Le Cercle des profileurs disparus
J’avais pourtant cru comprendre que…
C’est vrai que c’est bizarre… je ne sais pas trop quoi en penser : d’un côté, j’aime le film de Robbins/Wise, et d’un autre côté, j’aime bien Spielberg…ClintReborn a écrit : ↑mer. 27 oct. 2021 18:59Ma réaction n'a été qu'un long et profond soupir![]()
Soupir des remakes en plus d'un archi classique... Soupir pour un spielberg qui n'a plus d'imagination
![]()
J'ai jamais compris le délire d'un réalisateur qui aime tellement un film qu'il faut absolument qu'il le refasse
![]()
Je trouve que c’est une bonne nouvellePale a écrit : ↑jeu. 28 oct. 2021 14:50 Sans un bruit 3 : le réalisateur Jeff Nichols abandonne la suite de la saga d'horreur
Le film Sans un bruit 3 a perdu son réalisateur Jeff Nichols, qui lâche la production pour se consacrer à un autre projet de science-fiction.
[…] Deadline a cependant récemment annoncé que Jeff Nichols s'est détaché du projet à l'amiable, pour se concentrer à la place sur un autre projet de science-fiction chez la Paramount, dont on ne connaît ni le titre, ni le casting, ni même le pitch de départ.[…]

Excellent

Mais ça manque cruellement d’originalitéPale a écrit : ↑jeu. 28 oct. 2021 15:11La qualité des derniers Liam Neeson est quand même meilleureClintReborn a écrit : ↑jeu. 28 oct. 2021 15:07J'aime bien cette phrase d'intro qui résume une carrière a la Bruce Willis![]()
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C’est quoi ?
Méconnaissable

- ClintReborn
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Pour Jared Leto vu qu'il a toujours des cheveux longs c'est surement un gros maquillage par dessus il a du en baver pendant des heures pour mettre une prothèse crédible



Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
- NaughtyDog
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Escape from Mogadishu est le nouveau métrage de Ryoo Seung-wan, et le moins qu'on puisse dire c'est que ça déménage
après Veteran et Battleship Island, le réal revient encore avec un très très bon film
Ce qui me surprendra toujours chez les coréens est cette capacité à mixer les genres même dans un drama politico-historique
Ici, on suit 2 familles d'ambassade (une de Corée du Nord, une autre du Sud) en pleine guerre civile somalienne en 1990.
En résulte un film encore une fois superbement mis en scène, et qui comme Battleship Island, dévie pour embrasser le genre à bras le corps : il y a de l'humour très bien fichu, de l'action qui dépote (on flirte même avec le survival post-apocalyptique) et une vraie justesse dans les émotions !
C'est très bon et c'est dommage que le reste du public ne pourra le découvrir sur grand écran !
4/5
EL n'a pas aimé Army of Thieves (1 étoile) :

Vous n'en vouliez pas ? Vous l'aurez quand même ! Avec Zack Snyder's Justice League, le metteur en scène de Watchmen quittait le navire DC l'esprit tranquille. Il s'était alors consacré à Army of the Dead, film Netflix de braquage et de zombies censé être délirant, mais tout juste divertissant. Et puis vint dans l'esprit de quelques dérangés, les yeux pétillants face au succès colossal du film, d'en faire un spin-off (en vrai, il était même prévu avant le succès). Ainsi débarque Army of Thieves, film de braquage et de zombies, mais sans les zombies et plus de mongolisme. Un petit calvaire réalisé par Matthias Schweighöfer. Attention mini-spoilers !
ZOMBIE MAIS PAS TROP
Resituons. Vous finissez votre séance d'Army of the Dead, rassasié pour la journée de flingues, de zombies gogo-dancers et de mauvais accents latino, qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Nous n'allons évidemment pas lister l'étendue des possibilités, mais on peut affirmer sans trop se mouiller que vouloir un spin-off à ce que vous venez de voir n'est même pas dans les 500 premières options de la liste. Et pourtant, Netflix en a jugé autrement.
Alors on soupire un peu d'ennui, mais on se dit que tout espoir n'est pas totalement perdu, qu'il peut encore y avoir des choses à raconter sur cet univers de zombies... jusqu'à ce qu'on voit qu'Army of Thieves n'a aucunement l'intention, de près ou de loin, de parler de zombies. On soupire encore plus fort en se demandant qui est le protagoniste de tout ça, dans la pléthore de clichés qui servaient de casting.
Et on constate que c'est Matthias Schweighöfer, aka Ludwig Dieter, aka le blondinet allemand qui écoute du Beethoven tout en forçant des coffres, qui va se la jouer Casa de Papel. Et là, on perd déjà toute foi en l'humanité en se posant la question : "À quoi bon ?". À quoi bon faire un spin-off/prequel autour de ce dandy foldingo dont on se fout totalement ?
Et comme les producteurs et Netflix n'ont aucune réponse non plus à nous donner, ça restera un des grands mystères de l'univers. Alors on se lance les bras ballants jusqu'à son petit écran, avec ce frisson qui parcourt l'échine, celui qui nous alerte qu'on est prêt à troquer le peu d'estime de soi qu'il nous reste contre l'espoir d'un soubresaut de divertissement, sitôt évanoui à la fin du visionnage.
Et quelle n'est pas notre surprise en découvrant qu'Army of Thieves, c'est des bastons effrénées avec un simili-Dave Bautista (en la personne, cette fois, de Stuart Martin) ; des ralentis et des gros plans - non pas sur des zombies, mais sur des mécanismes de coffre -; et des montages alambiqués pour montrer un plan d'action avant son application. On l'aura compris : le film est exactement le même que son prédécesseur sauf que, faute d'excentricité dans le concept, rien des folies qui s'y trouvent ne fait jaillir ne serait-ce qu'un brin d'euphorie.
Et quand ce n'est pas simplement repompé sur Army of the Dead, ça l'est sur d'autres films. Lorsqu'on nous présente l'équipe qui accompagnera Ludwig, on n'est même pas épargné de ce volet de présentation avec le nom du personnage, des couleurs pétantes, et un flashback rigolo pour le caractériser (souvenir traumatique de Suicide Squad, dont la promotion d'Army of the Dead semblait déjà tirer une certaine inspiration, d'ailleurs).
On suit les aventures de cette troupe de voleurs dans des couloirs de banque encore plus vides que ceux d'un bureau de poste après 17h et à des agents de sécurité trop bigleux pour ne pas voir des caricatures de bandits en plein braquage. Le film est aussi gratiné d'un Jonathan Cohen avec un trop gros déficit d'autorité pour être crédible, en officier d'Interpol.
Il y incarne un antagoniste moins menaçant que la team Rocket de Pokémon, ayant toujours un cran de retard sur les braqueurs. C'est d'autant plus triste pour l'acteur et son rôle que les protagonistes forment une gigantesque bande de guignols que le scénario ne respecte pas (on y reviendra).
Avec de telles lacunes et de telles platitudes, on ne s'étonnera donc pas d'apprendre que l'acteur principal, bien plus comédien que metteur en scène (il n'a fait que co-réaliser d'autres films), soit le réalisateur de Army of Thieves. Prenant les miettes laissées par Army of the Dead, son film est en cabotinage constant, à faire le zouave dans l'espoir d'attirer l'œil d'un spectateur déjà bien désabusé par le premier film.
ARMY OF META
Et encore, si ce n'était qu'affaires de repompage et de sujet inintéressant... Army of Thieves, c'est plus qu'une bande d'archétypes mal huilés qu'on peine à qualifier de "personnages". Ce sont des archétypes qui ont conscience d'en être, qui font de la psychanalyse et qui s'en gaussent. Pour ainsi dire, le film verse dans le méta les trois quarts du temps. Pas une seule séquence, comique comme (prétendument) sérieuse, n'est pas un puits à références gratuites d'autres films, ou des remarques qui surlignent les sentiments des personnages.
Avec un rythme aussi dysfonctionnel qu'un Venom : Let There Be Carnage, le film s'auto-parodie constamment. On étouffe de consternation sous les assauts de cet humour abrutissant. Et quand on croit que le film ne fera pas plus gênant, il nous démontre aussitôt le contraire. Plusieurs exemples peuvent nous traverser l'esprit quand on a eu le malheur de regarder le bousin, mais quelques-uns sont assez éloquents.
On pense à l'explication du nom du personnage campé par Stuart Martin, Brad Cage : "C'est comme si Brad Pitt et Nicolas Cage, deux grosses stars de films d'action, avaient conçu un enfant ensemble". Ou Ludwig qui déglutit d'angoisse en disant à voix haute "GLOUPS" pour être repris par son interlocutrice "Tu as vraiment dit GLOUPS en plus de déglutir ? Ne le fais plus, c'est vraiment gênant"... Et, sans surprise, il le refera plus tard (c'est sans doute le plus gros pay-off du film, d'ailleurs).
La mention spéciale "tuez-moi" revient à Brad Cage, tout conscient qu'il est d'être une parodie de héros de film d'action américain, dire : "Peut-être que je ne suis pas le héros de l'histoire... mais le méchant", avant de voir Ludwig hurler comme un teubé parce qu'il s'est cassé le poignet en tentant de lui mettre une pichenette sur le nez. Ajoutez à cela le gars nerveux parce que c'est un véritable fifou du volant et une hackeuse qui porte des couettes parce qu'elle est toute nerd dans sa tête, et votre cerveau est au bord de la liquéfaction.
Le pire, c'est que si tout cela était traité comme de la série Z bien assumée, on en rigolerait. Mais la colonne vertébrale du film se veut on ne peut plus sérieuse, avec ce blondinet en peine d'adrénaline avec sa petite vie de banquier, qui va être entraîné dans une aventure qui le dépasse pour "grandir". Enfin, autant que faire se peut, pour quelqu'un qui saute au plafond et se jette son café brûlant à la figure dès qu'il entend une mouche voler.
En somme, le film d'action se moque d'être un film d'action tout en tombant dans les poncifs du film d'action. C'est là que l'on comprend que les auteurs derrière cette soupape d'informations pour QI négatif se croient vraiment subversifs, capables de canaliser et de maîtriser le sarcasme de leur film. Spoiler : ils ne le sont pas. Il y a même plus de chances pour que des léopards sous LSD délivrent un film plus équilibré. On est presque tenté de croire qu'ils savaient l'étron qu'ils tenaient, mais qu'ils ont préféré faire de leur film l'allégorie du "plus c'est gros plus ça passe".
ÉTENDRE AVEC DU VIDE
Army of Thieves, c'est l'histoire d'un homme dont on croyait que le nom est Ludwig Dieter, mais en fait ce n'est qu'un "pseudonyme d'artiste" dissimulant les peines de Sebastian Schlencht-Wöhnert, un banquier qui rêve de percer des coffres plutôt que de les ouvrir à ses clients. En se faisant recruter par Gwendoline (Nathalie Emmanuel), il doit se mesurer à trois des quatre coffres conçus par un génie dont on ne retiendra jamais le nom.
Et le quatrième coffre, il est dans le Las Vegas zombifié de Army of the Dead. Non, ce n'est pas un spoiler, le nom du quatrième coffre était déjà cité dans la scène de recrutement de Ludwig dans Army of the Dead, et est répété au début de Army of Thieves. Pourquoi on ne s'en souvient pas ? Sûrement parce qu'on s'en fiche un peu beaucoup de ce non-twist. Ce qui est censé faire la jonction entre les deux films ne sera jamais traité comme la suite du combat existentiel de Ludwig.
Vous trouviez certaines connexions du MCU ridicules et gratuites ? Préparez-vous à revoir à la baisse votre jugement : Army of Thieves est là pour vous rappeler que Marvel, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher, a des scénaristes. Comme quoi, ce n'est pas donné à tout le monde, et certainement pas à des productions qui doivent coûter la centaine de millions de dollars sur Netflix.
Le film essaye désespérément de rappeler qu'on est dans un univers de zombies, par des postes de télévision ou des cauchemars (de Ludwig) injectés à la truelle dans le montage (et qui sont ensuite décortiqués dans toute l'introspection-méta abjecte de miss Geek à couettes). Sans doute parce qu'il sait que, sans ces rappels, on n'aurait même pas pris la peine de regarder ce film, qui ne se suffit pas à lui-même. Et la fiesta n'est même pas finie après ça, quand on sait qu'un autre spin-off, Army of the Dead : Lost Vegas, est dans les cartons tout autant que la suite Planet of the Dead. Joie.
Army of Thieves est disponible depuis le 29 octobre 2021 sur Netflix en France
Army of Thieves est le spin-off inutile d'un univers qu'on ne voyait déjà pas s'étendre. Sans aucun équilibre entre le premier et le second degré, le film est une annihilation neuronale, capable de nous rendre nostalgique de Army of the Dead.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1635498001

Vous n'en vouliez pas ? Vous l'aurez quand même ! Avec Zack Snyder's Justice League, le metteur en scène de Watchmen quittait le navire DC l'esprit tranquille. Il s'était alors consacré à Army of the Dead, film Netflix de braquage et de zombies censé être délirant, mais tout juste divertissant. Et puis vint dans l'esprit de quelques dérangés, les yeux pétillants face au succès colossal du film, d'en faire un spin-off (en vrai, il était même prévu avant le succès). Ainsi débarque Army of Thieves, film de braquage et de zombies, mais sans les zombies et plus de mongolisme. Un petit calvaire réalisé par Matthias Schweighöfer. Attention mini-spoilers !
ZOMBIE MAIS PAS TROP
Resituons. Vous finissez votre séance d'Army of the Dead, rassasié pour la journée de flingues, de zombies gogo-dancers et de mauvais accents latino, qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Nous n'allons évidemment pas lister l'étendue des possibilités, mais on peut affirmer sans trop se mouiller que vouloir un spin-off à ce que vous venez de voir n'est même pas dans les 500 premières options de la liste. Et pourtant, Netflix en a jugé autrement.
Alors on soupire un peu d'ennui, mais on se dit que tout espoir n'est pas totalement perdu, qu'il peut encore y avoir des choses à raconter sur cet univers de zombies... jusqu'à ce qu'on voit qu'Army of Thieves n'a aucunement l'intention, de près ou de loin, de parler de zombies. On soupire encore plus fort en se demandant qui est le protagoniste de tout ça, dans la pléthore de clichés qui servaient de casting.
Et on constate que c'est Matthias Schweighöfer, aka Ludwig Dieter, aka le blondinet allemand qui écoute du Beethoven tout en forçant des coffres, qui va se la jouer Casa de Papel. Et là, on perd déjà toute foi en l'humanité en se posant la question : "À quoi bon ?". À quoi bon faire un spin-off/prequel autour de ce dandy foldingo dont on se fout totalement ?
Et comme les producteurs et Netflix n'ont aucune réponse non plus à nous donner, ça restera un des grands mystères de l'univers. Alors on se lance les bras ballants jusqu'à son petit écran, avec ce frisson qui parcourt l'échine, celui qui nous alerte qu'on est prêt à troquer le peu d'estime de soi qu'il nous reste contre l'espoir d'un soubresaut de divertissement, sitôt évanoui à la fin du visionnage.
Et quelle n'est pas notre surprise en découvrant qu'Army of Thieves, c'est des bastons effrénées avec un simili-Dave Bautista (en la personne, cette fois, de Stuart Martin) ; des ralentis et des gros plans - non pas sur des zombies, mais sur des mécanismes de coffre -; et des montages alambiqués pour montrer un plan d'action avant son application. On l'aura compris : le film est exactement le même que son prédécesseur sauf que, faute d'excentricité dans le concept, rien des folies qui s'y trouvent ne fait jaillir ne serait-ce qu'un brin d'euphorie.
Et quand ce n'est pas simplement repompé sur Army of the Dead, ça l'est sur d'autres films. Lorsqu'on nous présente l'équipe qui accompagnera Ludwig, on n'est même pas épargné de ce volet de présentation avec le nom du personnage, des couleurs pétantes, et un flashback rigolo pour le caractériser (souvenir traumatique de Suicide Squad, dont la promotion d'Army of the Dead semblait déjà tirer une certaine inspiration, d'ailleurs).
On suit les aventures de cette troupe de voleurs dans des couloirs de banque encore plus vides que ceux d'un bureau de poste après 17h et à des agents de sécurité trop bigleux pour ne pas voir des caricatures de bandits en plein braquage. Le film est aussi gratiné d'un Jonathan Cohen avec un trop gros déficit d'autorité pour être crédible, en officier d'Interpol.
Il y incarne un antagoniste moins menaçant que la team Rocket de Pokémon, ayant toujours un cran de retard sur les braqueurs. C'est d'autant plus triste pour l'acteur et son rôle que les protagonistes forment une gigantesque bande de guignols que le scénario ne respecte pas (on y reviendra).
Avec de telles lacunes et de telles platitudes, on ne s'étonnera donc pas d'apprendre que l'acteur principal, bien plus comédien que metteur en scène (il n'a fait que co-réaliser d'autres films), soit le réalisateur de Army of Thieves. Prenant les miettes laissées par Army of the Dead, son film est en cabotinage constant, à faire le zouave dans l'espoir d'attirer l'œil d'un spectateur déjà bien désabusé par le premier film.
ARMY OF META
Et encore, si ce n'était qu'affaires de repompage et de sujet inintéressant... Army of Thieves, c'est plus qu'une bande d'archétypes mal huilés qu'on peine à qualifier de "personnages". Ce sont des archétypes qui ont conscience d'en être, qui font de la psychanalyse et qui s'en gaussent. Pour ainsi dire, le film verse dans le méta les trois quarts du temps. Pas une seule séquence, comique comme (prétendument) sérieuse, n'est pas un puits à références gratuites d'autres films, ou des remarques qui surlignent les sentiments des personnages.
Avec un rythme aussi dysfonctionnel qu'un Venom : Let There Be Carnage, le film s'auto-parodie constamment. On étouffe de consternation sous les assauts de cet humour abrutissant. Et quand on croit que le film ne fera pas plus gênant, il nous démontre aussitôt le contraire. Plusieurs exemples peuvent nous traverser l'esprit quand on a eu le malheur de regarder le bousin, mais quelques-uns sont assez éloquents.
On pense à l'explication du nom du personnage campé par Stuart Martin, Brad Cage : "C'est comme si Brad Pitt et Nicolas Cage, deux grosses stars de films d'action, avaient conçu un enfant ensemble". Ou Ludwig qui déglutit d'angoisse en disant à voix haute "GLOUPS" pour être repris par son interlocutrice "Tu as vraiment dit GLOUPS en plus de déglutir ? Ne le fais plus, c'est vraiment gênant"... Et, sans surprise, il le refera plus tard (c'est sans doute le plus gros pay-off du film, d'ailleurs).
La mention spéciale "tuez-moi" revient à Brad Cage, tout conscient qu'il est d'être une parodie de héros de film d'action américain, dire : "Peut-être que je ne suis pas le héros de l'histoire... mais le méchant", avant de voir Ludwig hurler comme un teubé parce qu'il s'est cassé le poignet en tentant de lui mettre une pichenette sur le nez. Ajoutez à cela le gars nerveux parce que c'est un véritable fifou du volant et une hackeuse qui porte des couettes parce qu'elle est toute nerd dans sa tête, et votre cerveau est au bord de la liquéfaction.
Le pire, c'est que si tout cela était traité comme de la série Z bien assumée, on en rigolerait. Mais la colonne vertébrale du film se veut on ne peut plus sérieuse, avec ce blondinet en peine d'adrénaline avec sa petite vie de banquier, qui va être entraîné dans une aventure qui le dépasse pour "grandir". Enfin, autant que faire se peut, pour quelqu'un qui saute au plafond et se jette son café brûlant à la figure dès qu'il entend une mouche voler.
En somme, le film d'action se moque d'être un film d'action tout en tombant dans les poncifs du film d'action. C'est là que l'on comprend que les auteurs derrière cette soupape d'informations pour QI négatif se croient vraiment subversifs, capables de canaliser et de maîtriser le sarcasme de leur film. Spoiler : ils ne le sont pas. Il y a même plus de chances pour que des léopards sous LSD délivrent un film plus équilibré. On est presque tenté de croire qu'ils savaient l'étron qu'ils tenaient, mais qu'ils ont préféré faire de leur film l'allégorie du "plus c'est gros plus ça passe".
ÉTENDRE AVEC DU VIDE
Army of Thieves, c'est l'histoire d'un homme dont on croyait que le nom est Ludwig Dieter, mais en fait ce n'est qu'un "pseudonyme d'artiste" dissimulant les peines de Sebastian Schlencht-Wöhnert, un banquier qui rêve de percer des coffres plutôt que de les ouvrir à ses clients. En se faisant recruter par Gwendoline (Nathalie Emmanuel), il doit se mesurer à trois des quatre coffres conçus par un génie dont on ne retiendra jamais le nom.
Et le quatrième coffre, il est dans le Las Vegas zombifié de Army of the Dead. Non, ce n'est pas un spoiler, le nom du quatrième coffre était déjà cité dans la scène de recrutement de Ludwig dans Army of the Dead, et est répété au début de Army of Thieves. Pourquoi on ne s'en souvient pas ? Sûrement parce qu'on s'en fiche un peu beaucoup de ce non-twist. Ce qui est censé faire la jonction entre les deux films ne sera jamais traité comme la suite du combat existentiel de Ludwig.
Vous trouviez certaines connexions du MCU ridicules et gratuites ? Préparez-vous à revoir à la baisse votre jugement : Army of Thieves est là pour vous rappeler que Marvel, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher, a des scénaristes. Comme quoi, ce n'est pas donné à tout le monde, et certainement pas à des productions qui doivent coûter la centaine de millions de dollars sur Netflix.
Le film essaye désespérément de rappeler qu'on est dans un univers de zombies, par des postes de télévision ou des cauchemars (de Ludwig) injectés à la truelle dans le montage (et qui sont ensuite décortiqués dans toute l'introspection-méta abjecte de miss Geek à couettes). Sans doute parce qu'il sait que, sans ces rappels, on n'aurait même pas pris la peine de regarder ce film, qui ne se suffit pas à lui-même. Et la fiesta n'est même pas finie après ça, quand on sait qu'un autre spin-off, Army of the Dead : Lost Vegas, est dans les cartons tout autant que la suite Planet of the Dead. Joie.
Army of Thieves est disponible depuis le 29 octobre 2021 sur Netflix en France
Army of Thieves est le spin-off inutile d'un univers qu'on ne voyait déjà pas s'étendre. Sans aucun équilibre entre le premier et le second degré, le film est une annihilation neuronale, capable de nous rendre nostalgique de Army of the Dead.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1635498001
John Wick : le spin-off féminin a peut-être trouvé sa nouvelle tueuse dans le dernier James Bond

Alors que le projet semblait mort et enterré, Ballerina, le spin-off féminin de John Wick, a enfin une actrice en vue pour incarner la nouvelle tueuse à gages après son rôle dans le dernier James Bond.
Après le succès du premier John Wick de 2014, Lionsgate a transformé sa très sympathique série B d'action en franchise comprenant deux suites déjà sorties en salles, et deux autres en préparation, mais aussi une mini-série préquelle, The Continental, qui reviendra sur l'ascension de Winston dans le monde du crime. Et si on pouvait penser que le spin-off féminin Ballerina resterait au point mort - le projet étant en développement depuis 2017 et sans nouvelles concrètes depuis 2019 - le studio n'a visiblement pas lâché son idée d'introduire une nouvelle assassine dans l'univers du tueur à gages.
Deadline a en effet rapporté que l'actrice Ana de Armas était en négociations pour décrocher le rôle principal, décrit comme une jeune tueuse cherchant à se venger des personnes qui ont assassiné sa famille. Le scénario que doit écrire Shay Hatten (John Wick 3, 4 et 5) est encore très flou, mais on imagine que cette ballerine encore anonyme sortira de l'école d'assassines dirigée par La Directrice, le personnage d'Anjelica Huston dans Parabellum.
Même si Keanu Reeves ne devrait pas apparaître dans le film, du moins pas après son caméo attendu, l'actrice cubano-espagnole s'est fait connaître aux États-Unis à ses côtés, dans le thriller érotique (et bien naze) Knock Knock. Après des rôles plus identifiés dans Blade Runner 2049 et À couteaux tirés, elle a plus récemment marqué les esprits en jouant dans le dernier James Bond, Mourir peut attendre, où elle incarne un des personnages féminins les plus intéressants de la saga malgré sa brève apparition. Une entrée remarquée dans le cinéma d'action qui paraît donc se poursuivre avec le film que doit réaliser Len Wiseman (Die Hard 4 : Retour en enfer, Underworld)
Pour l'instant rien n'est confirmé, si ce n'est notre enthousiasme à l'idée de revoir l'actrice vider des chargeurs et savater des méchants. Dans un genre bien différent, Ana de Armas incarnera également l'iconique Marilyn Monroe dans le film Blonde réalisé par Andrew Dominik et distribué sur Netflix. Elle sera aussi à l'affiche du prochain thriller d'action de Netflix The Gray Man des frères Russo, dans lequel elle retrouvera Chris Evans après le whodunit de Rian Johnson.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635491102

Alors que le projet semblait mort et enterré, Ballerina, le spin-off féminin de John Wick, a enfin une actrice en vue pour incarner la nouvelle tueuse à gages après son rôle dans le dernier James Bond.
Après le succès du premier John Wick de 2014, Lionsgate a transformé sa très sympathique série B d'action en franchise comprenant deux suites déjà sorties en salles, et deux autres en préparation, mais aussi une mini-série préquelle, The Continental, qui reviendra sur l'ascension de Winston dans le monde du crime. Et si on pouvait penser que le spin-off féminin Ballerina resterait au point mort - le projet étant en développement depuis 2017 et sans nouvelles concrètes depuis 2019 - le studio n'a visiblement pas lâché son idée d'introduire une nouvelle assassine dans l'univers du tueur à gages.
Deadline a en effet rapporté que l'actrice Ana de Armas était en négociations pour décrocher le rôle principal, décrit comme une jeune tueuse cherchant à se venger des personnes qui ont assassiné sa famille. Le scénario que doit écrire Shay Hatten (John Wick 3, 4 et 5) est encore très flou, mais on imagine que cette ballerine encore anonyme sortira de l'école d'assassines dirigée par La Directrice, le personnage d'Anjelica Huston dans Parabellum.
Même si Keanu Reeves ne devrait pas apparaître dans le film, du moins pas après son caméo attendu, l'actrice cubano-espagnole s'est fait connaître aux États-Unis à ses côtés, dans le thriller érotique (et bien naze) Knock Knock. Après des rôles plus identifiés dans Blade Runner 2049 et À couteaux tirés, elle a plus récemment marqué les esprits en jouant dans le dernier James Bond, Mourir peut attendre, où elle incarne un des personnages féminins les plus intéressants de la saga malgré sa brève apparition. Une entrée remarquée dans le cinéma d'action qui paraît donc se poursuivre avec le film que doit réaliser Len Wiseman (Die Hard 4 : Retour en enfer, Underworld)
Pour l'instant rien n'est confirmé, si ce n'est notre enthousiasme à l'idée de revoir l'actrice vider des chargeurs et savater des méchants. Dans un genre bien différent, Ana de Armas incarnera également l'iconique Marilyn Monroe dans le film Blonde réalisé par Andrew Dominik et distribué sur Netflix. Elle sera aussi à l'affiche du prochain thriller d'action de Netflix The Gray Man des frères Russo, dans lequel elle retrouvera Chris Evans après le whodunit de Rian Johnson.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635491102
- ClintReborn
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"Une force mystérieuse provoque la chute de la Lune, qui menace de s'écraser sur la Terre. Cadre de la NASA et ancienne astronaute, Jo Fowler pense avoir la solution pour empêcher cette catastrophe qui provoquerait l'extinction de l'Humanité. Mais peu de gens croient en elle, hormis un ancien collègue astronaute, Brian Harper, ainsi qu'un théoricien du complot nommé K. C. Houseman. "



Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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C'est toujours plaisant un bon gros film catastrophe made in EmmerichClintReborn a écrit : ↑ven. 29 oct. 2021 14:55 "Une force mystérieuse provoque la chute de la Lune, qui menace de s'écraser sur la Terre. Cadre de la NASA et ancienne astronaute, Jo Fowler pense avoir la solution pour empêcher cette catastrophe qui provoquerait l'extinction de l'Humanité. Mais peu de gens croient en elle, hormis un ancien collègue astronaute, Brian Harper, ainsi qu'un théoricien du complot nommé K. C. Houseman. "
Il refait une variante du scénario de son film 2012... La recette habituelle catastrophe + complotiste + scientifique
Venant d'Emmerich cela ne m’étonne pas mais c'est de plus en plus honteux
![]()

- ClintReborn
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C'est aujourd'hui que commence le ZEVENT en France 



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Oh, une BX

Merci

C’est quoi ? Une nouvelle série ?

- ClintReborn
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https://zevent.fr/
Hérault : 51 streamers, 50 heures de direct et un concert, le marathon caritatif Zevent démarre à La Grande-Motte
L'an dernier, il a rapporté plus de 5,7 millions d'euros de dons. Jusqu'à dimanche, au palais des congrès de La Grande-Motte, le Zevent, toujours piloté par le Montpelliérain Zerator, revient pour 50 heures de défis en direct sur Twitch. 51 streamers lèveront des fonds pour Action Contre La Faim.
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 12194.html
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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J’ai lu l’article et je ne comprends toujours pas ce qu’ils vont faire pendant 50 heuresClintReborn a écrit : ↑ven. 29 oct. 2021 20:27C'est le regroupement de streameurs pour une association c'est le grand téléthon de l'internet avec les stars du web en gros
https://zevent.fr/
Hérault : 51 streamers, 50 heures de direct et un concert, le marathon caritatif Zevent démarre à La Grande-Motte
L'an dernier, il a rapporté plus de 5,7 millions d'euros de dons. Jusqu'à dimanche, au palais des congrès de La Grande-Motte, le Zevent, toujours piloté par le Montpelliérain Zerator, revient pour 50 heures de défis en direct sur Twitch. 51 streamers lèveront des fonds pour Action Contre La Faim.
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 12194.html


- ClintReborn
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Tu es décidément trop vieux pour cette générationrobinne a écrit : ↑sam. 30 oct. 2021 09:44J’ai lu l’article et je ne comprends toujours pas ce qu’ils vont faire pendant 50 heuresClintReborn a écrit : ↑ven. 29 oct. 2021 20:27C'est le regroupement de streameurs pour une association c'est le grand téléthon de l'internet avec les stars du web en gros
https://zevent.fr/
Hérault : 51 streamers, 50 heures de direct et un concert, le marathon caritatif Zevent démarre à La Grande-Motte
L'an dernier, il a rapporté plus de 5,7 millions d'euros de dons. Jusqu'à dimanche, au palais des congrès de La Grande-Motte, le Zevent, toujours piloté par le Montpelliérain Zerator, revient pour 50 heures de défis en direct sur Twitch. 51 streamers lèveront des fonds pour Action Contre La Faim.
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit : ↑sam. 30 oct. 2021 10:27Tu es décidément trop vieux pour cette générationrobinne a écrit : ↑sam. 30 oct. 2021 09:44J’ai lu l’article et je ne comprends toujours pas ce qu’ils vont faire pendant 50 heuresClintReborn a écrit : ↑ven. 29 oct. 2021 20:27
C'est le regroupement de streameurs pour une association c'est le grand téléthon de l'internet avec les stars du web en gros
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Hérault : 51 streamers, 50 heures de direct et un concert, le marathon caritatif Zevent démarre à La Grande-Motte
L'an dernier, il a rapporté plus de 5,7 millions d'euros de dons. Jusqu'à dimanche, au palais des congrès de La Grande-Motte, le Zevent, toujours piloté par le Montpelliérain Zerator, revient pour 50 heures de défis en direct sur Twitch. 51 streamers lèveront des fonds pour Action Contre La Faim.
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Ce sont des joueurs/animateurs/créateurs d'émissions de jeux vidéos et c'est donc ce qu'ils font pendant les 50 heures avec aussi des défis, quizz etc
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Comme l'an passé, à bloc pendant 3 jours


Un Scott Cooper assez mineur, surtout après le chef d’œuvre Hostiles. Cela dit ça se mate sans souci, Affamés est un bon film fantastique qui vaut principalement pour son ambiance et son cadre, celui d'une Amérique profonde et pauvre et qui n'est pas sans rappeler The Secret de Pascal Laugier.

J'appréhendais ce spin-off mais au final j'ai adoré, quelle bonne surprise. Matthias Schweighöfer n'a évidemment pas la maestria d'un Zack Snyder sur le plan technique mais j'ai trouvé ce préquel vraiment meilleur que Army of the Dead. Autant je n'étais pas fan de Ludwig Dieter dans le Snyder mais ici il est excellent et j'ai vraiment apprécié tous les autres personnages, le réalisateur leur donne suffisamment de chair pour que l'on s'y attache. Les 2 heures passent bien, c'est vraiment un beau condensé d'humour, d'émotions et de suspense, certaines scènes tiennent véritablement en haleine. Même la bande-originale est cool. Ah et puis Nathalie Emmanuel est tout simplement divine

Modifié en dernier par Pale le lun. 1 nov. 2021 08:29, modifié 1 fois.
En passe de réussir les 10 millions d'€. C'est fou !




Ah sacré Álex de la Iglesia. Balada Triste est très loin de mes films préférés du réalisateur mais j'ai apprécié dans l'ensemble. Grosse préférence pour la première partie malgré tout car ensuite ça vire au n'importe quoi total, la seconde partie est bordélique et foutraque comme pas permis. Cette seconde partie est sauvée par un final complètement dingue et vertigineux.
Modifié en dernier par Pale le mar. 2 nov. 2021 09:18, modifié 1 fois.
Vu :

J'ai pas vu le premier mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier cette suite. J'avoue m'être bien marré, les situations sont drôles et bien ficelées et c'est une aubaine pour les acteurs qui s'en donnent à cœur joie.

Last Night in Soho était ma plus grosse attente de l'année et le film répond à mes attentes. Ce nouveau Edgar Wright est une immense claque sur le plan visuel et sonore, certaines scènes provoquent de purs frissons. Cependant j’émets une réserve sur le fait que le réalisateur pêche un peu trop par excès de gourmandise. Ça se ressent notamment durant la fin qui est assez indigeste à mes yeux tellement Wright veut trop en faire. Cela dit, l'expérience vaut quand même le détour, c'est une sacrée virée londonienne et temporelle à laquelle nous convie le réalisateur.

J'ai pas vu le premier mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier cette suite. J'avoue m'être bien marré, les situations sont drôles et bien ficelées et c'est une aubaine pour les acteurs qui s'en donnent à cœur joie.

Last Night in Soho était ma plus grosse attente de l'année et le film répond à mes attentes. Ce nouveau Edgar Wright est une immense claque sur le plan visuel et sonore, certaines scènes provoquent de purs frissons. Cependant j’émets une réserve sur le fait que le réalisateur pêche un peu trop par excès de gourmandise. Ça se ressent notamment durant la fin qui est assez indigeste à mes yeux tellement Wright veut trop en faire. Cela dit, l'expérience vaut quand même le détour, c'est une sacrée virée londonienne et temporelle à laquelle nous convie le réalisateur.
Alors, on va tenter


Film avec Leonardo Di Caprio, qui passera sur Netflix. Je ne connais pas le titre

Denzel Washington dans ??

Le film d’un des 2 frères Coen ?
Le prochain Spidreman. Le numéro 6 ?

Le film de Ridley Scott sur Gucci ; sortie dans 1 semaine ou 2. House of Gucci ?
West Side Story, le remake du chef-d’œuvre par Steven Spielberg, sortie en décembre.
Alors là, je ne vois pas… Dr Strange 2 ?
John Wick ou Matrix 4

- ClintReborn
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John wick dans matrix 4 cela pourrait être un scénario a lui tout seul 

Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Tu as presque tout bon

C'est tout à fait ça, The Tragedy of Macbeth.Denzel Washington dans ??
Le film d’un des 2 frères Coen ?
Presque, le 8Le prochain Spidreman. Le numéro 6 ?

Non, c'est Bradley Cooper dans le nouveau del Toro.Alors là, je ne vois pas… Dr Strange 2 ?
MatrixJohn Wick ou Matrix 4

Hyperion : Bradley Cooper surfe sur la vague Dune et relance l'adaptation du roman de SF culte

Grâce à la brèche ouverte par Dune, Hyperion, le roman de SF culte de Dan Simmons, va enfin connaître son adaptation avec Bradley Cooper à la production.
Un curieux vent souffle sur Hollywood depuis cet automne, entre la sortie de Dune sur grand écran et celle de Fondation sur le petit par le biais d'Apple TV+. Pendant longtemps, les deux oeuvres ont été considérées comme inadaptables au vu de la richesse et la densité des univers qu'elles décrivaient (ce n’est pas David Lynch qui vous dira le contraire). Mais l'accueil critique enthousiaste face à l'ambition narrative et visuelle de ces deux adaptations a visiblement mis un coup de fouet aux producteurs de la Vallée des anges. C'est ça ou ils ont lu notre article sur les grands classiques de SF qu'on rêve de voir adapter.
Ainsi, on savait depuis quelque temps que l'adaptation de Le Problème à trois corps, le space-opera et best-seller mondial de Liu Cixin, devrait voir le jour grâce aux showrunners de Game of Thrones sous la houlette de Netflix. En plein week-end de la Toussaint, on apprenait que la BD culte L'Incal allait aussi connaître une adaptation dont le réalisateur devrait être connu dans les jours qui viennent. Et désormais, c'est le cultissime roman de Dan Simmons, Hyperion, qui va trouver la voie des écrans grâce à Warner Bros, avec Bradley Cooper au poste de producteur.
On devrait même dire retrouver tant Hyperion a plusieurs fois failli exister hors des pages de l'ouvrage. Écrit en 1989 et faisant partie d'un cycle de quatre ouvrages (Hyperion / La Chute d'Hyperion / Endymion et L'Eveil d'Endymion), Hyperion devait déjà connaître une adaptation en 2009 par Scott Derrickson, et déjà avec Graham King (Ali, Les Infiltrés) à la production.
Abandonnée, elle avait été relancée en 2011 sous forme sérielle pour Syfy, par Bradley Cooper, qui officiait en tant que producteur. Une version qui a, là encore, été tuée dans l'œuf. Mais l'acteur superstar n'a pas abandonné, et Hyperion va enfin connaître les joies du grand écran - sans doute le seul à pouvoir rendre justice à un récit aussi vertigineux.
Au 29e siècle, l’Hégémonie, une confédération des planètes colonisées par l’Homme, domine l'univers, mais doit lutter contre les Extros, un groupe d’humains rebelles à l'origine d'une nouvelle civilisation dans l’espace. Au centre du conflit se trouve la planète Hyperion, qui abrite les mystiques Tombeaux du Temps, placés sous la protection d'une créature cauchemardesque nommée le Gritche.
Alors qu'une bataille se prépare pour la conquête d'Hyperion, sept pèlerins sont choisis pour aller à la rencontre du Gritche. D'après la légende, un seul d'entre eux survivra, et pourra alors exaucer un vœu...
Un programme purement vertigineux qui va prendre vie sous la plume de Tom Spezialy, producteur de la récente série Watchmen et scénariste de The Leftovers. Rien de plus n'a été annoncé, mais autant vous dire que notre excitation crève le plafond, la Voie lactée, et toutes les galaxies sur son chemin.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635873132

Grâce à la brèche ouverte par Dune, Hyperion, le roman de SF culte de Dan Simmons, va enfin connaître son adaptation avec Bradley Cooper à la production.
Un curieux vent souffle sur Hollywood depuis cet automne, entre la sortie de Dune sur grand écran et celle de Fondation sur le petit par le biais d'Apple TV+. Pendant longtemps, les deux oeuvres ont été considérées comme inadaptables au vu de la richesse et la densité des univers qu'elles décrivaient (ce n’est pas David Lynch qui vous dira le contraire). Mais l'accueil critique enthousiaste face à l'ambition narrative et visuelle de ces deux adaptations a visiblement mis un coup de fouet aux producteurs de la Vallée des anges. C'est ça ou ils ont lu notre article sur les grands classiques de SF qu'on rêve de voir adapter.
Ainsi, on savait depuis quelque temps que l'adaptation de Le Problème à trois corps, le space-opera et best-seller mondial de Liu Cixin, devrait voir le jour grâce aux showrunners de Game of Thrones sous la houlette de Netflix. En plein week-end de la Toussaint, on apprenait que la BD culte L'Incal allait aussi connaître une adaptation dont le réalisateur devrait être connu dans les jours qui viennent. Et désormais, c'est le cultissime roman de Dan Simmons, Hyperion, qui va trouver la voie des écrans grâce à Warner Bros, avec Bradley Cooper au poste de producteur.
On devrait même dire retrouver tant Hyperion a plusieurs fois failli exister hors des pages de l'ouvrage. Écrit en 1989 et faisant partie d'un cycle de quatre ouvrages (Hyperion / La Chute d'Hyperion / Endymion et L'Eveil d'Endymion), Hyperion devait déjà connaître une adaptation en 2009 par Scott Derrickson, et déjà avec Graham King (Ali, Les Infiltrés) à la production.
Abandonnée, elle avait été relancée en 2011 sous forme sérielle pour Syfy, par Bradley Cooper, qui officiait en tant que producteur. Une version qui a, là encore, été tuée dans l'œuf. Mais l'acteur superstar n'a pas abandonné, et Hyperion va enfin connaître les joies du grand écran - sans doute le seul à pouvoir rendre justice à un récit aussi vertigineux.
Au 29e siècle, l’Hégémonie, une confédération des planètes colonisées par l’Homme, domine l'univers, mais doit lutter contre les Extros, un groupe d’humains rebelles à l'origine d'une nouvelle civilisation dans l’espace. Au centre du conflit se trouve la planète Hyperion, qui abrite les mystiques Tombeaux du Temps, placés sous la protection d'une créature cauchemardesque nommée le Gritche.
Alors qu'une bataille se prépare pour la conquête d'Hyperion, sept pèlerins sont choisis pour aller à la rencontre du Gritche. D'après la légende, un seul d'entre eux survivra, et pourra alors exaucer un vœu...
Un programme purement vertigineux qui va prendre vie sous la plume de Tom Spezialy, producteur de la récente série Watchmen et scénariste de The Leftovers. Rien de plus n'a été annoncé, mais autant vous dire que notre excitation crève le plafond, la Voie lactée, et toutes les galaxies sur son chemin.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635873132
Dark Glasses : le maître du giallo Dario Argento dévoile son retour au thriller en photo

Le maître de l'horreur Dario Argento revient pour Dark Glasses, l'occasion de savoir si sa carrière est enterrée ou si le giallo coule encore dans ses veines.
Avant M. Night Shyamalan dont on se demande toujours s'il va retrouver l'état de forme de la fin des années 90 (où il alliait caractère prolifique avec succès critiques et commerciaux), il y avait déjà un autre grand réalisateur tombé en désuétude, pour ne pas dire dans la ringardise, malgré une période de grâce absolue et incontestable : Dario Argento.
Certes, nombreux sont encore les fidèles à attendre qu'il revienne pour montrer qu'il peut encore accoucher de chefs d'oeuvres comme Les Frissons de l'angoisse ou encore Suspiria, et transformer l'essai après sa période très remarquée autour du thème du giallo, à mi-chemin entre le policier, l'horreur ou le film de genre.
Et, à la surprise générale, il va revenir, comme l'annonce une image récente révélée par ScreenDaily.

Dario Argento revient donc avec Dark Glasses où il devrait entre autres diriger sa fille dans un scénario très "Argentoesque". Il s'agit d'un nouveau thriller qui devrait raconter l'histoire d'un serial killer prédateur de prostituées à Rome. Lorsqu'il poursuit Diana (Ilenia Pastorelli) et qu'il cause un carambolage, cette dernière perd la vue dans l'accident. Mais surtout, la famille d'un jeune garçon nommé Chin est tuée sur le coup. Malgré son récent handicap, Diane décide d'emmener l'enfant avec elle au sein d'un périple pour retrouver le tueur (et probablement se venger).
Et c'est plutôt rassurant. Puisque Dario dirigera sa fille (avec qui il avait commencé à tourner dès 1993, et qu'il avait malheureusement emmené au sein du naufrage Dracula 3D) dans un long-métrage qui représente très bien le réalisateur italien de 81 ans. Ou plutôt, son appétit culturel, à mi-chemin entre sa volonté de décrire le Chinatown romain et son héritage italien qu'on devrait retrouver dans le personnage de Diana.
Argento occupe une place étrange dans le panorama du cinéma de genre. Auteur de grands films dans les années 70 au sein d'un genre où il fut prépondérant, la désuétude qu'on lui prête tourne parfois au nanardesque qu'on peine à regarder avec bienveillance (surtout quand les effets spéciaux ne suivent pas). Dracula 3D, son dernier long-métrage datant d'il y a près de 10 ans, avait poussé les critiques à dire qu'il était temps de déchausser les crampons et de sonner le glas d'une carrière agonisante.
Toutefois, le maître de l'horreur pourrait-il revenir dans un long-métrage rédempteur où Rome serait de nouveau son terrain de jeu comme décor d'un thriller, genre dont il a déjà prouvé qu'il était fin metteur en scène ? Pour savoir si Argento revient ou dépérit, il faudra attendre la sortie dans les salles obscures de Dark Glasses, prévue prochainement.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635870200

Le maître de l'horreur Dario Argento revient pour Dark Glasses, l'occasion de savoir si sa carrière est enterrée ou si le giallo coule encore dans ses veines.
Avant M. Night Shyamalan dont on se demande toujours s'il va retrouver l'état de forme de la fin des années 90 (où il alliait caractère prolifique avec succès critiques et commerciaux), il y avait déjà un autre grand réalisateur tombé en désuétude, pour ne pas dire dans la ringardise, malgré une période de grâce absolue et incontestable : Dario Argento.
Certes, nombreux sont encore les fidèles à attendre qu'il revienne pour montrer qu'il peut encore accoucher de chefs d'oeuvres comme Les Frissons de l'angoisse ou encore Suspiria, et transformer l'essai après sa période très remarquée autour du thème du giallo, à mi-chemin entre le policier, l'horreur ou le film de genre.
Et, à la surprise générale, il va revenir, comme l'annonce une image récente révélée par ScreenDaily.

Dario Argento revient donc avec Dark Glasses où il devrait entre autres diriger sa fille dans un scénario très "Argentoesque". Il s'agit d'un nouveau thriller qui devrait raconter l'histoire d'un serial killer prédateur de prostituées à Rome. Lorsqu'il poursuit Diana (Ilenia Pastorelli) et qu'il cause un carambolage, cette dernière perd la vue dans l'accident. Mais surtout, la famille d'un jeune garçon nommé Chin est tuée sur le coup. Malgré son récent handicap, Diane décide d'emmener l'enfant avec elle au sein d'un périple pour retrouver le tueur (et probablement se venger).
Et c'est plutôt rassurant. Puisque Dario dirigera sa fille (avec qui il avait commencé à tourner dès 1993, et qu'il avait malheureusement emmené au sein du naufrage Dracula 3D) dans un long-métrage qui représente très bien le réalisateur italien de 81 ans. Ou plutôt, son appétit culturel, à mi-chemin entre sa volonté de décrire le Chinatown romain et son héritage italien qu'on devrait retrouver dans le personnage de Diana.
Argento occupe une place étrange dans le panorama du cinéma de genre. Auteur de grands films dans les années 70 au sein d'un genre où il fut prépondérant, la désuétude qu'on lui prête tourne parfois au nanardesque qu'on peine à regarder avec bienveillance (surtout quand les effets spéciaux ne suivent pas). Dracula 3D, son dernier long-métrage datant d'il y a près de 10 ans, avait poussé les critiques à dire qu'il était temps de déchausser les crampons et de sonner le glas d'une carrière agonisante.
Toutefois, le maître de l'horreur pourrait-il revenir dans un long-métrage rédempteur où Rome serait de nouveau son terrain de jeu comme décor d'un thriller, genre dont il a déjà prouvé qu'il était fin metteur en scène ? Pour savoir si Argento revient ou dépérit, il faudra attendre la sortie dans les salles obscures de Dark Glasses, prévue prochainement.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1635870200
EL a modérément apprécié Many Saints Of Newark (3 étoiles) :

Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1635863421

Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1635863421
Dexter saison 9 : les premières critiques sont tombées pour le revival New Blood

Dexter : New Blood a été accueilli par des critiques un peu frileuses, entre le sang et la neige de la série.
Dexter, c'est un gros phénomène à la Breaking Bad, à une grosse différence près : la série qui suivait le médecin-policier usant de son statut pour couvrir ses meurtres avait eu une fin ultra-polémique, jugée décevante et certainement pas à la hauteur de tout le développement du personnage principal (et Michael C. Hall, qui campe le rôle-titre, trouve aussi cette fin gâchée).
Sur cette mauvaise note finale, on pensait que Dexter en resterait à cet effet Game of Thrones. Mais finalement, une relance de la série a été annoncée sous le nom de Dexter : New Blood. Se déroulant dix ans après les évènements de la série-phare, les bandes-annonces vantaient un retour gelé et sanglant pour le psychopathe génie du crime. Les premiers épisodes ayant été mis à disposition de la presse anglophone, la critique s'est jetée dans les bras de Dexter Morgan. Alors, goutte de trop ou renouveau bienvenu ? Revue de presse.
"Il y a beaucoup de choses à aimer. Évidemment, on serait en droit de ne pas laisser sa chance à la série à cause du final de la précédente, mais je vous encourage à vous laisser tenter par Dexter : New Blood. Clyde Philips et Michael C. Hall ne se sont pas lancés dans ce projet de revival à la légère [...] Ils tiennent à faire les choses bien. Dexter Morgan ne pouvait pas éternellement se cacher. Allez donc voir à quoi ressemble sa nouvelle vie. Vous aimerez les nouveaux effets comme les anciens." Uproxx
"Ce qu'il y a de génial avec Dexter : New Blood, c'est que c'est à la fois sans vergogne et amusant. Les épisodes à disposition de la critique sont teintés d'un humour très noir tout en offrant un drame humain convaincant. Cette mini-série ne révolutionne pas profondément sa formule, mais offre aux fans du personnage une bonne sortie pour ce dernier." Decider
"Une résurrection intelligente et captivante de l'un des anti-héros les plus grands et macabres de tous les temps." TV Insider
"Malgré toutes les choses horribles qu'il fait, la série parvient à garder Dexter humain et attachant. Le fait qu'il ne puisse pas échapper à sa véritable nature de meurtrier est quelque chose pour laquelle on arrive à compatir. Au fond, chacun a quelque chose en lui qu'il réfute, mais avec lequel il doit tout de même composer. Comme Dexter, on peut tout fuir sauf soi-même. Pour les fans déçus de la série originelle, New Blood est très prometteur. On croise les doigts pour que la fin suive, en termes de qualité." Collider
"Dexter, en tant qu'ultime gentil génie du mal, est fascinant à regarder. Dès le lancement de cette nouvelle série, on s'attache énormément à lui, à sa tentative de bâtir une nouvelle vie. Et parce qu'il est attachant, on espère qu'il s'en tirera avec ses crimes. Néanmoins, la série est victime de son héritage, battue à son propre jeu avec son prédécesseur qui nous a déjà montré toutes les variations de l'anti-héros." TheWrap
"Dexter reste Dexter. La plupart des histoires racontées par New Blood pourront être familières, voire rassurantes. Voir Dexter se démener avec expertise pour couvrir les traces de ses crimes reste toujours captivant... mais le reste n'est pas aussi bienvenu. Les personnages secondaires ne sont pas assez caractérisés. La représentation des coutumes locales est assez superficielle, et le dédain de la série pour le journalisme est bien présent." IndieWire
On l'aura compris, la mini-série a beau avoir des qualités indéniables, l'ombre de la série originelle plane toujours dans les esprits. Si Dexter : New Blood joue la carte de l'ellipse temporelle pour esquiver l'époque du bashing de son final, c'est visiblement pour mieux se recentrer sur ce qui fait la force de son personnage. Reste à voir à quel point la série peut s'auto-suffire tout en réconciliant les fans de la première heure. La série sera diffusée sur la chaîne américaine Showtime à partir du 7 novembre et en France sur Canal+ en décembre 2021.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1635859922

Dexter : New Blood a été accueilli par des critiques un peu frileuses, entre le sang et la neige de la série.
Dexter, c'est un gros phénomène à la Breaking Bad, à une grosse différence près : la série qui suivait le médecin-policier usant de son statut pour couvrir ses meurtres avait eu une fin ultra-polémique, jugée décevante et certainement pas à la hauteur de tout le développement du personnage principal (et Michael C. Hall, qui campe le rôle-titre, trouve aussi cette fin gâchée).
Sur cette mauvaise note finale, on pensait que Dexter en resterait à cet effet Game of Thrones. Mais finalement, une relance de la série a été annoncée sous le nom de Dexter : New Blood. Se déroulant dix ans après les évènements de la série-phare, les bandes-annonces vantaient un retour gelé et sanglant pour le psychopathe génie du crime. Les premiers épisodes ayant été mis à disposition de la presse anglophone, la critique s'est jetée dans les bras de Dexter Morgan. Alors, goutte de trop ou renouveau bienvenu ? Revue de presse.
"Il y a beaucoup de choses à aimer. Évidemment, on serait en droit de ne pas laisser sa chance à la série à cause du final de la précédente, mais je vous encourage à vous laisser tenter par Dexter : New Blood. Clyde Philips et Michael C. Hall ne se sont pas lancés dans ce projet de revival à la légère [...] Ils tiennent à faire les choses bien. Dexter Morgan ne pouvait pas éternellement se cacher. Allez donc voir à quoi ressemble sa nouvelle vie. Vous aimerez les nouveaux effets comme les anciens." Uproxx
"Ce qu'il y a de génial avec Dexter : New Blood, c'est que c'est à la fois sans vergogne et amusant. Les épisodes à disposition de la critique sont teintés d'un humour très noir tout en offrant un drame humain convaincant. Cette mini-série ne révolutionne pas profondément sa formule, mais offre aux fans du personnage une bonne sortie pour ce dernier." Decider
"Une résurrection intelligente et captivante de l'un des anti-héros les plus grands et macabres de tous les temps." TV Insider
"Malgré toutes les choses horribles qu'il fait, la série parvient à garder Dexter humain et attachant. Le fait qu'il ne puisse pas échapper à sa véritable nature de meurtrier est quelque chose pour laquelle on arrive à compatir. Au fond, chacun a quelque chose en lui qu'il réfute, mais avec lequel il doit tout de même composer. Comme Dexter, on peut tout fuir sauf soi-même. Pour les fans déçus de la série originelle, New Blood est très prometteur. On croise les doigts pour que la fin suive, en termes de qualité." Collider
"Dexter, en tant qu'ultime gentil génie du mal, est fascinant à regarder. Dès le lancement de cette nouvelle série, on s'attache énormément à lui, à sa tentative de bâtir une nouvelle vie. Et parce qu'il est attachant, on espère qu'il s'en tirera avec ses crimes. Néanmoins, la série est victime de son héritage, battue à son propre jeu avec son prédécesseur qui nous a déjà montré toutes les variations de l'anti-héros." TheWrap
"Dexter reste Dexter. La plupart des histoires racontées par New Blood pourront être familières, voire rassurantes. Voir Dexter se démener avec expertise pour couvrir les traces de ses crimes reste toujours captivant... mais le reste n'est pas aussi bienvenu. Les personnages secondaires ne sont pas assez caractérisés. La représentation des coutumes locales est assez superficielle, et le dédain de la série pour le journalisme est bien présent." IndieWire
On l'aura compris, la mini-série a beau avoir des qualités indéniables, l'ombre de la série originelle plane toujours dans les esprits. Si Dexter : New Blood joue la carte de l'ellipse temporelle pour esquiver l'époque du bashing de son final, c'est visiblement pour mieux se recentrer sur ce qui fait la force de son personnage. Reste à voir à quel point la série peut s'auto-suffire tout en réconciliant les fans de la première heure. La série sera diffusée sur la chaîne américaine Showtime à partir du 7 novembre et en France sur Canal+ en décembre 2021.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1635859922
John Woo dirigera Joel Kinnaman dans un film à la John Wick... sans dialogue

C'est Noël avant l'heure : John Woo revient à Hollywood avec un film bourré d'action... et sans dialogue. Joel Kinnaman en sera l'acteur principal.
Voilà un retour auquel on ne s'attendait pas. Arrivé en 1993 à Hollywood où il a eu une carrière lucrative mais critiquée et jalonnée de conflits difficiles avec les studios, John Woo en était reparti amer en 2003, tentant sa chance en Chine cette fois après avoir construit sa légende à Hong-Kong. Mais, presque vingt ans plus tard, voilà que Deadline annonce une nouvelle bien surprenante et qui, selon le site, génère beaucoup d'enthousiasme : le réalisateur revient en Amérique, avec sous le bras Joel Kinnaman et le script très particulier d'un film d'action intitulé Silent Night. Le concept : beaucoup, beaucoup d'action, et surtout, zéro dialogue.
Un pari audacieux qui sied très bien au style extrêmement visuel de John Woo et à la popularité actuelle des films d'actions hard-boiled à la John Wick. Tiens tiens, d'ailleurs, comme par hasard, c'est la même équipe de producteurs qui s'occupera de Silent Night. Très surprenant. Les sources de Deadline décrivent par ailleurs une histoire simple, voire basique : un père de famille normal plonge dans le monde criminel pour venger la mort de son fils.
Silent Night n'a en revanche pas encore de diffuseur - et pourrait donc encore atterrir sur une plate-forme de streaming... -, mais on peut très bien comprendre pourquoi la cote du film grimpe en flèche malgré tout. Pour rappel, Tyler Rake est toujours le film le plus regardé de Netflix, John Wick ramasse des brouettes de dollars et va vers son quatrième épisode, tandis que le savoir-faire de John Woo et l'originalité de son style ne sont plus à prouver et permettront facilement de se démarquer de la concurrence... sans parler du fait que le concept peu orthodoxe de Silent Night a déjà fait ses preuves deux fois au box-office avec un certain Sans un bruit.
La perspective de voir Joel Kinnaman (AKA Rick Flag dans les deux Suicide Squad) porter ce nouveau projet a également de quoi réjouir. En plus de sa carrure imposante et athlétique, c'est un acteur qui a également un très bon acteur ayant beaucoup de talent dramatique à revendre, malheureusement souvent fourré dans des projets défaillants. Pourtant, on vous encourage à revoir quelques unes de ses scènes dans Altered Carbon ou même dans le remake honni de RoboCop pour constater qu'il ne manque pas de compétences, et peut même sauver à lui seul des séquences bien plates. Et pour les plus difficiles à convaincre, les excellentes séries For All Mankind et The Killing devraient faire l'affaire.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... VAu-xmh7As

C'est Noël avant l'heure : John Woo revient à Hollywood avec un film bourré d'action... et sans dialogue. Joel Kinnaman en sera l'acteur principal.
Voilà un retour auquel on ne s'attendait pas. Arrivé en 1993 à Hollywood où il a eu une carrière lucrative mais critiquée et jalonnée de conflits difficiles avec les studios, John Woo en était reparti amer en 2003, tentant sa chance en Chine cette fois après avoir construit sa légende à Hong-Kong. Mais, presque vingt ans plus tard, voilà que Deadline annonce une nouvelle bien surprenante et qui, selon le site, génère beaucoup d'enthousiasme : le réalisateur revient en Amérique, avec sous le bras Joel Kinnaman et le script très particulier d'un film d'action intitulé Silent Night. Le concept : beaucoup, beaucoup d'action, et surtout, zéro dialogue.
Un pari audacieux qui sied très bien au style extrêmement visuel de John Woo et à la popularité actuelle des films d'actions hard-boiled à la John Wick. Tiens tiens, d'ailleurs, comme par hasard, c'est la même équipe de producteurs qui s'occupera de Silent Night. Très surprenant. Les sources de Deadline décrivent par ailleurs une histoire simple, voire basique : un père de famille normal plonge dans le monde criminel pour venger la mort de son fils.
Silent Night n'a en revanche pas encore de diffuseur - et pourrait donc encore atterrir sur une plate-forme de streaming... -, mais on peut très bien comprendre pourquoi la cote du film grimpe en flèche malgré tout. Pour rappel, Tyler Rake est toujours le film le plus regardé de Netflix, John Wick ramasse des brouettes de dollars et va vers son quatrième épisode, tandis que le savoir-faire de John Woo et l'originalité de son style ne sont plus à prouver et permettront facilement de se démarquer de la concurrence... sans parler du fait que le concept peu orthodoxe de Silent Night a déjà fait ses preuves deux fois au box-office avec un certain Sans un bruit.
La perspective de voir Joel Kinnaman (AKA Rick Flag dans les deux Suicide Squad) porter ce nouveau projet a également de quoi réjouir. En plus de sa carrure imposante et athlétique, c'est un acteur qui a également un très bon acteur ayant beaucoup de talent dramatique à revendre, malheureusement souvent fourré dans des projets défaillants. Pourtant, on vous encourage à revoir quelques unes de ses scènes dans Altered Carbon ou même dans le remake honni de RoboCop pour constater qu'il ne manque pas de compétences, et peut même sauver à lui seul des séquences bien plates. Et pour les plus difficiles à convaincre, les excellentes séries For All Mankind et The Killing devraient faire l'affaire.
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Jake Gyllenhaal est l'acteur principal du prochain film de guerre de Guy Ritchie (Snatch, Sherlock Holmes)

Plus connu pour Sherlock Holmes ou ses comédies so british comme Snatch, c'est avec un film de guerre que revient Guy Ritchie, avec Jake Gyllenhaal à l'affiche.
Cinéaste connu (et parfois décrié) aussi bien pour son sens dynamique du rythme et du découpage, ses structures non-linéaires et ses dialogues à punchlines à la testostérone, Guy Ritchie s'apprête semble-t-il à explorer de nouveaux terrains et surtout un nouveau ton. Deadline rapporte en effet que le prochain film du cinéaste, The Interpreter, sera un film de guerre - genre qu'il n'a jamais pratiqué -, et racontera cette fois une histoire beaucoup plus dramatique et sérieuse que ce à quoi il avait habitué son auditoire.
En Afghanistan, le sergent John Kinley est pris dans une embuscade avec le reste de son escouade. Gravement blessé et acculé, il est le seul survivant de l'attaque avec Ahmed, son interprète afghan. Ce dernier parvient à porter le soldat blessé à travers une zone particulièrement hostile et alors qu'ils sont poursuivis par l'ennemi, lui sauvant ainsi la vie. Plus tard, alors qu'il est rentré en Amérique, le marine apprend qu'Ahmed et sa famille n'ont pas reçu de visa d'émigration, contrairement à ce qui lui avait été promis. Déterminé à rembourser sa dette de sang et sauver son ami, Kinley retourne en Afghanistan pour le sauver d'une mort certaine et le retrouver avant que les milices locales ne le capturent.
Un synopsis bien sombre mais dans le prolongement d'Un homme en colère, dernier film en date de Guy Ritchie lui aussi plus brute qu'à l'accoutumée. Le réalisateur chercherait-il à donner un tournant à sa carrière et à se tourner définitivement vers des récits différents de ceux qui l'ont fait connaître ? Peut-être : manifestement touché par les témoignages qu'il a entendu, Guy Ritchie affirme que l'idée lui est venu après une rencontre avec des vétérans lui ayant raconté leurs relations particulières avec les interprètes sur place, des hommes clés pourtant souvent abandonnés à leur sort.
S'il y en a un en revanche pour qui ce ne sera pas la première incursion dans le film de guerre, c'est Jake Gyllenhaal, recruté pour tenir le rôle principal de The Interpreter. C'est même un genre qui l'a en parti façonné, puisqu'entre autres oeuvres ayant révélé l'acteur au grand public, on trouve Jarhead, la fin de l'innocence, qui se déroulait cette fois-ci au Koweït et explorait une facette beaucoup plus psychologique de la guerre. Légèrement passé sous les radars depuis Spider-Man : Far from Home en 2019, l'acteur reviendra donc dans un rôle plus physique après la prochaine sortie du drame policier à concept The Guilty, un remake Netflix très moyen du super film éponyme.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... DZK4Zqk58M

Plus connu pour Sherlock Holmes ou ses comédies so british comme Snatch, c'est avec un film de guerre que revient Guy Ritchie, avec Jake Gyllenhaal à l'affiche.
Cinéaste connu (et parfois décrié) aussi bien pour son sens dynamique du rythme et du découpage, ses structures non-linéaires et ses dialogues à punchlines à la testostérone, Guy Ritchie s'apprête semble-t-il à explorer de nouveaux terrains et surtout un nouveau ton. Deadline rapporte en effet que le prochain film du cinéaste, The Interpreter, sera un film de guerre - genre qu'il n'a jamais pratiqué -, et racontera cette fois une histoire beaucoup plus dramatique et sérieuse que ce à quoi il avait habitué son auditoire.
En Afghanistan, le sergent John Kinley est pris dans une embuscade avec le reste de son escouade. Gravement blessé et acculé, il est le seul survivant de l'attaque avec Ahmed, son interprète afghan. Ce dernier parvient à porter le soldat blessé à travers une zone particulièrement hostile et alors qu'ils sont poursuivis par l'ennemi, lui sauvant ainsi la vie. Plus tard, alors qu'il est rentré en Amérique, le marine apprend qu'Ahmed et sa famille n'ont pas reçu de visa d'émigration, contrairement à ce qui lui avait été promis. Déterminé à rembourser sa dette de sang et sauver son ami, Kinley retourne en Afghanistan pour le sauver d'une mort certaine et le retrouver avant que les milices locales ne le capturent.
Un synopsis bien sombre mais dans le prolongement d'Un homme en colère, dernier film en date de Guy Ritchie lui aussi plus brute qu'à l'accoutumée. Le réalisateur chercherait-il à donner un tournant à sa carrière et à se tourner définitivement vers des récits différents de ceux qui l'ont fait connaître ? Peut-être : manifestement touché par les témoignages qu'il a entendu, Guy Ritchie affirme que l'idée lui est venu après une rencontre avec des vétérans lui ayant raconté leurs relations particulières avec les interprètes sur place, des hommes clés pourtant souvent abandonnés à leur sort.
S'il y en a un en revanche pour qui ce ne sera pas la première incursion dans le film de guerre, c'est Jake Gyllenhaal, recruté pour tenir le rôle principal de The Interpreter. C'est même un genre qui l'a en parti façonné, puisqu'entre autres oeuvres ayant révélé l'acteur au grand public, on trouve Jarhead, la fin de l'innocence, qui se déroulait cette fois-ci au Koweït et explorait une facette beaucoup plus psychologique de la guerre. Légèrement passé sous les radars depuis Spider-Man : Far from Home en 2019, l'acteur reviendra donc dans un rôle plus physique après la prochaine sortie du drame policier à concept The Guilty, un remake Netflix très moyen du super film éponyme.
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Oppenheimer : le nouveau Christopher Nolan ajoute Robert Downey Jr. et Matt Damon à son casting

Le biopic sur le "père de la bombe atomique" commence à réunir un casting cinq étoiles, déjà mené par Cillian Murphy.
Pour sa nouvelle réalisation, après la trilogie The Dark Knight, Interstellar, Dunkerque ou encore Tenet, Christopher Nolan amorce son retour au cinéma avec un biopic concentré sur J. Robert Oppenheimer, physicien à l'origine de la bombe atomique. Basé sur le livre American Prometheus: The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer, de Kai Bird et feu Martin J. Sherwin, lauréat du prix Pulitzer, le long métrage sobrement intitulé Oppenheimer aura pour acteur principal Cillian Murphy, avec qui le réalisateur a déjà collaboré (notamment dans Inception). S'ajoutent à ce nouveau film deux acteurs encore plus célèbres, mais oui : Robert Downey Jr. et Matt Damon.
Actuellement à l'affiche du Dernier duel, film médiéval de Ridley Scott dont il signe le scénario avec Ben Affleck et Nicole Holofcener, Matt Damon retrouve Nolan sept ans après Interstellar. Pour Downey Jr. en revanche, cette collaboration sera la première avec le cinéaste acclamé de Tenet, et un grand retour après des années passées au sein du MCU. Enfin, si rien n'est sûr, il se dit que l'actrice Emily Blunt serait en discussion pour rejoindre le projet et camper la femme d'Oppenheimer.
En parallèle, Oppenheimer marque le début d'une toute nouvelle collaboration : celle de Nolan et d'Universal Pictures. Après des années de loyauté envers Warner Bros, Nolan avait annoncé quitter la major pour sa concurrente, un gros deal à la clé.
Oppenheimer, dont la production commencera début 2022, sera tourné sur une combinaison de films grand format IMAX 65 mm et 65 mm. Il racontera comme le physicien théoricien américain et professeur de physique J. Robert Oppenheimer est devenu le chef du Laboratoire de Los Alamos durant la Seconde Guerre Mondiale, et son rôle tristement célèbre comme "le père de la bombe atomique" à la suite de son rôle dans le projet Manhattan. Oppenheimer est également connu pour avoir dit cette phrase : "Maintenant, je suis devenu la mort, le destructeur des mondes", citant le texte hindoue Bhagavad Gita après la détonation réussie de la première bombe atomique le 16 juillet 1945. Oppenheimer devrait sortir le 19 juillet 2023 en salles françaises. Tic, tac, tic, tac...
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... XuhvpfpZ6k

Le biopic sur le "père de la bombe atomique" commence à réunir un casting cinq étoiles, déjà mené par Cillian Murphy.
Pour sa nouvelle réalisation, après la trilogie The Dark Knight, Interstellar, Dunkerque ou encore Tenet, Christopher Nolan amorce son retour au cinéma avec un biopic concentré sur J. Robert Oppenheimer, physicien à l'origine de la bombe atomique. Basé sur le livre American Prometheus: The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer, de Kai Bird et feu Martin J. Sherwin, lauréat du prix Pulitzer, le long métrage sobrement intitulé Oppenheimer aura pour acteur principal Cillian Murphy, avec qui le réalisateur a déjà collaboré (notamment dans Inception). S'ajoutent à ce nouveau film deux acteurs encore plus célèbres, mais oui : Robert Downey Jr. et Matt Damon.
Actuellement à l'affiche du Dernier duel, film médiéval de Ridley Scott dont il signe le scénario avec Ben Affleck et Nicole Holofcener, Matt Damon retrouve Nolan sept ans après Interstellar. Pour Downey Jr. en revanche, cette collaboration sera la première avec le cinéaste acclamé de Tenet, et un grand retour après des années passées au sein du MCU. Enfin, si rien n'est sûr, il se dit que l'actrice Emily Blunt serait en discussion pour rejoindre le projet et camper la femme d'Oppenheimer.
En parallèle, Oppenheimer marque le début d'une toute nouvelle collaboration : celle de Nolan et d'Universal Pictures. Après des années de loyauté envers Warner Bros, Nolan avait annoncé quitter la major pour sa concurrente, un gros deal à la clé.
Oppenheimer, dont la production commencera début 2022, sera tourné sur une combinaison de films grand format IMAX 65 mm et 65 mm. Il racontera comme le physicien théoricien américain et professeur de physique J. Robert Oppenheimer est devenu le chef du Laboratoire de Los Alamos durant la Seconde Guerre Mondiale, et son rôle tristement célèbre comme "le père de la bombe atomique" à la suite de son rôle dans le projet Manhattan. Oppenheimer est également connu pour avoir dit cette phrase : "Maintenant, je suis devenu la mort, le destructeur des mondes", citant le texte hindoue Bhagavad Gita après la détonation réussie de la première bombe atomique le 16 juillet 1945. Oppenheimer devrait sortir le 19 juillet 2023 en salles françaises. Tic, tac, tic, tac...
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