Le Cercle des profileurs disparus
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ClintReborn
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Vraie question vu la situation économique mondiale est ce qu'il faut encore aller voir des films Américains au cinéma ? 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Project Hail Mary : premiers détails sur le film spatial avec Ryan Gosling (et ça donne très envie)
Ryan Gosling est propulsé dans l’espace dans Project Hail Mary, un film de SF prometteur, et on connaît les premiers détails de sa bande-annonce.
Après le très classique First Man (2018) de Damien Chazelle, Ryan Gosling retourne dans l’espace. Cette fois, c’est pour sauver l’humanité. Cette mission d’urgence sera donc l’objet de Project Hail Mary, le nouveau long-métrage de Phil Lord et Christopher Miller (producteurs de Spider-Man : Into the Spider-Verse et réalisateurs de La Grande Aventure Lego), tiré du roman d’Andy Weir (Seul sur Mars). Quelques noms qui donnent confiance.
Ryan Gosling y incarnera donc Ryland Grace, un professeur de sciences propulsé malgré lui dans une mission interstellaire de grande envergure. À ses côtés, une scientifique de renom incarnée par Sandra Hüller (qu’on ne peut qu’être heureux de revoir après ses incroyables performances dans Anatomie d’une chute et La Zone d’intérêt en 2023-2024) ainsi qu’un mystérieux compagnon extraterrestre. Si vous êtes impatients d’en savoir plus sur ce film ô combien prometteur, pas de panique, voici déjà quelques informations croustillantes sur la bande-annonce de celui-ci.
Lors du CinemaCon 2025, Amazon MGM a donc dévoilé les premières images de Project Hail Mary. Si le studio n’est pas encore disposé à les partager au grand public, quelques témoins de la conférence ont pu décrire ce qu’ils ont vu. Voici notamment ce que Discussing Film rapporte :
« La bande-annonce s’ouvre sur un Ryan Gosling incarnant un professeur excentrique, approché par une scientifique jouée par Sandra Hüller (Anatomie d’une chute), qui semble avoir besoin de son aide. Pourquoi ? Parce que le Soleil est en train de mourir et doit être ravivé. Le personnage de Gosling, un peu maladroit, paraît en décalage avec son environnement, laissant entrevoir une dynamique comique entre lui et les autres.
Sandra Hüller lui explique sans détours que cette mission est un « Hail Mary » (un dernier espoir désespéré). Lorsque Gosling demande qui va s’en charger, tout le monde le regarde en silence. »
« La bande-annonce se termine en dévoilant enfin le véritable enjeu du film : Gosling découvre une étrange entité lumineuse ressemblant à un vaisseau spatial, qui projette un objet métallique d’origine inconnue. Il comprend alors qu’il s’agit d’un message. Peu après, il pénètre dans un immense vaisseau à l’apparence granitique et y découvre une petite créature extraterrestre nommée Rocky, bien que seule sa main à trois doigts, plutôt répugnante, soit visible.»
Après une blague du protagoniste en référence à Alien, quelques ultimes images suggèrent que lui et son insolite comparse devront coopérer pour sauver leurs mondes respectifs. Selon Discussing Film, le trailer de Project Hail Mary oscille entre plusieurs tons, mélangeant épopée spatiale et comédie. Un pari périlleux, mais dans lequel on a envie de croire. Le projet est mené par deux as de la comédie d’action (Miller et Lord) également très compétents lorsqu’il s’agit de mêler humour et drame.
Toujours selon la même source, Project Hail Mary serait aussi visuellement très spectaculaire, et ce, dès ses premières images. Inutile d’en douter puisque c’est Greig Fraser (The Batman, Dune) qui s’occupe de la photographie. Dans l’ensemble, le film semble ainsi entre de bonnes mains.
Project Hail Mary débarquera aux États-Unis le 20 mars 2026 (s’il n’y a pas de souci d’ici là) et on ne connaît pas encore la date de sortie française. Il faudra donc être encore patient pour découvrir tout ça de nos propres yeux, mais pour l’instant, on est plein d’espoir pour cette mission spatiale hors norme.
https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... jljGqIOpFw
Ryan Gosling est propulsé dans l’espace dans Project Hail Mary, un film de SF prometteur, et on connaît les premiers détails de sa bande-annonce.
Après le très classique First Man (2018) de Damien Chazelle, Ryan Gosling retourne dans l’espace. Cette fois, c’est pour sauver l’humanité. Cette mission d’urgence sera donc l’objet de Project Hail Mary, le nouveau long-métrage de Phil Lord et Christopher Miller (producteurs de Spider-Man : Into the Spider-Verse et réalisateurs de La Grande Aventure Lego), tiré du roman d’Andy Weir (Seul sur Mars). Quelques noms qui donnent confiance.
Ryan Gosling y incarnera donc Ryland Grace, un professeur de sciences propulsé malgré lui dans une mission interstellaire de grande envergure. À ses côtés, une scientifique de renom incarnée par Sandra Hüller (qu’on ne peut qu’être heureux de revoir après ses incroyables performances dans Anatomie d’une chute et La Zone d’intérêt en 2023-2024) ainsi qu’un mystérieux compagnon extraterrestre. Si vous êtes impatients d’en savoir plus sur ce film ô combien prometteur, pas de panique, voici déjà quelques informations croustillantes sur la bande-annonce de celui-ci.
Lors du CinemaCon 2025, Amazon MGM a donc dévoilé les premières images de Project Hail Mary. Si le studio n’est pas encore disposé à les partager au grand public, quelques témoins de la conférence ont pu décrire ce qu’ils ont vu. Voici notamment ce que Discussing Film rapporte :
« La bande-annonce s’ouvre sur un Ryan Gosling incarnant un professeur excentrique, approché par une scientifique jouée par Sandra Hüller (Anatomie d’une chute), qui semble avoir besoin de son aide. Pourquoi ? Parce que le Soleil est en train de mourir et doit être ravivé. Le personnage de Gosling, un peu maladroit, paraît en décalage avec son environnement, laissant entrevoir une dynamique comique entre lui et les autres.
Sandra Hüller lui explique sans détours que cette mission est un « Hail Mary » (un dernier espoir désespéré). Lorsque Gosling demande qui va s’en charger, tout le monde le regarde en silence. »
« La bande-annonce se termine en dévoilant enfin le véritable enjeu du film : Gosling découvre une étrange entité lumineuse ressemblant à un vaisseau spatial, qui projette un objet métallique d’origine inconnue. Il comprend alors qu’il s’agit d’un message. Peu après, il pénètre dans un immense vaisseau à l’apparence granitique et y découvre une petite créature extraterrestre nommée Rocky, bien que seule sa main à trois doigts, plutôt répugnante, soit visible.»
Après une blague du protagoniste en référence à Alien, quelques ultimes images suggèrent que lui et son insolite comparse devront coopérer pour sauver leurs mondes respectifs. Selon Discussing Film, le trailer de Project Hail Mary oscille entre plusieurs tons, mélangeant épopée spatiale et comédie. Un pari périlleux, mais dans lequel on a envie de croire. Le projet est mené par deux as de la comédie d’action (Miller et Lord) également très compétents lorsqu’il s’agit de mêler humour et drame.
Toujours selon la même source, Project Hail Mary serait aussi visuellement très spectaculaire, et ce, dès ses premières images. Inutile d’en douter puisque c’est Greig Fraser (The Batman, Dune) qui s’occupe de la photographie. Dans l’ensemble, le film semble ainsi entre de bonnes mains.
Project Hail Mary débarquera aux États-Unis le 20 mars 2026 (s’il n’y a pas de souci d’ici là) et on ne connaît pas encore la date de sortie française. Il faudra donc être encore patient pour découvrir tout ça de nos propres yeux, mais pour l’instant, on est plein d’espoir pour cette mission spatiale hors norme.
https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... jljGqIOpFw
Sinners : premiers avis sur le film de vampires avec Michael B. Jordan et son bain de sang
Le film de vampires Sinners réalisé par Ryan Coogler (Black Panther, Creed) et mené par Michael B. Jordan s’annonce très réussi vu ces premiers avis.
La maison Warner est en train de s’effondrer. 2024 s’est très mal terminé avec les flops de Joker : Folie à deux, Juré N°2 ou encore Le seigneur des anneaux : La guerre des Rohirrim. Et malheureusement, hormis le joli (petit) succès de Companion, 2025 a très mal démarré avec l’énorme bide de Mickey 17 puis celui de The Alto Knights avec Robert De Niro. Heureusement, le studio devrait pouvoir compter sur Minecraft, bien lancé pour cartonner au box-office selon les estimations grâce à sa fanbase solide.
Et il faudra espérer qu’il en soit de même pour le reste de son line-up 2025, composé de plusieurs grosses productions hollywoodiennes entre F1, Superman, Une bataille après l’autre, Mortal Kombat 2 ou encore Sinners. C’est justement le film de vampires réalisé par Ryan Coogler (les deux Black Panther, Creed) et porté par Michael B. Jordan qui nous intéresse ici. Il était présenté en avant-première mondiale à Londres ce 3 avril et l’embargo de la presse est tombé, nous permettant de lire de premiers avis. Revue de tweets.
« L’invitation humide, sexy et sanglante de Ryan Coogler à rencontrer les ancêtres. Une lettre d’amour au blues baptisée aux frissons du film de genre. Personne ne fait des films comme lui avec autant de style, de grâce et de groove, qui remettent en question les frontières hypocrites que nous traçons entre le sacré et le profane. » Zachary Lee – RogerEbert.com
« Seigneur, j’ai adoré ce film. C’est peut-être mon préféré de Ryan Coogler : tellement effrayant, réfléchi, émouvant et audacieux. Michael B. Jordan est vraiment incroyable, mais le nouveau venu, Miles Canton, se démarque. La musique de Ludwig Göransson est au-dessus de tout. Quelle prouesse ! » Drew Taylor – The Wrap
« Ryan Coogler consolide sa place parmi les grands (encore un peu plus) avec Sinners. Aussi fou qu’on puisse l’imaginer, c’est encore meilleur que ce qu’on pouvait espérer. Effrayant, SEXY et avec un commentaire social d’un incroyable mordant. Allez le voir au cinéma ou manquez l’un des meilleurs films de l’année. » BJ Colangelo – SlashFilm
« Sinners est exactement le morceau de vampire qu’on pouvait attendre de Ryan Coogler. Sa façon d’entremêler la musique pour lui donner un caractère unique est magistrale. Michael B. Jordan est superbe, Jack O’Connell agréablement dérangeant, Hailee Steinfeld séduitante comme jamais. Sanglant, torride, pertinent. » Peter Gray – The AU Review
« Je peux enfin parler de Sinners maintenant ! Eh bordel, wow ! À un moment, j’étais sur le bord de mon siège et personne n’aurait pu me sortir du film. Un vrai chef-d’œuvre, comme seul Ryan Coolger sait les faire. » Rachel Leishman – The Mary Sue
« Sinners est le meilleur film de l’année (jusqu’à présent). Coogler et Michael B. Jordan font monter la sauce à un niveau inimaginable. Chaque morceau m’a coupé le souffle. Mention spéciale pour les morceaux irlandais authentiques. Warner a une nouvelle franchise originale à succès entre ses mains. » Liam T. Crowley – Screenrant
« Sinners est un moment inoubliable. Ryan Coogler revisite le film de vampires avec une intensité musclée, dans un film sexy, émouvant et explosif. On dirait une nouvelle étape dans l’évolution de l’horreur noire [sous-genre horrifique se concentrant sur le récit de personnages afro-américains, comme le cinéma de Jordan Peele dernièrement par exemple ndlr]. Michael B. Jordan est tellement amusant dans ses doubles rôles, mais Miles Caton est la véritable révélation. » Hoai-Tran Bui – Inverse
« Sinners est une expérience cinématographique unique, imaginée par Ryan Coogler. Ce qui commence comme un film d’époque sur les gangsters du Sud se transforme rapidement en une lutte acharnée pour la survie et la liberté spirituelle contre un clan de vampires impitoyables. Et c’est absolument génial ! La musique bluesy et électrisante est aussi essentielle à l’histoire que les images IMAX sombres.
Michael B. Jordan offre une double performance naturellement cool et Miles Caton impressionne pour ses débuts au cinéma. Si le film prend son temps pour nous immerger dans son décor et nous présenter les personnages, une fois que Coogler a planté le décor, la musique et le sang coulent avec une énergie surnaturelle, totalement singulière et inoubliable. » Matt Neglia – Next Best Picture
Voilà des retours plutôt rassurants et prometteurs pour Sinners, et Warner en est sûrement ravi. Le studio aura en effet besoin d’un sacré bon bouche-à-oreille pour rentabiliser l’énorme budget de 90 millions de dollars du film.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... cWUpjJuiKg
Le film de vampires Sinners réalisé par Ryan Coogler (Black Panther, Creed) et mené par Michael B. Jordan s’annonce très réussi vu ces premiers avis.
La maison Warner est en train de s’effondrer. 2024 s’est très mal terminé avec les flops de Joker : Folie à deux, Juré N°2 ou encore Le seigneur des anneaux : La guerre des Rohirrim. Et malheureusement, hormis le joli (petit) succès de Companion, 2025 a très mal démarré avec l’énorme bide de Mickey 17 puis celui de The Alto Knights avec Robert De Niro. Heureusement, le studio devrait pouvoir compter sur Minecraft, bien lancé pour cartonner au box-office selon les estimations grâce à sa fanbase solide.
Et il faudra espérer qu’il en soit de même pour le reste de son line-up 2025, composé de plusieurs grosses productions hollywoodiennes entre F1, Superman, Une bataille après l’autre, Mortal Kombat 2 ou encore Sinners. C’est justement le film de vampires réalisé par Ryan Coogler (les deux Black Panther, Creed) et porté par Michael B. Jordan qui nous intéresse ici. Il était présenté en avant-première mondiale à Londres ce 3 avril et l’embargo de la presse est tombé, nous permettant de lire de premiers avis. Revue de tweets.
« L’invitation humide, sexy et sanglante de Ryan Coogler à rencontrer les ancêtres. Une lettre d’amour au blues baptisée aux frissons du film de genre. Personne ne fait des films comme lui avec autant de style, de grâce et de groove, qui remettent en question les frontières hypocrites que nous traçons entre le sacré et le profane. » Zachary Lee – RogerEbert.com
« Seigneur, j’ai adoré ce film. C’est peut-être mon préféré de Ryan Coogler : tellement effrayant, réfléchi, émouvant et audacieux. Michael B. Jordan est vraiment incroyable, mais le nouveau venu, Miles Canton, se démarque. La musique de Ludwig Göransson est au-dessus de tout. Quelle prouesse ! » Drew Taylor – The Wrap
« Ryan Coogler consolide sa place parmi les grands (encore un peu plus) avec Sinners. Aussi fou qu’on puisse l’imaginer, c’est encore meilleur que ce qu’on pouvait espérer. Effrayant, SEXY et avec un commentaire social d’un incroyable mordant. Allez le voir au cinéma ou manquez l’un des meilleurs films de l’année. » BJ Colangelo – SlashFilm
« Sinners est exactement le morceau de vampire qu’on pouvait attendre de Ryan Coogler. Sa façon d’entremêler la musique pour lui donner un caractère unique est magistrale. Michael B. Jordan est superbe, Jack O’Connell agréablement dérangeant, Hailee Steinfeld séduitante comme jamais. Sanglant, torride, pertinent. » Peter Gray – The AU Review
« Je peux enfin parler de Sinners maintenant ! Eh bordel, wow ! À un moment, j’étais sur le bord de mon siège et personne n’aurait pu me sortir du film. Un vrai chef-d’œuvre, comme seul Ryan Coolger sait les faire. » Rachel Leishman – The Mary Sue
« Sinners est le meilleur film de l’année (jusqu’à présent). Coogler et Michael B. Jordan font monter la sauce à un niveau inimaginable. Chaque morceau m’a coupé le souffle. Mention spéciale pour les morceaux irlandais authentiques. Warner a une nouvelle franchise originale à succès entre ses mains. » Liam T. Crowley – Screenrant
« Sinners est un moment inoubliable. Ryan Coogler revisite le film de vampires avec une intensité musclée, dans un film sexy, émouvant et explosif. On dirait une nouvelle étape dans l’évolution de l’horreur noire [sous-genre horrifique se concentrant sur le récit de personnages afro-américains, comme le cinéma de Jordan Peele dernièrement par exemple ndlr]. Michael B. Jordan est tellement amusant dans ses doubles rôles, mais Miles Caton est la véritable révélation. » Hoai-Tran Bui – Inverse
« Sinners est une expérience cinématographique unique, imaginée par Ryan Coogler. Ce qui commence comme un film d’époque sur les gangsters du Sud se transforme rapidement en une lutte acharnée pour la survie et la liberté spirituelle contre un clan de vampires impitoyables. Et c’est absolument génial ! La musique bluesy et électrisante est aussi essentielle à l’histoire que les images IMAX sombres.
Michael B. Jordan offre une double performance naturellement cool et Miles Caton impressionne pour ses débuts au cinéma. Si le film prend son temps pour nous immerger dans son décor et nous présenter les personnages, une fois que Coogler a planté le décor, la musique et le sang coulent avec une énergie surnaturelle, totalement singulière et inoubliable. » Matt Neglia – Next Best Picture
Voilà des retours plutôt rassurants et prometteurs pour Sinners, et Warner en est sûrement ravi. Le studio aura en effet besoin d’un sacré bon bouche-à-oreille pour rentabiliser l’énorme budget de 90 millions de dollars du film.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... cWUpjJuiKg
Si j'aime beaucoup mais là je sature de toujours voir ces mêmes tics de mise en scène
Ça en devient caricatural au possible.
The Amateur : premiers avis sur le thriller d’espionnage et de vengeance avec Rami Malek
Rami Malek veut venger la mort de sa femme dans le thriller d’espionnage The Amateur et les premiers avis sont désormais tombés.
Après le passionnant The Insider de Steven Soderbergh suivant les mensonges du couple Fassbender-Blanchett et avant le retour du Ethan Hunt de Tom Cruise dans Mission Impossible : The Final Reckoning, l’espionnage continue à accaparer les salles de cinéma avec l’intrigant The Amateur. Réalisé par James Hawes (Une vie) et mené par un très gros casting dont Rami Malek, Laurence Fishburne, Rachel Brosnahan, Jon Bernthal ou encore Michael Stuhlbarg, le film va suivre l’histoire d’un cryptographe de la CIA prêt à tout pour venger la mort de sa femme.
La bande-annonce de The Amateur présageait d’un spectacle assez explosif, mêlant le drame intime, le thriller spectaculaire et aussi une certaine dose comique avec les méthodes employées par le personnage de Rami Malek. Le film a désormais été montré en avant-première et les premiers avis de la presse sont donc tombés. Revue de tweets.
« Bien qu’il n’essaie rien de nouveau et que l’expérience globale soit plutôt moyenne, The Amateur est suffisamment intéressant avec son personnage facile à comprendre (interprété de manière excellente par Rami Malek) pour que le film ne nous laisse pas totalement indifférents en sortant du cinéma. » Adriano Caporusso – Bitesize Breakdown
« The Amateur évoque un retour aux thrillers d’espionnage des années 90. Rami Malek, dans le rôle de Charlie Heller, est un mélange de Jason Bourne et du Mr Wolff de Ben Affleck. Les plus âgés viendront le voir en masse, car c’est un moment agréable et divertissant au cinéma. » Scott Menzel – We Live Entertainment
« The Amateur m’a surpris. Honnêtement, je ne m’attendais pas à être aussi investi et diverti. J’aurais aimé qu’il y ait davantage de moments comiques un peu plus sombres, car c’est ce qui rend cette histoire unique. » Yasmine Kandil – Discussing Film
« The Amateur est un thriller technologique captivant où Rami Malek brille dans le rôle d’un homme intelligent et déterminé qui cherche à se venger du meurtre de sa femme. L’histoire repose sur un postulat intéressant, même si le rythme semble lent. L’approche intellectuelle de Malek est remarquable. L’ensemble est solide, mais un peu prévisible. » Josh Blumenkranz – The Movie Buddy
« The Amateur est un thriller d’espionnage classique à l’ancienne. Rami Malek brille dans un rôle qui force son personnage à utiliser son cerveau plutôt que ses muscles dans une histoire de vengeance passionnante qui ne s’appuie pas trop sur le protagoniste cliché atteint du syndrome de la femme morte. » Jonathan Sim – ComingSoon.net
« Un thriller (en grande partie) solide qui m’a tenu en haleine jusqu’au bout malgré son rythme lent, grâce à un Rami Malek formidable, une mise en scène soignée et des séquences d’action amusantes. Une approche très old school qui aborde avec brio les thèmes du deuil et de la justice. Du bon travail. » Shaurya Chawla – InSession Film
« The Amateur est une histoire d’espionnage bien réalisée et très solide, mais qui n’est peut-être pas à la hauteur des grands thrillers d’espionnages [où le personnage voyage partout dans le monde, ndlr]. Cela dit, le casting est fantastique et, dans l’ensemble, le film est un vrai plaisir de cinéma. » James Hancock – Wrong Reel
« The Amateur est le genre de thriller de vengeance technologique qu’on voit rarement de nos jours, peut-être parce qu’il est de plus en plus difficile à réaliser à l’ère de l’hypersurveillance. Le postulat est complètement absurde, mais je l’ai trouvé assez divertissant, encourageant le jeune veuf doté d’un talent particulier, qui semble toujours avoir une longueur d’avance et ne se résigne pas à mettre les mains dans le cambouis.
C’est l’une des meilleures performances de Malek de mémoire récente, jouant parfaitement sur ses points forts. Les seconds rôles, bien que fournis, sont largement sous-exploités. S’ils fonctionnent bien, ils ne sont jamais aussi intelligents qu’ils le prétendent, et n’atteignent pas le niveau d’impact qu’ils semblent viser. » Matt Neglia – NextBestPicture
Voilà qui est plutôt prometteur pour The Amateur qui semble suivre des chemins scénaristiques assez classiques mais utiliser habilement les nouvelles technologies pour moderniser quelque peu le genre de l’espionnage. Pour s’en assurer, il faudra se rendre au cinéma dès ce 9 avril pour le découvrir.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... fsca_8b3xg
Ça donne plutôt envie.
Rami Malek veut venger la mort de sa femme dans le thriller d’espionnage The Amateur et les premiers avis sont désormais tombés.
Après le passionnant The Insider de Steven Soderbergh suivant les mensonges du couple Fassbender-Blanchett et avant le retour du Ethan Hunt de Tom Cruise dans Mission Impossible : The Final Reckoning, l’espionnage continue à accaparer les salles de cinéma avec l’intrigant The Amateur. Réalisé par James Hawes (Une vie) et mené par un très gros casting dont Rami Malek, Laurence Fishburne, Rachel Brosnahan, Jon Bernthal ou encore Michael Stuhlbarg, le film va suivre l’histoire d’un cryptographe de la CIA prêt à tout pour venger la mort de sa femme.
La bande-annonce de The Amateur présageait d’un spectacle assez explosif, mêlant le drame intime, le thriller spectaculaire et aussi une certaine dose comique avec les méthodes employées par le personnage de Rami Malek. Le film a désormais été montré en avant-première et les premiers avis de la presse sont donc tombés. Revue de tweets.
« Bien qu’il n’essaie rien de nouveau et que l’expérience globale soit plutôt moyenne, The Amateur est suffisamment intéressant avec son personnage facile à comprendre (interprété de manière excellente par Rami Malek) pour que le film ne nous laisse pas totalement indifférents en sortant du cinéma. » Adriano Caporusso – Bitesize Breakdown
« The Amateur évoque un retour aux thrillers d’espionnage des années 90. Rami Malek, dans le rôle de Charlie Heller, est un mélange de Jason Bourne et du Mr Wolff de Ben Affleck. Les plus âgés viendront le voir en masse, car c’est un moment agréable et divertissant au cinéma. » Scott Menzel – We Live Entertainment
« The Amateur m’a surpris. Honnêtement, je ne m’attendais pas à être aussi investi et diverti. J’aurais aimé qu’il y ait davantage de moments comiques un peu plus sombres, car c’est ce qui rend cette histoire unique. » Yasmine Kandil – Discussing Film
« The Amateur est un thriller technologique captivant où Rami Malek brille dans le rôle d’un homme intelligent et déterminé qui cherche à se venger du meurtre de sa femme. L’histoire repose sur un postulat intéressant, même si le rythme semble lent. L’approche intellectuelle de Malek est remarquable. L’ensemble est solide, mais un peu prévisible. » Josh Blumenkranz – The Movie Buddy
« The Amateur est un thriller d’espionnage classique à l’ancienne. Rami Malek brille dans un rôle qui force son personnage à utiliser son cerveau plutôt que ses muscles dans une histoire de vengeance passionnante qui ne s’appuie pas trop sur le protagoniste cliché atteint du syndrome de la femme morte. » Jonathan Sim – ComingSoon.net
« Un thriller (en grande partie) solide qui m’a tenu en haleine jusqu’au bout malgré son rythme lent, grâce à un Rami Malek formidable, une mise en scène soignée et des séquences d’action amusantes. Une approche très old school qui aborde avec brio les thèmes du deuil et de la justice. Du bon travail. » Shaurya Chawla – InSession Film
« The Amateur est une histoire d’espionnage bien réalisée et très solide, mais qui n’est peut-être pas à la hauteur des grands thrillers d’espionnages [où le personnage voyage partout dans le monde, ndlr]. Cela dit, le casting est fantastique et, dans l’ensemble, le film est un vrai plaisir de cinéma. » James Hancock – Wrong Reel
« The Amateur est le genre de thriller de vengeance technologique qu’on voit rarement de nos jours, peut-être parce qu’il est de plus en plus difficile à réaliser à l’ère de l’hypersurveillance. Le postulat est complètement absurde, mais je l’ai trouvé assez divertissant, encourageant le jeune veuf doté d’un talent particulier, qui semble toujours avoir une longueur d’avance et ne se résigne pas à mettre les mains dans le cambouis.
C’est l’une des meilleures performances de Malek de mémoire récente, jouant parfaitement sur ses points forts. Les seconds rôles, bien que fournis, sont largement sous-exploités. S’ils fonctionnent bien, ils ne sont jamais aussi intelligents qu’ils le prétendent, et n’atteignent pas le niveau d’impact qu’ils semblent viser. » Matt Neglia – NextBestPicture
Voilà qui est plutôt prometteur pour The Amateur qui semble suivre des chemins scénaristiques assez classiques mais utiliser habilement les nouvelles technologies pour moderniser quelque peu le genre de l’espionnage. Pour s’en assurer, il faudra se rendre au cinéma dès ce 9 avril pour le découvrir.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... fsca_8b3xg
Ça donne plutôt envie.
Coïncidence complètement folle: j'ai regardé cette vidéo de McFly et Carlito en début d'après-midi:
Juste après, j'ai tapé une mini-sieste, en ensuite je suis sorti me chercher un truc à manger. En rentrant, je me pose devant un épisode des Simpson (que j'ai recommencé depuis le début il y a quelques temps), et là, je tombe sur le même épisode que celui mentionné par Carlito dans la vidéo! Quelle était la probabilité que sur les quasi 800 épisodes de la série, je tombe pile sur celui dont on a parlé dans une vidéo vue peu de temps avant?
Je trouve ça fou
Juste après, j'ai tapé une mini-sieste, en ensuite je suis sorti me chercher un truc à manger. En rentrant, je me pose devant un épisode des Simpson (que j'ai recommencé depuis le début il y a quelques temps), et là, je tombe sur le même épisode que celui mentionné par Carlito dans la vidéo! Quelle était la probabilité que sur les quasi 800 épisodes de la série, je tombe pile sur celui dont on a parlé dans une vidéo vue peu de temps avant?
Je trouve ça fou
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
Aujourd'hui c'était photo de classe dans l'école où je travaille, le hasard voulait que je sois avec ma classe chouchou au moment de la photo. J'avais été prévenu fin de semaine dernière, et les élèves étaient super contents car ils voulaient absolument que je sois avec eux sur la photo. Du coup j'ai fait une petite blague et pour l'occasion j'ai porté le t-shirt qu'ils m'avaient offert l'année passée pour mon anniversaire Je ne leur ai pas montré jusqu'à ce qu'on fasse la photo, où j'ai ouvert mon pull et arboré fièrement le t-shirt dont ils m'avaient fait cadeau. Leur réaction était hilarante
Un petit aperçu du fameux t-shirt (j'ai juste caché mon nom):
Je ne leur ai pas montré jusqu'à ce qu'on fasse la photo, où j'ai ouvert mon pull et arboré fièrement le t-shirt dont ils m'avaient fait cadeau. Leur réaction était hilarante Un petit aperçu du fameux t-shirt (j'ai juste caché mon nom):
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
C'est quel épisode ?Miamsolo a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 16:05 Coïncidence complètement folle: j'ai regardé cette vidéo de McFly et Carlito en début d'après-midi:
Juste après, j'ai tapé une mini-sieste, en ensuite je suis sorti me chercher un truc à manger. En rentrant, je me pose devant un épisode des Simpson (que j'ai recommencé depuis le début il y a quelques temps), et là, je tombe sur le même épisode que celui mentionné par Carlito dans la vidéo! Quelle était la probabilité que sur les quasi 800 épisodes de la série, je tombe pile sur celui dont on a parlé dans une vidéo vue peu de temps avant?
Je trouve ça fou
Ça devait être bien marrantMiamsolo a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 16:14 Aujourd'hui c'était photo de classe dans l'école où je travaille, le hasard voulait que je sois avec ma classe chouchou au moment de la photo. J'avais été prévenu fin de semaine dernière, et les élèves étaient super contents car ils voulaient absolument que je sois avec eux sur la photo. Du coup j'ai fait une petite blague et pour l'occasion j'ai porté le t-shirt qu'ils m'avaient offert l'année passée pour mon anniversaire
Un petit aperçu du fameux t-shirt (j'ai juste caché mon nom):
The Last of Us saison 2 : les premiers avis sur l’adaptation du jeu vidéo sont tombés
Les premiers avis sur la saison 2 de The Last of Us, avec Bella Ramsey et Pedro Pascal, sont tombés, et la série promet une nouvelle direction.
Entre Uncharted et The Last of Us, Naughty Dog peut se vanter d’avoir donné à PlayStation certaines de ses meilleures franchises récentes, et ses jeux vidéo les plus ouvertement cinématographiques. Si on préfère oublier l’adaptation des aventures de Nathan Drake avec Tom Holland, la transposition en série de The Last of Us nous a globalement convaincus. D’aucuns diront que l’histoire entre Joel et Ellie n’était pas si difficile à réécrire pour la télévision, et pourtant, Neil Druckmann (le créateur des jeux) et Craig Mazin (Chernobyl) ont tenu à tordre certains éléments du récit.
Tout était déjà une question de point de vue, préparant le terrain pour une saison 2 où les camps s’opposent plus que jamais. Pour le coup, The Last of Us allait forcément s’éloigner du carcan de son modèle avec la saison 2, quitte à prendre plus de risques. Est-ce que ça a payé ? Revue de presse.
« La saison 2 renchérit sur ce qu’elle demande de son public, révélant une narrative exigeante remplie d’idées exigeantes – des idées sur lesquelles les gens basent leur vie entière, et qu’il peut être difficile de réévaluer. » IndieWire
« [La série] est un monstre viscéralement tiraillé, qui comprend son sujet à un niveau intellectuel et émotionnel, et qui continue, avec cette saison 2, d’être la meilleure adaptation de jeux vidéo de tous les temps. » The Daily Beast
« C’est une adaptation à la fois fidèle et réflexive, sculptant des temps forts pour les personnages qui donnent non seulement à l’excellent duo de Pedro Pascal et Bella Ramsay de nouveaux moments pour briller, mais qui compliquent aussi certaines des questions soulevées par le jeu. » The Wrap
« La saison 2 troque l’élan de son voyage d’un point A à un point B pour un capter l’esprit de son univers et des lieux avec beaucoup d’attention. Comme ses personnages, The Last of Us appuie sur le bouton pause pour planter de nouvelles racines. » Variety
« C’est une saison de télévision bizarrement construite – certaines questions sont répondues presque immédiatement, tandis que d’autres sont laissées de côté pendant un temps inhabituel. » The Los Angeles Times
« Le fait que j’ai quand même plus envie de tourner la prochaine page que de jeter le livre prouve la force de son storytelling, mais peut-être pas de sa structure. » The Hollywood Reporter
« C’est toujours la meilleure adaptation de jeu vidéo à la télé. Mais prétendre que The Last of Us transcende complètement son médium originel serait ignorer le trou en son centre, où devraient se trouver sa vision, sa complexité et ses personnages secondaires. » TIME Magazine
Globalement, les premiers retours sur ces 7 épisodes s’avèrent toujours très enthousiastes, bien que certains reprochent à la série sa direction du côté de sa structure, visiblement éloignée de celle de The Last of Us 2. Craig Mazin et Neil Druckmann semblent vouloir prendre leur temps et cherchent des apartés, avant de permettre à la saison de pleinement plonger dans les événements majeurs du jeu.
Pour se faire une idée, il faudra attendre le 14 avril, date de sortie du premier épisode de The Last of Us saison 2 sur Max.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... XBs503ez2w
Les premiers avis sur la saison 2 de The Last of Us, avec Bella Ramsey et Pedro Pascal, sont tombés, et la série promet une nouvelle direction.
Entre Uncharted et The Last of Us, Naughty Dog peut se vanter d’avoir donné à PlayStation certaines de ses meilleures franchises récentes, et ses jeux vidéo les plus ouvertement cinématographiques. Si on préfère oublier l’adaptation des aventures de Nathan Drake avec Tom Holland, la transposition en série de The Last of Us nous a globalement convaincus. D’aucuns diront que l’histoire entre Joel et Ellie n’était pas si difficile à réécrire pour la télévision, et pourtant, Neil Druckmann (le créateur des jeux) et Craig Mazin (Chernobyl) ont tenu à tordre certains éléments du récit.
Tout était déjà une question de point de vue, préparant le terrain pour une saison 2 où les camps s’opposent plus que jamais. Pour le coup, The Last of Us allait forcément s’éloigner du carcan de son modèle avec la saison 2, quitte à prendre plus de risques. Est-ce que ça a payé ? Revue de presse.
« La saison 2 renchérit sur ce qu’elle demande de son public, révélant une narrative exigeante remplie d’idées exigeantes – des idées sur lesquelles les gens basent leur vie entière, et qu’il peut être difficile de réévaluer. » IndieWire
« [La série] est un monstre viscéralement tiraillé, qui comprend son sujet à un niveau intellectuel et émotionnel, et qui continue, avec cette saison 2, d’être la meilleure adaptation de jeux vidéo de tous les temps. » The Daily Beast
« C’est une adaptation à la fois fidèle et réflexive, sculptant des temps forts pour les personnages qui donnent non seulement à l’excellent duo de Pedro Pascal et Bella Ramsay de nouveaux moments pour briller, mais qui compliquent aussi certaines des questions soulevées par le jeu. » The Wrap
« La saison 2 troque l’élan de son voyage d’un point A à un point B pour un capter l’esprit de son univers et des lieux avec beaucoup d’attention. Comme ses personnages, The Last of Us appuie sur le bouton pause pour planter de nouvelles racines. » Variety
« C’est une saison de télévision bizarrement construite – certaines questions sont répondues presque immédiatement, tandis que d’autres sont laissées de côté pendant un temps inhabituel. » The Los Angeles Times
« Le fait que j’ai quand même plus envie de tourner la prochaine page que de jeter le livre prouve la force de son storytelling, mais peut-être pas de sa structure. » The Hollywood Reporter
« C’est toujours la meilleure adaptation de jeu vidéo à la télé. Mais prétendre que The Last of Us transcende complètement son médium originel serait ignorer le trou en son centre, où devraient se trouver sa vision, sa complexité et ses personnages secondaires. » TIME Magazine
Globalement, les premiers retours sur ces 7 épisodes s’avèrent toujours très enthousiastes, bien que certains reprochent à la série sa direction du côté de sa structure, visiblement éloignée de celle de The Last of Us 2. Craig Mazin et Neil Druckmann semblent vouloir prendre leur temps et cherchent des apartés, avant de permettre à la saison de pleinement plonger dans les événements majeurs du jeu.
Pour se faire une idée, il faudra attendre le 14 avril, date de sortie du premier épisode de The Last of Us saison 2 sur Max.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... XBs503ez2w
Once Upon a Time in Hollywood 2 : premiers détails sur le film de David Fincher pour Netflix
Les rumeurs vont bon train sur le film Netflix autour de Once Upon a Time in Hollywood réalisé par David Fincher et scénarisé par Quentin Tarantino.
On a vraiment cru que c’était un poisson d’avril extrêmement bien organisé tant l’information semblait surréaliste : David Fincher va faire une « suite » de Once Upon a Time in Hollywood, scénarisée par Quentin Tarantino, avec Brad Pitt au casting, Leonardo DiCaprio et Margot Robbie en discussion pour revenir et le tout sur Netflix. Ça semblait improbable et pourtant, quasiment une semaine après l’annonce du projet, les choses commencent déjà à bouger.
Par rapport contrats aux signés entre Tarantino et Sony lors de la sortie de Once Upon a Time in Hollywood en 2019, le cinéaste n’a apparemment pas totalement le champ-libre. Selon certains médias et experts, il serait notamment détenteur des droits de tous ses personnages (créés ou à venir) mais pas de la marque « Once Upon a Time ». Le film de David Fincher pourrait donc être légèrement différent d’une simple suite. Explications.
À ce stade, les éléments autour du film réalisé par David Fincher sont très flous. Tout juste sait-on, d’après les informations de The Playlist ayant révélé l’information, qu’il devrait se concentrer sur le personnage de Cliff Booth, incarné par Brad Pitt, et se dérouler dans les années 1970 (sachant que le film original se terminait le 9 août 1969). Forcément, certains ont donc tenté de se renseigner du côté d’Hollywood et dans le podcast The Big Picture, les journalistes Sean Fennessey et Amanda Dobbins ont donné quelques précisions intéressantes :
« On dirait bien que ce film est en train de se produire… Voici ce que je peux dire. Il ne faut probablement pas le considérer comme une suite. Il faut plutôt le considérer comme une suite liée à l’univers mais plutôt comme Un grand sommeil, l’adaptation de Raymond Chandler avec Humphrey Bogart, se situait dans le même univers qu’Adieu ma jolie, le film de Robert Mitchum de 1975, mais avec un acteur différent, un réalisateur différent et une autre étape de l’histoire.
Ce sont des choses différentes, ce ne sont pas vraiment des suites, mais plutôt la suite de l’aventure de [Cliff]. La seule autre information importante que j’ai apprise, et qui, je pense, est confirmée, est que le film se déroule en 1977, soit environ huit ans après Once Upon a Time in Hollywood, donc une période différente dans la vie de Cliff. »
Des détails qui semblent corroborer avec les rumeurs affirmant que ce projet de « suite » serait lié au scénario de The Movie Critic, le film abandonné de Quentin Tarantino. En effet, alors qu’il avait été annoncé en développement en mars 2023, le film devait raconté l’histoire d’un critique « très peu connu » selon QT lui-même. Plus tard, on avait appris que le film devait normalement se dérouler… en 1977, et que Brad Pitt y jouerait sans doute le personnage principal (mais pas nécessairement Cliff Booth à l’époque).
Le fait que ce Once Upon a Time in Hollywood 2 (si l’on peut l’appeler ainsi) se concentre sur Cliff Booth avec Brad Pitt de retour et se passe en 1977 laisse donc supposer que les deux sont corrélés. D’autant plus que ce projet par Fincher aurait été relancé par Pitt après qu’il a eu lu le scénario de The Movie Critic.
L’année serait en tout cas très riche à explorer avec des films aussi célébrés que Rencontres du troisième type de Steven Spielberg, La fièvre du samedi soir avec John Travolta, Légitime Violence de John Flynn (un des films préférés de QT), Annie Hall de Woody Allen, La colline a des yeux de Wes Craven, Suspiria de Dario Argento, Eraserhead signant les débuts de David Lynch, Les Duellistes signant ceux de Ridley Scott ou bien sûr et surtout, Star Wars : Un nouvel espoir de George Lucas, bousculant l’industrie du 7e art.
Par ailleurs, c’est également l’année où Roman Polanski a été accusé de détournement de mineurs à Los Angeles. Et vu sa présence secondaire dans Once Upon a Time in Hollywood, ce ne serait pas si étonnant que Quentin Tarantino y fasse référence. Enfin, sauf si les événements de la fin du film provoque une réaction en chaîne modifiant toute la temporalité du cinéma hollywoodien et mondial (n’était-ce pas un peu le but du climax ?). On impatiente d’en savoir vraiment plus.
https://www.ecranlarge.com/films/news/o ... RSe5-oWCWA
Les rumeurs vont bon train sur le film Netflix autour de Once Upon a Time in Hollywood réalisé par David Fincher et scénarisé par Quentin Tarantino.
On a vraiment cru que c’était un poisson d’avril extrêmement bien organisé tant l’information semblait surréaliste : David Fincher va faire une « suite » de Once Upon a Time in Hollywood, scénarisée par Quentin Tarantino, avec Brad Pitt au casting, Leonardo DiCaprio et Margot Robbie en discussion pour revenir et le tout sur Netflix. Ça semblait improbable et pourtant, quasiment une semaine après l’annonce du projet, les choses commencent déjà à bouger.
Par rapport contrats aux signés entre Tarantino et Sony lors de la sortie de Once Upon a Time in Hollywood en 2019, le cinéaste n’a apparemment pas totalement le champ-libre. Selon certains médias et experts, il serait notamment détenteur des droits de tous ses personnages (créés ou à venir) mais pas de la marque « Once Upon a Time ». Le film de David Fincher pourrait donc être légèrement différent d’une simple suite. Explications.
À ce stade, les éléments autour du film réalisé par David Fincher sont très flous. Tout juste sait-on, d’après les informations de The Playlist ayant révélé l’information, qu’il devrait se concentrer sur le personnage de Cliff Booth, incarné par Brad Pitt, et se dérouler dans les années 1970 (sachant que le film original se terminait le 9 août 1969). Forcément, certains ont donc tenté de se renseigner du côté d’Hollywood et dans le podcast The Big Picture, les journalistes Sean Fennessey et Amanda Dobbins ont donné quelques précisions intéressantes :
« On dirait bien que ce film est en train de se produire… Voici ce que je peux dire. Il ne faut probablement pas le considérer comme une suite. Il faut plutôt le considérer comme une suite liée à l’univers mais plutôt comme Un grand sommeil, l’adaptation de Raymond Chandler avec Humphrey Bogart, se situait dans le même univers qu’Adieu ma jolie, le film de Robert Mitchum de 1975, mais avec un acteur différent, un réalisateur différent et une autre étape de l’histoire.
Ce sont des choses différentes, ce ne sont pas vraiment des suites, mais plutôt la suite de l’aventure de [Cliff]. La seule autre information importante que j’ai apprise, et qui, je pense, est confirmée, est que le film se déroule en 1977, soit environ huit ans après Once Upon a Time in Hollywood, donc une période différente dans la vie de Cliff. »
Des détails qui semblent corroborer avec les rumeurs affirmant que ce projet de « suite » serait lié au scénario de The Movie Critic, le film abandonné de Quentin Tarantino. En effet, alors qu’il avait été annoncé en développement en mars 2023, le film devait raconté l’histoire d’un critique « très peu connu » selon QT lui-même. Plus tard, on avait appris que le film devait normalement se dérouler… en 1977, et que Brad Pitt y jouerait sans doute le personnage principal (mais pas nécessairement Cliff Booth à l’époque).
Le fait que ce Once Upon a Time in Hollywood 2 (si l’on peut l’appeler ainsi) se concentre sur Cliff Booth avec Brad Pitt de retour et se passe en 1977 laisse donc supposer que les deux sont corrélés. D’autant plus que ce projet par Fincher aurait été relancé par Pitt après qu’il a eu lu le scénario de The Movie Critic.
L’année serait en tout cas très riche à explorer avec des films aussi célébrés que Rencontres du troisième type de Steven Spielberg, La fièvre du samedi soir avec John Travolta, Légitime Violence de John Flynn (un des films préférés de QT), Annie Hall de Woody Allen, La colline a des yeux de Wes Craven, Suspiria de Dario Argento, Eraserhead signant les débuts de David Lynch, Les Duellistes signant ceux de Ridley Scott ou bien sûr et surtout, Star Wars : Un nouvel espoir de George Lucas, bousculant l’industrie du 7e art.
Par ailleurs, c’est également l’année où Roman Polanski a été accusé de détournement de mineurs à Los Angeles. Et vu sa présence secondaire dans Once Upon a Time in Hollywood, ce ne serait pas si étonnant que Quentin Tarantino y fasse référence. Enfin, sauf si les événements de la fin du film provoque une réaction en chaîne modifiant toute la temporalité du cinéma hollywoodien et mondial (n’était-ce pas un peu le but du climax ?). On impatiente d’en savoir vraiment plus.
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Modifié en dernier par Pale le mar. 8 avr. 2025 18:23, modifié 1 fois.
L'épisode où la famille part dans un parc aquatique et où Homer est coincé dans le tobogganPale a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 18:16C'est quel épisode ?Miamsolo a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 16:05 Coïncidence complètement folle: j'ai regardé cette vidéo de McFly et Carlito en début d'après-midi:
Juste après, j'ai tapé une mini-sieste, en ensuite je suis sorti me chercher un truc à manger. En rentrant, je me pose devant un épisode des Simpson (que j'ai recommencé depuis le début il y a quelques temps), et là, je tombe sur le même épisode que celui mentionné par Carlito dans la vidéo! Quelle était la probabilité que sur les quasi 800 épisodes de la série, je tombe pile sur celui dont on a parlé dans une vidéo vue peu de temps avant?
Je trouve ça fou
(puis plus tard dans l'épisode Marge doit peindre un portrait de Mr. Burns )Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
@Miamsolo c'est toi qui joues à Elden Ring sur votre chaîne ? Oui je suis abonné et quand j'ai le temps je zieute un peu
Ah oui oui c'est bien moi, ce soir j'ai fait le 17ème épisode sur le jeu, il est tellement long
Merci pour l'abonnement Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
Noooon ???
Sacrée coïncidence !!
Et alors ?
Un des rares films que j'ai vus 2 fois en salles -au Max Linder Panorama à Paris
-Alors j'ai beaucoup aimé, que ce soit visuellement ou les 2 acteurs principaux, et comme l'a mentionné Next la BO de Mansell est à tomber. Mais il m'a manqué un petit quelque chose pour vraiment être transcendé. 7/10
Et ce soir je vais découvrir The Whale.
Et ce soir je vais découvrir The Whale.
Il t'a manqué de l'avoir vu en salles
J'avais acheté la BO à l'époque
Celui-là, je l'ai loupéEt ce soir je vais découvrir The Whale.
Tu te fais une rétrospective Aronofsky ? Comme à la Cinémathèque Française ?
https://www.cinematheque.fr/cycle/darre ... -1363.html
-
ClintReborn
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- Localisation : Avalon
Miamsolo a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 16:14 Aujourd'hui c'était photo de classe dans l'école où je travaille, le hasard voulait que je sois avec ma classe chouchou au moment de la photo. J'avais été prévenu fin de semaine dernière, et les élèves étaient super contents car ils voulaient absolument que je sois avec eux sur la photo. Du coup j'ai fait une petite blague et pour l'occasion j'ai porté le t-shirt qu'ils m'avaient offert l'année passée pour mon anniversaire
Un petit aperçu du fameux t-shirt (j'ai juste caché mon nom):
Et on peut toujours aller plus loin 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Dune 3 : le casting s’agrandit avec l’un des pires ennemis de Paul Atréides (et c’est un grand oui)
Le casting de Dune 3 continue à s’agrandir et Denis Villeneuve a apparement choisi qui jouerait l’un des grands ennemis de Paul Atréides.
Fin février 2024, Denis Villeneuve dévoilait son Dune : Deuxième Partie et la suite des aventures de Paul Atréides. Un grand spectacle épique et politique où le jeune « prophète » incarné par Timothée Chalamet parvenait à prendre le pouvoir et tuer, tour à tour, le Baron Harkonnen et son neveu Feyd-Rautha. Les deux principaux antagonistes du récit étaient donc vaincus, laissant le champ-libre à Paul Atréides pour mener sa guerre sainte à travers l’univers.
Vu le succès du film au box-office (714 millions de dollars récoltés dans le monde pour 190 millions de budget), Warner a décidé de commander un troisième film, toujours réalisé par Denis Villeneuve. Il adaptera le roman Le Messie de Dune, qui se déroulera douze ans après les événements du deuxième film, et suivra donc Paul Atréides en tant qu’empereur. Avec ce nouveau statut, il va avoir de nouveaux ennemis et justement, Warner a peut-être trouvé un super acteur pour jouer l’un d’entre eux.
Selon Deadline, Robert Pattinson serait en effet sur le point d’intégrer le casting de Dune 3. Plus encore, il devrait jouer le personnage de Scytale, le principal antagoniste du roman. C’est l’un des leaders d’un complot visant à renverser Paul Atréides, qui règne désormais sur la galaxie avec une armée de fremens. Et le complot est extrêmement difficile à concrétiser puisque Paul a toujours ses dons surnaturels pour voir l’avenir.
On ne va pas trop en dire pour les novices, mais Scytale n’agit pas tout seul, puisqu’il est notamment aidé par la Révérende Mère Gaius Helen Mohaim (Charlotte Rampling) et un Navigateur de Guilde nommé Edric (pas encore casté a priori). Une chose est sûre, c’est un personnage passionnant, notamment parce qu’il s’agit d’un métamorphe et qu’il est membre des Bene Tleilax, une société qui pratique la manipulation génétique.
Après qu’il a joué une multitude de personnages dans Mickey 17, il sera donc intrigant de voir Robert Pattinson incarner Scytale, pur rôle de méchant comme l’acteur n’en a quasiment jamais joué (hormis peut-être son horrible pasteur dans Le Diable, tout le temps). Le Britannique confirme en tout cas sa cote monstrueuse à Hollywood et ailleurs, puisqu’il sera prochainement dans The Drama de Kristoffer Borgli (aux côtés de Zendaya) et dans Die, My Love de Lynne Ramsay, aux côtés de Jennifer Lawrence.
Il est également actuellement en plein tournage de The Odyssey de Christopher Nolan, prévu pour une sortie en juillet 2026. Dune 3, lui, devrait commencer son tournage cet été. Pas d’inquiétude donc pour les fans du Chevalier Noir, impatient de voir The Batman 2. A priori, la présence de Robert Pattinson au casting de Dune 3 ne remet pas en cause la production du film de Matt Reeves (plutôt prévue pour commencer son tournage en fin d’année 2025).
En attendant de nouvelles informations sur le casting, la sortie de Dune 3 est a priori prévue pour le 16 décembre 2026.
https://www.ecranlarge.com/films/news/d ... LRw4j0ursQ
Le casting de Dune 3 continue à s’agrandir et Denis Villeneuve a apparement choisi qui jouerait l’un des grands ennemis de Paul Atréides.
Fin février 2024, Denis Villeneuve dévoilait son Dune : Deuxième Partie et la suite des aventures de Paul Atréides. Un grand spectacle épique et politique où le jeune « prophète » incarné par Timothée Chalamet parvenait à prendre le pouvoir et tuer, tour à tour, le Baron Harkonnen et son neveu Feyd-Rautha. Les deux principaux antagonistes du récit étaient donc vaincus, laissant le champ-libre à Paul Atréides pour mener sa guerre sainte à travers l’univers.
Vu le succès du film au box-office (714 millions de dollars récoltés dans le monde pour 190 millions de budget), Warner a décidé de commander un troisième film, toujours réalisé par Denis Villeneuve. Il adaptera le roman Le Messie de Dune, qui se déroulera douze ans après les événements du deuxième film, et suivra donc Paul Atréides en tant qu’empereur. Avec ce nouveau statut, il va avoir de nouveaux ennemis et justement, Warner a peut-être trouvé un super acteur pour jouer l’un d’entre eux.
Selon Deadline, Robert Pattinson serait en effet sur le point d’intégrer le casting de Dune 3. Plus encore, il devrait jouer le personnage de Scytale, le principal antagoniste du roman. C’est l’un des leaders d’un complot visant à renverser Paul Atréides, qui règne désormais sur la galaxie avec une armée de fremens. Et le complot est extrêmement difficile à concrétiser puisque Paul a toujours ses dons surnaturels pour voir l’avenir.
On ne va pas trop en dire pour les novices, mais Scytale n’agit pas tout seul, puisqu’il est notamment aidé par la Révérende Mère Gaius Helen Mohaim (Charlotte Rampling) et un Navigateur de Guilde nommé Edric (pas encore casté a priori). Une chose est sûre, c’est un personnage passionnant, notamment parce qu’il s’agit d’un métamorphe et qu’il est membre des Bene Tleilax, une société qui pratique la manipulation génétique.
Après qu’il a joué une multitude de personnages dans Mickey 17, il sera donc intrigant de voir Robert Pattinson incarner Scytale, pur rôle de méchant comme l’acteur n’en a quasiment jamais joué (hormis peut-être son horrible pasteur dans Le Diable, tout le temps). Le Britannique confirme en tout cas sa cote monstrueuse à Hollywood et ailleurs, puisqu’il sera prochainement dans The Drama de Kristoffer Borgli (aux côtés de Zendaya) et dans Die, My Love de Lynne Ramsay, aux côtés de Jennifer Lawrence.
Il est également actuellement en plein tournage de The Odyssey de Christopher Nolan, prévu pour une sortie en juillet 2026. Dune 3, lui, devrait commencer son tournage cet été. Pas d’inquiétude donc pour les fans du Chevalier Noir, impatient de voir The Batman 2. A priori, la présence de Robert Pattinson au casting de Dune 3 ne remet pas en cause la production du film de Matt Reeves (plutôt prévue pour commencer son tournage en fin d’année 2025).
En attendant de nouvelles informations sur le casting, la sortie de Dune 3 est a priori prévue pour le 16 décembre 2026.
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Road House 2 : la suite du remake Amazon avec Jake Gyllenhaal a peut-être trouvé un nouveau réalisateur
Amazon prépare la suite de son remake de Road House, toujours porté par Jake Gyllenhaal, mais avec un autre réalisateur que Doug Liman.
Le remake de Road House a été un parcours semé d’embûches. Dès 2015, la MGM envisageait de refaire le film culte de 1989 porté par Patrick Swayze, avec Ronda Rousey comme tête d’affiche et Nick Cassavetes comme réalisateur et scénariste. Le projet a été relancé en 2021, cette fois avec Jake Gyllenhaal dans le rôle principal et Doug Liman (La mémoire dans la peau, Edge of Tomorrow) derrière la caméra.
Entre-temps, Amazon Studios a racheté la MGM. Le scénariste du premier Road House, R. Lance Hill, a ensuite porté plainte contre le studio avant que Doug Liman boycotte la promotion à cause de désaccords avec Amazon, notamment sur l’éviction du producteur Joel Silva à qui il aurait été demandé de faire appel à l’intelligence artificielle pour terminer le film pendant la grève des acteurs et le sortir en streaming (et non au cinéma comme prévu initialement).
Enfin, Hollywood a ouvert les bras à la star de MMA Conor McGregor, malgré les accusations d’agression et de violence et surtout la plainte pour viol à son encontre (suivie de sa condamnation par la justice civile irlandaise en novembre 2024, après la sortie du film). Malgré toutes les polémiques qui l’entourent, le remake de Road House a cependant trouvé son public et été un beau succès pour la plateforme, qui s’est donc jetée sur une suite.
Bien évidemment, Doug Liman ne rempilera pas pour Road House 2, mais un autre réalisateur aurait été choisi.
Selon World of Reel et Puck, la suite du remake de Road House pourrait être réalisée par le prolifique et infatigable Guy Ritchie. Alors que sa série MobLand a débarqué fin mars dernier aux États-Unis, un autre de ses films doit arriver prochainement en salles : In The Grey avec Henry Cavill, Rosamund Pike et Jake Gyllenhaal, avec qui il avait déjà collaboré pour The Covenant (sorti lui aussi sur Amazon) et qu’il retrouvera donc peut-être pour la suite de Road House.
L’acteur reprendrait le rôle d’Elwood Dalton, videur de boite de nuit et ancien combattant UFC.
De quoi éloigner un peu plus Guy Ritchie de ses arlésiennes, en particulier Sherlock Holmes 3 et Aladdin 2 (ou le remake d’Hercule sur lequel il est pressenti). Pour le reste du casting, on imagine (et espère très fort) que Conor McGregor – qui veut devenir Président de l’Irlande et se retrouve de nouveau devant la justice américaine pour agression sexuelle – ne sera pas rappelé ou que son personnage, le méchant Knox, sera recasté. Celui-ci apparaissait en effet dans la scène post-générique, suggérant son retour.
Quant à Jake Gyllenhaal, il fera aussi partie de la distribution de The Bride, la relecture de Frankenstein par Maggie Gyllenhaal avec Christian Bale, Jessie Buckley, Penélope Cruz ou encore Peter Sarsgaard. Le film est attendu le 4 mars 2026 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/r ... inhMk78Uow
Amazon prépare la suite de son remake de Road House, toujours porté par Jake Gyllenhaal, mais avec un autre réalisateur que Doug Liman.
Le remake de Road House a été un parcours semé d’embûches. Dès 2015, la MGM envisageait de refaire le film culte de 1989 porté par Patrick Swayze, avec Ronda Rousey comme tête d’affiche et Nick Cassavetes comme réalisateur et scénariste. Le projet a été relancé en 2021, cette fois avec Jake Gyllenhaal dans le rôle principal et Doug Liman (La mémoire dans la peau, Edge of Tomorrow) derrière la caméra.
Entre-temps, Amazon Studios a racheté la MGM. Le scénariste du premier Road House, R. Lance Hill, a ensuite porté plainte contre le studio avant que Doug Liman boycotte la promotion à cause de désaccords avec Amazon, notamment sur l’éviction du producteur Joel Silva à qui il aurait été demandé de faire appel à l’intelligence artificielle pour terminer le film pendant la grève des acteurs et le sortir en streaming (et non au cinéma comme prévu initialement).
Enfin, Hollywood a ouvert les bras à la star de MMA Conor McGregor, malgré les accusations d’agression et de violence et surtout la plainte pour viol à son encontre (suivie de sa condamnation par la justice civile irlandaise en novembre 2024, après la sortie du film). Malgré toutes les polémiques qui l’entourent, le remake de Road House a cependant trouvé son public et été un beau succès pour la plateforme, qui s’est donc jetée sur une suite.
Bien évidemment, Doug Liman ne rempilera pas pour Road House 2, mais un autre réalisateur aurait été choisi.
Selon World of Reel et Puck, la suite du remake de Road House pourrait être réalisée par le prolifique et infatigable Guy Ritchie. Alors que sa série MobLand a débarqué fin mars dernier aux États-Unis, un autre de ses films doit arriver prochainement en salles : In The Grey avec Henry Cavill, Rosamund Pike et Jake Gyllenhaal, avec qui il avait déjà collaboré pour The Covenant (sorti lui aussi sur Amazon) et qu’il retrouvera donc peut-être pour la suite de Road House.
L’acteur reprendrait le rôle d’Elwood Dalton, videur de boite de nuit et ancien combattant UFC.
De quoi éloigner un peu plus Guy Ritchie de ses arlésiennes, en particulier Sherlock Holmes 3 et Aladdin 2 (ou le remake d’Hercule sur lequel il est pressenti). Pour le reste du casting, on imagine (et espère très fort) que Conor McGregor – qui veut devenir Président de l’Irlande et se retrouve de nouveau devant la justice américaine pour agression sexuelle – ne sera pas rappelé ou que son personnage, le méchant Knox, sera recasté. Celui-ci apparaissait en effet dans la scène post-générique, suggérant son retour.
Quant à Jake Gyllenhaal, il fera aussi partie de la distribution de The Bride, la relecture de Frankenstein par Maggie Gyllenhaal avec Christian Bale, Jessie Buckley, Penélope Cruz ou encore Peter Sarsgaard. Le film est attendu le 4 mars 2026 en France.
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An Innocent Girl : Netflix prépare un thriller érotique avec Jaume Collet-Serra (Carry-On)
Quelques mois après le succès de Carry-On, le réalisateur Jaume Collet-Serra et Netflix vont refaire équipe pour le thriller érotique An Innocent Girl.
Jaume Collet-Serra n’a plus le temps de niaiser depuis l’énorme carton de Carry-On, son thriller à la Die Hard, devenu le deuxième plus gros succès de l’histoire de Netflix avec 172,1 millions de visionnages en 91 jours. Le film phénomène pourrait même donner au N rouge des idées de suite, histoire de profiter un maximum du potentiel de l’univers (et de ses personnages).
D’ici une confirmation de l’extension des aventures du héros de Taron Egerton, Collet-Serra a fait un petit détour par le grand écran aux Etats-Unis avec The Woman in the Yard. Un retour à l’horreur plus de quinze ans après Esther qui n’a pas reçu un accueil dithyrambique mais devrait largement amortir son budget au box-office (d’autant qu’il n’est pas vraiment sorti à l’international pour le moment). Tout ça pour dire que Netflix a décidé de lui confier une nouvelle mission avec un thriller psychologique à tendance érotique.
En plus de vingt ans de carrière, Jaume Collet-Serra a largement exploré le genre du thriller entre ses séries B avec Liam Neeson (Sans identité, Non-Stop, Night Run), son petit survival de requins Instinct de survie ou bien évidemment ces deux derniers films jonglant entre l’horreur pour The Woman in the Yard et l’action avec Carry-On mené par Taron Egerton. Selon Variety, il continuera malgré tout dans cette voie avec An Innocent Girl décrit comme un thriller psychologique et érotique, dont le synopsis a été dévoilé :
« Lorsqu’une jeune femme ambitieuse est séduite par un couple puissant de Washington DC, elle est entraînée dans un monde dangereux de sexe, de pouvoir et de meurtre. »
À ce stade, on ne sait absolument rien du casting et donc de l’actrice qui jouera l’héroïne éprise de ce couple, dont l’identité reste également mystérieuse. On sait cependant que le scénario du film a été écrit par Michael Mohan, réalisateur de The Voyeurs et Immaculate ainsi que créateur de la série Everythings Sucks!. Trois oeuvres où une certaine Sydney Sweeney était au casting. Doit-on supposer qu’elle sera ladite héroïne de ce An Innocent Girl ? Possible.
Le scénario serait en cours de révision par le scénariste Marc Guggenheim, grand nom du petit écran passé sur Carnival Row, Supergirl, Arrow et Legends of Tomorrow entre autres. En attendant d’en savoir plus sur An Innocent Girl, Jaume Collet-Serra a déjà tourné un autre film puisqu’il s’est chargé de la suite-reboot de Cliffhanger dont la date de sortie n’est pas encore connue. Il devrait aussi s’occuper du thriller entre Don’t Breathe et 1917 intitulé Play Dead. Quand on vous dit que le monsieur n’a plus de temps à perdre.
https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... OBlk2DrBWg
On croise les doigts pour que Sydney Sweeney soit de la partie.
Quelques mois après le succès de Carry-On, le réalisateur Jaume Collet-Serra et Netflix vont refaire équipe pour le thriller érotique An Innocent Girl.
Jaume Collet-Serra n’a plus le temps de niaiser depuis l’énorme carton de Carry-On, son thriller à la Die Hard, devenu le deuxième plus gros succès de l’histoire de Netflix avec 172,1 millions de visionnages en 91 jours. Le film phénomène pourrait même donner au N rouge des idées de suite, histoire de profiter un maximum du potentiel de l’univers (et de ses personnages).
D’ici une confirmation de l’extension des aventures du héros de Taron Egerton, Collet-Serra a fait un petit détour par le grand écran aux Etats-Unis avec The Woman in the Yard. Un retour à l’horreur plus de quinze ans après Esther qui n’a pas reçu un accueil dithyrambique mais devrait largement amortir son budget au box-office (d’autant qu’il n’est pas vraiment sorti à l’international pour le moment). Tout ça pour dire que Netflix a décidé de lui confier une nouvelle mission avec un thriller psychologique à tendance érotique.
En plus de vingt ans de carrière, Jaume Collet-Serra a largement exploré le genre du thriller entre ses séries B avec Liam Neeson (Sans identité, Non-Stop, Night Run), son petit survival de requins Instinct de survie ou bien évidemment ces deux derniers films jonglant entre l’horreur pour The Woman in the Yard et l’action avec Carry-On mené par Taron Egerton. Selon Variety, il continuera malgré tout dans cette voie avec An Innocent Girl décrit comme un thriller psychologique et érotique, dont le synopsis a été dévoilé :
« Lorsqu’une jeune femme ambitieuse est séduite par un couple puissant de Washington DC, elle est entraînée dans un monde dangereux de sexe, de pouvoir et de meurtre. »
À ce stade, on ne sait absolument rien du casting et donc de l’actrice qui jouera l’héroïne éprise de ce couple, dont l’identité reste également mystérieuse. On sait cependant que le scénario du film a été écrit par Michael Mohan, réalisateur de The Voyeurs et Immaculate ainsi que créateur de la série Everythings Sucks!. Trois oeuvres où une certaine Sydney Sweeney était au casting. Doit-on supposer qu’elle sera ladite héroïne de ce An Innocent Girl ? Possible.
Le scénario serait en cours de révision par le scénariste Marc Guggenheim, grand nom du petit écran passé sur Carnival Row, Supergirl, Arrow et Legends of Tomorrow entre autres. En attendant d’en savoir plus sur An Innocent Girl, Jaume Collet-Serra a déjà tourné un autre film puisqu’il s’est chargé de la suite-reboot de Cliffhanger dont la date de sortie n’est pas encore connue. Il devrait aussi s’occuper du thriller entre Don’t Breathe et 1917 intitulé Play Dead. Quand on vous dit que le monsieur n’a plus de temps à perdre.
https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... OBlk2DrBWg
On croise les doigts pour que Sydney Sweeney soit de la partie.
EL a moyennement apprécié The Amateur (2,5 étoiles) :
Après avoir planché sur les séries Black Mirror et Slow Horses, James Hawes s’est logiquement tourné vers le thriller d’espionnage paranoïaque avec The Amateur. Adapté du roman éponyme de Robert Littell, le film suit un cryptographe de la CIA (Rami Malek), bien décidé à venger la mort de sa femme. En salles le 9 avril.
L’HEURE DES SEMI-PROS
Comment raconter des histoires palpitantes dans le registre de la traque d’espionnage à l’heure de l’ultra-surveillance ? Là où les années 90 en ont puisé une source de paranoïa naissante, parfaitement accordée à l’émergence d’un montage plus haché et de multiples caméras omniscientes (merci Tony Scott), la saga Jason Bourne a semblé marquer une forme de finalité du genre, en opposant le corps toujours en mouvement de Matt Damon à des data au transit instantané et insaisissable.
The Amateur a bien conscience de cette limite, et s’amuse même dans sa première partie à déjouer les codes du film d’espionnage par une absence étonnante d’obstacles. En quelques minutes, Charlie Heller, un spécialiste informatique de la CIA forcément introverti (et que Rami Malek joue tout du long en incarnant l’expression “comme un lapin pris dans les phares”) reçoit par une source anonyme des secrets compromettants sur son service qu’il décrypte aussitôt.
Après tout, il ne s’agit même pas du vrai point de départ de l’intrigue, mais d’un moyen de pression sur ses supérieurs pour partir à la traque des terroristes qui ont exécuté sa femme. Là encore, le temps d’un montage volontairement décevant et fluide, le cryptographe parvient à identifier les quatre criminels à grands coups de sons isolés et de recréation d’espaces en 3D, obtenus en quelques clics.
C’est bien cette tension qui semble intéresser James Hawes, entre les possibilités d’une technologie de plus en plus invasive et autonome, et la nécessité de la volonté humaine pour lui donner un but, une direction. The Dark Knight et d’autres films américains sortis après le Patriot Act interrogeaient à leur manière ce trop grand pouvoir donné à une poignée d’individus. The Amateur l’observe plutôt comme une fatalité, déjà à nos portes depuis longtemps. Sans même évoquer les géants de la tech et la question de nos données personnelles, le long-métrage crée une ambiance mortifère, une sorte de résignation collective face à la présence de Big Brother.
RAMI BALEK ?
Malheureusement, il faudra se contenter de cette ligne ténue (bien que fascinante), tandis que le film se planque derrière son scénario rebattu de revenge movie. Malgré la dimension fondamentalement politique de son sujet, The Amateur tourne autour du pot, et esquive toute revendication (qu’elle vienne des antagonistes ou de la CIA) au profit de la colère de son anti-héros sensible mais déterminé.
Ce flou contextuel, bien qu’il ne soit pas totalement incohérent avec le fatalisme de son approche (on peut penser à l’hermétisme de Hacker, la virtuosité de Michael Mann en moins), semble tout de même un peu lâche au vu des enjeux. Certes, on n’a pas attendu James Hawes pour apprendre que les “black ops” à l’américaine faisaient souvent des dommages collatéraux, et on aurait justement aimé que l’ensemble aille plus loin, et travaille cette zone grise qu’il cherchait à introduire.
A la place, The Amateur troque sa première partie déstabilisante pour une intrigue beaucoup trop programmatique autour de la soif de sang de Heller et la perte progressive de son humanité. Le long-métrage semblait pourtant tenir une idée intéressante au vu de l’incapacité de l’homme à tuer avec une arme à feu, préférant des mises à mort distantes en accord avec son ingéniosité (le coup de la piscine fait son petit effet, on l’avoue).
Dans ce vigilante movie qui ne s’assume jamais vraiment, et dont l’ambiguïté morale est très vite balayée, James Hawes n’a pas grand-chose d’autre à raconter que la trajectoire logique de son protagoniste. On se demande même ce que Laurence Fighburne et Jon Bernthal sont venus chercher dans les rôles de PNJ qu’ils se contentent de jouer aux côtés de Rami Malek. En voulant se risquer à un certain équilibre entre l’aridité d’un John Le Carré et l’exotisme de globe-trotter à la James Bond, The Amateur ne tranche pas… et finit par ennuyer.
The Amateur n’est pas inintéressant lorsqu’il traite de la normalisation de l’ultra-surveillance. Il l’est beaucoup plus quand il retombe dans les clous du thriller d’espionnage programmatique.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 2fgJ2YDQaA
Après avoir planché sur les séries Black Mirror et Slow Horses, James Hawes s’est logiquement tourné vers le thriller d’espionnage paranoïaque avec The Amateur. Adapté du roman éponyme de Robert Littell, le film suit un cryptographe de la CIA (Rami Malek), bien décidé à venger la mort de sa femme. En salles le 9 avril.
L’HEURE DES SEMI-PROS
Comment raconter des histoires palpitantes dans le registre de la traque d’espionnage à l’heure de l’ultra-surveillance ? Là où les années 90 en ont puisé une source de paranoïa naissante, parfaitement accordée à l’émergence d’un montage plus haché et de multiples caméras omniscientes (merci Tony Scott), la saga Jason Bourne a semblé marquer une forme de finalité du genre, en opposant le corps toujours en mouvement de Matt Damon à des data au transit instantané et insaisissable.
The Amateur a bien conscience de cette limite, et s’amuse même dans sa première partie à déjouer les codes du film d’espionnage par une absence étonnante d’obstacles. En quelques minutes, Charlie Heller, un spécialiste informatique de la CIA forcément introverti (et que Rami Malek joue tout du long en incarnant l’expression “comme un lapin pris dans les phares”) reçoit par une source anonyme des secrets compromettants sur son service qu’il décrypte aussitôt.
Après tout, il ne s’agit même pas du vrai point de départ de l’intrigue, mais d’un moyen de pression sur ses supérieurs pour partir à la traque des terroristes qui ont exécuté sa femme. Là encore, le temps d’un montage volontairement décevant et fluide, le cryptographe parvient à identifier les quatre criminels à grands coups de sons isolés et de recréation d’espaces en 3D, obtenus en quelques clics.
C’est bien cette tension qui semble intéresser James Hawes, entre les possibilités d’une technologie de plus en plus invasive et autonome, et la nécessité de la volonté humaine pour lui donner un but, une direction. The Dark Knight et d’autres films américains sortis après le Patriot Act interrogeaient à leur manière ce trop grand pouvoir donné à une poignée d’individus. The Amateur l’observe plutôt comme une fatalité, déjà à nos portes depuis longtemps. Sans même évoquer les géants de la tech et la question de nos données personnelles, le long-métrage crée une ambiance mortifère, une sorte de résignation collective face à la présence de Big Brother.
RAMI BALEK ?
Malheureusement, il faudra se contenter de cette ligne ténue (bien que fascinante), tandis que le film se planque derrière son scénario rebattu de revenge movie. Malgré la dimension fondamentalement politique de son sujet, The Amateur tourne autour du pot, et esquive toute revendication (qu’elle vienne des antagonistes ou de la CIA) au profit de la colère de son anti-héros sensible mais déterminé.
Ce flou contextuel, bien qu’il ne soit pas totalement incohérent avec le fatalisme de son approche (on peut penser à l’hermétisme de Hacker, la virtuosité de Michael Mann en moins), semble tout de même un peu lâche au vu des enjeux. Certes, on n’a pas attendu James Hawes pour apprendre que les “black ops” à l’américaine faisaient souvent des dommages collatéraux, et on aurait justement aimé que l’ensemble aille plus loin, et travaille cette zone grise qu’il cherchait à introduire.
A la place, The Amateur troque sa première partie déstabilisante pour une intrigue beaucoup trop programmatique autour de la soif de sang de Heller et la perte progressive de son humanité. Le long-métrage semblait pourtant tenir une idée intéressante au vu de l’incapacité de l’homme à tuer avec une arme à feu, préférant des mises à mort distantes en accord avec son ingéniosité (le coup de la piscine fait son petit effet, on l’avoue).
Dans ce vigilante movie qui ne s’assume jamais vraiment, et dont l’ambiguïté morale est très vite balayée, James Hawes n’a pas grand-chose d’autre à raconter que la trajectoire logique de son protagoniste. On se demande même ce que Laurence Fighburne et Jon Bernthal sont venus chercher dans les rôles de PNJ qu’ils se contentent de jouer aux côtés de Rami Malek. En voulant se risquer à un certain équilibre entre l’aridité d’un John Le Carré et l’exotisme de globe-trotter à la James Bond, The Amateur ne tranche pas… et finit par ennuyer.
The Amateur n’est pas inintéressant lorsqu’il traite de la normalisation de l’ultra-surveillance. Il l’est beaucoup plus quand il retombe dans les clous du thriller d’espionnage programmatique.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 2fgJ2YDQaA
C'est justement lors d'une discussion où j'ai montré un pull arborant une image énorme de Nicolas Cage que mes élèves ont eu l'idée de m'offrir quelque chose de similaireClintReborn a écrit : ↑mer. 9 avr. 2025 15:15Miamsolo a écrit : ↑mar. 8 avr. 2025 16:14 Aujourd'hui c'était photo de classe dans l'école où je travaille, le hasard voulait que je sois avec ma classe chouchou au moment de la photo. J'avais été prévenu fin de semaine dernière, et les élèves étaient super contents car ils voulaient absolument que je sois avec eux sur la photo. Du coup j'ai fait une petite blague et pour l'occasion j'ai porté le t-shirt qu'ils m'avaient offert l'année passée pour mon anniversaire
Un petit aperçu du fameux t-shirt (j'ai juste caché mon nom):
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
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