Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Mon programme ciné du mois de juin :

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Peut-être :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : 28 ans plus tard
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J'ai été plus qu'agréablement surpris par ce nouveau Fear Street (malgré le review bombing). Je pense l'avoir préféré à la trilogie de 2021 (à laquelle il faut d'ailleurs faire abstraction). Rythmé, dynamique, punchy, ce nouveau épisode s'amuse avec tous les codes et clichés des slashers des années 80 tout en apportant une grosse touche de modernité, au niveau des personnages principalement. Mais surtout, la musique et l'ambiance sonore sont dingues et rappellent aussi bien la série Dark que Badalamenti. On retrouve aussi quelques touches d'humour assez savoureuses. Bref j'ai adoré.
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Je me réveille et je vois que Netflix s'est lâché cette nuit :











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Beaucoup aimé ce nouveau Guy Ritchie, film d'aventures à la papa. Le film démarre sur les chapeaux de roue, les personnages sont ensuite propulsés dans différents endroits et chaque destination comporte son lot de péripéties, c'est très ludique avec son mot de mystères et d'énigmes. Reste la fin que je trouve un peu frustrante et vite expédiée mais dans l'ensemble j'ai passé un excellent moment.

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J'avais modérément apprécié Dead Reckoning, ce nouveau MI m'a plutôt réconcilié avec la saga. J'ai conscience des facilités/aberrations et je suis pas fan de tous ces liens qu'ils veulent tisser avec les épisodes précédents, on sent que c'est au forceps mais j'ai trouvé ça mieux rythmé que le précédent et j'ai surtout été impressionné par l'ampleur qui est assez phénoménale. Comme ça a été dit lors des premiers retours, le film se distingue principalement par deux scènes (qui sont très longues). La scène sous-marine est une des meilleures scènes sous-marines que j'ai vu, l'intensité est dingue. La fameuse scène de poursuite en biplan m'a rappelé la scène du train dans Lone Ranger. À l'instar de cette scène du train, la poursuite en avion de MI évoque l'esprit des films muets à travers sa mise en scène folle. Bref pas mon préféré de la saga mais loin d'être le dernier dans mon classement.
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Miamsolo
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Pale a écrit : ven. 30 mai 2025 16:33
Wickaël a écrit : ven. 30 mai 2025 16:27
Pale a écrit : ven. 30 mai 2025 16:21 Sinon j'ai trop aimé Venise :

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Oh bah j'imagine :D
Une petite dernière :

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En soirée ça claque aussi :D
Magnifique! :hot: :love: :hello:
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Pale a écrit : ven. 30 mai 2025 21:01 Mon programme ciné du mois de juin :

Je vais essayer de me faire Life of Chuck si j'ai le temps! :hot:

Et 28 Ans plus tard aussi :hot:

Le F1 me donnait aussi envie, mais j'ai vu la BA dernièrement et en fait ça a l'air assez classique, je pense attendre encore quelques temps :saint:
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Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:11
Pale a écrit : ven. 30 mai 2025 16:33
Wickaël a écrit : ven. 30 mai 2025 16:27

Oh bah j'imagine :D
Une petite dernière :

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En soirée ça claque aussi :D
Magnifique! :hot: :love: :hello:
Miam :hello:

Tu as déjà été ?
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:15
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:11
Pale a écrit : ven. 30 mai 2025 16:33

Une petite dernière :

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En soirée ça claque aussi :D
Magnifique! :hot: :love: :hello:
Miam :hello:

Tu as déjà été ?
Pas encore, le souci c'est que je ne peux y aller qu'en période de congés scolaires, et il parait que ces périodes-là sont les pires pour aller à Venise, donc pour l'instant c'est sur ma liste mais pas pour tout de suite :D
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Sinon j"ai également vu le dernier Mission Impossible et perso ça m'a assez déçu, c'est celui que j'aime le moins avec le 2ème (que je n'ai pas revu depuis 20 ans ceci dit) :(
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Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:20
Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:15
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:11

Magnifique! :hot: :love: :hello:
Miam :hello:

Tu as déjà été ?
Pas encore, le souci c'est que je ne peux y aller qu'en période de congés scolaires, et il parait que ces périodes-là sont les pires pour aller à Venise, donc pour l'instant c'est sur ma liste mais pas pour tout de suite :D
Déjà ici il y avait beaucoup de monde mais en fait il y a surtout des concentrations de gens à certains endroits, quand tu t'écartes un peu du centre c'est tout de suite plus calme. Par contre je sais que les gondoles font partie intégrante du paysage vénitien mais à certains endroits ça ressemble presque à Walibi, tu peux avoir 5-6 gondoles qui se suivent.

Bon sinon j'ai posté énormément de photos sur mon Insta non je ne dis pas ça pour me faire de la publicité :D
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Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:29
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:20
Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:15

Miam :hello:

Tu as déjà été ?
Pas encore, le souci c'est que je ne peux y aller qu'en période de congés scolaires, et il parait que ces périodes-là sont les pires pour aller à Venise, donc pour l'instant c'est sur ma liste mais pas pour tout de suite :D
Déjà ici il y avait beaucoup de monde mais en fait il y a surtout des concentrations de gens à certains endroits, quand tu t'écartes un peu du centre c'est tout de suite plus calme. Par contre je sais que les gondoles font partie intégrante du paysage vénitien mais à certains endroits ça ressemble presque à Walibi, tu peux avoir 5-6 gondoles qui se suivent.

Bon sinon j'ai posté énormément de photos sur mon Insta non je ne dis pas ça pour me faire de la publicité :D
Ouais les gondoles ça a l'air assez bordélique niveau organisation, genre c'est à la chaine :lol: Ça me rappelle que j'avais fait une balade sur une gondole dans un décor de Venise dans un parc Disney au Japon, c'était rigolo :lol:

Pour les photos je vais aller voir tout ça dans la semaine, je ne me connecte quasi plus à Insta pour le moment, en fait ce sont les réseaux sociaux que je délaisse en général :lol:
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Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:38
Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:29
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:20

Pas encore, le souci c'est que je ne peux y aller qu'en période de congés scolaires, et il parait que ces périodes-là sont les pires pour aller à Venise, donc pour l'instant c'est sur ma liste mais pas pour tout de suite :D
Déjà ici il y avait beaucoup de monde mais en fait il y a surtout des concentrations de gens à certains endroits, quand tu t'écartes un peu du centre c'est tout de suite plus calme. Par contre je sais que les gondoles font partie intégrante du paysage vénitien mais à certains endroits ça ressemble presque à Walibi, tu peux avoir 5-6 gondoles qui se suivent.

Bon sinon j'ai posté énormément de photos sur mon Insta non je ne dis pas ça pour me faire de la publicité :D
Ouais les gondoles ça a l'air assez bordélique niveau organisation, genre c'est à la chaine :lol: Ça me rappelle que j'avais fait une balade sur une gondole dans un décor de Venise dans un parc Disney au Japon, c'était rigolo :lol:

Pour les photos je vais aller voir tout ça dans la semaine, je ne me connecte quasi plus à Insta pour le moment, en fait ce sont les réseaux sociaux que je délaisse en général :lol:
J'ai lu un article sur une gondole qui s'est renversée avec ses occupants il y a une ou deux semaines :D Ça doit gâcher un peu ton séjour, surtout si ton téléphone est HS :D
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Elles étaient au Netflix Tudum 2025 :

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ClintReborn
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Il n'était plus vraiment apparu depuis un festival de Jazz fin 2024 et les médias avaient fortement insister pour mettre Juror 2 comme point final de sa carrière... :o :lol:

Clint Eastwood, 95 ans, prépare un nouveau film et n'a pas l'intention de prendre sa retraite
https://www.vanityfair.fr/article/clint ... a-retraite

"Propose quelque chose de nouveau ou reste chez toi" : Clint Eastwood balance sur Hollywood et fait une grande annonce
https://www.allocine.fr/article/fichear ... 47104.html

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Predator : premiers avis sur Killer of Killers, le nouveau film de la franchise sur Disney+

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La saga Predator fait son premier retour sur les écrans en 2025 avec le film Predator : Killer of Killers dont les premiers avis sont tombés.

Disney nous chouchoute pas mal avec les franchises de la Fox depuis le rachat en 2020. On pensait que le studio aux grandes oreilles casserait tout mais en vérité, James Cameron fait ses affaires avec ses Avatar, le dernier film dans l’univers de La Planète des singes était plutôt passionnant et même les X-Men ont eu le droit à un retour très réussi du côté de l’animation avec la série X-Men 97′. Et si on attend de voir la suite, les deux sagas qui nous ont le plus excités sont Alien et Predator.

En 2022, Disney a surpris tout le monde avec le très bon Prey, avant le retour solide du Xénomorphe dans Alien : Romulus à l’été 2024. En 2025, les choses s’accélèrent encore pour les deux franchises puisqu’il y aura la série Alien : Earth en août prochain, puis le film Predator : Badlands à l’automne au cinéma. Mais avant cela, le Yautja revient directement sur Disney+ avec le film d’animation Predator : Killer of Killers réalisé par Dan Trachtenberg. Les premiers avis sont tombés et c’est encore très prometteur.

« Predator : Killer of Killers est le film que les fans de Predator attendaient depuis toujours. Le Predator est sauvage, brutal et absolument génial. L’animation est époustouflante, et les fans de Predator et Prey ont de quoi se réjouir. » Hunter Bolding – The Hashtag Show

« L’animation de Predator : Killer of Killers est époustouflante. Voir différents Predators à différentes époques est vraiment impressionnant, mais les nombreux guerriers humains au cœur de cette anthologie sont particulièrement captivants. Cela va prendre les fans au dépourvu de la meilleure des manières. » Andrew J. Salazar – DiscussingFilm

« Predator : Killer of Killers est une anthologie divertissante de Predator à travers différentes époques historiques. Si les histoires individuelles sont pleines d’action et de sang, c’est dans la dernière partie du film que l’histoire prend forme et atteint son apogée. L’épilogue est également excellent ! » Nick Van Dinther – BiteSizeBreak

« Predator : Killer of Killers est le meilleur film Predator depuis des décennies. Des sensations fortes non-stop. De l’action épique avec des personnages qui vous sont chers. Le film développe avec brio l’univers de Predator et nous offre encore plus de ce qu’on apprécie dans cette saga. Je ne voulais pas que ça s’arrête. » Jonathan Sim – ComingSoon

« Dan Trachtenberg et ses équipes ont fait un film qui casse des culs et ne retient pas ses coups avec Predator : Killer of Killers. Palpitant ! Ils abordent avec brio les thèmes de la vengeance et de la violence. Les textures à l’image sont presque palpables, l’animation est bluffante, les combats sont sanglants et brutaux et les personnages captivants. Même les easter eggs sont habilement utilisés. » Courtney Howard – The AV Club

« Predator : Killer of Killers est une construction ambitieuse qui s’appuie sur des affrontements s’étendant sur plusieurs périodes avant de culminer sur la planète natale du Predator. Chaque décor ajoute une profondeur et des nuances à l’histoire, tout en réimaginant les époques les plus brutales de l’humanité à travers le prisme de la chasse. » Michael J. Lee – We Live Entertainment

« Predator : Killer of Killers est un film d’anthologie épique qui propulse la saga vers de nouveaux sommets de sophistication. The Third Floor [la boîte qui a conceptualisé l’animation du film, ndlr] a fait un travail dingue. L’action animée et la qualité des images sont époustouflantes. Killer of Killers n’est pas seulement le meilleur film Predator à ce jour. C’est aussi l’un des meilleurs films de l’année. Point final. » Rendy Jones – Den of Geek

« Je suis ravi de dire que Predator : Killer of Killers est le meilleur film Predator… depuis Prey. Des animations magnifiques, des séquences d’action incroyablement viscérales, une structure ingénieuse pour une anthologie et une extension fantastique des terrains de chasse Yautja. Cette saga est entre de bonnes mains. » Bill Bria – SlashFilm

« Prey était génial, mais Dan Trachtenberg propulse la franchise Predator au niveau supérieur avec Predator : Killer of Killers. Captivant, violent et magnifiquement animé, c’est un délice sanglant pour les fans de cette franchise… et il y a quelques surprises amusantes ! Place à Predator : Badlands désormais. » Josh Wilding – ComicBookMovie.com

Voilà qui est plutôt rassurant et plein de promesses. Après ces avis très positifs, on ne va pas mentir en disant qu’on est encore plus curieux de plonger dans ce nouveau film Predator, qui devrait donc passer à la fois chez les vikings, les samouraïs et influer sur la Seconde Guerre mondiale comme la bande-annonce l’avait teasé. Et l’avantage, c’est que notre patience sera bientôt récompensée puisque Predator : Killer of Killers sortira sur Disney+ dès le 6 juin 2025.

Pour le reste, Predator : Badlands est bien prévu pour le 5 novembre 2025 en France et, entre temps, on pourra se délecter d’Alien : Earth dès le 12 août prochain sur Disney+ aux États-Unis (et 13 août en France).


https://www.ecranlarge.com/films/news/p ... walTIKTufg
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Karate Kid Legends : premiers avis pour le film avec Jackie Chan et Ralph Macchio

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Cobra Kai est morte, vive Karate Kid ! Le film réunissant Jackie Chan et Ralph Macchio, Karate Kid Legends, a été projeté à la presse américaine.

Symbole d’un certain cinéma familial des années 1980 et suprême Madeleine de Proust pour des armées de quadragénaires, Karate Kid est passé par quasiment toutes les étapes obligatoires de la franchise hollywoodienne : tripotée de suites de plus en plus décalées (jusqu’à un… Miss Karate Kid), remake à gros casting (Jaden Smith et Jackie Chan) dans les années 2010 et enfin « legacyquel », c’est-à-dire suite tardive ultra-nostalgique, dans les années 2020.

Ce dernier chapitre venant de se clore avec la saison 6 de Cobra Kai, on pourrait se demander quelle sera la prochaine, inévitable, car la série Youtube Red récupérée par Netflix a connu un grand succès. Il s’agira donc d’un super best-of intitulé Karate Kid Legends. Jackie Chan reprendra son rôle pour rejoindre la saga principale aux côtés de Ralph Macchio, interprète de Daniel LaRusso revenu sur le devant de la scène dans Cobra Kai. La presse américaine a vu le film. Verdict : on prend les mêmes, et on recommence.

« Karate Kid : Legends n’est pas vraiment à la hauteur de la promesse marketing ‘Cobra Kai-rencontre-Mr Han’. Mais si vous cherchez du feel-good léger, vous êtes venus au bon dojo »

Empire

« Bien que personne ne refusera au visiblement intemporel Ralph Macchio et à l’action star adorée Jackie Chan l’opportunité de reprendre leurs rôles respectifs de Daniel LaRusso et Mr Han, ce dernier volet d’une franchise décidément increvable n’ajoute rien à la formule. C’est une formule qui marche, bien sûr, et qui fait bien passer le temps. Mais c’est à peu près tout. »

The Hollywood Reporter

« C’est un film qui n’a pas honte d’être basique, bienveillant et, avec 94 minutes, assez dépouillé pour être rafraîchissant. Aussi conventionnel soit-il, il fait office d’antidote aux boursoufflures et au désordre du film pour enfant/ado ‘superpuissant’ moyen. »

Variety

« En liant son histoire à la saga de Daniel LaRusso, Karate Kid : Legends se résout à répéter son récit intégralement, ce qui en fait un film d’arts martiaux avec peu de nouveaux coups comparé à ce que le public a vu il y a 40 ans. »

IndieWire

« C’est chaleureux, c’est léger – c’est une rafale de fun familial qui va inspirer bien des regards en arrière vers les vieux films tout en relançant un intérêt pour l’apprentissage des arts martiaux. »

The Guardian

« Legends est le dernier d’une longue lignée de films Karate Kid catastrophiques. Un passage de relai, en fait, à la prochaine copie inférieure »

The New York Post

« Un film qui a beaucoup moins d’impact que la série, mais qui nous rappelle quand même pourquoi l’histoire et les thèmes sous-jacents de la saga peuvent encore plaire. »

IGN

« L’indéniable sympathie de Ben Wang maintient tout à flot et les merveilleuses séquences d’action donnent un bon départ à la carrière de réalisateur de Jonathan Entwistle »

Collider

« Les fans hardcore pourraient prendre leur pied en voyant Macchio et Chan ensemble. Les autres seront juste tentés de mettre une balayette à tous ceux qui essayent de capitaliser sur une franchise récemment ravivée pour l’essorer. »

Rolling Stone

Tous les avis, de l’enthousiaste au désespéré, remarquent le manque d’originalité du film, qui ne risque donc pas de réinventer ni la roue ni le high kick. À voir si le public sera au rendez-vous pour se retaper pour la dix-sept millième fois la même intrigue. Vu l’état d’Hollywood, ce n’est pas complètement improbable. Pour se faire un avis, il faudra attendre le 13 août 2025.


https://www.ecranlarge.com/films/news/k ... 0GncDnriFw
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J'espère que le film sera aussi jouissif que les trailers.
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ClintReborn a écrit : lun. 2 juin 2025 13:07
Clint Eastwood, 95 ans, prépare un nouveau film et n'a pas l'intention de prendre sa retraite
https://www.vanityfair.fr/article/clint ... a-retraite
Inarrêtable :ouch:
"Propose quelque chose de nouveau ou reste chez toi" : Clint Eastwood balance sur Hollywood et fait une grande annonce
https://www.allocine.fr/article/fichear ... 47104.html
Impitoyable :D
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Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 19:12
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:38
Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:29

Déjà ici il y avait beaucoup de monde mais en fait il y a surtout des concentrations de gens à certains endroits, quand tu t'écartes un peu du centre c'est tout de suite plus calme. Par contre je sais que les gondoles font partie intégrante du paysage vénitien mais à certains endroits ça ressemble presque à Walibi, tu peux avoir 5-6 gondoles qui se suivent.

Bon sinon j'ai posté énormément de photos sur mon Insta non je ne dis pas ça pour me faire de la publicité :D
Ouais les gondoles ça a l'air assez bordélique niveau organisation, genre c'est à la chaine :lol: Ça me rappelle que j'avais fait une balade sur une gondole dans un décor de Venise dans un parc Disney au Japon, c'était rigolo :lol:

Pour les photos je vais aller voir tout ça dans la semaine, je ne me connecte quasi plus à Insta pour le moment, en fait ce sont les réseaux sociaux que je délaisse en général :lol:
J'ai lu un article sur une gondole qui s'est renversée avec ses occupants il y a une ou deux semaines :D Ça doit gâcher un peu ton séjour, surtout si ton téléphone est HS :D
J'ai vu un truc avec une gondole qui passait sous un pont super bas, faut pas être claustro hein ^^
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robinne a écrit : lun. 2 juin 2025 18:42
ClintReborn a écrit : lun. 2 juin 2025 13:07
Clint Eastwood, 95 ans, prépare un nouveau film et n'a pas l'intention de prendre sa retraite
https://www.vanityfair.fr/article/clint ... a-retraite
Inarrêtable :ouch:
"Propose quelque chose de nouveau ou reste chez toi" : Clint Eastwood balance sur Hollywood et fait une grande annonce
https://www.allocine.fr/article/fichear ... 47104.html
Impitoyable :D
C'est ce qui lui ressemble le plus faut pas oublier qu'à 75 ans sur le plateau des oscars il avait sorti "Hey je suis juste un gosse j'ai encore beaucoup de choses à faire" :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:38
Pale a écrit : dim. 1 juin 2025 18:29
Miamsolo a écrit : dim. 1 juin 2025 18:20

Pas encore, le souci c'est que je ne peux y aller qu'en période de congés scolaires, et il parait que ces périodes-là sont les pires pour aller à Venise, donc pour l'instant c'est sur ma liste mais pas pour tout de suite :D
Déjà ici il y avait beaucoup de monde mais en fait il y a surtout des concentrations de gens à certains endroits, quand tu t'écartes un peu du centre c'est tout de suite plus calme. Par contre je sais que les gondoles font partie intégrante du paysage vénitien mais à certains endroits ça ressemble presque à Walibi, tu peux avoir 5-6 gondoles qui se suivent.

Bon sinon j'ai posté énormément de photos sur mon Insta non je ne dis pas ça pour me faire de la publicité :D
Ouais les gondoles ça a l'air assez bordélique niveau organisation, genre c'est à la chaine :lol: Ça me rappelle que j'avais fait une balade sur une gondole dans un décor de Venise dans un parc Disney au Japon, c'était rigolo :lol:

Pour les photos je vais aller voir tout ça dans la semaine, je ne me connecte quasi plus à Insta pour le moment, en fait ce sont les réseaux sociaux que je délaisse en général :lol:
:hello:
wouah qu'est-ce-qu'on se gondole ici :lol:
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Pale a écrit : mar. 3 juin 2025 20:16
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Nathan Fillion (Castle, The Rookie) :scary: :hypnose:
pas reconnu
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EL a modérément apprécié Ballerina (3 étoiles) :

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Autrefois un spec script (un scénario écrit par quelqu’un dans son coin, par opposition à une commande de studio) acheté et rattaché en 2017 à la saga John Wick, Ballerina revient de très, très loin. D’articles alarmistes en rumeurs de désastre, le film est devenu de plus en plus radioactif. D’autant que la réalisation a été confiée au mal nommé Len Wiseman (les Underworld, Die Hard 4, le remake de Total Recall) et la distribution au collectionneur de bides Lionsgate, dont le dernier blockbuster reshooté à mort est quand même parvenu à faire ressentir du malaise aux fans de Borderlands. La promotion en a encore ajouté une couche en mettant plus en avant Keanu Reeves que Ana de Armas, ce qui en dit long sur la confiance accordée à l’héroïne de ce spin-off. Autant dire qu’on attendait le 4 juin 2025 comme on attend une coloscopie. Mais figurez-vous que certaines expériences sont beaucoup plus agréables que prévu.

JUSTE UNE DERNIÈRE DANSE


« Nous allons à Budapest, et ce ne sont pas des reshoots, mais de nouvelles séquences. C’est un nouveau tournage. Vous savez, ils doivent protéger la franchise« , racontait l’acteur Ian McShane dans The One Show en février 2024, un an après le tournage principal de Ballerina. Quelques mois plus tard, un article de The Wrap révélait l’ampleur du désastre : les acteurs et les équipes techniques auraient été réquisitionnées pendant 3 mois supplémentaires (!)… à l’exception de Wiseman, accusé selon des sources de ne pas être à la hauteur sur le plan de l’action.

L’estimé Chad Stahelski, réalisateur attitré de la saga qui a pris en charge ce tournage additionnel, a eu beau rassurer la presse américaine avec toute la force de persuasion promotionnelle dont il est capable, le long-métrage a eu droit à un sacré ravalement de façade. Difficile de dire s’il a « protégé » une saga qui a de toute manière viré au grand n’importe quoi grandiloquent depuis belle lurette. Mais elle a effectivement préservé un peu de son pouvoir divertissant, voire de son capital sympathie.

Le scénario, en tout cas, est dans la lignée du dernier John Wick, c’est à dire cataclysmique. Les plus cyniques rétorqueront que tout le monde s’en contrefout, mais ce n’est visiblement pas l’avis des scénaristes de la franchise, qui persistent à tartiner sur l’écran leur mythologie débile avec ses sociétés secrètes d’assassins à peu près aussi discrètes qu’un enfant de 14 ans à une projection de Minecraft.

DANCER IN THE DARK

Comme dans les deux précédents volets, les assassins constituent un bon 60 % de la population occidentale, les 40 % restant faisant office de figurants qui ont pour seul réflexe de s’accrocher à leur verre quand une demi-dizaine de gorilles s’entretuent dans leur boite de nuit. On s’habitue à tout, il faut croire. La palme du ridicule étant remportée par l’entrée… design du nouveau Continental de Prague, monument de sobriété.

Blague à part, dommage que Wiseman et/ou Stahelski n’aient pas profité de ce pas de côté pour explorer d’autres aspects de leur univers pseudo-étendu, définitivement allergique aux anti-héros depuis le troisième opus. La cruelle Ruska Roma devient une énième agence secrète, meurtrière et bienveillante (un concept en soi) à la philosophie pour le moins caricaturale, luttant contre un nouveau clan d’hommes de main anonymes. Les dialogues tentent pourtant de donner un peu le change en évoquant une secte crypto-fasciste. Une vague diversion tout au plus.

Les méchants menés avec ferveur par Gabriel Byrne ne sont que des antagonistes génériques de plus dans la liste d’Ana de Armas, embarquée dans une histoire de vengeance ahurissante de lourdeur où surnagent des personnages ahurissants d’inutilité. Mention spéciale à Catalina Sandino Moreno, Sharon Duncan-Brewster et surtout à Norman Reedus, qui a presque autant de temps d’écran dans les bandes-annonces que dans le film.

Bonne nouvelle toutefois : Ballerina a le mérite de rester sous la barre des deux heures et surtout de garder un rythme soutenu, nous empêchant de piquer du nez entre deux bastons.

DANSE MACABRE

Miracle : les séquences d’action de Ballerina sont assez amusantes pour rattraper les velléités narratives de plus en plus racoleuses de la saga. Certes, les chorégraphies ne sont pas au niveau des meilleurs morceaux de bravoure de Stahelski et les auteurs manquent là aussi l’opportunité de diversifier un peu la formule.

Forcément moins assurée et puissante que son modèle, Eve (appréciez la subtilité de la référence, soulignée à l’oral dans le film…) n’a pas un style martial foncièrement différent pour autant. La note d’intention : quand on lui conseille de jouer de ses faiblesses et de « se battre comme une fille », elle se contente d’envoyer un gros coup de pied dans les valseuses de son adversaire. Subtil. Cette héroïne en construction n’est qu’une sous-John Wick parmi d’autres, qui restera d’ailleurs dans son ombre durant tout le climax.

Heureusement, les séquences de bastons sont à peu près aussi débiles que le reste et les chorégraphies un poil moins inspirées sont compensées par une pluie de gimmicks impromptus. Eve se bat à coups de marteaux, de patins à glace, de grenades, de lampe… Bref de tout ce que les scénaristes ont placé sur son chemin. Tant et si bien qu’elle est forcée de se battre à deux reprises dans deux armureries différentes !

À chaque arme improvisée sa petite idée de mise en scène, son gag visuel. Une générosité inattendue culminant dans un climax qui ose enfin changer un peu de décor. Le clou du spectacle : un duel au lance-flamme franchement jouissif, le sound design transformant le rôtisseur de saucisses en lance-roquette à bout portant.

On est loin, très loin du parfum de série B efficace qui se dégageait des deux premiers opus. Même amusants, les set pieces sont parasités par les clins d’œil forcés et les renvois respectueux aux codes sacrés de l’Église Wick (l’inclusion du Baba Yaga plombe vraiment le dernier acte, malgré une bonne idée). Mais une fois accepté qu’il s’agit désormais d’une franchise hollywoodienne comme une autre, on reconnaît volontiers qu’elle reste bien plus décomplexée que ses semblables.

À condition d’ignorer le scénario atroce, ce qui ne devrait pas être trop difficile pour qui a survécu à John Wick 4, Ballerina comporte assez de gimmicks rigolos pour assurer le divertissement.


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Ça a l'air d'être sacrément nian-nian en fait :D
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... z9K5NQOY6A
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EL n'a pas trop aimé Predator : Killer of Killers (2 étoiles) :

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Après le flop de The Predator et le rachat de la Fox par Disney, la saga de science-fiction autour de l’alien chasseur a dû se réinventer. Dan Trachtenberg, tout juste sorti du sympathique 10 Cloverfield Lane, a frappé fort avec Prey en propulsant le Yautja dans l’histoire de l’humanité (du côté des natifs américains). Cette porte, qui n’avait pas encore été ouverte par les films de la franchise, donne maintenant Predator : Killer of Killers, pastille animée co-réalisée par Trachtenberg et Josh Wassung, et à voir à partir du 6 juin sur Disney+, avant l’arrivée du blockbuster Predator : Badlands.

FROM PREY TO KILLER


Alors que Predator : Badlands nous promet de faire de l’extraterrestre le protagoniste de sa propre histoire (un renouveau intrigant), il avait été annoncé que Dan Trachtenberg planchait sur un film surprise en complément. On voyait venir le projet B destiné au streaming, mais après tout, Prey avait été bazardé sur Hulu et Disney+ sans autre forme de procès. Trachtenberg a cette humilité de l’artisan soigné, et son inventivité cherche depuis son entrée dans le monde de Predator à en bouleverser les acquis et la mythologie.

On était donc curieux de découvrir Killer of Killers, film à sketchs dans la continuité de Prey, où nos amis à dreadlocks sèment la mort dans trois périodes historiques distinctes (le temps des Vikings, le Japon féodal aux côtés de samouraïs, et la Seconde Guerre mondiale vue d’un aviateur américain). Sans vouloir trop en révéler, disons juste que ces trois récits sont amenés à se recouper dans une dernière partie aux airs de carotte, afin de contrer une structure vite pénible.

La lassitude s’installe dès lors qu’on a compris le fonctionnement des divers récits (l’introduction d’un personnage dans un contexte de guerre, l’arrivée du Predator en tant que spectateur, et enfin sa partie de chasse). Bien que le film s’amuse avec des gimmicks pour marquer la distinction de ses chapitres – notamment en ce qui concerne les langues parlées –, le tout a un peu des airs de série anthologique à la Love, Death & Robots, trop heureuse d’enquiller des concepts aux développements rachitiques pour justifier ses jeux de massacre sanglants.

Entendons-nous bien, Killer of Killers fait régulièrement le café de ce côté-là. Difficile de ne pas se frotter les mains de plaisir face à certaines mises à mort au gore assumé, face à des enchaînements chorégraphiques inspirés, et face à l’arsenal toujours renouvelé de nos braconniers de l’espace préférés (le harpon qui défragmente les avions de chasse, c’est oui !).

On saluera en particulier le passage au Japon féodal, où les inspirations du côté du film de sabre et de la japanimation offrent des compositions de cadre et des élans cinétiques diablement cool. Cela étant dit, même les moments les plus amusants de ce spin-off laissent un goût amer en bouche, la faute à une animation rigide, saccadée et aux textures inconsistantes, qui gâche la fête et les bonnes idées de l’ensemble (à tout hasard, un plan-séquence en pleine bataille devenant peu lisible).

TABLEAU DE CHIASSE

Peut-être est-ce dû à notre amour inconditionnel pour la franchise Predator, mais Killer of Killers a eu l’effet d’une goutte d’eau faisant déborder le vase de l’animation de plateforme. Si de trop rares projets ont prouvé qu’on pouvait mettre les petits plats dans les grands (Arcane), Disney+, Netflix et consorts continuent d’alimenter leur catalogue avec des productions techniquement indigentes, ou au minimum décevantes, par rapport au prestige des franchises investies.

Nous voilà voués à bouffer du direct-to-streaming comme les suites au rabais que Disney pondait par le passé pour le marché de la vidéo. Dans le genre, le spin-off de Predator rappelle les films The Witcher de Netflix (ce n’est pas un compliment), eux aussi motivés par le seul poids de leur licence.

Mais à cet opportunisme s’ajoute une autre donnée, pour le coup fascinante à décortiquer. Plutôt que de confier la fabrication du film à un studio d’animation confirmé, Trachtenberg et 20th Century Studios se sont tournés vers The Third Floor, peut-être l’une des entreprises les plus importantes du Hollywood contemporain.

La spécialité de The Third Floor, qui lui vaut d’être dans la plupart des génériques de blockbusters, c’est la prévisualisation, cette réalisation en 3D grossière à la manière d’un storyboard en mouvement. En plus d’aider à percevoir les défis techniques des scènes requérant des CGI, la “préviz” peut tester des cadrages, des raccords ou le rythme global d’une séquence. À titre d’exemple, la révélation finale d’Avengers : Endgame, avec tous les super-héros sortant des portails, a été préconçue de la sorte des années avant d’avoir été tournée.

La prévisualisation est plus essentielle que jamais dans le pipeline d’un blockbuster, mais elle a aussi ses limites, notamment lorsque des studios comme Marvel se mettent à designer des scènes d’action avant qu’un réalisateur n’ait rejoint le projet. Sans vision claire, les animateurs peuvent se permettre des plans improbables et l’effet wahou à tout prix, quitte à déconnecter une séquence du reste d’un film. Si vous avez déjà eu la sensation de voir un grand spectacle passer du live-action à la cinématique de jeu vidéo sans ancrage dans le réel, la prévisualisation peut être (en partie) à blâmer.

Sur le papier, le choix de The Third Floor pour chapeauter Predator : Killer of Killers n’est pas une mauvaise idée. Cependant, cette première tentative pour la société fait ressortir ses pires travers : la recherche perpétuelle du cool se transforme en frime dévitalisée, qui prend le pas sur toute logique narrative ou émotionnelle.

On pourrait le pardonner dans le cadre d’un bonbon qui n’aurait d’autre enjeu que le fun de son carnage. Mais il est difficile de voir la proposition de Trachtenberg comme un simple spin-off sans prétention quand il essaie de construire de nouvelles règles dans son univers et la promesse d’une potentielle suite (la fin en eau de boudin est particulièrement frustrante), soutenue par une scène post-générique putassière. Malgré les plaisirs simples qui sont les nôtres à Ecran Large, il faut se rendre à l’évidence : le goût du sang ne fait pas tout.

Il est temps de ne plus accepter les films d’animation au rabais conçus pour les plateformes de streaming, surtout quand un tel potentiel se voit gâché par une narration programmatique et une technique décevante.


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F1 : premiers avis sur le film de Formule 1 avec Brad Pitt du réalisateur de Top Gun : Maverick

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Après les avions de chasses de Top Gun : Maverick, Joseph Kosinski nous embarque dans des F1 avec Brad Pitt et les premiers avis promettent du lourd.

Avec le double programme Lilo & Stitch et Mission : Impossible – The Final Reckoning, la salve de blockbusters printaniers et estivaux a été lancée. Le mois de juillet en sera l’apogée – avec la triplette Jurassic World 4 le 4 juillet, Superman le 9 juillet et enfin Les 4 Fantastiques : Premiers pas le 23 juillet –, et le mois de juin ne sera pas en reste avec Ballerina (déjà en salles), 28 ans plus tard (dès le 18 juin) et aussi F1 de Joseph Kosinski le 25 juin.

Après avoir cartonné au box-office avec Top Gun : Maverick et Tom Cruise, le cinéaste revient sur les écrans avec un autre film défiant les lois de la vitesse et une star de renom grâce à F1 donc mené par Brad Pitt. Après des bandes-annonces teasant un sacré spectacle, le film a d’ores et déjà été présenté en avant-première à quelques chanceux. Les premiers avis sont donc tombés dans la foulée. Revue de tweets.

« F1 est absolument incroyable. C’est l’un des films les plus cool et les plus divertissants que vous verrez probablement de votre vie, et ça ne l’empêche pas d’avoir une véritable âme. Kosinski a conçu avec précision une épopée époustouflante, à couper le souffle, qui vous fait vibrer. J’ai adoré. » Drew Taylor – The Wrap

« F1 est absolument épique et un blockbuster incontournable de l’été. Revenir après Top Gun: Maverick n’était pas une mince affaire, mais Joseph Kosinski surpasse les attentes et fait en sorte que tout le monde puisse apprécier son film, même sans être intéressé par la F1. Tout comme Top Gun: Maverick, ce film est une aventure palpitante du début à la fin avec Kosinski qui embrasse les pistes avec une action à pleine vitesse et nous plongeant dans la peau des pilotes pour chaque course. On a presque l’impression de courir aussi avec le cœur battant en voyant ces voitures à un rythme effréné.

Brad Pitt est toujours aussi solide dans ce rôle principal captivant, à la recherche de son passé, et tient bon, tandis que Damson Idris apporte le charme juvénile et la détermination qui font de lui une superstar née. Mais c’est Kerry Condon qui vole la vedette avec une performance époustouflante. Javier Bardem est également un délice. Si vous cherchez un film à voir cet été, F1 est le blockbuster idéal. Avec une conception sonore incroyable, des effets visuels magnifiques, une romance captivante et des courses électrisantes qui vous tiendront en haleine. C’est l’occasion idéale de passer du temps au cinéma. »
Zak – Next Best Picture

« F1 de Joseph Kosinski appuie sur le champignon et ne s’arrête jamais d’accélérer. Les courses sont épiques, la conception sonore, le montage, la cinématographie, les performances et la musique sont tous de premier ordre. Le film ressemble à s’y méprendre à Top Gun : Maverick dans cette manière qu’il a de se dérouler comme un blockbuster d’été à l’ancienne. Quelle aventure ! » Erik Davis – Fandango

« Le film F1 de Joseph Kosinski est vraiment excellent. Un montage incroyable, une photographie époustouflante et une musique de Hans Zimmer de premier ordre. Kerry Condon est géniale. Je commence déjà une campagne pour convaincre des membres de l’Académie de bien voter pour Claudio Miranda [le chef opérateur, ndlr] pour les prochains Oscars. » Gregory Ellwood – The Playlist

« Wow ! F1 est un grand ride bourré d’action sur le monde de la F1, avec beaucoup de cran et palpitant. Le son, la musique et la cinématographie sont impeccables. Damson Idris et Brad Pitt sont géniaux ! Il m’obsède ! » Jazz Tangcay – Variety

« F1 est un film à sensations fortes, amusant et palpitant, avec beaucoup de cœur ! Brad Pitt et Damson Idris sont électrisants ! Mais le clou du spectacle, ce sont les séquences de course exaltantes qui nous mettent véritablement aux commandes ! Une manière de nous rappeler pourquoi on aime les blockbusters de l’été. » The Nerds of Color

« F1 est vraiment génial. De l’adrénaline, du cœur, du rythme, une bonne histoire, de bons personnages… tout en fait une œuvre excellente. Je ne peux pas imaginer à quel point j’aurai encore plus aimé si j’étais une fan de Formule 1. D’ailleurs, je le suis peut-être un peu maintenant ? » Maude Garrett – Nerdist

Il semblerait, vu ces premiers retours, que Joseph Kosinski a encore livré un grand film d’action et réitéré l’exploit de Top Gun : Maverick avec F1. Tous les avis sont très positifs et même si on a toujours envie de se méfier des premiers échos (souvent triés sur le volet par les studios), c’est plutôt très bon signe que Warner et Apple lèvent l’embargo aussi tôt par rapport à la sortie du film (plus de trois semaines avant).

En tout cas, ce n’est probablement pas anodin si les deux studios essaient d’amplifier l’attente, car ils en auront bien besoin. Avec un budget estimé de 300 millions de dollars, F1 devra en effet exploser les scores pour éviter une nouvelle débandade commerciale à Warner (accompagné ici par Apple pour la gestion du streaming). Le verdict tombera aux alentours du 25 juin, date de sortie française du film.


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Le Social Network de Chat GPT se prépare, avec un gros casting et un réalisateur prestigieux

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Le sur-actif Luca Guadagnino pourrait bien s’attaquer à l’IA, à Chat GPT ainsi qu’à son gourou, peut-être même avec Andrew Garfield et un casting tout sauf artificiel.

Cinéaste vedette des festivals de cinéma les plus prestigieux, Luca Guadagnino a accéléré la cadence de ses réalisations depuis le triomphe critique de Call Me by Your Name en 2018. L’année d’après, il présentait son remake très controversé de Suspiria. En 2020, il signait à la fois un documentaire et une série télévisée entière (We are who we are). Depuis 2022, il a déjà mis en scène quatre longs-métrages : Bones and All, Challengers, Queer et After the Hunt, qui sortira en octobre 2025 aux États-Unis.

Et ce n’est pas fini à en croire la presse américaine, qui lui a encore trouvé un projet supplémentaire, qui plus est avec un casting ultra-prestigieux et sur un sujet d’actualité.

D’après Variety, le réalisateur serait en discussions pour s’occuper de Artificial, actuellement en développement chez Amazon MGM Studios. Scénarisé par Simon Rich (venu du SNL), produit par David Heyman (les Harry Potter et bientôt les James Bond) et Jeffrey Clifford (Paddington 2 et 3) sous leur bannière Heyday, le film s’intéressera « au monde de l’intelligence artificielle ».

Un article de Deadline publié simultanément donne un peu plus de précisions. Selon ses sources, qui n’ont pas été confirmées, il évoquerait en fait la période où le PDG de la société Open AI, Sam Altman, a été viré puis réengagé en l’espace de quelques jours.

Open AI, c’est l’une des grandes responsables (coupables diront certains, comme nous par exemple) de la démocratisation de l’intelligence artificielle générative, notamment grâce à Dall-E et au fameux Chat GPT. Altman est quant à lui un milliardaire devenu la figure de proue de cette révolution technologique. D’ailleurs, ces quelques jours d’exil font l’objet d’une fiche Wikipédia américaine à part entière, plus longue que celle de certaines batailles historiques.

Il y a donc de quoi en tirer une fable technologique contemporaine dans la veine de The Social Network. D’autant que le réalisateur pourrait même lui piquer l’un de ses interprètes. Des « insiders » de Deadline indiquent qu’Andrew Garfield, qui incarnait Eduardo Saverin dans le chef-d’œuvre de Fincher et qui jouera dans After the Hunt, serait en négociations préliminaires pour un rôle.

Ce serait aussi le cas de Monica Barbaro (Un Parfait inconnu) et Yura Borisov, génial comédien à l’affiche de Le capitaine Volkonogov s’est échappé, de La Fièvre de Petrov et d’Anora. Rien n’a toutefois été signé, aussi bien du côté de la réalisation que de la distribution.

A priori, Guadagnino pourrait se tourner vers ce projet en attendant d’enfin plancher sur son film DC Sgt. Rock. Début mai 2025, un article de The Wrap indiquait que la production était à l’arrêt, mais Deadline mentionne un report d’un an. Un délai trop élevé pour le cinéaste, décidément déterminé à visiter Venise tous les ans pour la Mostra.


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... JorQ0W7a1w
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Les 30 premières minutes font assez peur avec un gros forcing pour adouber ce Ballerina en tant qu'opus à part entière du lore de John Wick. Mais dès qu'Ana de Armas prend les armes, le film enchaine les scènes d'action à un rythme effréné culminant en un gros climax bien jubilatoire où cette dernière se retrouve face à un village entier.
Techniquement c'est propre, y a toujours une idée nouvelle pour dynamiser les fights (sols glissants, grenades utilisées en quasi corps-à-corps, patins à glace en arme de poings, duel au lance-flammes.
Ça méritait une écriture plus soutenue qui drague moins la saga (Keanu Reeves est pas là qu'en caméo mais honnêtement Ana est badass toute seule et en impose) mais le tout se révèle bien sympathique et bien emballé.
Voir Ana de Armas trucider des mecs au katana dans un chalet en feu m'a procuré un orgasme donc rien que ça mérite le détour
6.5/10

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Suite d'un film mid d'il y a quasi 10 ans, la suite de The Accountant se rèvèle tout aussi mid la faute à une vague intrigue d'enquête inutilement étirée, avant tout propice à un gros délayage pour qu'un Ben Affleck essayant de jouer les autistes (ça marche moins que dans le 1er en plus) renoue avec Jon Bernthal (toujours bien charismatique) afin que le film délivre un climax où les fisillades sont filmées comme dans n'importe quel sous-série de Sheridan. Dommage car ici et là Gavin O'Connor livre des scènes sympathiques, notamment entre les 2 acteurs principaux. L'intrigue propose même un joli arc rédemptif pour une tueuse jouée par Danielle Pineda...et on se rend vite compte que tout le film aurait mieux fait de se centrer sur elle

4.5 ou 5/10


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Remake copie-carbone du super film original, ce Dragons a néanmoins un truc qui change tout : Dean DeBlois lui-même réalise ! Ce faisant il arrive à placer le curseur émotionnel là où il faut, maîtrise aussi bien sa mise en scène en live qu'en animation, et propose même un casting absolument impeccable incarnant parfaitement chaque personnage de Beurk (y compris Gerard Butler qui est super en Stoïk).
Le souci est que le film est inutile et sans aucune surprise vis-à-vis de l'original, l'empêchant d'être une oeuvre à part entière. Pour le reste le film fait un sans-faute en terme de transposition

6/10

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Avant que Trachtenberg ne revienne en live-action, il propose ici un film Predator simili-anthologique en animation centré sur 3 segments : le 1er au IXe siècle où une viking terriblement badass se retrouve face à un Uber Yautja alors qu'elle venge son père ; le 2nd au Japon féodal où 2 ninjas s'affrontent sur les obsèques de leur père daimyo avant qu'un Predator Feral ne vienne accentuer le trouble ; le 3e dans le ciel du Pacifique alors qu'un mécano se retrouve en plein dogfight avec un vaisseau alien.
Tourné via l'Unreal Engine, Killer of Killers affiche ainsi un style minimaliste pouvant désarçonner, mais à l'animation soignée tout comme la mise en scène confinant au pur fantasme geek en un sens. Dans la tonalité globale de Prey, tandis que le 3e segment (bien que fun) est celui qui est le moins travaillé en terme de dramaturgie. En résulte des facilités se retrouvant dans un 4e segment surprise, se concluant par un teasing d'un univers étendu plus vaste. Reste tout de même une chouette proposition faisant honneur au lore des Yautjas !
6/10
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NaughtyDog
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Dangerous Animals pourrait s'apparenter à n'importe quel film de serial killer, où une final girl est kidnappée par un détraqué adepte de snuff movies. Mais là où le film trouve sa singularité tient non seulement dans son concept : le tout se passe au pays des kangourous avec un Jai Courtney résolument très bon pour incarner des abrutis australiens...tandis qu'il lâche ses victimes en appâts vivants pour requins. Une manière de renouveler le genre en un sens, même si le tout a plutôt des allures de mashup exploitant les squales comme outil de frousse.
Pour autant, Sean Byrne tient son film sans bout de gras et maîtrise la technique de l'élastique (étendre la tension au maximum et fmcourt-circuiter les stratagèmes du bad guy et de l'héroïne). Mention spéciale à Hassie Harrison !

6.5/10
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