Pour le casting, c'est du lourd :
Le tournage démarre en août et devrait durer 7 mois !
C'est sa vidéo Konbini dans l'épicerie çaPio Marmaï en Porthos ?
J'étais sûr que quelqu'un allait me répondre ça.
Je plussoie, d'autant plus que Duris a déjà interprété un personnage de religieux déviationniste dans La Confession.Zefurin a écrit : ↑ven. 12 févr. 2021 12:01Aramis... trés... TREEEEEEEES bon choix.
Je n'y aurait jamais pensé et c'est clair qu'il a tout : il a le côté gracieux, fin, avec la voix précieuse et le côté raffiné de façade qui peut cacher une personnalité impitoyable. (Aramis, ça a toujours été mon mousquetaire préféré)
J'allais le dire. C'est clair qu'on peut difficilement faire plus approprié que Depardieu en Porthos, mais même Gabriel Byrne en D'Artagnan est d'une stature toujours inégalée aujourd'hui.De tout façon... j'attends toujours de voir un film qui saura surpasser l'interprétation des mousquetaire dans... L'HOMME AU MASQUE DE FER de Randall Wallace en 98.
Parce que chui désolé... mais :
Malkovitch en Athos
Depardieu en Porthos
Jeremy Irons en Aramis
Ils étaient juste PARFAITS. Parfaits... dans un film plein de défauts. Mais eux ils étaient parfaits.
Voici comment le producteur Dimitri Rassam, à la tête de Chapter 2, présentait sa vision du projet en octobre dernier : "Dans mon Panthéon personnel, il y a deux films phares : Cyrano de Bergerac et Indiana Jones. J'avais une envie de fresque familiale, d'aventures avec un grand A. Les Trois mousquetaires cochait toutes les cases. Alexandre Dumas s'est emparé de notre Histoire. Il s'est réapproprié des personnages historiques pour en créer de nouveaux. C'est l'inventeur de la franchise. (…) Je vois Les Trois mousquetaires comme une réponse aux franchises américaines. C'est cette ambition que nous voulons porter."
Gérard Depardieu ?
DANIEL AUTEUIL EN RICHELIEU !
Dis toi que c'est le premier volet d'une trilogie et que la Trilogie des Mousquetaire, c'est une aventure qui jouait beaucoup de la politique fiction de l'époque Louis XIII/LouisXIV : des personnages réels (Richelieu, le Roi, la Reine, etc...) et des personnages de Fiction (Athos, Porthos, Aramis et d'Artagnan... et Milady).PierrotDameron a écrit : ↑ven. 12 févr. 2021 12:59 Je me rend compte que je ne connais absolument pas l'histoire des 3 mousquetaires![]()
Suffit juste de savoir séparer le bon grain de l'ivraie de ce film pour apprécier ce film. A chaque fois que je vois ce film c'est un bonheur... Gégé, Irons et Malkovitch qui apprennent à Léo comment jouer la comédie... ça n'a pas de prix.
On a bien eu la série The Musketeers dont j'ai vu deux ou trois épisodes passer sur TMC, et qui n'était pas si mal que ça
Oui pareil, j'ai un bien meilleur souvenir de celui-là. L'homme au masque de fer a beau avoir un casting plus impressionnant, tous les talents du monde ne peuvent sauver cette fin de nanar.Redzing a écrit : ↑dim. 14 févr. 2021 12:13 Par contre, je m'étais beaucoup amusé devant les 3 Mousquetaires version Disney de 1993. Ce n'est clairement pas la meilleure adaptation (loin de là)... et pas la pire non plus (loin de là aussi !). Mais le casting est très drôle : Charlie Sheen, Kiefer Sutherland, Oliver Pratt pour les 3 mousquetaires, Chris O'Donnell en d'Artagnan, Tim Curry en Richelieu (idée géniale !)
De toute façon je trouve que Di Caprio était imbuvable dans toute sa période Pré- Catch Me if You Can. A partir de ce film il est devenu bon systématiquement.MisterM a écrit : ↑dim. 14 févr. 2021 20:59 L'homme au masque de fer a beau avoir un casting plus impressionnant, tous les talents du monde ne peuvent sauver cette fin de nanar.Et Di Caprio y était absolument imbuvable (un fait suffisamment rare pour être remarqué), ça aurait d'ailleurs facilement pu enterrer sa carrière.
Titanic était aussi avant L'homme au masque... tu le trouvais mauvais dedans ?
Ca plus "lE bOn roY loUiS Xiv DoNna ensUITe PaiN, eUa eT pAiX aU pEupLE dE fRaNCe."
Oui je suis toujours content de voir ce genre de projet émerger. Le cinéma d'action français n'a jamais eu de meilleurs moments que dans les films de cape et d'épée... malheureusement ça fait longtemps qu'on l'a abandonné.
Je l'ai toujours trouvé trop lisse dans ce film.
Non mais c'est indéniable qu'il faut séparer le bon grain de l'ivraie pour aimer ce film. Si j'étais le spectateur LE PLUS OBJECTIF, je trouverais sûrement que ce film est une bouse absolue.
Ca ne fait aucun doute puisque c'est elle l'héroïne : Jack n'est "que" le love interest de Rose, par conséquent ce n'est pas son point de vue qui est adopté et son personnage est moins développé.
Ah... Baye, pourquoi pas c'est vrai qu'elle était jolie mais ça ne me serait pas venu à l'esprit.
Sûrement.
La Plage je l'ai vu 1 fois à la téloche, et je me suis dit que c'était plus ce film qui aurait pu enfoncer la carrière de Leo (plutot que le Masque de fer). Et pourtant j'ignorais que c'était Danny Boyle derrière ce film... (d'ailleurs j'ignorais que ce réalisateur avait une certaine côte).MisterM a écrit : ↑lun. 15 févr. 2021 22:40 Par contre j'avoue que je te rejoins un peu plus sur La Plage (encore qu'il n'était pas mauvais pour autant) et surtout Gangs of New-York où là il n'a plus l'excuse d'être dirigé par Randall Wallace... mais j'ai toujours trouvé ce film assez bof. Faudrait que je le revoie.
Juliette Bincoche je suis tellement d'accord.MisterM a écrit : ↑lun. 15 févr. 2021 22:40Ah... Baye, pourquoi pas c'est vrai qu'elle était jolie mais ça ne me serait pas venu à l'esprit.Pour moi c'était plutôt Emmanuelle Béart, Juliette Binoche et, bien évidemment, Adjani. Bardot j'ai longtemps été comme toi d'ailleurs (j'aime bien ta précision "quand elle était jeune" d'ailleurs
), trop souvent plus maquillée qu'un filtre instagram, mais avec un regard un peu plus connaisseur j'ai du mal à ne pas admettre la vérité : c'est la plus belle plastique féminine jamais passée devant une caméra française (au moins).
Je comprends un peu ce sentiment vu que je me suis pris la claque de ma vie, avec ma soeur on était dans une autre dimension en sortant de la salle.
J'avais un peu le même avis avant de voir La Vérité où son talent est indéniable. Mais à dire vrai je n'ai pas vu beaucoup de sa filmographie, même Et Dieu créa la femme (oui j'ai honte).
9 ans.
Pas vu non plus.J'avais un peu le même avis avant de voir La Vérité où son talent est indéniable. Mais à dire vrai je n'ai pas vu beaucoup de sa filmographie, même Et Dieu créa la femme (oui j'ai honte).
Haha j'ai tellement connu ça aussi.
Je ne pense pas que j'aurais zéros limite si j'étais parent, mais je trouve effectivement hypocrite de voir une censure trés légère sur la violence quand elle est beaucoup plus virulente en ce qui concerne le cul.
Je suis tellement d'accordZefurin a écrit : ↑mar. 16 févr. 2021 16:41 Je ne pense pas que j'aurais zéros limite si j'étais parent, mais je trouve effectivement hypocrite de voir une censure trés légère sur la violence quand elle est beaucoup plus virulente en ce qui concerne le cul.
Alors que techniquement... y a clairement un truc plus dangereux que l'autre en terme d'exposition précoce. (Tu parlais de Terminator... celui-là aussi je l'ai vu beaucoup trop tôt)
Un peu pareil. Ma mère m'emmenait au cinéma toutes les semaines à partir de 5 ou 6 ans. Et comme je n'étais pas intéressé par les Disney et cie, elle m'a vite amené à voir des films bien plus adultes sans se poser trop de limites (sûrement un peu quand même).
Je pensais surtout à ça en parlant de Buck Dany.
Un irresponsable, oui...
Le tournage durera 27 semaines et prendra fin en mai prochain !
Et Ridley Scott à la mise en scène ! Ah non, merde ! au temps pour moi !
Pff... vous ne savez pas apprécier la qualité.
"Il faut une certaine radicalité dans l’ambition", insiste Dimitri Rassam, producteur de cette adaptation en deux parties du célèbre roman d'Alexandre Dumas. "La décision assumée par Pathé avec courage a été non seulement de faire deux films, mais surtout de tourner les deux d’un coup."
"On est dans un monde où la consommation des images est en telle mutation avec l’arrivée des plateformes que paradoxalement le cinéma est encore un endroit d’avenir: capitaliser sur la salle, c’est proposer des films que les spectateurs préfèrent découvrir sur grand écran plutôt que sur un iPhone", acquiesce Martin Bourboulon.
Animé par l'envie de "renouer avec ce qui avait nourri [son] envie de cinéma", Dimitri Rassam a pris l'année 2019 pour "réfléchir à des titres qui pourraient justifier de mobiliser des énormes moyens et de créer l’événement". Il a ainsi établi une liste dont il a d’emblée exclu les œuvres aux adaptations déjà parfaites (Cyrano de Bergerac) ou redéfinies par Disney (Cendrillon, La Belle et la Bête).
Il a ensuite "sondé quelques territoires européens majeurs" pour consolider son dossier: "J'ai senti qu'il y avait une envie pour ce type de grand spectacle." L'envie est là, mais comment justifier l'idée de refaire Les Trois Mousquetaires, un des romans les plus adaptés au cinéma? Dimitri Rassam et Martin Bourboulon en sont persuadés: jusqu'à présent, le texte d'Alexandre Dumas n'a jamais été adapté fidèlement et leur version fera date:
"Souvent ces adaptations ont été faites de façon parodique parce qu’il n’y avait pas les moyens nécessaires de les faire autrement. Là, il se trouve qu’on a le talent et les moyens", explique le producteur, avant d'ajouter: "À bien des égards, ce qu’on essaie de faire - on va rester humble - ressemble à ce que Christopher Nolan a pu faire pour Batman. Avant Nolan, on avait l’impression que Batman avait été fait 50 fois. C’est une question de point de vue, de sincérité."
Avec Les Trois Mousquetaires, Dimitri Rassam espère conquérir le marché étranger en s'appuyant sur une mythologie strictement nationale: "Il ne s’agit pas d’aller se battre sur le terrain des Marvel, mais de cultiver quelque chose de typiquement français." "C'est un choix très assumé de tourner Les Trois Mousquetaires en français", détaille Martin Bourboulon. "De la même manière, la question de la langue ne s’est pas posée sur Eiffel, malgré son budget de plus de 20 millions d’euros. Cela aurait été légitime de se la poser, parce qu’il faut conquérir un peu plus large que le périmètre français."
Cette "ambition débridée" leur a permis de réunir un casting hors-norme composé pour moitié de comédiens connus internationalement: François Civil (D'Artagnan), Vincent Cassel (Athos), Pio Marmaï (Porthos), Romain Duris (Aramis), Vicky Krieps (Anne d'Autriche), Louis Garrel (Louis XIII), Eva Green (Milady de Winter), Oliver Jackson-Cohen (Buckingham) et Lyna Khoudri (Constance Bonacieux).
Doté d'un budget d'environ 70 millions d'euros, le diptyque est tourné en décors réels en France (Fontainebleau, Compiègne, Saint-Malo, Hôtel des Invalides) jusqu'au printemps 2022. Le montage des deux films se déroule en parallèle, avec deux équipes distinctes. "Il y a un côté industrie de prototype sur ce tournage. C’est très excitant", indique Martin Bourboulon. "Extrêmement bien prévendu", notamment par M6, Orange et Canal+, Les Trois mousquetaires bénéficiera d'une "sortie mondiale" début 2023, annonce Dimitri Rassam.
Vouloir réaliser des superproductions est une chose. Y parvenir est une autre affaire - surtout quand on doit en réaliser deux en même temps! Dans ce genre de projet, la question fondamentale est celle de la crédibilité historique, sans laquelle le récit pourrait s'écrouler. Dimitri Rassam n'est pas inquiet: "Je ne me serais pas autorisé à rêver aux Mousquetaires si je n’avais pas la conviction que Martin Bourboulon pouvait les réaliser."
"La pression d’un film n’est pas liée à son budget", réagit Martin Bourboulon. "Un réalisateur, quel que soit le budget, a la pression de vouloir réussir son film et surtout la pression de faire le film qu’il a en tête. Il faut tout faire pour que les gens croient au film qu’on est en train de faire."
Après plusieurs semaines de tournage, le duo est d'ailleurs aux anges: la magie opère à l'écran. "On sent ce souci de vérité", s'enthousiasme Martin Bourboulon. Il faut dire que le duo Rassam/Bourboulon a la superproduction dans le sang. Le premier est le fils de Jean-Pierre Rassam et le neveu de Claude Berri, soit l'héritier d'une dynastie de producteurs qui a redéfini le cinéma français dans les années 1970 et 1980. Le second est le fils de Frédéric Bourboulon, producteur de La Vie et rien d'autre, La Fille de D’Artagnan et Capitaine Conan de Bertrand Tavernier.
Le même souci de vérité a animé Martin Bourboulon sur Eiffel, projet initié dans les années 1990 par la scénariste Caroline Bongrand et passé notamment entre les mains de Ridley Scott: "Comme c’est le premier film qui parle de la construction de la tour Eiffel avec des images qu’on n’aurait pas vues ailleurs, on l’a conçu pour que le spectacle soit le plus présent possible."
Même si Martin Bourboulon ne voit pas Eiffel comme un galop d'essai, ce tournage exigeant, interrompu à cause de la pandémie, lui a permis de "bien connaître les différents métiers du cinéma" et d'acquérir des compétences qui lui sont désormais indispensables pour mener à bon port Les Trois mousquetaires: "Quand il y a une scène avec 200 figurants, il y a beaucoup de travail en maquillage et en costumes. Il y a par exemple des gens dont le travail consiste juste à patiner les vêtements des personnages pour leur donner du vécu."
"Ce genre de détails, c’est du cinéma, c'est ce qui incarne une époque", s'exclame de son côté Xavier Giannoli, qui pour ses Illusions perdues est allé jusqu'à recouvrir de cire les épaules des costumes de ses personnages: "A l'époque, dans les opéras, la cire tombait des lustres sur les habits. J’ai travaillé avec énormément de conseillers, de décorateurs, d’historiens de Paris pour reconstituer l'ambiance de cette époque. C’était obsessionnel chez moi de donner aux spectateurs l’impression d’habiter pendant un temps ce monde-là et de le faire de la façon la plus sensuelle et précise possible."
UN VOYAGE IMMERSIF DANS LE PASSÉ
Illusions perdues a été conçu comme un voyage immersif dans le passé, comme La Reine Margot ou Barry Lyndon: "Un spectacle de cinéma doit donner au spectateur l’impression d’habiter cette époque", glisse Xavier Giannoli. Loin de signer une adaptation scolaire de l'œuvre de Balzac, le réalisateur a choisi de "réorchestrer" le roman en fresque virtuose qui parvient à capter le pouls d'une époque passée plus semblable qu'on le croit à la nôtre, avec ses banquiers arrivistes devenus chefs d'Etat et ses critiques d'art pédants et corrompus.
La notion de spectacle est le sujet même d'Illusions perdues, adaptation du célèbre roman de Balzac sur les vanités du journalisme et les hypocrisies de la scène parisienne. Pour redonner vie au Paris du début du XIXe siècle, Xavier Giannoli a travaillé avec le chef opérateur Christophe Beaucarne, connu pour son travail sur des fresques historiques comme Les Visiteurs 2, Coco avant Chanel ou encore La Belle et la Bête. "On a fait un énorme travail sur les choix des costumes et des décors puisqu’on voulait donner au film une cohérence comme quand on regarde un tableau."
Spectacle total de cinéma, Illusions perdues donne à voir la naissance du monde moderne. Un changement que le film épouse dans le rythme même de ses images, développe Xavier Giannoli: "Tout va plus vite: il va y avoir la révolution industrielle, la locomotive, les rotatives qui permettent d’imprimer plus de livres et de journaux. J’ai voulu que le film aille extrêmement vite, qu’on soit pris de court, tout le temps, comme Rubempré. C’est d’ailleurs son problème: tout va trop vite autour de lui. Il n’a pas le temps de réfléchir, de prendre du recul. Il a l’impatience. C’est capital dans l’histoire et c'est ce qui va causer sa perte."
Le plus difficile pour le réalisateur a été de recréer l'époque de la manière la plus ample et la plus spectaculaire possible en restant précis malgré le fait que beaucoup de ces décors ont été compliqués à trouver. "J’ai voulu tourner uniquement dans des décors qui existent. Par exemple, j’avais vu un petit théâtre caché dans le château de Compiègne. Il a une forme carrée. On dirait qu’il a été dessiné par Stanley Kubrick. On a réussi à avoir l’autorisation d’y tourner. Voir ça sur un écran de cinéma, l’éclairer comme à l’époque, c’est une grande émotion."
ET CE N'EST PAS FINI
Cette frénésie pour les superproductions n'est pas près de s'arrêter. Dimitri Rassam développe une série dérivée des Trois Mousquetaires sur Aniaba. Ce personnage de mousquetaire noir, absent de l'œuvre de Dumas, a réellement existé. Elève de Bossuet, il fut filleul de Louis XIV et le contemporain de D'Artagnan. "On pense que ce personnage mériterait sa série. On l’écrit. On verra si on la fait ou pas. C’est un terrain de jeu extraordinaire, l’Histoire", s'enthousiasme le producteur qui planche aussi sur une relecture du Comte de Monte-Cristo avec Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, les créateurs du Prénom.
Auréolé des succès des Kaïra, Pattaya, Taxi 5 et Validé, Franck Gastambide vient enfin de révéler qu'il planche sur un blockbuster d'action comme la France en a rarement produit: "Après Validé, j'ai envie de repartir sur une grosse comédie", dévoile-t-il ce mois-ci dans les colonnes de la revue spécialisée Cinémateaser: "Non parce que c'est rentable, mais parce que ça me fait délirer. C'est ça que j'ai envie de faire. Aussi parce qu'en France, on en fait tellement peu (...) Le film que je suis en train de préparer a une ambition internationale."
Sans vouloir faire mon rabat joie, c'est un peu Paris-Centré tout ça.PierrotDameron a écrit : ↑mer. 13 oct. 2021 11:26 "EIFFEL", "ILLUSIONS PERDUES", "LES TROIS MOUSQUETAIRES": LE RETOUR DES BLOCKBUSTERS MADE IN FRANCE
C'était en projet je sais plus où et je ne sais plus sous quelle forme, mais j'attends toujours le retour de la bête du Gévaudan !!!Zefurin a écrit : ↑mar. 19 oct. 2021 15:12Sans vouloir faire mon rabat joie, c'est un peu Paris-Centré tout ça.PierrotDameron a écrit : ↑mer. 13 oct. 2021 11:26 "EIFFEL", "ILLUSIONS PERDUES", "LES TROIS MOUSQUETAIRES": LE RETOUR DES BLOCKBUSTERS MADE IN FRANCE
Y a qu'en même un peu autre chose à montrer de la France que la capitale.... et s'il faut compter sur Ridley Scott pour nous montrer un peu de la Province...