », donnant aux détracteurs du film, qui ne l’avaient pas vu et n’iront sûrement pas le voir, un argument d’autorité moisi.

Autant dire que le contexte géopolitique et les paniques morales du moment ont supplanté absolument tout le reste. Pour certains, ce Blanche-Neige est l’incarnation ultime de la bien-pensance et donc un totem du « wokisme » à jeter au bûcher sans autre forme de procès. Pour d’autres, c’est la meilleure preuve de l’hypocrisie de la compagnie aux grandes oreilles, qui vend des héroïnes fortes, engagées et inspirantes, mais censure à tour de bras (notamment les productions Pixar). Et pas question pour le studio de soutenir le film et son casting.

Dans la panique, Disney a préféré sortir son plus beau balai pour mettre la poussière sous le tapis. Certains médias (dont Ecran Large) ont été privés de projection presse, la traditionnelle avant-première hollywoodienne s’est déroulée sans journalistes et la promotion s’est faite très discrète. Une super stratégie pour recentrer l’attention sur le film et non sur le contexte qui l’entoure ! La preuve : déjà cinq paragraphes d’écrits, et pas encore un seul élément critique, positif ou négatif, formulé sur le long-métrage en tant que tel.

En même temps, il n’y a pas grand-chose à dire sur cet énième verre d’eau tiède qui, comme La Petite Sirène, Peter Pan & Wendy, Pinocchio ou Aladdin avant lui, compile tous les problèmes et lacunes des remakes en prises de vue réelles de Disney…

BLANCHE-NEIGE ET LES SEPT RIEN

Rachel Zegler l’avait rappelé à ses dépens : Blanche-Neige et les Sept nains est sorti en 1937 et le remake devait se mettre à la page. Incroyable, mais vrai, le monde a changé en près de 90 ans, les attentes des femmes et leur rôle dans les fictions aussi. Alors oui, en 2025, le Prince Charmant qui prononçait deux phrases dans le classique est remplacé par un personnage masculin un peu plus consistant, la princesse ne chante plus « Pensez que le balai est votre bel et tendre, soudain vos pieds se mettront à danser », toute sa valeur ne se résume plus à sa simple beauté et la beauté n’est plus conditionnée à la blancheur du teint.

Elle devient un personnage proactif plutôt qu’une demoiselle en détresse qui reste passive du début à la fin de son histoire. Elle s’émancipe, défie l’autorité au nom de ce qui est juste et sauve son Royaume grâce au pouvoir de l’amour, de l’amitié et des belles valeurs morales. Mais il ne pouvait pas en être autrement et ce n’est pas cette modernisation qui en fait un film intéressant ou plaisant.

Peut-être que, si ce Blanche-Neige était sorti au début des années 2000, il aurait mis un sacré coup de pied dans la fourmilière en bousculant les normes de la princesse telle que Disney l’a conçue. Mais dans les faits, le film de Marc Webb paraît presque ringard, vu déjà dix fois ailleurs. Tout hurle la redite, en particulier son histoire de haine-amour avec son bandit beau-gosse qui rappelle Raiponce de 2010 et le final qui ressemble à celui du récent Wish.

Pour le reste, c’est toujours les mêmes arguments. Le film pille la magie de son aîné, tout est terne et moche (surtout les nains créatures magiques en CGI qui déclenchent des crises d’angoisse et les animaux photoréalistes). Les nouvelles chansons sont oubliables et les scènes cultes (le passage dans la forêt maudite et la transformation de la Reine en sorcière) perdent toute leur puissance visuelle. Le pire outrage reste cependant celui fait à la méchante Reine de Gal Gadot. Et pour une fois, ce n’est pas la faute du jeu limité de l’actrice, qui se fond plutôt bien dans le cabotinage général.

Figure iconique, au même titre que Maléfique ou la Marâtre de Cendrillon, toute son intensité reposait sur son caractère froid et taciturne et la rareté de ses apparitions. En faire une méchante plus exubérante, avec son propre numéro musical, ne fonctionne absolument pas, surtout que le personnage n’est pas plus caractérisé que dans l’original : il reste un cliché de conte de fées, mais immensément moins fort et marquant.

Pour le reste, le scénario ajoute deux ou trois bribes de lore, mais, en remplissant négligemment les trous du classique, le remake ne fait que mettre en valeur son cache-misère. Les sept nains ne sont par exemple plus des nains, mais des êtres quasi immortels aux pouvoirs magiques, sans que cette donnée soit mise à contribution. Toute comme l’espèce de résistance qui semble s’être organisée, mais qui est à peine mentionnée.

En soi, Blanche-Neige n’est pas le pire de son espèce, ni le plus paresseux ou le plus méprisant envers le public, même si on nous a répondu qu’il n’était pas fait pour « répondre aux attentes cinéphiliques de la rédaction » quand on a demandé des nouvelles de la projection presse. Plus globalement, ce n’est même pas un film qui mérite qu’on s’attarde plus que ça sur son cas. Tout le reste, en revanche, devrait continuer à faire couler de l’encre…

En voyant ce Blanche-Neige bien insipide et sans intérêt, on comprend presque pourquoi le monde entier parle plus des polémiques autour du film que du film en lui-même…


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... jJyRGGYOSw
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Teaser du troisième film de Sean Byrne après les excellents The Loved Ones et The Devil's Candy. Un teaser hautement plus excitant que le film avec DiCaprio :D
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Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 16:57

Teaser du troisième film de Sean Byrne après les excellents The Loved Ones et The Devil's Candy. Un teaser hautement plus excitant que le film avec DiCaprio :D
C'est bien Jai Courtney le perso principal ?
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Wickaël a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:34
Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 16:57

Teaser du troisième film de Sean Byrne après les excellents The Loved Ones et The Devil's Candy. Un teaser hautement plus excitant que le film avec DiCaprio :D
C'est bien Jai Courtney le perso principal ?
Yes :jap:
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... e-francais
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Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:41 Yes :jap:
Il a l'air top dans le rôle.
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Wickaël a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:44
Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:41 Yes :jap:
Il a l'air top dans le rôle.
Oui et bien sadique, il semblerait que son kif soit de torturer psychologiquement ses victimes avant de les offrir aux requins :D
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Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:48 Oui et bien sadique, il semblerait que son kif soit de torturer psychologiquement ses victimes avant de les offrir aux requins :D
Faut vraiment que je découvre les 2 autres films du réal.
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Wickaël a écrit : jeu. 20 mars 2025 18:14
Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:48 Oui et bien sadique, il semblerait que son kif soit de torturer psychologiquement ses victimes avant de les offrir aux requins :D
Faut vraiment que je découvre les 2 autres films du réal.
Je confirme :D

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Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 17:41 Le box-office français de la semaine :

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1 :sol:

Je veux voir le 2ème, mais les horaires sont pourris :fou:
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Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 16:57

Teaser du troisième film de Sean Byrne après les excellents The Loved Ones et The Devil's Candy. Un teaser hautement plus excitant que le film avec DiCaprio :D
Le petit tacle, "en douceur" :D
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robinne a écrit : ven. 21 mars 2025 12:07
Pale a écrit : jeu. 20 mars 2025 16:57

Teaser du troisième film de Sean Byrne après les excellents The Loved Ones et The Devil's Candy. Un teaser hautement plus excitant que le film avec DiCaprio :D
Le petit tacle, "en douceur" :D
Oui, je trouve qu'on s'emballe toujours trop fort pour chaque nouveau film de PTA :D Les seuls films du réalisateur qui m'aient véritablement transcendés sont Boogie Nights et Punch-Drunk Love.

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J'avais oublié d'en parler mais j'ai enfin terminé la saison 6 de Cobra Kai. Une saison avec des hauts et des bas. Dans les moins : de grosses facilités scénaristiques (on a l'impression que les scénaristiques ne se cassent plus le cul), de gros raccourcis et une mièvrerie parfois insupportable. Dans les plus : comme dans toutes les saisons, des scènes épiques qui réussissent à vraiment mettre les poils, à ce titre les 3 derniers épisodes m'ont procuré énormément de frissons. Bref j'aurais toujours une préférence pour les deux premières saisons qui restent magistrales mais malgré ce que je dis sur cette saison 6, elle offre une belle conclusion à l'ensemble.
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Pale a écrit : ven. 21 mars 2025 18:15 Oui, je trouve qu'on s'emballe toujours trop fort pour chaque nouveau film de PTA :D Les seuls films du réalisateur qui m'aient véritablement transcendés sont Boogie Nights et Punch-Drunk Love.
Je n'ai vu aucun film de ce réalisateur...
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Wickaël a écrit : ven. 21 mars 2025 23:06
Pale a écrit : ven. 21 mars 2025 18:15 Oui, je trouve qu'on s'emballe toujours trop fort pour chaque nouveau film de PTA :D Les seuls films du réalisateur qui m'aient véritablement transcendés sont Boogie Nights et Punch-Drunk Love.
Je n'ai vu aucun film de ce réalisateur...
J'ai vu un film que tu pourrais kiffer :

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Un militaire rend visite à une famille ayant perdu leur fils qui était également militaire. Ce visiteur dit qu'il était ami avec leur fils et va petit à petit s'immiscer au sein de cette famille. Évidemment cette homme bien sous tous rapports cache certaines choses. The Guest est un excellent film de Adam Wingard lorgnant entre le thriller et le film d'action. Je tiens à saluer la performance de Dan Stevens qui possède ici un charisme de fou furieux.
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Pale a écrit : ven. 21 mars 2025 23:36 J'ai vu un film que tu pourrais kiffer :

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Un militaire rend visite à une famille ayant perdu leur fils qui était également militaire. Ce visiteur dit qu'il était ami avec leur fils et va petit à petit s'immiscer au sein de cette famille. Évidemment cette homme bien sous tous rapports cache certaines choses. The Guest est un excellent film de Adam Wingard lorgnant entre le thriller et le film d'action. Je tiens à saluer la performance de Dan Stevens qui possède ici un charisme de fou furieux.
J'en prends note :jap:
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Wickaël a écrit : ven. 21 mars 2025 23:06
Pale a écrit : ven. 21 mars 2025 18:15 Oui, je trouve qu'on s'emballe toujours trop fort pour chaque nouveau film de PTA :D Les seuls films du réalisateur qui m'aient véritablement transcendés sont Boogie Nights et Punch-Drunk Love.
Je n'ai vu aucun film de ce réalisateur...
Même pas Magnolia ?
Son plus connu, je pense, avec There will be blood :love:
Et j'avais bien aimé The Master aussi.

Sans oublier les autres. Ses films ne sont comme aucun aute.
J'ai l'impression de voir des rêves à chaque fois.
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robinne a écrit : sam. 22 mars 2025 08:59 Même pas Magnolia ?
Son plus connu, je pense, avec There will be blood :love:
Et j'avais bien aimé The Master aussi.

Sans oublier les autres. Ses films ne sont comme aucun aute.
J'ai l'impression de voir des rêves à chaque fois.
Non, rien de rien :saint:
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Un bon thriller comme je les aime. Sorti au milieu des années 80, À double tranchant est un thriller et un film de procès à l'intrigue captivante. À noter également une bonne bande-originale signée John Barry.
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Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
N'allant plus au cinéma j'attendrais patiemment sa sortie en VOD, et je suis certain que je vais adorer :D
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Vu hier soir

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Le plus faible opus de la saga. Un casting moins impressionnant, des FX qui piquent la rétine, on dirait un DTV de luxe. Reste des combats pas trop mal (surtout ceux avec Statham), et une certaine sympathie pour ces Expendables. Mais par contre très déçu pour Iko Uwais, il aurait mérité un meilleur traitement, surtout quand on sait de quoi il est capable niveau arts martiaux et qu'il n'a qu'un seul "gros" combat dans le film... En bref une petite déception même si j'ai pas détesté non plus.

5/10
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Wickaël a écrit : dim. 23 mars 2025 07:13
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
N'allant plus au cinéma j'attendrais patiemment sa sortie en VOD, et je suis certain que je vais adorer :D
En plus le film ne lésine pas sur la violence :D
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
Malgré ton retour positif, je ferai l'impasse sur ce film : j'ai revu la bande-annonce hier, et ça ne me tente vraiment pas. A la rigueur, je le verrai "en vidéo".
En fait, c'est un long épisode de The Boys :saint: (quand Hughie prend du V)
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robinne a écrit : dim. 23 mars 2025 09:19
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
Malgré ton retour positif, je ferai l'impasse sur ce film : j'ai revu la bande-annonce hier, et ça ne me tente vraiment pas. A la rigueur, je le verrai "en vidéo".
En fait, c'est un long épisode de The Boys :saint: (quand Hughie prend du V)
Je pense que la bande-annonce ne rend pas justice au film. Ce dernier possède un cœur immense, c'est pas juste un bête film d'action. Fais moi confiance :D en plus c'est le printemps du ciné si je ne m'abuse.

EDIT : ok j'avais oublié que le film sort seulement mercredi prochain en France :humpf:
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Kit
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 11:36
robinne a écrit : dim. 23 mars 2025 09:19
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
Malgré ton retour positif, je ferai l'impasse sur ce film : j'ai revu la bande-annonce hier, et ça ne me tente vraiment pas. A la rigueur, je le verrai "en vidéo".
En fait, c'est un long épisode de The Boys :saint: (quand Hughie prend du V)
Je pense que la bande-annonce ne rend pas justice au film. Ce dernier possède un cœur immense, c'est pas juste un bête film d'action. Fais moi confiance :D en plus c'est le printemps du ciné si je ne m'abuse.

EDIT : ok j'avais oublié que le film sort seulement mercredi prochain en France :humpf:
C'est vrai qu'avec la bande annonce on a l'impression de ne pas pouvoir se positionner entre un personnage de jeu vidéo qui prend des dégâts absurdes en restant vivant dans la partie et la réalité de l'univers du film ou c'est une excuse pour faire du gore gratuitement :o :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit a écrit : dim. 23 mars 2025 14:02
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
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Yes et j'adore de plus en plus cet acteur que je trouve incroyablement naturel.
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Ça a beau être d'une naïveté confondante, le charme et l'énergie du film ont fonctionné pour moi. J'ai adoré l'ambiance du film, le côté kitsch ne m'a pas dérangé, ça rappelle des films à l'ancienne et certaines scènes sont très hypnotiques. Le tout est porté par la superbe performance de Sadie Sink, on suit avec plaisir l'odyssée de ce personnage très inspirant.

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Une obsession venue d'ailleurs en version française et c'est pas les réalisateurs de Novocaine. Le point de départ est intriguant sans compter que j'apprécie très fort Maika Monroe. Je n'ai pas été convaincu par la tournure des événements et le film finit par trainer un peu trop la patte dans sa seconde partie, à tel point que les 1h20 finissent par sembler longues. Bref je n'ai clairement pas été aussi emballé que pour Novocaine.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Mon programme ciné du mois d'avril :

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Peut-être :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : Warfare

Warfare et Death of a Unicorn sont programmés pour le mois d'avril en Belgique mais je ne sais pas encore si mon cinéma les diffusera. Quoi qu'il en soit, c'est un mois très chargé.
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Kit
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 18:31
Kit a écrit : dim. 23 mars 2025 14:02
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 01:23 Image

Pour faire court, Novocaine est une dinguerie. Lorsque la promotion a commencé, je ne m'y suis pas intéressé car ça sentait le film à high concept un peu futile. Les retours positifs ont malgré tout suscité ma curiosité et je ne connaissais quasi rien à l'intrigue et j'ai pris mon pied. Le film est un bon mélange de romance (le duo formé par Jack Quaid et Amber Midthunder est adorable, il y a quelque chose de vraiment authentique qui se dégage de leurs scènes), de comédie et d'action. À ce titre, les différentes scènes d'action ont vraiment de la gueule (et provoquent parfois l'hilarité), surtout au vu du faible budget. Les acteurs sont excellents et j'ignorais totalement la présence de Ray Nicholson qui m'a encore beaucoup impressionné après son apparition dans Smile 2. Il a dans Novocaine un rôle plus conséquent et il crève l'écran. Bref je ne m'attendais pas à éprouver autant de plaisir devant ce film qui à l'instar de Companion ou Mickey 17 apporte un vent de fraicheur et d'originalité.
Jack Quaid le fiston de Meg Ryan et Dennis Quaid et neveude Randy
Yes et j'adore de plus en plus cet acteur que je trouve incroyablement naturel.
grâce à toi je viens d'apprendre son existence :D
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Kit a écrit : dim. 23 mars 2025 19:56
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 18:31
Kit a écrit : dim. 23 mars 2025 14:02

Jack Quaid le fiston de Meg Ryan et Dennis Quaid et neveude Randy
Yes et j'adore de plus en plus cet acteur que je trouve incroyablement naturel.
grâce à toi je viens d'apprendre son existence :D
:lol: Et le fils de Jack Nicholson que je mentionne dans la critique, tu connaissais ?
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Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 20:08
Kit a écrit : dim. 23 mars 2025 19:56
Pale a écrit : dim. 23 mars 2025 18:31

Yes et j'adore de plus en plus cet acteur que je trouve incroyablement naturel.
grâce à toi je viens d'apprendre son existence :D
:lol: Et le fils de Jack Nicholson que je mentionne dans la critique, tu connaissais ?
j'avoue, je n'ai lu que l'image :D
Jack Nicole sonne va lui ouvrir
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Piégé : premiers avis pour le Saw dans une voiture avec Anthony Hopkins

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Anthony Hopkins en type légèrement désaxé et Bill Skarsgård en victime coincée dans un SUV : c’est le thriller Piégé produit par Sam Raimi, et les premiers avis de la presse sont tombés.

Réalisateur culte d’Evil Dead et de la première trilogie Spider-Man, Sam Raimi est aussi connu pour son flair en tant que producteur, surtout lorsqu’il est question de thrillers et de films d’horreur (dernièrement, on pense à Don’t Breathe et à Crawl). Mais son tableau de chasse n’est pas réduit à cet unique champ des possibles, puisqu’il est aussi allé mettre des billes sur Boy Kills World, un film d’action débridé aux allures de beat’em up en prises de vues réelles avec Bill Skarsgård.

Et il retrouve ce même avec Bill Skarsgård en produisant Piégé (Locked en version originale) de David Yarovesky (Brightburn), le remake américain du thriller argentin 4×4. Cette fois-ci, Skarsgård incarne Eddie Barrish, un voleur qui s’introduit dans un SUV de luxe, espérant un butin facile. Mais il se retrouve piégé à l’intérieur du véhicule, contrôlé à distance par son propriétaire, William (Anthony Hopkins). Ce dernier est bien décidé à torturer Eddie.

Piégé avait déjà montré les crocs grâce à une bande-annonce sadique. Le film va bientôt arriver dans les salles américaines, et les premiers avis de la presse sont désormais disponibles. Revue de presse.

« Bill Skarsgård est un voleur de voitures en puissance et Anthony Hopkins est le bourreau vengeur qui s’amuse avec lui à l’intérieur d’un 4×4 transformé en chambre de torture dans ce thriller bien ficelé. » The Film Yap

« Piégé offre à Bill Skarsgård une excellente plateforme pour montrer que ses talents vont bien au-delà des rôles de monstres. Son interprétation d’Eddie est forte et émotive, et il accroche le spectateur à son siège. Anthony Hopkins se délecte de sa performance essentiellement vocale dans le rôle du bourreau d’Eddie et, si l’absence d’effusion de sang en décevra certains, la nature plus terre-à-terre et, par endroits, cérébrale, de l’emprisonnement d’Eddie est bien plus troublante. » The Hollywood News

« Piégé est un thriller captivant avec des performances fantastiques. Skarsgård livre la meilleure performance de sa carrière et Hopkins prouve qu’il a toujours le talent pour tenir le public (et Skarsgård) en haleine. » FandomWire

« Même lorsque Piégé subit son rythme en dents de scie en essayant de trouver une autre vitesse, il reste un film à deux voix raisonnablement engageant dans lequel Anthony Hopkins s’amuse à réprimander sa cinquième (ou sixième) génération d’acteurs principaux en la personne de Bill Skarsgård. » Midwest Film Journal

« Aussi cathartique que soit l’idée de punir un voleur de voiture, Piégé doit nécessairement aborder la question de l’extrémisme des méthodes de William et des moyens qui y sont consacrés. Son explication s’avère un peu simpliste. » United Press International

« Piégé conserve la plupart des caractéristiques narratives établies dans 4×4, mais c’est dans la seconde moitié que Yarovesky prend de nombreuses libertés créatives en décrivant les destins d’Eddie et de William. Le troisième acte, qui conduit à un étrange changement de ton, semble être un choix étrange, surtout si l’on considère la façon dont le film conclut l’arc d’Eddie » Casey’s Movie Mania

« Le personnage de William est indiscutablement méchant, mais la représentation de ceux qu’il chasse – des gens désespérés en marge de la société qui ont été économiquement affamés – jette l’ensemble de l’entreprise dans un brouillard confus de cynisme. » Slant Magazine

« Yarovesky et Ross ont du mal à trouver une fin satisfaisante. Bien qu’il soit moins sermonneur, obtus et verbeux que son prédécesseur [Les Pages de l’Angoisse, ndlr], le film s’essouffle encore en voulant conclure ses frasques sanglantes. Il est plus que lassant de voir Skarsgård réduit en bouillie. » Fresh Fiction

« William est l’incarnation des vieux riches qui se plaignent du changement de quartier sur NextDoor, et même lorsqu’il est révélé qu’il a subi une perte tragique aux mains de criminels qui sont restés impunis, il est difficile de ne pas penser : « Les vieux vont vraiment transformer une voiture coûteuse en un piège à la Saw au lieu d’aller en thérapie, hein ? ». Au moins, dans le cas de Jigsaw, nous comprenions que ses crimes étaient motivés. » Slashfilm

Piégé paraît reposer entièrement sur la dynamique établie entre Anthony Hopkins et Bill Skarsgård. La plupart des critiques saluent la tension dramatique et l’efficacité du huis clos, ainsi que l’alchimie qui existe entre ces deux fortes têtes. Cependant, là où 4×4 était porté par son sous-texte socio-politique brûlant, David Yarovesky semble avoir loupé le coche du discours de fond, à moins qu’il n’ait délibérément choisi d’éluder cette part essentielle du film original.

Piégé arrivera dans les salles de cinéma américaines le 21 mars 2025, et le 9 avril 2025 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... WB6SesoKEQ
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Sydney Sweeney va jouer dans un film à la Gone Girl… adapté d’un post Reddit

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Sydney Sweeney enchaîne les projets, et l’un des prochains sera un thriller à la Gone Girl adapté d’une nouvelle postée sur le réseau social Reddit.

Depuis sa révélation dans la série Euphoria en 2019, Sydney Sweeney est devenue une actrice de plus en plus prisée, mais aussi une nouvelle jeune productrice dans le paysage hollywoodien. Sa société Fifty-Fifty Films a notamment coproduit la comédie romantique Tout sauf toi et le film d’horreur Immaculée, dans lesquels elle était aussi la tête d’affiche.

Dans un registre encore différent, l’actrice et productrice fera bientôt son retour avec le biopic sur la boxeuse Christy Martin (qu’elle incarnera), réalisé par David Michôd. Elle donnera également la réplique à Amanda Seyfried dans le film de Lionsgate La Femme de ménage, adapté du best-seller de l’autrice Freida McFadden. En plus de ces deux projets, Sydney Sweeney devrait également produire un autre film, cette fois pour la Warner qui, d’après Deadline, a mis la main sur les droits d’adaptation d’une nouvelle postée sur le réseau social Reddit.

En 2025, Joe Cote, un professeur d’anglais, a publié une nouvelle sur Reddit intitulée I pretended to be a missing girl so I could rob her family (qu’on peut traduire par « J’ai prétendu être une fille disparue pour pouvoir voler sa famille» ). Celle-ci était vite devenue virale et n’a pas tardé à attirer l’attention d’Hollywood, et notamment de la Warner qui a mis la main sur les droits. L’auteur, qui a d’autres histoires sous le coude, sera par ailleurs un des producteurs exécutifs.

Évidemment, en plus de produire le film, Sydney Sweeney devrait aussi incarner la « missing girl » du titre, une femme sans abri et anonyme qui décide de se faire passer pour une jeune fille de 18 ans qui a disparu depuis 10 ans dans le but de profiter de la détresse de sa famille pour les voler. Elle ne devait au départ rester qu’une nuit, mais tout dérape quand elle se rend compte que quelque chose d’étrange entoure la disparition de cette fille.

Si le pitch a de quoi intriguer, le projet a pris un peu plus d’ampleur encore avec l’implication du scénariste Eric Roth, oscarisé pour Forrest Gump. Il a également travaillé sur Munich, L’Étrange histoire de Benjamin Button, A Star is Born, Killers of the Flower Moon et dernièrement Here, pour lequel il a collaboré de nouveau avec le réalisateur Robert Zemeckis. Toutefois, sa participation doit encore être confirmée.

Quant à Sydney Sweeney, elle sera de retour courant 2026 dans la tant attendue saison 3 d’Euphoria, mais avant ça, elle donnera la réplique à Julianne Moore dans le film Echo Valley, qui devrait arriver en 2025 sur la plateforme Apple TV+.


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... m3r7cGCrEg
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Pale
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Blanche-Neige se fait détruire par la critique américaine et devient (presque) le pire remake Disney

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Blanche-Neige de Marc Webb avec Rachel Zegler et Gal Gadot est assez catastrophique, et les critiques américaines se disputent la meilleure manière de le dire.

Ce n’est pas nouveau, les remakes live-action des classiques d’animation Disney ont du mal à convaincre la critique, Ecran Large y compris. Le dernier en date vient d’arriver sur les écrans, et c’est sans doute celui qui était le plus attendu au tournant, tant les polémiques plus ou moins sérieuses pleuvent sur le film de Marc Webb depuis qu’il a été annoncé. Mais désormais, Blanche-Neige est enfin sorti, et peut enfin être jugé pour ce qu’il est.

Ce qui n’arrange pas forcément les choses, tant le conte porté par Rachel Zegler et Gal Gadot est descendu en flammes par une grosse partie de la critique, notamment américaine. Si certains médias sont manifestement parvenus à être enchantés par cette modernisation du film de 1937, une large proportion a aussi été plus que déçue, conduisant le film à être plus sévèrement noté sur Metacritic que Dumbo (51/100) ou La Petite Sirène (59/100). Petit florilège des commentaires venus des États-Unis.

« Avec la réalisation efficace de Marc Webb (à qui l’on doit les Spider-Man avec Andrew Garfield) et l’excellente direction artistique de Kave Quinn, Blanche-Neige donne exactement ce qu’on pouvait en attendre, et rien de plus. »
San Francisco Chronicle

« C’est le meilleur remake en live-action de Disney depuis 10 ans (notons que la barre n’était pas placée haut). Blanche-Neige respecte les grandes lignes du film de 1937 tout en donnant plus de corps à sa thématique de la bonté. Rachel Zegler incarne une remarquable version toute en chansons de la princesse classique qui gouverne avec son cœur, même si ses partenaires de jeu en CGI font peur à voir. »
IGN

« En définitive, les meilleures parties de Blanche-Neige sont celles qui semblent vraiment sincères et authentiques. Si seulement il y en avait davantage, là où le film passe beaucoup trop de temps à caracoler dans le royaume des absurdités à se taper la tête contre les murs. »
Consequence

« Les nouvelles chansons sont oubliables et l’animation est saturée par ces pixels qui tirent tous la couverture à eux. Il y a trop de feuilles, trop de pétales et trop de pores sur les nains numériques, qui s’insèrent bien dans ce film avec leur nez qui fait la taille d’une poire. »
Los Angeles Times

« Pas besoin de miroir magique pour voir qu’il s’agit de la plus laide d’entre toutes les redites pondues par Mickey. »
The Daily Beast

« Blanche-Neige est censé raconter à quel point la beauté intérieure compte plus que la beauté extérieure, dommage que le film ne possède aucune des deux. »
Polygon

« Tous les problèmes du remake en live-action de Blanche-Neige par Disney auraient pu être réglés en le raccourcissant de 26 minutes et en le faisant 88 ans plus tôt en film d’animation. »
The Wrap

« Ce Blanche-Neige n’est peut-être pas la pire adaptation en live-action d’un classique animé, mais ça reste un sérieux concurrent sur le terrain de l’ennui. Cela dit, le film marque des points en sa qualité d’histoire du soir, parce qu’il fait bien dormir. »
Rolling Stone

« Le plus décourageant, c’est à quel point les choix de Disney sont devenus prévisibles. Et avec Blanche-Neige, la formule s’est encore peaufinée : faire à peine le minimum syndical, et coller tout un tas d’animaux mignons en CGI par-dessus en espérant que personne ne s’en rende compte. »
The Independent

Le film fait donc peu d’adeptes, et beaucoup de personnes tiquent notamment sur la laideur des personnages numériques (surtout les fameux sept nains). Sur Metacritic, le film décroche le score très médiocre de 48/100, c’est-à-dire nettement moins que La Petite Sirène de 2023 (59/100, pour rappel) et que Mufasa (56/100). Il est finalement plus proche du score du terrible Dumbo de Tim Burton (51/100), et n’est dépassé dans le négatif que par le Pinocchio de Robert Zemeckis qui avait obtenu la note infâmante de 38/100.

Bref, ce Blanche-Neige est malheureusement bien la déception attendue, même s’il n’obtient pas officiellement le statut de pire remake live-action Disney. Pour vous faire votre propre avis, foncez voir le film, en salles depuis le 19 mars.


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Et bien moi, ce week-end, j'ai revu Le voyage de Chihiro et The Revenant.
C'était un week-end épique :D
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