NaughtyDog a écrit : ↑ven. 19 déc. 2025 12:18
Encore + aimé Avatar 3 au 2nd visionnage
Probablement le blockbuster le plus techniquement pointu jamais fait
Et alors vraiment si vous pouvez voir ça en IMAX 3D et HFR c'est sidérant (dire que les blu rays ne proposent pas le HFR c'est terrible, ça contribue vraiment a la mise en scene de Cameron)
Mon cinéma Pathé le plus proche le propose en Dolby 3D, ça passe tout de même ?
Pour moi c'est un grand non. L'émerveillement a laissé place à l'ennui. Il n'y a rien de plus ou presque de ce qu'on a déjà vu dans les deux premiers. Je me souviens que j'avais trouvé le second un peu long par moments mais il développait considérablement l'univers, ce qui n'est pas le cas ici. La longueur du film est un supplice, durée 3h17 -> ressenti 10h40. C'est tellement long et lent que j'en avais plus rien à foutre du climax. Climax qui reprend le même schéma que celui du 1 et 2. Les gentils ont l'avantage, ensuite ils se font dominer jusqu'à ce que quelque chose de miraculeux se produise. Le film propose des plans et des scènes identiques aux deux premiers, c'est parfois limite du foutage de gueule. Les seuls trucs qui m'ont un tant soit peu impressionné sont la scène de sauvetage dans la base humaine et le combat final dans le champ d'énergie. Ce sont les deux moments que j'ai trouvé un tant soit peu novateurs. Bref peut-être que je serais plus clément lors d'un second visionnage mais en l'état ce fût un moment assez pénible.
J'ai pas les mots pour décrire la claque que je viens de me prendre devant ce film. Les premières minutes m'ont fait craindre le pire, c'est du pur WTF en puissance mais une fois passé ce cap, le reste est une dinguerie d'une créativité absolue où l'on passe par absolument toutes les émotions. Franchement je m'attendais pas à éprouver un tel bonheur, immense film.
J'ai pas les mots pour décrire la claque que je viens de me prendre devant ce film. Les premières minutes m'ont fait craindre le pire, c'est du pur WTF en puissance mais une fois passé ce cap, le reste est une dinguerie d'une créativité absolue où l'on passe par absolument toutes les émotions. Franchement je m'attendais pas à éprouver un tel bonheur, immense film.
De mon côté j’ai découvert Blanche Neige version 2025, no comment...
Film d'aventure à l'ancienne que j'ai beaucoup aimé. On dirait un film des années 90 (le film aurait pu sortir tel quel à cette époque je pense), il y a un côté cheap/désuet/old school mais c'est ce qui fait son charme.
Submersion en version française. Il faut imaginer un croisement entre Le Jour d'après, Edge of Tomorrow et Oxygène. La mise en scène et le scénario sont exceptionnels, ça retourne bien le cerveau et émotionnellement c'est très fort également.
Submersion en version française. Il faut imaginer un croisement entre Le Jour d'après, Edge of Tomorrow et Oxygène. La mise en scène et le scénario sont exceptionnels, ça retourne bien le cerveau et émotionnellement c'est très fort également.
J’ai prévu de le voir et ton avis me donne encore plus envie de le découvrir.
J’ai également découvert ce film vendredi
Retitré "Un Noël sans fin" par chez nous. Un slasher moyen, et même si certaines scènes sont bien sanglantes j’ai eu du mal à pleinement rentrer dans le film, principalement à cause de baisses de rythme bien trop nombreuses.
À noter que la star de Influencer(s), Cassandra Naud, y tient un petit rôle
La scène d'intro happe directement pour la tension qui s'en dégage et j'avoue avoir été surpris par les 15-20 premières minutes qui se posent là niveau intensité et gravité. Je m'attendais à une comédie d'action ultra légère alors que Les Orphelins se montre parfois très dramatique et tendu. La deuxième partie bascule davantage dans le gros film d'action à la Balle perdue et les poursuites, fusillades et bastons s'enchainent. C'est extrêmement bien foutu mais j'avoue avoir une préfèrence pour la première partie que j'ai trouvé plus intense. Sinon j'ai beaucoup aimé la performance de la jeune actrice Sonia Faidi, la grosse révélation du film. Elle livre une performance à fleur de peau. Bref une très bonne surprise que ce film me concernant.
robinne a écrit : ↑dim. 21 déc. 2025 18:46
J'ai un dilemme pour demain soir : L'échelle de Jacob ou L'agent secret
C'est très simple, tu vas voir L'échelle de Jacob car tu n'auras probablement plus cette occasion et tu vas voir L'agent secret quelques jours plus tard
robinne a écrit : ↑dim. 21 déc. 2025 18:46
J'ai un dilemme pour demain soir : L'échelle de Jacob ou L'agent secret
C'est très simple, tu vas voir L'échelle de Jacob car tu n'auras probablement plus cette occasion et tu vas voir L'agent secret quelques jours plus tard
J'ai peur que L'agent secret ne soit plus en salles quand je reviendrai de congés
Mais bon, c'est une belle occasion d'aller voir en salle L'échelle de Jacob. Je crois que je vais faire ça
Evil Dead Burn sera « le plus violent et brutal de la saga » selon son réalisateur français
Sébastien Vaniček, réalisateur de Vermines et du prochain Evil Dead, a parlé d’Evil Dead Burn après la fin de son tournage.
On était très heureux de découvrir en 2023 Vermines, le long-métrage capable de rendre arachnophobe même votre pote chelou qui élève des bestioles venimeuses en terrarium. Diablement efficace et maîtrisé, ce premier film d’horreur était en effet plus que prometteur. C’est pas seulement nous qui le pensons, c’est Sam Raimi (rien que ça), le créateur de la mythique trilogie Evil Dead, qui a choisi le jeune Français pour réaliser Evil Dead Burn, le prochain opus de la saga horrifique.
Alors, on est aussi très heureux d’apprendre que le tournage en Nouvelle-Zélande de ce long-métrage qu’il a scénarisé avec Florent Bernard (réalisateur de Nous, les Leroy et co-présentateur du FloodCast) est désormais terminé, et que la sortie se rapproche. On savait déjà que Souheila Yacoub y incarnerait une Française aux États-Unis, mais le réalisateur en a récemment dit plus à propos de son dernier bébé sanguinolent.
Dans un entretien exclusif avec Première, le cinéaste n’a pas mâché ses mots. Selon ses dires, le film devrait envoyer du très lourd :
« C’est un film d’horreur et de survie sur une temporalité très réduite, avec un côté course contre la montre. Ce qui n’empêche pas des moments de relâchement : il y a sans doute plus d’humour que dans le remake de Fede Alvarez, pour autant on s’en rapproche côté horreur. C’est peut-être le moins sanglant des Evil Dead, mais sans doute le plus violent et brutal. Disons que je vise plus le malaise de la fameuse scène des dents sur le trottoir d’American History X que l’hémoglobine à outrance. »
Ça ne paraît pas une mince affaire d’être « le plus violent » des Evil Dead. On commence à se demander si on a vraiment envie de le voir (si, si, quand même).
S’il n’a pas souhaité dévoiler davantage l’intrigue d’Evil Dead Burn, sans doute astreint par la production à respecter un calendrier promotionnel scrupuleusement planifié, Sébastien Vaniček s’est tout de même attardé sur le titre, qui promet de faire monter la température :
« [Il y aura] beaucoup de feu, du vrai, ce qui offre énormément de textures et de jeux de lumière à l’écran. Une bonne partie de Burn est éclairée à la flamme. Et ce que ça crée sur les peaux ne peut pas être reproduit en effets spéciaux numériques. »
Autant dire qu’il n’en fallait pas plus pour finir de nous donner envie de se jeter sur le film. Un peu de patience tout de même, Evil Dead Burn sortira le 22 juillet 2026 en salles.
robinne a écrit : ↑dim. 21 déc. 2025 18:46
J'ai un dilemme pour demain soir : L'échelle de Jacob ou L'agent secret
C'est très simple, tu vas voir L'échelle de Jacob car tu n'auras probablement plus cette occasion et tu vas voir L'agent secret quelques jours plus tard
J'ai peur que L'agent secret ne soit plus en salles quand je reviendrai de congés
Mais bon, c'est une belle occasion d'aller voir en salle L'échelle de Jacob. Je crois que je vais faire ça
EL a moyennement apprécié Submersion (2,5 étoiles) :
S’il avait embrassé à 100% son statut de survival étouffant, Submersion aurait pu être une référence du genre sur Netflix. Malheureusement, plombé par une structure narrative inutilement alambiquée et des explications qui tuent l’émotion, Submersion finit par se noyer sous ses propres ambitions.
C'est très simple, tu vas voir L'échelle de Jacob car tu n'auras probablement plus cette occasion et tu vas voir L'agent secret quelques jours plus tard
J'ai peur que L'agent secret ne soit plus en salles quand je reviendrai de congés
Mais bon, c'est une belle occasion d'aller voir en salle L'échelle de Jacob. Je crois que je vais faire ça
Bon et finalement ?
Ce fut L’échelle de Jacob.
Et je ne m’attendais pas à ça (le lien avec la guerre du Vietnam)
Pluribus n’est pas seulement la confirmation du génie narratif de Vince Gilligan, c’est une œuvre radicale qui redéfinit les contours de la science-fiction télévisuelle moderne. Portée par une Rhea Seehorn impériale, cette première saison est un voyage intérieur dévastateur et brillant dont on ne ressort pas indemne.
Anaconda : les premiers avis sur le remake bizarre de Jack Black sont arrivés
Après avoir dynamité le mythe de Nicolas Cage avec Un talent en or massif, le réalisateur Tom Gormican s’attaque à l’Anaconda le plus célèbre du nanar avec un duo Paul Rudd/Jack Black, pour un résultat qui divise déjà la critique.
Paul Rudd, Jack Black et Tom Gormican sont fans du film Anaconda. Chouette, nous aussi, mais sans doute pas pour les mêmes raisons. Le film original de 1997, pur nanar généreux, mettait en scène une Jennifer Lopez en quête de reconnaissance cinématographique et un Ice Cube en roue libre (bien avant sa prestation dans l’horrible La Guerre des Mondes). Sans oublier un Jon Voight qui avait manifestement vu de la lumière et qui est entré pour offrir une performance suintante. Tout ça pour un film élevé au rang de culte chez les amateurs de série B.
Vingt-huit ans plus tard, Jack Black et Paul Rudd incarnent deux potes cinéphiles décidant de tourner leur propre version d’Anaconda avec une poignée de dollars au fin fond de l’Amazonie. Évidemment, la réalité rattrape la fiction lorsqu’un véritable reptile géant décide de s’inviter sur le plateau de fortune pour transformer le tournage en buffet à volonté. Comédie méta, faux reboot ou pseudo-remake, le film vient d’être diffusé aux États-Unis, et les premiers avis de la presse américaine sont enfin tombés. Revue de presse.
« Il serait sans doute excessif de qualifier le Anaconda de Sony de film le plus drôle de l’année, mais à titre personnel, c’est clairement le cas. »
Pete Hammond – Deadline
« Anaconda vise ce juste milieu délicat : suffisamment irrévérencieux pour faire rire les adultes, mais assez familial pour que les enfants passent un bon moment avec leurs parents. C’est drôle, inoffensif, et ça apporte une touche ludique à une formule bien connue, même si le serpent a toujours l’air furieusement faux. »
Ethan Anderton – SlashFilm
« Anaconda bénéficie sans doute ici d’une certaine indulgence, tant les comédies de studio sont devenues rares en salles. À une autre époque, le film se serait facilement noyé dans la vague des relectures postmodernes façon The Brady Bunch ou Starsky & Hutch. Son intrigue réserve peu de surprises, mais la simplicité de ses bases et de ses motivations laisse à Paul Rudd et Jack Black un terrain de jeu suffisamment large pour faire le show. Au final, on passe un moment plutôt agréable. »
Matt Schimkowitz – The A.V. Club
« Rudd et Black arrivent à rendre ce nouvel Anaconda plutôt crédible en tant que comédie agrémentée de quelques scènes de créature aux effets spéciaux un peu patauds, mais le film n’est pas vraiment une comédie horrifique. »
Jesse Hassenger – The Guardian
« Anaconda avait sur le papier, et dans ses bases, de quoi devenir un véritable petit bijou du remake méta. Le casting est solide, le film dégage même une sincérité inattendue, mais cela ne suffit pas à le sauver d’un rythme poussif et de sous-intrigues inutiles… le tout englouti par les mâchoires d’un serpent géant qui, ironie suprême, brille surtout par son absence à l’écran. »
Aidan Kelley – Collider
« Hélas, la star d’Anaconda la plus mal traitée est aussi la plus essentielle : le serpent. »
Mark Hanson – Slant Magazine
« Tom Gormican, le réalisateur de Un Talent en or massif, s’empare une fois de plus d’un concept méta au fort potentiel comique, mais cette satire mollassonne avec des acteurs vaniteux, des cinéastes illuminés et des licences recyclées sans vergogne finit très vite par s’essouffler. »
Tim Grierson – Screen Daily
« Ce nouvel Anaconda passe tellement de temps à commenter l’absurdité même de son idée de faire un nouvel Anaconda qu’il en oublie tout simplement d’en faire un bon film.«
William Bibbiani – The Wrap
« Le film aurait cruellement gagné à injecter un peu de cette énergie anarchique et férocement autocritique façon Tonnerre sous les tropiques. Le seul véritable pari tenté ici consiste à demander à Sony et, au passage, aux éventuels survivants du casting d’origine, de se moquer d’eux-mêmes, ce qui atteint vite ses limites tant le film est totalement dépourvu de mordant. »
Peter Debruge – Variety
Avec un tout petit score de 44/100 sur MetaCritic, le film a eu du mal à convaincre. La presse souligne majoritairement l’alchimie entre Paul Rudd et Jack Black, dont le sens de l’autodérision sauve le film du naufrage parodique complet. La mise en scène de Tom Gormican, déjà rodé à l’exercice du méta avec Un talent en or massif, parvient, a priori, à rendre un hommage sincère au film original. Les critiques saluent généralement une comédie absurde qui ne se prend jamais au sérieux, et qui offre des séquences d’action gores plutôt surprenantes.
Cependant, certains critiques pointent du doigt un concept méta qui s’essouffle rapidement passé la première demi-heure. L’humour parfois envahissant de Jack Black et un serpent en CGI dont la qualité oscille entre le correct et le franchement médiocre ont refroidi les plumes de la presse spécialisée, laissant un goût d’inachevé malgré l’énergie communicative de son casting de luxe.
Rendez-vous le 31 décembre 2025 pour l’arrivée de ce « nouveau » Anaconda dans les cinémas français.
EL n'a pas trop aimé La femme de ménage (2 étoiles) :
La Femme de ménage version Paul Feig ressemble plus à un livre audio illustré qu’à l’adaptation cinématographique d’un roman. On croirait presque voir le réalisateur lire en suivant attentivement chaque ligne avec le doigt.
J'ai peur que L'agent secret ne soit plus en salles quand je reviendrai de congés
Mais bon, c'est une belle occasion d'aller voir en salle L'échelle de Jacob. Je crois que je vais faire ça
Bon et finalement ?
Ce fut L’échelle de Jacob.
Et je ne m’attendais pas à ça (le lien avec la guerre du Vietnam)
Les vacances d'été, le temps qui s'étire, les affres de l'adolescence, l'ennui, l'ingratitude, les premiers émois, on retrouve tout ça dans ce méconnu Smooth Talk, film qui a probablement inspiré Sofia Coppola. C'est un des premiers rôles principaux de Laura Dern, elle est absolument brillante. Quant à Treat Williams, il fait basculer le film dans une intensité et une noirceur absolues, sa performance est impressionnante. Bref immense coup de cœur pour cette incroyable pépite des années 80.
J'avais bien aimé le premier mais cette suite est une merde absolue. La première partie fait encore illusion mais ensuite le film sombre dans le nanar intersidéral. Pour commencer, les acteurs ont l'air d'avoir 2 de tension mais ils ne sont pas aidés par leurs personnages neurasthéniques dont toutes les décisions ou réactions sont bien évidemment aux fraises. Mais ils ne sont pas aidés non plus par le scénario qui est d'une connerie abyssale où tout s'enchaine n'importe comment. C'est un peu comme si un magicien sortait des conneries plus grosses les unes que les autres de son chapeau et à ce titre la fin atteint des sommets de débilité. Certaines facilités sont également à mourir de rire.
Pale a écrit : ↑mer. 24 déc. 2025 18:01
EL n'a pas trop aimé La femme de ménage (2 étoiles) :
La Femme de ménage version Paul Feig ressemble plus à un livre audio illustré qu’à l’adaptation cinématographique d’un roman. On croirait presque voir le réalisateur lire en suivant attentivement chaque ligne avec le doigt.
J'hésite un peu à le voir disons que l’histoire me tente moins que de voir les deux actrices
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
J'ai terminé Ça : Bienvenue à Derry. Après un début tonitruant, j'avoue avoir eu du mal par la suite. Comme je l'avait dit, la plupart des scènes horrifiques sont trop grand-guignolesques mais ce qui m'a le plus déplu, c'est le nombre hallucinant de carences/facilités scénaristiques et narratives. J'ai eu du mal aussi avec la plupart des personnages. Ceux-ci ne font que se hurler dessus constamment, c'est parfois très pénible. J'ai souffert pour arriver jusque la fin mais j'avoue que le dernier épisode a plutôt de la gueule , en particulier la seconde partie qui m'a bien tenu en haleine et pour le coup il y a quelques visuels vraiment impressionnants. Bref je suis mitigé dans l'ensemble mais tout n'est pas à jeter pour autant.
Maintenant je vais pouvoir me consacrer à la dernière saison de Stranger Things.
