Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Trailer d'une mini-série à venir sur Netflix :



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robinne
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Pale a écrit : mer. 20 août 2025 17:24 Image
Acteurs sympas :)
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EL a moyennement apprécié La Nuit des Clowns (2,5 étoiles) :

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La Nuit des Clowns, c’est l’adaptation d’un roman d’Adam Cesare, mais surtout le petit coup de poker du discret Eli Craig, réalisateur du très amusant Tucker et Dale fightent le mal. Avec à peine un million de dollars de budget, il est parvenu à se faire une place au box-office américain, attirant l’attention de la presse. Le slasher mené par Katie Douglas et Aaron Abrams part ce 20 août à la conquête de la France, dans plus de 300 salles ! Notre critique de ce petit phénomène.

OK SLASHER


Avant d’être un micro-budget remarqué, Clown in a Cornfield (le titre original de La Nuit des clowns, moins racoleur) est une réalisation d’Eli Craig. Le bonhomme est surtout connu pour son premier long-métrage, le super-attachant Tucker et Dale Fightent le Mal. Dans cette comédie sortie en 2012, il s’amusait à retourner les clichés du « film de redneck » et par là même les préjugés qui ont fait son succès. On pouvait donc s’attendre à une opération similaire, les clowns du titre étant très mystérieux.

Les traces de second degré sont pourtant rares dans la première partie. C’est dans la deuxième qu’il insuffle plus de comédie dans la formule et révèle son objectif, à savoir se moquer doucement des réacs de tous poils incapables de voir le genre évoluer. Bien que certaines blagues fassent mouche (d’autres non), le film est thématiquement bien plus chiche que Tucker et Dale, qui se transformait carrément en feel good movie dans son dernier tiers.

Certes, Eli Craig et son scénariste Carter Blanchard essaient de donner une dimension supplémentaire aux personnages d’ados crétins qui peuplent habituellement ce type de production. Le redneck chelou n’est pas si chelou, les cool kids irrespectueux ne sont pas si irrespectueux et le love interest n’est pas si intéressé. Le pas de côté est notable, mais sans grande envergure.

LA NUIT DES CLONES

Puisqu’il n’assume pas vraiment son décalage, La Nuit des Clowns est finalement un slasher assez lambda, à ceci près qu’il ressemble plus aux séries B ironiques des années 1990 qu’aux films d’horreur complexés des années 1980 auquel il fait sans cesse référence. Et malheureusement, parmi tous les sous-Scream, il n’est pas le plus amusant. La faute à ce budget microscopique certes, mais également à des séquences d’horreur peu inspirées et à des grosses lourdeurs.

À peine moins rigolo (et presque moins flippant) qu’un Thanksgiving d’Eli Roth par exemple, il se rattrape encore une fois dans un climax assez long, où sont parsemées quelques bonnes idées. On pourrait même lui reprocher de se contredire sur le fond, car à force de mettre en avant les archétype du genre, il finit par s’y complaire jusqu’à éliminer toute trace de tension ou de fun. Si on lui retire son sous-texte, il manque sérieusement de frisson ou de gore pour éviter de tomber dans l’oubli.

Même dans le genre de la clownerie pure, il se fait dépasser par les bisseries gorasses comme Dark Clown ou les œuvres plus radicales comme l’excellent documentaire Wrinkles the Clown. Reste une passion pour le cinoche d’horreur à l’ancienne qui en émouvra certains ou certaines. De toute évidence, Eli Craig a des choses à raconter. Dommage qu’il n’ait pas eu cette fois les moyens de vraiment le faire.

Bien que la deuxième partie relève un peu le niveau de la première, le sous-texte vaguement méta de La Nuit des Clowns ne l’empêche pas de ressembler à un slasher fauché et générique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... oQoO27i27A
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Once Upon a Time 2 : l’énorme budget confirmé par Tarantino sur Netflix

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La future suite de Once Upon a Time… in Hollywood, The Continuing Adventures of Cliff Booth, n’aura pas seulement la particularité d’être mise en scène par David Fincher plutôt que par Quentin Tarantino. Ce sera aussi le plus gros budget de la carrière des deux cinéastes. Et de loin.

Quentin Tarantino en a dit des choses au micro du podcast The Church of Tarantino dont il a, sans surprise, récemment été l’invité. Tarantino y a, entre autres, expliqué pourquoi David Fincher était parfait pour réaliser la suite de Once Upon a Time… in Hollywood, et il a aussi révélé quel film de sa carrière était, selon lui, son chef-d’œuvre. Mais le cinéaste s’est aussi trouvé d’autres raisons de gonfler le jabot, comme le montant du budget alloué par Netflix au futur The Continuing Adventures of Cliff Booth.

Ce film, qui sera donc mis en scène par Fincher mais écrit par Tarantino, prolongera l’histoire du personnage de Brad Pitt dans Once Upon a Time… in Hollywood. A défaut de retrouver Leonardo DiCaprio et Margot Robbie en haut de l’affiche, on devrait y voir Elizabeth Debicki, Scott Caan, Yahya Abdul-Mateen II, Carla Gugino, Timothy Olyphant… Un nouveau projet de la démesure pour lequel Netflix a dépensé sans compter.

Tarantino a beau être un adorateur de la salle de cinéma, ses premiers pas chez Netflix (en tant que scénariste et producteur) semblent l’enchanter, surtout sur le plan financier. Selon ses dires au micro de The Church of Tarantino, le cinéaste ne sait pas encore, à ce stade, si The Continuing Adventures of Cliff Booth aura droit à une petite sortie en salles limitée avant d’arriver sur la plateforme, comme ce fut le cas pour des films comme The Power of the Dog de Jane Campion ou Don’t Look Up d’Adam McKay.

“Ce n’est pas impossible que [Netflix] le fasse, mais ce n’est pas tellement leur façon de faire”, rappelle Tarantino. En revanche, ce dont il est sûr, c’est du budget mis à disposition par la plateforme pour que David Fincher puisse donner vie à son histoire :

“Le budget de ce film que je fais avec Netflix dépasse d’au moins 100 millions le plus gros budget que j’aie jamais eu. C’est un film à 200 millions de dollars.”

Effectivement, le plus gros budget de Tarantino à ce jour était celui de Django Unchained, qui s’élevait à 100 millions de dollars. Venait ensuite Once Upon a Time… in Hollywood avec 90 millions. Mais un budget aussi conséquent est également une grande première pour Fincher, qui avait réalisé L’Étrange Histoire de Benjamin Button pour la coquette somme d’environ 160 millions, mais qui avait signé Millénium pour 90 millions, et Zodiac pour environ 65 millions. Tous les autres films des deux réalisateurs avaient été faits pour encore bien moins que ça.

Pas que ces budgets soient ridicules, mais ils permettent de mettre en lumière à quel point la suite de Once Upon a Time… in Hollywood se fait rincer par la plateforme de streaming. 200 millions, c’est aussi le budget d’un blockbuster à Hollywood. La différence, qui est de taille, c’est que cette enveloppe particulièrement épaisse n’est, ici, pas ternie par les enjeux qui vont habituellement avec. Tarantino explique :

“Le box-office ne compte pas. On s’en tape, on s’en tape complètement. Netflix n’en a rien à faire. Donc c’est un peu comme jouer au poker, mais avec l’argent du casino. On fait juste un film, bon ou pas, mais toute cette merde qui consiste à mettre sa mise en jeu comme à Vegas, ce qui est habituellement le premier pas, n’existe tout simplement pas.”

Le modèle financier de Netflix ne repose effectivement pas sur des calculs aussi “simples” que les sorties salles, qui réclament tout simplement qu’un budget déboursé soit recouvert puis dépassé dans les plus grandes proportions possibles grâce à la vente des tickets. Un modèle dont Tarantino se félicite d’être libéré, au moins pour cette fois :

“[Cet enjeu] est complètement tyrannique si tu ne rafles pas tout [au box-office]. Quand tu gagnes, tu es le roi du pétrole, mais quand tu te fais marcher dessus, ça craint. Là, cette pression s’évapore, elle n’existe tout simplement pas, parce que les spectateurs ont déjà acheté leur ticket à partir du moment où ils ont payé leur abonnement [Netflix].”

Tarantino résume peut-être les choses un peu vite en avançant qu’il est complètement égal à Netflix que le film fonctionne ou pas dès lors que 200 millions de budget ont été déboursés, mais il est certain que la rentabilité d’un film peut être conçue de façon bien différente sur les plateformes et en salles. Reste à voir si, artistiquement parlant, Tarantino restera enthousiaste jusqu’au bout.

Pour ce qui est de la pertinence d’un tel budget, en revanche, Tarantino ne semble pas se poser la question. Fincher, lui, avait déjà fait de la plateforme un refuge, puisqu’il y avait sorti Mank et The Killer, son dernier film en date. Netflix continuera-t-il de se faire terre d’accueil pour les réalisateurs reconnus qui peinent à s’imposer auprès des studios face aux franchises ? Pour voir ce que les 200 millions de The Continuing Story of Cliff Booth donneront à l’écran, rendez-vous en 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/o ... Mk1VI1rr5Q
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Après 28 ans plus tard, Danny Boyle va faire son Succession, avec peut-être deux super acteurs

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Danny Boyle va-t-il aller au bout de sa trilogie 28 Ans plus tard ? En attendant de le savoir, il planche déjà sur son prochain film, qui a des airs de Succession.

Avec 28 Ans plus tard, le cinéaste britannique Danny Boyle est parvenu à convaincre une bonne partie de la presse, plus de vingt ans après le succès de 28 Jours plus tard. Son blockbuster d’horreur kamikaze avec Aaron Taylor-Johnson et Ralph Fiennes aura droit à une suite intitulée The Bone Temple, d’ores et déjà tournée, avec Nia DaCosta à la réalisation et Jack O’Connell dans un rôle… particulier.

Reste à savoir si la trilogie planifiée sera concrétisée. Avec 150 millions de dollars amassés au box-office pour un budget de 60 millions, ce premier opus est loin d’en donner la confirmation. Pas grave : Danny Boyle a déjà un autre projet sur le feu, très, très loin des infectés décérébrés qui l’ont fait connaître. Quoique…

Deadline nous a appris ce 19 août que Boyle a signé pour réaliser Ink, une production Studiocanal, Media Res et House Productions consacrée au magnat de la presse Rupert Murdoch et à son empire. Figure médiatique désormais essentielle au paysage politique américain, Murdoch a débuté son ascension en achetant des tabloïds comme The Sun avant de s’emparer d’une partie de la presse américaine, puis de la télévision, du Wall Street Journal à Fox News, la chaîne pro-républicaine qui a joué un rôle conséquent dans les dernières élections locales.

Régulièrement accusé d’utiliser ses médias pour propager ses idées conservatrices (nul doute qu’il a fait des émules chez nous…), spécialiste des magouilles avec des personnalités politiques, il a déjà inspiré la fiction, notamment la série Succession de la chaîne HBO (le personnage de Logan Roy en particulier). Nul doute qu’Ink (« encre » en français) ne sera pas un portrait hagiographique. La dernière fois que Danny Boyle s’était frontalement attaqué à un personnage influent, c’était dans Jobs, son faux biopic de Steve Jobs.

Le film est adapté d’une pièce de James Graham suivant les aventures du Sun quand Murdoch essayait de redresser la barre pour en faire l’un des journaux les plus lus du pays. Son acquisition a entamé une rivalité avec le concurrent The Mirror qui allait faire exploser l’industrie du tabloïd. Le dramaturge s’occupera lui-même de l’adaptation, produite par Boyle, Tessa Ross, Michael Ellenberg, Tracey Seaward et Tonia Davis. Le tournage devrait débuter en octobre.

Toujours selon les sources de Deadline, deux acteurs seraient pressentis pour les rôles principaux. Guy Pearce serait en pleines discussions pour jouer le magnat, pas si loin du riche commanditaire qu’il incarnait dans The Brutalist. Il y aurait aussi des négociations avec Jack O’Connell pour le rôle de Larry Lamb, engagé par Murdoch pour diriger The Sun en 1969. O’Connell connaît donc bien le réalisateur, puisqu’il avait un petit rôle remarqué dans 28 Ans plus tard et qu’il devrait être au cœur de la suite prévue pour le 14 janvier 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/2 ... _fZttvqqYQ
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EL a modérément apprécié Couic ! (3 étoiles) :

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On l’aura attendu ce Couic ! (ou Fixed ! en VO), et pour plusieurs raisons. Tout d’abord, pour son concept dément de sale gosse, suivant la dernière nuit de débauche d’un chien avant sa castration forcée. Ensuite, parce qu’il s’agit du nouveau film de Genndy Tartakovsky, le génial créateur du Laboratoire de Dexter, de Samouraï Jack ou encore de Primal. Bien loin de sa saga pour enfants Hôtel Transylvanie, le réalisateur utilise l’animation 2D pour exagérer au maximum une dimension cartoon vulgaire et irrévérencieuse. Et enfin, on attendait Couic ! parce que Tartakovsky y songeait depuis 2009, et avait réussi à le concrétiser en 2018 auprès de Sony Animation, jusqu’à ce que le distributeur New Line lâche l’affaire après un changement de direction. Finalement, Netflix a accepté de diffuser le film maudit, désormais entouré d’une certaine aura.

TESTICULOTTÉ ?


Que pouvait-on attendre de Couic !, si ce n’est un objet cradingue et régressif, voulant assurer que non, l’animation n’est pas réservée aux enfants ? Dans un premier temps, on s’amuse de la simplicité de son parti-pris, tendance Fritz le chat : Bull (Adam Devine en VO) aime beaucoup la grand-mère de sa famille d’adoption, et tient à lui faire comprendre par un acte sexuel sur jambe qui tourne bien vite au slapstick total.

Genndy Tartakovsky revient au style qui a fait sa gloire, avec une animation 2D aux contours noirs marqués et aux formes proches de la caricature, qu’il étire et tord dans tous les sens. Il y a dans le film une sorte de fierté à afficher avec autant de frontalité les balloches de son personnage principal, lui-même bien fier d’exhiber ses bijoux de famille, au parc, vers ses petits camarades, pour la plupart dénués de leurs attributs.

C’est drôle, rempli de jeux de mots (« it’s a shit show » « Excuse me, it’s pronounced shih tzu ») et de gags potaches, et il faut bien admettre qu’entendre Idris Elba dans la peau d’un molosse qui a un kink sur les mamelles de chien fait son petit effet. Mais passé ce côté trash, il faut encore raconter quelque chose. Lorsqu’il apprend que son sort est scellé, et que ses maîtres s’apprêtent à l’emmener chez le vétérinaire, Bull décide de fuir avec ses potes. Sauf que la nuit de débauche viriliste plus ou moins vendue par la promo est contrecarrée par les sentiments de Bull envers Chérie (Kathryn Hahn), sa voisine et amie d’enfance, qui s’avère être une chienne de compétition lui semblant inatteignable.

Couic ! est au fond plus romantique qu’il n’y paraît, et même si sa fuck you attitude n’est pas sans rappeler celle de Sausage Party, le film garde en ligne de mire un regard critique sur l’impact de la domestication des animaux. Tout en jouant sur une anthropomorphisation de nos amis à quatre pattes, le scénario s’attarde sur un paradoxe : notre besoin d’humaniser les chiens et leur comportement (l’un des amis de Bull a un compte Instagram et des vêtements) tout en rejetant leur confort de vie au profit du nôtre.

WRECKING BALLS

À ce petit jeu là, Tartakovsky brasse assez large, entre les croisements génétiques qui empêchent les plus petits canidés de survivre dans la nature et l’attrait pour la compétition, qui transforment les chiens en boules de stress névrosées. En découvrant les coulisses du concours de beauté auquel participe Chérie, Bull fait face à un système de prédation capitaliste qu’on a imposé en dehors même de l’espèce humaine, avec l’anxiété et les crises existentielles qui vont avec.

Piste passionnante, si ce n’est qu’on ne sent pas vraiment le film capable d’aller au bout de sa logique anti-spéciste. Quand il réveille les bas instincts des chiens tout en les traduisant par l’apparition de structures humaines (un night club à partouze), Couic ! s’amuse de son décalage, et de son rapport à une bestialité de l’Homme qu’on cache bien trop sous le tapis par souci de pudeur. Mais ça s’arrête là.

Si les équipes de Sony Animation font des merveilles avec ce sens du grotesque qui déforme les corps, défigure les visages et expurge tous types de fluides corporels, le second programme du film, plus analytique, a du mal à se greffer organiquement à son côté carnavalesque. D’où la légère déception qui s’installe, à mesure que l’ensemble enchaîne les péripéties convenues, les blagues plus téléphonées, et un final qui, malgré une résolution de problème amusante, esquive sa problématique initiale.

Rien de rédhibitoire, mais après tout le tintamarre qui a entouré ses coulisses, c’est à se demander si Couic ! ne souffre pas un peu de sa position d’objet d’animation sulfureux. La jouissance (sans mauvais jeu de mots) qui découle de son énergie est bien présente, d’autant que Tartakovsky a toujours ce sens aigu de la cinégénie, mettant en scène des personnages qui valdinguent d’un bord à l’autre de l’écran dès que l’occasion se présente. Reste que ses questionnements sur le bien-être animal se retrouvent sacrifiés sur l’autel de son irrévérence.

Couic ! est disponible sur Netflix depuis le 13 août 2025.

En tant qu’objet affreux, bête et méchant, Couic ! devrait ravir ceux qui attendent de pied ferme les nouveaux épisodes de South Park. On aurait juste aimé que son programme régressif intègre avec plus d’équilibre ses embryons de réflexion sur le spécisme et le traitement des animaux de compagnie.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 6kYx_ylTuA
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Jason Momoa dans un film de pirates à la The Raid : en voilà un projet Amazon qui donne envie

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Jason Momoa pourrait produire et jouer dans un film d’action Amazon décrit comme The Raid, mais sur un bateau pirate. Forcément, ça donne envie.

Pour beaucoup, Jason Momoa reste le Khal Drogo de Game of Thrones, et pour d’autres, le super-héros Aquaman de DC. Pour les plus fins connaisseurs (et les plus vieux d’entre nous), c’est plutôt Jason d’Alerte à Malibu ou Ronon Dex de Stargate Atlantis. Depuis peu, c’est aussi le gars pas drôle en veste rose dans Minecraft et le méchant azimuté qui s’en prend à Vin Diesel et sa famille dans le dernier Fast & Furious. Et bientôt, il incarnera le personnage de Lobo dans Supergirl, ainsi que Blanka dans la nouvelle adaptation de Street Fighter. Enfin, il reviendra dans Dune 3 pour reprendre le rôle de Duncan Idaho, déjà présent dans le premier volet de Denis Villeneuve.

L’acteur hawaïen a donc les deux pieds bien ancrés dans la culture populaire, à tel point qu’il est presque impossible d’être passé à côté de son nom ou de son visage. Ce qui se sait moins, en revanche, c’est que depuis 2014, il opère aussi derrière la caméra, en tant que réalisateur (Road to Paloma) et surtout producteur, notamment de films et séries dans lesquels il a joué : Braven, Frontier, Sweet Girl, The Last Manhunt, The Climb ou On the Roam, une série documentaire qui a d’ailleurs prêté son nom à sa boîte de production.

Malgré un emploi du temps déjà bien surchargé – qui comprend aussi Fast & Furious 11, le film d’action The Wrecking Crew, l’intrigant In the Hand of Dante ou encore la comédie Animal Friends avec Ryan Reynolds –, Jason Momoa a jeté son dévolu sur un autre projet. Et on comprend facilement pourquoi.

D’après Deadline, Amazon MGM Studio a mis la main sur les droits sur The Pirate, un spec script (scénario non commandé que l’auteur cherche ensuite à vendre) écrit par Will Dunn, qui a principalement travaillé sur la série Miss Marvel de Disney+. Toujours d’après le média, David Leitch est en négociation pour produire le film sous la bannière 87North, tout comme Jason Momoa via sa société On the Roam.

David Leitch est notamment connu pour être le réalisateur d’Atomic Blonde, Deadpool 2, Fast & Furious : Hobbs & Shaw, Bullet Train et The Fall Guy. Il était également producteur et/ou producteur exécutif des quatre John Wick (en plus d’être réalisateur non crédité sur le premier), et de quelques « sous-John Wick« , tels que les deux Nobody avec Bob Odenkirk ou Kate avec Mary Elizabeth Winstead.

Pour l’heure rien n’est fait, mais si les négociations aboutissent, David Leitch serait alors pressenti à la réalisation, tandis que Jason Momoa pourrait être la tête d’affiche du projet. Là où ça devient vraiment intéressant, c’est au niveau du pitch.

Les détails du scénario de The Pirate sont encore très flous, mais des sources l’ont décrit à Deadline comme un The Raid (le super film d’action de Gareth Evans avec Iko Uwais), mais sur un bateau pirate, ce qui suffit pour donner l’eau à la bouche. Toutefois, rien ne précise s’il s’agira de flibustiers à la Jack Sparrow, ou de pirates modernes, ce qui serait tout de suite un peu moins attirant. Reste que, sur le papier, la rencontre de The Raid et de David Leitch aurait presque quelque chose de symbolique tant les deux ont, chacun à leur manière, marqué le cinéma d’action ces dernières années.

De son côté, Jason Momoa est en ce moment à l’affiche de la série Apple TV+ Chief of War, qu’il a cocréée et dont il est un des producteurs exécutifs.


https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... sGwoHzByfQ
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... U7huXskbvQ
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robinne
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Pale a écrit : jeu. 21 août 2025 16:57 Image
2 et 7
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robinne a écrit : jeu. 21 août 2025 19:39
Pale a écrit : jeu. 21 août 2025 16:57 Image
2 et 7
Même pas un petit mot du 2 :o
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Pale a écrit : jeu. 21 août 2025 20:14
robinne a écrit : jeu. 21 août 2025 19:39
Pale a écrit : jeu. 21 août 2025 16:57 Image
2 et 7
Même pas un petit mot du 2 :o
Pas un, mais deux : "Très bien" :D
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True Detective saison 5 : Une méga-star géniale pourrait débarquer dans la série HBO

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La saison 5 de True Detective se prépare. Comme à son habitude, HBO pioche dans le haut du panier hollywoodien pour composer son casting.

Célébrée pour sa prodigieuse saison 1, multi-récompensée et adorée par la critique, True Detective incarne parfaitement la série prestigieuse à la HBO. À chaque salve d’épisodes son enquête, sa région des États-Unis et ses personnages torturés, quasi tous incarnés par d’énormes vedettes. La première mettait en scène Matthew McConaughey et Woody Harrelson, la deuxième Colin Farrell et Rachel McAdams, la troisième Mahershala Ali, la quatrième Jodie Foster.

Suite à l’énorme succès de la saison 4 (la plus vue de toute la série), une cinquième est actuellement en préparation, toujours avec Issa López aux commandes. Quelques informations avaient commencé à apparaître dans les médias américains, mais la plus grosse est assurément tombée ce 22 août 2025.

Des sources de Variety ont révélé le nom de celui qui est en discussion pour obtenir le premier rôle de cette nouvelle saison. Et c’est nul autre que Nicolas Cage, l’empereur des cabotins, le fossoyeur de l’actor studio. L’excentrique comédien oscarisé, dont la carrière compte autant de classiques que de séries Z, a mené sa barque du côté du cinéma indépendant ces dernières années, avec Pig, Butcher’s Crossing, Dream Scenario, The Surfer ou encore Longlegs, qui a rencontré un franc succès. Bientôt, on le retrouvera également en Spider-Noir dans la série produite par Amazon-MGM.

Son rôle n’a pas encore été révélé, mais on sait déjà que l’action se déroulera dans la baie de Jamaica, au sud-est de la ville de New York. Les amateurs de cageries espèrent forcément une performance comparable à celle de Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans, où l’acteur jouait un inspecteur shooté et azimuté. À voir s’il aura lui aussi droit à un coéquipier ou si López le laissera bouffer l’écran en toute autonomie.

C’est l’occasion pour lui de revenir plus franchement encore sur le devant de la scène des récompenses hollywoodiennes. Harrelson, McConaughey, Ali et Foster ont tous été nommés aux Emmy Awards pour leurs rôles, la dernière ayant même décroché Emmy et Golden Globe. Nul doute que sa présence attira quelques curieux supplémentaires, dont l’auteur de ces lignes, désormais bien tenté de reprendre son visionnage. Bien joué !


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... m3YW27QavQ
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Pale a écrit : ven. 22 août 2025 17:15 True Detective saison 5 : Une méga-star géniale pourrait débarquer dans la série HBO
J'apprends surtout qu'il y aura une saison 5 :ouch:
Toujours pas vu la 4. Je dois acheter les Blu-ray prochainement :)
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Marche ou crève : les premiers avis (complètement fous) sur le film tiré de Stephen King sont là

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Marche ou crève arrive bientôt en salles, et les avis des internautes américains sur cette nouvelle adaptation de Stephen King sont tombés.

Finalement atterri dans les mains de Francis Lawrence, réalisateur à qui on doit l’essentiel de la saga Hunger Games, le projet Marche ou crève traîne dans les cartons d’Hollywood depuis des dizaines d’années. C’est un petit événement à la fois parce que le projet était réputé maudit, et parce que c’est la première fois que le roman de Stephen King du même nom est adapté sur grand écran (incroyable mais vrai : il existe encore des œuvres de Stephen King qui n’ont pas été adaptées dans tous les sens).

Cette histoire dystopique avec Cooper Hoffman, David Jonsson et Mark Hamill dans laquelle des adolescents participent à une compétition mortelle qui consiste à marcher le plus longtemps sans fléchir sortira en France le 1er octobre, mais la presse américaine a déjà pu découvrir le film et s’exprimer sur les réseaux. Voici les premiers retours Twitter de ce chanceux public.

« Je suis émotionnellement anéantie par l’humanité déchirante de Marche ou crève, qui est le meilleur film de Francis Lawrence. Cooper Hoffman et David Jonsson sont tout à fait remarquables, et JT Mollner a réussi l’impossible au scénario. Tenez vos promesses. Gardez vos amis près de vous. »
@bjcolangelo

« Marche ou crève pourrait bien être le chef-d’œuvre de Francis Lawrence. Un casting survolté mené par Hoffman et Jonsson, deux des meilleurs jeunes acteurs du moment. Politiquement explosif, moralement glauque, émotionnellement déchirant, sinistrement beau. Mollner rend honneur à Stephen King. Je suis soufflé. »
@billbria

« Marche ou crève est dérangeant et obsédant… Je l’ai totalement adoré. David Jonsson et Cooper Hoffman livrent une performance puissante. C’EST LA MEILLEURE DES ADAPTATIONS DE STEPHEN KING !!! »
@tylerdisney12

« Marche ou crève est, jusqu’ici, l’œuvre de Francis Lawrence la plus dystopique, la plus écœurante et la plus épuisante émotionnellement. Chaque membre du casting, qui est fantastique de bout en bout, mérite des éloges, et tout particulièrement l’extraordinaire Ben Wang. C’est une nouvelle confirmation que 2025 est une grande année pour le cinéma d’horreur, et une scène en particulier animera les conversations pour encore LONGTEMPS. N’achetez SURTOUT PAS de popcorn pour aller voir le film. »
@boricuansanta

« Marche ou crève m’a déchiré le cœur. C’est un road trip qui n’est pas un road trip, mais qui est éblouissant, choquant et plein de sens, porté par deux performances absolument parfaites. Cooper Hoffman et David Jonsson étaient faits pour marcher l’un près de l’autre. Que quelqu’un me paye une thérapie !!! »
@lyviescott

« Marche ou crève est l’une des toutes meilleures adaptations de Stephen King jamais faites. 2 heures de crise de panique portées par David Jonsson (qui m’a littéralement fait PLEURER dans mon fauteuil), avec un casting de véritables stars (Tut Nyuot + Charlie Plummer !) qui livrent ici parmi les plus belles performances de l’année. »
@motelsiren

« Marche ou crève est un thriller émouvant et douloureux. L’une des meilleures adaptations de King jusqu’ici. Tout le casting est excellent, mais le vrai moteur, c’est l’alchimie entre David Jonsson et Cooper Hoffman. J’étais au bord des larmes et crispé sur mon siège tout du long. »
@bjntweets

« Marche ou crève est haut la main l’une des claques les plus bouleversantes de l’année. J’ai lu le livre pas mal de fois, et on aurait pu croire que j’étais préparée à encaisser les thèmes de l’histoire et ses moments les plus déchirants. Mais non. Je suis épuisée, le film y a veillé.

On voit que le matériau original a été adapté par quelqu’un qui le comprend parfaitement. Un grand merci à JT Mollner, et aussi au réalisateur Francis Lawrence, de n’avoir pas édulcoré un tant soit peu toute l’horreur de Marche ou crève. Mais ce que j’aime le plus, dans ce film, c’est sa manière d’exprimer beaucoup de choses avec toujours les meilleures des intentions, tout en s’aventurant dans les ténèbres. »

@PNemiroff

« Je peux enfin dire aux gens à quel point Marche ou Crève est excellent. Le personnage de Cooper Hoffman est à la fois complexe tout en permettant de s’identifier, et David Jonsson est tout bonnement incroyable. Ils composent un casting si subtil qu’on peut sentir le danger et la mort tout en percevant l’espoir en chacun. Réussite parfaite. »
@ReelJeffEwing

Même s’il faut toujours prendre les premiers avis sur les réseaux sociaux avec des pincettes, puisqu’on ne sait pas comment ce premier public a été choisi ni les conditions dans lesquelles il a découvert le film, Marche ou crève semble, pour le moment, remporter tous les suffrages.

Pas un seul bémol mentionné à l’horizon de ces quelques tweets (échantillon pioché dans un océan d’éloges), et la plupart de ces spectateurs s’accorde à dire que le film de Francis Lawrence est l’une des meilleures adaptations jamais faites d’un roman de Stephen King (et pourtant, il y en a une sacrée tripotée, avec quelques merveilles dans le tas comme le Shining de Kubrick ou le Carrie de De Palma). Selon eux, c’est un film particulièrement bouleversant et difficile à regarder, avec un casting époustouflant.

Toutes ces années avant de voir enfin Marche ou crève porté à l’écran paieraient-elles enfin à hauteur de l’attente ? Rendez-vous en salles le 1er octobre 2025.


https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... VIjekA6Ngg
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Pale
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ClintReborn
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Pale a écrit : ven. 22 août 2025 17:15 True Detective saison 5 : Une méga-star géniale pourrait débarquer dans la série HBO

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La saison 5 de True Detective se prépare. Comme à son habitude, HBO pioche dans le haut du panier hollywoodien pour composer son casting.

Célébrée pour sa prodigieuse saison 1, multi-récompensée et adorée par la critique, True Detective incarne parfaitement la série prestigieuse à la HBO. À chaque salve d’épisodes son enquête, sa région des États-Unis et ses personnages torturés, quasi tous incarnés par d’énormes vedettes. La première mettait en scène Matthew McConaughey et Woody Harrelson, la deuxième Colin Farrell et Rachel McAdams, la troisième Mahershala Ali, la quatrième Jodie Foster.

Suite à l’énorme succès de la saison 4 (la plus vue de toute la série), une cinquième est actuellement en préparation, toujours avec Issa López aux commandes. Quelques informations avaient commencé à apparaître dans les médias américains, mais la plus grosse est assurément tombée ce 22 août 2025.

Des sources de Variety ont révélé le nom de celui qui est en discussion pour obtenir le premier rôle de cette nouvelle saison. Et c’est nul autre que Nicolas Cage, l’empereur des cabotins, le fossoyeur de l’actor studio. L’excentrique comédien oscarisé, dont la carrière compte autant de classiques que de séries Z, a mené sa barque du côté du cinéma indépendant ces dernières années, avec Pig, Butcher’s Crossing, Dream Scenario, The Surfer ou encore Longlegs, qui a rencontré un franc succès. Bientôt, on le retrouvera également en Spider-Noir dans la série produite par Amazon-MGM.

Son rôle n’a pas encore été révélé, mais on sait déjà que l’action se déroulera dans la baie de Jamaica, au sud-est de la ville de New York. Les amateurs de cageries espèrent forcément une performance comparable à celle de Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans, où l’acteur jouait un inspecteur shooté et azimuté. À voir s’il aura lui aussi droit à un coéquipier ou si López le laissera bouffer l’écran en toute autonomie.

C’est l’occasion pour lui de revenir plus franchement encore sur le devant de la scène des récompenses hollywoodiennes. Harrelson, McConaughey, Ali et Foster ont tous été nommés aux Emmy Awards pour leurs rôles, la dernière ayant même décroché Emmy et Golden Globe. Nul doute que sa présence attira quelques curieux supplémentaires, dont l’auteur de ces lignes, désormais bien tenté de reprendre son visionnage. Bien joué !



https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... m3YW27QavQ
Cela existe encore ? :ouch: Je m'étais arrêté a la saison 1 :D Les saisons 2 et 3 ont des bonnes notes mais la 4 est catastrophique en notations
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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yhi
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Les saisons se valent, c'est juste les gens qui se lassent ou qui trouvent mieux ailleurs.
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ClintReborn
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yhi a écrit : sam. 23 août 2025 14:31 Les saisons se valent, c'est juste les gens qui se lassent ou qui trouvent mieux ailleurs.
Je verrais mais quand un épisode final qui est censé clore la saison est noté à 5,4 il y a eu une sacrée dégringolade.... C 'est aussi catastrophique que les épisodes de Docteur Who depuis que le scénariste principal est parti... :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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J'adore la subtilité des affiches ^^
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Bon petit film d'action, avec une bonne histoire et quelques scènes d'action et de bagnoles bien foutues. C'est pas mal drôle mais aussi (à ma grande surprise) assez dramatique. Samara Weaving est excellente dans le premier rôle (comme toujours), mais également Karl Glusman, à eux deux ils forment un couple assez atypique.

7/10
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Kit
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bon anniversaire à

Vince McMahon 80 ans ancien président de la WWE (catch)
Anne Archer 78 ans actr
Paulo Coelho 78 ans écriv (L'Alchimiste)
Jean-Michel Jarre 77 ans mus (Oxygéne)
Stephen Fry 68 ans act, hum (Blackadder (La Vipère noire), Bones)
Steve Guttenberg 67 ans act (Police Academy (saga), Short Circuit, Cocoon, Faux Témoin, Trois Hommes et un bébé)
Alex O'Loughlin 49 ans act (séries Moonlight, Hawaii 5-0)
Rupert Grint 37 ans act (saga Harry Potter)
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Pale
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J'adore Joachim Trier et j'ai beaucoup aimé Valeur sentimentale même si Oslo, 31 août et Julie (en 12 chapitres) sont mes deux films préférés du réalisateur. Valeur sentimentale m'a semblé un peu moins fluide et plus désordonné mais ça n'en reste pas moins magnifique. Le réalisateur développe une multitude de thèmes (la famille, le temps qui passe, la vieillesse, le cinéma, le métier d'acteur, etc...) et c'est bouleversant la plupart du temps.

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J'ai beaucoup aimé la première partie de Alpha qui à certains égards m'a fait penser à Carrie. Je suis un peu moins fan de la seconde partie, consacrée en partie au personnage de Tahar Rahim, que j'ai trouvé assez confuse et qui perd en intérêt. Cela dit le film propose constamment de belles fulgurances et je l'ai préféré à Titane.

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Comment dire... c'est le pire Pixar de tous les temps à mes yeux. Je comprends pourquoi il s'est vautré lamentablement de la sorte, Elio est un gloubi-boulga insignifiant, indigeste et surtout hystérique qui ne se pose ou respire jamais, j'ai vraiment trouvé ça insupportable la plupart du temps. Contre toute attente, il se passe malgré tout quelque chose durant les 10 dernières minutes durant lesquelles l'émotion est là et sauve le film du naufrage complet.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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En VOD :

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J'avais déjà vu l'affiche sans m'être véritablement attardé dessus, je croyais que c'était une série. Là je découvre que c'est un film et que c'est également réalisé par Chris Columbus :ouch: Vu le réalisateur et le casting, ça devrait être un minimum attrayant.

Le week-end prochain j'envisage également de rattraper Wild Speed Girl.
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Mon programme ciné du mois de septembre :

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Peut-être :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : Une bataille après l'autre

Apparemment Eden sort le 3 septembre en Belgique.
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bon anniversaire à

Tom Skerritt 92 ans (Alien, le huitième passager, Dead Zone, Top Gun, Contact, série Un drôle de shérif ou High Secret City : la ville du grand secret :love2: )
John Badham 86 ans réal (La Fièvre du samedi soir, Wargames, Short Circuit, Étroite Surveillance)
Anthony Heald 81 ans (série Boston Public)
Simon McBurney 68 ans (Le Dernier Roi d'Écosse)
Tim Burton 67 ans réal (Beetlejuice, Batman, Edward aux mains d'argent, Sleepy Hollow, L'Étrange Noël de monsieur Jack)
Blair Underwood 61 ans (L'enfer du devoir, série La Loi de Los Angeles)
Joanne Whalley 64 ans (Willow)
Eric Millegan 51 ans (série Bones)
Alexander Skarsgård 49 ans (Tarzan 2016, Godzilla vs Kong) fils de Stellan Skarsgård
Jonathan Togo 48 ans (série Les experts : Miami)
Rachel Bilson 45 ans :love: (séries Newport Beach, Hart of Dixie :love2: , Take Two, enquêtes en duo)
Blake Lively 38 ans :love: (Adaline :love2: , série Gossip Girl) madame Ryan Reynolds
Natasha Liu Bordizzo 31 ans (série Ahsoka)
China Anne McClain 27 ans (série Black Lightning)
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Ce week-end, je me suis fait une soirée spéciale Alfonso Cuarón :

Les fils de l'homme
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Puis Gravity, en 3D
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Je vous le dis, ce fut une bonne soirée :hot:
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EL a moyennement apprécié Death of a Unicorn (2,5 étoiles) :

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Après American Carnage, sorti en catimini en VOD en 2022, c’est au tour d’une autre comédie d’horreur avec Jenna Ortega d’arriver discrètement en France en vidéo à la demande le 17 août dernier : Death of a Unicorn, également porté par Paul Rudd, Will Poulter, Téa Leoni, Richard E. Grant, Jessica Hynes et Anthony Carrigan. Alex Scharfman signe à l’occasion son premier long-métrage en tant que réalisateur, celui-ci étant davantage connu pour ses productions, telles que House of Spoils ou Resurrection. Malheureusement, si le le film n’est pas non plus honteux, il est bien plus tiède que ce que le pitch ne le promet. ATTENTION : RISQUE DE SPOILERS !

DON’T FUCK WITH UNICORNS


Un coup d’œil sur le titre et l’affiche suffit pour comprendre le concept de la dernière sortie A24 : assombrir, et même pervertir l’imagerie généralement colorée et inoffensive des licornes… comme dans le film d’horreur La Cabane dans les bois, le film de super-héros Shazam 2 ou même Black Moon, un long-métrage réalisé par Louis Malle et sorti en 1975. L’idée n’est donc pas neuve, mais Death of a Unicorn a au moins le mérite de monter d’encore deux ou trois crans dans l’horreur, la violence et la surenchère comique.

Le postulat est même plutôt aguicheur : Elliot (Paul Rudd) et Ridley (Jenna Ortega) renversent une licorne en voiture, la ramènent faute de savoir quoi en faire, et se retrouvent pourchassés par ses parents qui s’avèrent être des créatures démoniaques assoiffées de sang. De quoi accepter le trope éculé de la relation père-fille dégradée vouée à s’améliorer d’ici le générique de fin.

Il a toutefois fallu que le scénario, également écrit par Alex Scharfman, y mêle des riches excentriques (dont un qui est atteint d’un cancer), du sang magique de licorne qui guérit toutes les maladies du monde et une entreprise pharmaceutique avide d’exploiter cette précieuse ressource. Fatalement, tout ça rend le programme beaucoup plus consensuel et attendu qu’escompté.

Au final, le cœur du film n’est pas tant les licornes et leur mythologie, mais bien une énième gentille satire sur les élites déconnectées de la réalité et du reste de l’espèce humaine, ce qui est encore moins original que les licornes.

MY LITTLE PONY OF HELL

En voulant se moquer des membres de la riche famille Leopolds, l’histoire n’a que des personnages unidimensionnels vus et revus à offrir, avec quelques vannes bien trop évidentes, notamment quand le personnage débile de Will Poulter sniffe de la corne de licorne en poudre, qui lui provoque quelques expériences cosmiques colorées. Soudain, le souvenir des leggings imprimés galaxie et des grenouillères licornes nous revient en mémoire, et c’est plus du stress post-traumatique que de la nostalgie des années 2010.

Jenna Ortega joue une jeune fille blasée, mais pas trop, les affres de l’adolescence étant réduits à trois boutons d’acné et une mine bougonne, tandis que Paul Rudd joue une énième variation du papa maladroit, mais aimant. Reste quelques scènes plutôt marrantes et cruelles, comme les mises à mort dans le manoir ou la première attaque des parents licornes, et une fin volontairement ambiguë qui laisse la possibilité d’un dénouement moins banal que tout le reste de l’histoire.

Mettons toutefois les choses au clair : Death of a Unicorn n’est pas un mauvais film en soi, juste une petite déception certainement imputable à des attentes bien trop élevées. C’est du moins le cas pour la rédactrice de ces lignes.

Le fait qu’il soit distribué aux États-Unis par A24 a sûrement inconsciemment joué, le studio étant désormais associé à un cinéma d’auteur et à une exigence supérieure. C’est ce fameux ou fumeux concept d’elevated horror tant débattu dans les sphères cinéphiles. Mais la production, elle, a été assurée par la jeune société Secret Engine, également derrière le film de 2024 Hold your Breath, dont le concept était là encore fort attirant, mais le résultat plutôt faible.

Même s’il n’est pas aussi pertinent, drôle ou méchant qu’il le pourrait, Death of a Unicorn devrait donc au moins divertir un peu le temps d’une soirée, à défaut de réinventer la roue.

Selon si vous voyez le verre à moitié vide ou à moitié plein, Death of a Unicorn sera, au choix, une petite déception tout à fait pardonnable ou bien un divertissement idéal pour passer le temps.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... S0Lcs7mQmQ
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Primitive War : les premiers avis sur le faux Jurassic World gore sont là

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Le film Primitive War, un improbable croisement entre guerre du Viêt-nam et dinosaures déchainés, a débarqué dans les salles américaines. Les premiers retours de la presse sont là.

Imaginez un peloton de soldats en pleine guerre du Viêt-nam, plongé dans une jungle hostile, confronté à des dinosaures assoiffés de sang. Ça pourrait ressembler à un énième nanar signé Roger Corman, à la manière de l’inoubliable (par pour les bonnes raisons) Carnosaur, mais c’est en réalité un concept sérieux, issu de l’imagination de l’écrivain Ethan Pettus, qui en a tiré quatre romans. Le film Primitive War en adapte le premier tome.

Réalisé par Luke Sparke, Primitive War avait teasé dans sa bande-annonce aux allures de série B totalement décomplexée un spectacle régressif à souhait, tout aussi jouissif que réellement débile. Le film est arrivé dans les salles américaines le 21 août 2025. Les critiques sont désormais sorties, et leurs avis oscillent entre fascination pour un film qui assume son style déglingué et le plus complet scepticisme. Revue de presse.

« [Luke Sparke] a fusionné Predator, Jurassic World et Platoon pour livrer ce film de dinosaures en pleine guerre du Viêt-nam, Primitive War. Il sait exactement ce qui fait une bonne vieille série B efficace : un casting investi (notamment Ryan Kwanten et Jeremy Piven) et des effets spéciaux qui vous en donnent pour votre argent. »

Simon Foster – Screen-Space

« Si Platoon et Jurassic Park avaient un enfant, il ressemblerait à Primitive War. Le film offre une bonne dose de « miamtastique fun », un festin généreux de chaos de série B parfaitement assumé et maîtrisé, alors qu’un groupe de soldats américains d’élite, lourdement armés, affronte dans les jungles du Viêt-nam de 1968 des dinosaures avides de pourchasser et de dévorer des humains. »

Jim Schembri – jimschembri.com

« Au-delà du simple plaisir de voir une petite production oser autant et réussir à toucher juste, le film assume pleinement les codes du genre les plus bruts, ce qui illustre parfaitement pourquoi ce type de blockbuster est si amusant à suivre, tout en montrant qu’il y a une véritable intention et un sens derrière toutes les explosions et scènes gore. »

Cain Noble-Davies – FILMINK

« [Primitive War] est un film de série B palpitant et bourré d’action, qui relègue Jurassic World Rebirth loin derrière. […] Contrairement à dans Jurassic World Rebirth, les dinosaures entrent en scène pour affronter les humains dès les trente premières minutes, et le film ne fait pas de quartier sur la violence graphique. »

Avi Offer – NYC Movie Guru

« Dans l’ensemble, ce film d’action pompeux ne parvient jamais vraiment à trouver le bon équilibre pour réussir un mélange aussi audacieux. »

Peter Gray – The AU Review

« Honnêtement, je suis impressionné par tout ce qu’ils ont réussi à tirer d’un budget manifestement limité. Bien sûr, tous les effets ne sont pas parfaits, et avec plus de temps et d’argent, certains détails auraient sans doute été corrigés. Mais j’ai vu des productions à gros budget échouer là où ce film atteint ses objectifs. »

Brian MacNamara – TLDRreviews

« En dépit de l’action continue – des soldats qui courent et tirent tout en esquivant des assauts préhistoriques – Primitive War se révèle étonnamment inerte. […] Le mash-up échoue sur les deux tableaux, donnant lieu à un film d’action violent avec des dinosaures, davantage intéressé par les clichés éculés et une bande-son nostalgique que par le plaisir d’une vraie série B.«

Meagan Navarro – Bloody Disgusting

Primitive War a tout de la curiosité cinématographique qui va clairement diviser. Les amateurs de B-movies sanglants seront sûrement comblés par le chaos jubilatoire proposé par le film. Pour d’autres, il pêchera par ses excès de sérieux et son incapacité à pleinement exploiter son concept totalement halluciné.

Pour le moment, Primitive War n’a aucune date de sortie prévue en France. À n’en pas douter, il est taillé pour faire un carton en VOD et en streaming.


https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... d84PqRL0JA
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Pale
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Le box-office US de ce week-end :

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https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw

Alors voici une dinguerie : KPop Demon Hunters qui est devenu un phénomène sur Netflix a eu droit à une sortie limitée aux USA en version karaoké... et ça cartonne et surtout ça génère des séances particulières.

Exemple :



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Pale
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La folie KPop Demon Hunters : après Netflix, il explose tout au box-office aux États-Unis

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Le film phénomène KPop Demon Hunters a eu droit à une sortie limitée au cinéma, et c’est une grosse victoire pour Netflix au box-office.

C’est la success story du moment : KPop Demon Hunters s’est imposé depuis sa sortie le 20 juin comme l’un des plus gros succès de l’histoire de Netflix. Produit par le studio Sony Animation (les films Spider-Verse, mais aussi Les Mitchell contre les machines) avec un partenariat de diffusion avec le N rouge, le long-métrage réalisé par Maggie Kang et Chris Appelhans raconte l’histoire du trio de K-pop Huntr/x, stars de la musique le jour et chasseuses de démons la nuit. Une manière comme un autre de surfer sur l’attrait de la culture sud-coréenne en dehors de ses frontières (et dans le cas de Netflix, encore plus depuis le succès de Squid Game).

La réalisatrice a expliqué vouloir apporter de son héritage coréen dans une production animée mêlant musique et mythologie, et le combo a visiblement dépassé les attentes. A moins que l’on estime la chose très calibrée, entre ses élans pop et chorégraphiques parfaitement adaptés à des edits sur TikTok, et ses cases cochées par rapport aux trends du moment. Cela étant dit, ces considérations ne sont rien face au succès du film, y compris au cinéma, ce qui est rare pour la plateforme de streaming.

Exceptionnellement, Netflix a décidé d’organiser sur le sol américain (et sur 1 700 écrans, ce qui n’est pas rien) une sortie limitée de KPop Demon Hunters au week-end du 22 au 24 août, qui plus est dans une version karaoké. Ils ont bien fait, parce qu’en plus des nombreux témoignages évoquant un effet de communion au moment des chansons (que de nombreux spectateurs connaissent déjà par cœur), beaucoup de séances ont affiché complet.

Le problème, c’est que Netflix, qui ne propose jamais de véritables sorties en salles, ne partage pas ses scores au box-office. Néanmoins, grâce aux estimations de professionnels de l’industrie et des exploitants, le film phénomène aurait récolté entre 18 et 20 millions de dollars sur le week-end. Il est par définition le premier sur cette période, mettant ainsi fin au règne d’Évanouis, arrivé deuxième avec 15,6 millions de dollars pour son troisième week-end d’exploitation.

Il s’agit surtout du plus gros succès jamais enregistré par Netflix sur grand écran, devant les 15 millions que À couteaux tirés 2 avait amassé en l’espace de cinq jours en 2022. Preuve en est que la plateforme peut tirer de ses acquisitions de l’argent facile au cinéma, malgré sa relation farouche avec les salles obscures. Il faut dire que la chaîne AMC a refusé de sortir KPop Demon Hunters en signe de protestation face à la politique du service de SVoD, puisque le film était déjà disponible sur Netflix en parallèle de sa présence en salles.

D’autant que le N rouge n’a pas soudainement perçu la valeur de l’expérience commune sur grand écran. Comme certains le pressentaient, cette sortie limitée a surtout été un coup de pub, annonçant que la version karaoké de KPop Demon Hunters serait disponible sur Netflix dès ce lundi 25 août. Malheureusement, cette victoire au box-office n’est bien qu’une anomalie. Sur ce film précis, Netflix a vu le potentiel de cette sortie événementielle, mais cette « règle brisée », comme l’a titré Variety, ne risque pas de devenir une habitude.

Encore récemment, la plateforme a subi une fuite des cerveaux et un mécontentement des artistes face à cette absence d’une vraie fenêtre de sortie au cinéma. C’est en partie pour cela que les frères Duffer, créateurs de Stranger Things, viennent de signer un contrat avec Paramount, tandis que Rian Johnson, le créateur de la saga A couteaux tirés, a pesté quand il a appris qu’A couteaux tirés 3 n’aurait pas droit à mieux que son prédécesseur sur grand écran. Greta Gerwig, de son côté, a en partie gagné : Narnia sortira exceptionnellement au cinéma, en IMAX, en 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/f ... T_SDQ8hvCA
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robinne
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Pale a écrit : lun. 25 août 2025 17:09Alors voici une dinguerie : KPop Demon Hunters qui est devenu un phénomène sur Netflix a eu droit à une sortie limitée aux USA en version karaoké... et ça cartonne et surtout ça génère des séances particulières.

Exemple :



Ca donne envie, ces gens qui chantent et qui se filment chanter :sarcastic:

J'espère que la salle d'à côté ne diffuse pas Sans un bruit (1 ou 2) :D
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robinne a écrit : lun. 25 août 2025 18:03 J'espère que la salle d'à côté ne diffuse pas Sans un bruit (1 ou 2) :D
:lol:
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Kit
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NaughtyDog a écrit : mar. 26 août 2025 16:28
Ça a l'air très fun.
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Ça sent fort le tournage en studio quand même.
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Pale a écrit : mar. 26 août 2025 16:55

Ca (se) passe à Deauville ?
Dédicace pour les amateurs de jeux de mots, tels @Kit et @Prisoner :D
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Kit
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robinne a écrit : mar. 26 août 2025 18:09
Pale a écrit : mar. 26 août 2025 16:55

Ca (se) passe à Deauville ?
Dédicace pour les amateurs de jeux de mots, tels @Kit et @Prisoner :D
merci pour la dédicace même si je ne comprends pas :humm:
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Kit a écrit : mar. 26 août 2025 18:36
robinne a écrit : mar. 26 août 2025 18:09
Pale a écrit : mar. 26 août 2025 16:55

Ca (se) passe à Deauville ?
Dédicace pour les amateurs de jeux de mots, tels @Kit et @Prisoner :D
merci pour la dédicace même si je ne comprends pas :humm:
Idem mais je pense qu'il fait référence à ces cabines :

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