Aucune hype à l'annonce de ce projet spin off de la famille Addams, mais un peu plus intrigué en découvrant que c'est Jenna Ortega (Scream, X) qui incarne le célèbre personnage de Mercredi.
Première incursion dans l'univers des séries aussi pour Tim Burton. Il semblerait qu'il réalise lui-même l'ensemble des 8 épisodes.
Sur le reste du casting, Christina Ricci, devenue célèbre avec le rôle de Mercredi à l'époque, sera présente de façon récurrente.
Catherine Zeta Jones joue Morticia, Gomez étant lui interprété par Luis Guzmán.
Va-t-on assister au réveil de Tim ?
Wednesday (Netflix, Tim Burton)
Tim Burton et les CGI ça ne fonctionne jamais trop, mais je reste curieux du résultat.
Jenna Ortega a l'air bien dans le rôle, même si ce sera dur de mon point de vue d'oublier Christina Ricci vu que c'est l'imagerie avec laquelle j'ai grandi.
Jenna Ortega a l'air bien dans le rôle, même si ce sera dur de mon point de vue d'oublier Christina Ricci vu que c'est l'imagerie avec laquelle j'ai grandi.
Tim Burton n'est définitivement plus l'ombre de lui-même, même si ça n'a encore une fois rien de nouveau.
Je ne sais pas si c'est à cause du ratio ou de la photographie, mais je trouve que la série ressemble à n'importe quel autre produit Netflix pour ados (Stranger Things pour les scènes au lycée et Umbrella Academy pour celles dans le manoir). Et j'ai du mal avec ce côté gore et rigolo à la Deadpool...
Je ne sais pas si c'est à cause du ratio ou de la photographie, mais je trouve que la série ressemble à n'importe quel autre produit Netflix pour ados (Stranger Things pour les scènes au lycée et Umbrella Academy pour celles dans le manoir). Et j'ai du mal avec ce côté gore et rigolo à la Deadpool...
Modifié en dernier par Tulio le lun. 19 déc. 2022 12:25, modifié 3 fois.
Je trouve le trailer convaincant, et s'il passe le curseur en terme d'humour noir, c'est du tout bon.
Et l'actrice principal a l'air très bien et pourrait me faire oublier Ricci sans problème.
Et l'actrice principal a l'air très bien et pourrait me faire oublier Ricci sans problème.
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
C'était terriblement mauvais. Tim Burton n'a définitivement plus rien à apporter à l'industrie audiovisuelle, même sous la forme d'une série au rabais.
Le cinéaste signe une série caricaturale et laide, dont la plupart des plans sont tournés devant des fonds verts visibles, et où il régurgite son esthétique carnavalesque sans aucun éclat et éclair de génie, n'essayant même plus de la rendre un tant soit peu surprenante et intéressante à découvrir. Il a beau émailler les épisodes de références à ses précédents films, la mayonnaise ne prend tout simplement pas. Toutes les révélations se voient venir et on a là affaire à la pire enquêtrice du monde, qui fonce tête baissée vers le danger et tire des conclusions hâtives avant d'avoir suffisamment de preuves.
En dépit de son ambiance sur laquelle plane l'ombre d'Edgar Allan Poe, le résultat ressemble à n'importe quelle série récente, transformant son héroïne enfantine en enquêtrice surnaturelle, et je trouve ça triste que Burton et cette licence soient réduits à une énième série à destination des adolescents. Ça m'a rappelé les adaptations de Scooby-Doo en prises de vues réelles par instants, tant c'était kitsch et grand-guignolesque (mais sans être risible).
Le cinéaste signe une série caricaturale et laide, dont la plupart des plans sont tournés devant des fonds verts visibles, et où il régurgite son esthétique carnavalesque sans aucun éclat et éclair de génie, n'essayant même plus de la rendre un tant soit peu surprenante et intéressante à découvrir. Il a beau émailler les épisodes de références à ses précédents films, la mayonnaise ne prend tout simplement pas. Toutes les révélations se voient venir et on a là affaire à la pire enquêtrice du monde, qui fonce tête baissée vers le danger et tire des conclusions hâtives avant d'avoir suffisamment de preuves.
En dépit de son ambiance sur laquelle plane l'ombre d'Edgar Allan Poe, le résultat ressemble à n'importe quelle série récente, transformant son héroïne enfantine en enquêtrice surnaturelle, et je trouve ça triste que Burton et cette licence soient réduits à une énième série à destination des adolescents. Ça m'a rappelé les adaptations de Scooby-Doo en prises de vues réelles par instants, tant c'était kitsch et grand-guignolesque (mais sans être risible).