Clairement certains CGI piquent un peu, mais pas grave l'intérêt est ailleurs et l'ambiance reste intacte à mon goût.
Zefurin a écrit : ↑lun. 6 sept. 2021 13:10
Mais je me souviens avoir été conquis lorsque Jennifer Conelly chante dans le night club. J'en ai pas parlé aux parents lors de notre visionnage, mais je suis tombé amoureux à jamais de cette femme à l'âge de 9 ans.
Techniquement, je suis tombé amoureux de Jennifer Connelly en 91 en salle devant Rocketeer. J'avais 7 ou 8 ans.
Mais pour Dark City, j'avais 15 balais, ce n'était plus tout à fait les mêmes émois.
[youtube]MIvWZ8iF6CI[/youtube]
Soit dit en passant, ce n'est absolument pas elle qui chante en réalité mais Anita Kelsey.
Zefurin a écrit : ↑lun. 6 sept. 2021 13:10
J'ai toujours été déçu que Projas ne retrouve pas le coup de génie qu'il a eu sur Dark City (il faudrait que je vois The Crow un de ces quatre).
En fait j'étais allé voir Dark City à l'époque parce que j'étais archi fan de The Crow (qui fait aussi partie des films que j'ai le plus vu dans ma vie).
C'était la seule raison qui m'a poussé à aller en salle à l'époque, et je suis devenu un gros fan de Proyas à partir de là.
Malheureusement, la suite de sa carrière n'a pas été franchement à la hauteur. Faut dire aussi que Proyas n'a jamais vraiment su trouver sa place à Hollywood et jamais
Même si avec le recul, je trouve "I Robot" est plus intéressant que la plupart des blockbusters de la dernière décennie (même si c'est une insulte au Cycle des Robots de Asimov) et que "Prédictions" était maladroit mais avec quand même quelques sacrées scènes.
Bon "Gods of Egypt", je n'ai aucune excuse par contre.
A l'époque, Proyas avait un forum sur son site officiel, que je suivais assiduement et j'avais aussi échangé quelques messages avec lui.
Il est criant qu'il n'a jamais su s'adapter et a pris en grippe le système hollywoodien très vite.
Le problème c'est que c'est un très bon faiseur, mais qui n'a jamais su accepter d'avoir une autorité autour de lui.
"I, Robot", dans lequel il place quasi tous les placements produits dans les 5 premières minutes du film, c'était une première forme de rebellion.