Le Cercle des profileurs disparus

[Kit]

Ils pourraient au moins prévenir.
Récemment il y a eu un petit ménage de printemps fait dans mes locaux de boulot, mais on a reçu plusieurs mails nous prévenant de bien ranger et notifier les zones utilisées pour qu'elles ne soient pas impactées. Et aussi prévenir le fait qu'en revanche ce qui restait allait disparaitre. C'est le minimum.

oui, je suis d'accord, surtout qu'en congé depuis une dizaine de jour, j'ignorais que ça allait arriver. bon il risque d'y avoir quand même des conséquences car j'ai tenu des propos répréhensibles dû à la colère et à la fatigue auprès de mes collègues

purée je suis encore dans le cirage, j'ai dû dormir un peu plus de 5 h et ça fait des mois que je n'avais pas dormi autant de suite

[ClintReborn]

Ils pourraient au moins prévenir.
Récemment il y a eu un petit ménage de printemps fait dans mes locaux de boulot, mais on a reçu plusieurs mails nous prévenant de bien ranger et notifier les zones utilisées pour qu'elles ne soient pas impactées. Et aussi prévenir le fait qu'en revanche ce qui restait allait disparaitre. C'est le minimum.

Je suis quasiment certains que des documents historiques uniques et importants et des œuvres d'arts ont dans l'histoire disparus de cette façon parce que quelqu’un a décider de faire un jour du ménage sans trop se poser de questions...

- Raoul on déblaye cette remise il y a que des vieux trucs et des papiers peints enroulés !
- D'accord Marcel je prépare la benne pour mettre tout ce fourbi

[Kit]

Ils pourraient au moins prévenir.
Récemment il y a eu un petit ménage de printemps fait dans mes locaux de boulot, mais on a reçu plusieurs mails nous prévenant de bien ranger et notifier les zones utilisées pour qu'elles ne soient pas impactées. Et aussi prévenir le fait qu'en revanche ce qui restait allait disparaitre. C'est le minimum.

Je suis quasiment certains que des documents historiques uniques et importants et des œuvres d'arts ont dans l'histoire disparus de cette façon parce que quelqu’un a décider de faire un jour du ménage sans trop se poser de questions...

- Raoul on déblaye cette remise il y a que des vieux trucs et des papiers peints enroulés !
- D'accord Marcel je prépare la benne pour mettre tout ce fourbi

ben la preuve l'autre fois dans un autre topic pour un plat céramique acheté 10€ revendu 3 200€

[Cocu]

oui, je suis d'accord, surtout qu'en congé depuis une dizaine de jour, j'ignorais que ça allait arriver. bon il risque d'y avoir quand même des conséquences car j'ai tenu des propos répréhensibles dû à la colère et à la fatigue auprès de mes collègues

purée je suis encore dans le cirage, j'ai dû dormir un peu plus de 5 h et ça fait des mois que je n'avais pas dormi autant de suite

On te jète tes affaires et ça va être ta faute!?

[Kit]

faut dire que j'ai vraiment déconné

[Pale]

[Pale]

Voici une très jolie bande-annonce :

[youtube]DEiTEfo5MWg[/youtube]

Par le réalisateur du très beau Amanda.

[Pale]

Une image de Miss Marvel :

[Kit]

12 avril bon anniversaire à
Herbie Hancock 82 (jazz)
Ed O'Neill 76 (Mariés, deux enfants, Dragnet, Modern Family)
Jean-Louis Aubert 67 (chant. Téléphone)
Andy García 66
Grégoire Bonnet 56 (Scènes de ménages)
Nicholas Brendon 51 (Buffy contre les vampires)
Shannen Doherty 51 (Beverly Hills 90210, Charmed)
Claire Danes 43 (Roméo + Juliette, Terminator 3)
Jennifer Morrison 43 (Dr House, Once Upon a Time)
Saoirse Ronan 28 (Les Filles du docteur March 2019)

une pensée pour
Harry Baur 1880-1943
Ann Miller 1923-2004 (actr)
Hardy Krüger 1928-2022
Jean-Pierre Marielle 1932-2019
Charles Napier 1936-2011 (act)
Tom Clancy 1947-2013 (romancier)

et pour les disparus un 12 avril
Franklin Delano Roosevelt 1882-1945 (prés. USA)
Joséphine Baker 1906-1975
Joe Louis 1914-1981 (boxe)
Pierre Richard-Willm 1895-1983 (act)
Sugar Ray Robinson 1921-1989 (boxe)
Maurice Barrier 1932-2020 (act)

[BOX OFFICE STORY]

Une image de Miss Marvel :

C'est une série c'est cela ?

[Pale]

Une image de Miss Marvel :

C'est une série c'est cela ?

Oui. C'est la série Marvel qui m'intéresse le plus, l'ambiance a l'air vraiment cool.

[Pale]

Barbie : un super acteur rejoint Margot Robbie et Ryan Gosling dans leur maison de poupée



Après le rôle d'Harley Quinn chez DC, Margot Robbie va incarner la célèbre poupée Barbie en chair et en os aux côtés de Ryan Gosling et d'un nouvel acteur qui a récemment rejoint le casting.

Dans un monde où La Grande Aventure LEGO se décline à l'infini, où on fait un prequel de G.I. Joe, un septième film Transformers ou une adaptation en prises de vues réelles des toupies Beyblade, il n'est pas très étonnant que Barbie, le mastodonte de Mattel et la patronne des rayons jouets, ait droit à son passage sur grand écran en chair et en os. Encore moins après Barbie dans Casse-noisette, Barbie, princesse Raiponce, Barbie et le Lac des cygnes et les dizaines d'autres longs-métrages sortis sur le marché vidéo à partir des années 2000.

Le projet d'un film Barbie en live action est en développement depuis plusieurs années, et après l'annonce d'Amy Schumer, puis Anne Hathaway dans le rôle-titre, c'est finalement Margot Robbie qui a officiellement décroché le rôle en janvier 2019 en plus de participer à la production. L'actrice partagera l'affiche avec Ryan Gosling, qui profitera d'une crise de la quarantaine pour incarner le beau, jeune et éternel Ken.

L'actrice et cinéaste Greta Gerwig, qui compte déjà trois nominations aux Oscars pour Lady Bird et Les Filles du Docteur March, réalisera le film qu'elle coécrira avec Noah Baumbach (Mistress America, Marriage Story).Le reste du casting sera quant à lui composé d'Emma Mackey (Eiffel, Mort sur le Nil), Kate McKinnon (S.O.S Fantômes), Simu Liu (Shang-Chi), mais également Will Ferrell (Very Bad Dads, Very Bad Cops, Elfe), comme l'a récemment annoncé The Hollywood Reporter.

Comme pour le reste de la distribution ou le synopsis officiel, le rôle de l'acteur et comédien n'a pas encore été précisé, mais on se doute que les talents comiques de cet habitué du Saturday Night Live seront mis à profit dans ce projet de plus en plus curieux et tentant. Avant ça, Will Ferrell partagera l'affiche avec Ryan Reynolds et Octavia Spencer dans la comédie musicale Spirited actuellement en post-production.

Aucune date de sortie n'a encore été dévoilée pour Barbie, qui devrait débarquer l'année prochaine en salles si le tournage débute dans le courant de l'année.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... YnwYHY_zio

[Pale]

EL n'a pas aimé Les Animaux fantastiques 3 (1,5 étoiles) :



Renvoi de Johnny Depp, propos transphobes de J. K. Rowling et premiers opus globalement peu appréciés : la production des Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore est loin d’avoir été la promenade de santé espérée par Warner Bros. Alors que la major pensait faire de son spin-off d’Harry Potter sa nouvelle poule aux œufs d’or, la saga n’a cessé de décevoir, même en ramenant sur le devant de la scène certains éléments fondamentaux de la mythologie du Wizarding World. Est-ce que ces Secrets de Dumbledore parviennent à sauver les meubles, toujours avec David Yates à la manoeuvre ?

PFFFFFSOUFFLE

Après un premier opus qui avait assumé sa dimension "Pokémon Snap dans le monde d’Harry Potter", Les Animaux fantastiques a vite opéré une sortie de route inévitable, en mettant au cœur de son intrigue la menace de Grindelwald et sa relation avec Dumbledore. Résultat, le concept initial de ce spin-off du Wizarding World s’est vu piétiné sans autre forme de procès, comme l’a reflété ce pauvre Norbert Dragonneau (toujours joué par Eddie Redmayne), devenu figurant de luxe de sa propre franchise.

Dès lors, entre l’ajout perpétuel de nouveaux personnages et la tentative de Warner d’amoindrir l’impact de ses personnalités prises dans la tourmente de scandales divers et variés (Johnny Depp, J.K. Rowling et maintenant Ezra Miller), Les Animaux fantastiques 3 s’annonçait comme un navire en perdition, encore moins aidé par ses nombreux retards dus à la pandémie de Covid-19.

À vrai dire, le studio est bien conscient de cet aveu d’échec, qui se matérialise dès les premières minutes de film, où un personnage débarque dans le récit en forçant un résumé des précédents opus. La vulgarité du processus n’a d’égal que sa nécessité, tant Les Secrets de Dumbledore souffre de la confusion de ses aînés, qu’il ne peut décemment rattraper.

Le problème, c’est qu’à partir de là, on ne fait plus vraiment face à un film, mais plutôt au rafistolage d’une créature de Frankenstein qui cherche éperdument à corriger les erreurs du passé. Un peu comme L’Ascension de Skywalker essayait de changer le cap dans lequel s'était embarquée la postlogie Star Wars, Les Animaux fantastiques 3 foire sa manœuvre et se coince comme un porte-conteneur dans le canal de Suez.

COLIQUE DE LA MORT

L’exemple le plus flagrant de ce raté réside dans l’envie de remettre au centre de l’équation le bestiaire magique étudié par Dragonneau, quitte à engendrer un ensemble complètement immiscible. En faisant d’une des créatures le MacGuffin du projet, le long-métrage ne nous rappelle que trop bien à quel point il est dépendant de la menace que représente Grindelwald, cette fois incarné par un Mads Mikkelsen qui semble être le seul acteur à vaguement s’amuser sur le plateau.

Si les premiers films jouaient déjà du rapport du monde des sorciers à l’histoire du XXe siècle, Les Secrets de Dumbledore pousse les potards au travers d’une escapade berlinoise décevante, qui voudrait métaphoriser au travers de son méchant les dangers d’un populisme qui a amené Hitler au pouvoir. Pas de bol, une poignée de scènes et de répliques nanardeuses porteront cet étendard, avant que le montage catastrophique ne passe à autre chose.

C’est d’ailleurs là tout le paradoxe des Animaux fantastiques 3 : le film semble incapable de se concentrer sur le moindre arc narratif, comme un enfant hyperactif qu’il faudrait tout le temps stimuler par de nouvelles idées. Pourtant, un tel postulat supposerait que le rythme global du récit (qui s’étale sur 2h20 !) soit pêchu et suffisamment relevé pour nous faire oublier ses incohérences. À l’inverse, le (très) long-métrage traîne la patte avec une indécence hallucinante. Que les rares scènes d’action soient toutes des pétards mouillés est une chose, mais il faut surtout endurer des tunnels de dialogue d’un ennui abyssal.

D’un autre côté, que pouvait-on attendre de David Yates, dont la présence à la réalisation de la saga depuis Harry Potter et l’Ordre du Phénix a confirmé son statut de yes-man ultime ? Certes, les films du Wizarding World ont toujours pour eux des équipes techniques talentueuses et impliquées, mais la (légère) tenue des compositions de cadres des Secrets de Dumbledore ne peut pas sauver une orchestration pachydermique, faite de bêtes champs et contrechamps incapables de sublimer l’univers flamboyant de Rowling.

POTTERHEAD WITHOUT A BRAIN

Mais plus généralement, le montage des Animaux fantastiques 3 s’impose déjà comme un cas d’école typique des accidents industriels dans son genre. Outre la pauvreté de certains raccords, difficile de ne pas s’arracher les cheveux devant l’assemblage des scènes, qui sautent du coq à l’âne en donnant l’impression que le spectateur doit combler les trous.

Qu’il s’agisse du destin de Croyance (Ezra Miller) ou du parcours psychologique de Queenie (Alison Sudol), Les Secrets de Dumbledore sacrifie tout ce que le premier volet essayait un tant soit peu de construire, et perd au passage des acteurs tout aussi confus que le public. On sauvera tout au plus Jude Law de cette mollesse générale, celui-ci confirmant une fois de plus qu'il est un choix parfait pour incarner Dumbledore.

Comme un avion (ou plutôt un phénix) dont on assisterait, fasciné, au crash, on voit le long-métrage lâcher totalement l’affaire, au point de ne plus avoir que son fan-service putassier pour subsister, même s’il n’en fait rien. L’amour entre Dumbledore et Grindelwald est certes enfin explicité à l’écran, mais juste au travers de mots, sans qu’aucune action, ou même un geste, ne viennent entériner ce parti-pris.

Tout est posé sans envie, juste là pour amener les fans à applaudir sans réfléchir au moindre clin d’œil complice, comme on peut d’ailleurs le constater avec le talent gâché de James Newton Howard, contraint de recycler dès qu’il le peut les thèmes de John Williams en dépit du bon sens.

Et c’est finalement le plus triste dans cet échec. Même dans ses opus les moins réussis, la franchise Harry Potter avait toujours pour elle une certaine exigence narrative et technique. Désormais, Les Animaux fantastiques se contente de raccrocher les wagons pour assurer la pérennité d’un énième univers étendu. On ne pense plus au film ou à ce qui se trouve dans les limites de l’écran. Tout est dirigé vers le hors-champ, vers l’expansion permanente d’un monde qui a pourtant des airs de corps métastasé et plongé dans un coma artificiel.

Face à ce cadavre pourrissant, Les Secrets de Dumbledore ne se contente pas de briser la magie du Wizarding World. Il ennuie au point de nous faire perdre notre âme d’enfant, si bien qu’il réussit un exploit : offrir un produit si vide et aseptisé qu’on l’oublie dès la sortie de la salle. En même temps, pour un film dont l’une des meilleures scènes montre un sorcier ôter physiquement un souvenir de la tête de quelqu’un, c’est ironiquement représentatif.

Avec son casting sous Lexomil, sa narration confuse et ses péripéties amenées n’importe comment, Les Animaux fantastiques 3 condense tous les travers du blockbuster moderne chiant et grisâtre, qui n’a plus que son fan-service pour exister. Tragique pour nos amis les sorciers.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... JZOrSbCCHA

[Pale]

Le flic de Beverly Hills 4 : la suite Netflix avec Eddie Murphy a trouvé son réalisateur



Après des années à ramer dans le vide, Le Flic de Beverly Hills 4 avec Eddie Murphy a trouvé refuge sur Netflix avec un nouveau réalisateur derrière la caméra.

Depuis plusieurs années, la série de films Le Flic de Beverly Hills remue dans sa tombe. Dans les années 80, la saga policière initiée par Martin Brest est devenue culte, de même que sa tête d'affiche Eddie Murphy, mais le troisième opus réalisé par John Landis en 1994 a été un violent coup de frein qui a stoppé la franchise et en a fait une relique rétro. Le dernier film a ainsi réalisé le box-office mondial le plus faible de la trilogie avec 119 millions de dollars (dont seulement 42 à domicile pour un budget estimé à 50 millions), en plus de souffrir d'un scénario usé et caricatural à l'excès.

Depuis, la Paramount a essayé de recycler la franchise avec une série dérivée, qui n'a finalement pas abouti, tout comme les projets de suite plusieurs fois relancés dans le vide. Mais la nostalgie des années 80 est devenue une nouvelle manne financière, Stranger Things et le dernier S.O.S. Fantômes : l’Héritage comme preuve à l'appui, et le géant du streaming a finalement acheté les droits à la Paramount en octobre 2019 dans l'optique - là encore - de redémarrer la franchise avec un quatrième long-métrage.

Depuis, le développement n'avait pas tellement donné de nouvelles, mais récemment, Deadline a annoncé que le projet a trouvé le réalisateur qui prendra le relai d'Adil El Arbi et Bilall Fallah, le duo derrière Bad Boys for Life qui était précédemment chargé de passer derrière la caméra pour ramener Axel Foley à la vie. Après s'être fait remarquer avec des pubs pour Apple ou Nissan, Mark Molloy réalisera ainsi son premier long-métrage. Plus de 30 ans après le dernier film, l'acteur Eddie Murphy est toujours attendu dans le rôle d'Axel Foley après avoir repris celui du Prince Akeem dans Un prince à New York 2, tandis que Jerry Bruckheimer sera de nouveau producteur exécutif.

On ne sait encore rien du scénario écrit par Will Beall, qui a notamment travaillé sur le Zack Snyder's Justice League, Aquaman, et la série Training Day tiré du film éponyme réalisé par Antoine Fuqua. Le film étant toujours en développement et aucune date de début de production n'a été communiquée.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Us60VZ_f-Y

[Pale]

Le nouveau film secret de David Lynch sélectionné à Cannes ?



Selon les dernières indiscrétions de Variety, Asghar Farhadi pourrait lui être nommé Président du Jury.

A l’approche de l’annonce de la sélection officielle de Cannes 2022, qui sera dévoilée jeudi, Variety a livré de nouvelles infos croustillantes. A commencer par le retour de David Lynch sur la Croisette. Le réalisateur de Sailor et Lula (sacré Palme d’Or en 1990) intégrerait la compétition avec un mystérieux nouveau film. Selon la rumeur, il pourrait s’agir d’un tout nouveau long-métrage, tourné secrètement, ou d’une version étendue du pilote de Wisteria, projet de série sur lequel Lynch travaillait pour Netflix, avec Laura Dern et Naomi Watts au casting.

Parmi les autres films américains attendus dans la liste de Thierry Frémaux, on trouve donc le nouveau George Miller, Three Thousand Years of Longing avec Tilda Swinton et Idris Elba, Crimes of the Future de David Cronenberg, avec Léa Seydoux, Kristen Stewart et Viggo Mortensen, déjà annoncé comme une oeuvre sulfureuse susceptible d’enflammer la Croisette, ou encore Showing Up de Kelly Reichardt, avec Michelle Williams en vedette. En outre, le Festival a déjà confirmé que Top Gun : Maverick et Elvis de Baz Luhrmann seraient présentés en avant-première mondiale sur la Croisette. Et le film d'animation Buzz l'éclair pourrait les rejoindre.

Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda, grand habitué de Cannes où il a remporté la Palme d’Or en 2018 pour Une affaire de famille, semble lui aussi assuré d’y être pour son nouveau film, Broker (ou Baby Broker selon les sources), avec notamment Song Kang-ho (Parasite) et Bae Doona (Cloud Atlas, The Host). Une histoire se déroulant en Corée du Sud autour des célèbres baby boxes qui permettent aux parents infortunés d’abandonner anonymement leur enfant. Koji Fukada (Love Life) et Park Chan-wook (Decision to Leave) peuvent aussi espérer avoir une place.

Variety avance que le nouveau film de Léa Mysius (Ava), Les Cinq diables, avec Adèle Exarchopoulos, sera également en compétition. La femme de Tchaïkovski du réalisateur russe Kirill Serebrennikov pourrait lui faire partie des films qui seront ajoutés au dernier moment. En revanche, James Gray (Armageddon Time), Florian Zeller (The Son), Alejandro González Iñárritu (Bardo), Luca Guadagnino (Bones and All) ne sont pas prêts et miseront plutôt sur les festivals de l’automne.

Enfin, il reste à dévoiler l’identité du Président du Jury qui, étrangement, n’est toujours pas connue. Il pourrait s’agir d’Asghar Farhadi. Sauf que le réalisateur iranien est empêtré dans une accusation de plagiat, pour son dernier film film récompensé à Cannes, Un héros. Penélope Cruz et Marion Cotillard ont également été envisagées pour ce rôle, mais elles seront finalement présentes dans la compétition, respectivement avec L’immensità d’Emanuele Crialese et Frère et soeur d’Arnaud Desplechin.

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Bi3qpvZH-U

[Pale]

[Pale]

[youtube]yQEondeGvKo[/youtube]

[youtube]G8rAw_WKf8E[/youtube]

[Pale]

EL a beaucoup aimé The Northman (4 étoiles) :



Après les phénomènes que furent The Witch et The Lighthouse, Robert Eggers poursuit son exploration singulière du cinéma fantastique avec The Northman. Derrière l’inspiration évidente de Conan le Barbare, le cinéaste déploie son formalisme pour réaliser une pure fresque épique au cœur de l’époque viking. Épaulé par un casting incroyable (Alexander Skarsgård, Nicole Kidman, Anya Taylor-Joy ou encore Ethan Hawke), le réalisateur parvient-il à signer le bulldozer tant attendu ?

ODIN(GUE)

On l’oublie bien souvent, mais avant de se retrouver employé pour évoquer des récits segmentés et des univers étendus, le terme "saga" provient de l’Islande médiévale, et désigne une histoire écrite en prose, souvent portée par un caractère légendaire. Cette origine n’a clairement pas échappé à Robert Eggers, dont le cinéma est, depuis ses débuts, obsédé par une mise en scène qui ausculte nos mythes et peurs les plus élémentaires (la sorcière, les fonds marins, ou encore les îles abandonnées), désormais réadaptés à toutes les sauces dans la pop-culture.

Pour l’artiste, dont la jeunesse en Nouvelle-Angleterre a forcément été nourrie par les écrits d’un de ses auteurs les plus fameux (Lovecraft), il y a la soif d’un retour aux sources du fantastique, comme s’il remontait la généalogie de motifs et de symboles qui nous accompagnent encore. Or, The Northman est justement centré sur la question de l’héritage, qu’il traduit visuellement par un arbre des rois où flottent, comme dans un liquide amniotique, les corps de plusieurs générations de souverains et de guerriers.

Là réside toute la beauté de ce projet hors-norme, et a priori impensable dans l’écosystème hollywoodien actuel (on rappelle que le métrage a coûté la bagatelle de 90 millions de dollars, alors qu’il n’est basé sur aucune franchise existante). Eggers façonne son film de Viking en ayant en tête cette métaphore filée de la transmission, et du poids de nos actes. Au cœur de ces terres vierges et immaculées, vallées, montagnes et forêts qui procurent instantanément une sensation de sublime (très belle utilisation des panoramas offerts par l’Irlande), quelle est la place de l’homme, ou plus précisément de celui qui est censé écrire sa légende ?

D’une certaine façon, The Northman y répond par la simple nature de son scénario, qui reprend le récit du Viking Amleth, dont la quête de vengeance a inspiré le Hamlet de Shakespeare. Suite au meurtre de son père (Ethan Hawke) de la main de son oncle (Claes Bang), le jeune prince est contraint de fuir, tout en dévouant sa vie à son retour sanglant.

ALEXANDER LE GRAND

À la manière d’un peintre romantique, Eggers a ainsi toute la latitude pour explorer de magnifiques contrastes d’échelles entre ses personnages et cette nature qui accueille la violence. Sans concession, il s’amuse avec le sens de l’épique soutenu par son concept, entériné par cette incroyable séquence de bataille composée de trois plans-séquences spectaculaires.

En suivant le parcours barbare de son protagoniste dans cet assaut, le cinéaste assoit le projet entier du film, qui gravite autour du corps d’Alexander Skarsgård, véritable monstre de cinéma aussi fascinant que terrifiant, dont le film souligne chaque minute la bestialité qui se dégage de son regard et de sa dégaine monolithique.

L’investissement de l’acteur est à n’en pas douter le cœur de la réussite de The Northman, parce que cette masse de muscles inarrêtable reflète au mieux l’universalité d’un récit vengeur, qui confronte le libre arbitre d’un personnage prêt à annihiler le monde entier à des dogmes moraux qui lui assureraient un avenir plus radieux.

Loin de la déconstruction mythologique typique d’un postmodernisme très à la mode, la démarche de Robert Eggers fait figure d’anomalie rayonnante par son premier degré revendiqué. La pureté narrative et esthétique du film est à la fois sa plus grande force, mais aussi sa faiblesse, tant sa nature de conte cousu de fil blanc pourra laisser certains spectateurs sur le bord de la route, surtout après sa première demi-heure virtuose qu’il n’arrive jamais totalement à transcender.

COMME UN RAGNARÖK

Néanmoins, The Northman est à son meilleur lorsqu’il épouse la fluidité de sa structure archétypale, mettant en scène l’urgence et la nécessité de la progression comme un contrepoint au surplace des blockbusters qui brassent du vent. Coûte que coûte, Amleth avance vers son destin, tandis que la caméra le suit dans des travellings magistraux, qui nous donnent toujours les clés de leur topographie. Au-delà de cette lisibilité permanente de la mise en scène, on voit le personnage emplir l’espace, s’imposer au monde et dans le monde, pour mieux y trouver sa place.

Via cette étreinte entre le corps d’Amleth et l’objectif, Eggers déploie une relation charnelle avec son sujet, au point de réveiller une part de body-horror à la Cronenberg dans ses élans mythologiques. Toujours aussi fasciné par les rituels et un folklore qu’il aborde avec un sérieux papal, le cinéaste métaphorise la transformation de l’homme en animal, en bête monstrueuse qui n’attend que de percer et de trancher la chair. Tandis que la caméra plonge dans une plaie pour y révéler des visions oniriques, les entrailles convoquent la nature profonde d’une humanité qui se cherche, et qui doit passer outre la frontière de la peau et des muscles pour saisir son essence.

Derrière la précision de ses cadres, The Northman n’est d’ailleurs qu’une quête permanente du débordement, celle d’une colère impossible à enfouir, et celle d’une mythologie qui a fini de se déverser dans d’autres pans de l’histoire. Cette vision, claire comme de l’eau de roche, est poussée par Eggers dans ses retranchements par son final à la puissance picturale folle, évoquant tour à tour la dynamique de certaines statues grecques et la beauté cauchemardesque des Peintures noires de Goya.

Dans cette danse macabre, le réalisateur de The Witch parvient sans détour à embarquer toute son équipe, et confirme qu’il est un grand directeur d’acteurs. Si Anya Taylor-Joy réussit sans peine à gagner une aura mystique à chacune de ses apparitions, impossible de ne pas s’attarder sur la performance habitée de Nicole Kidman, ou même sur la (courte) présence de Björk en sorcière fantasque. Tout ce beau monde est au diapason de cette proposition de cinéma hors du commun, dont la sublime harmonie nous amènerait à la défendre plus que de raison.

Au-delà de sa beauté plastique indéniable, The Northman est un pur film de mythologie assumé et revendiqué, qui embrasse avec une vigueur salvatrice l’universalité de sa quête de vengeance. Robert Eggers revient ausculter nos récits fondateurs, épaulé par la bestialité d’un Alexander Skarsgård impressionnant. Voilà une proposition rare, et à choyer.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 63bzoBAYLQ

[Pale]

[Pale]

Étant fan des années 80, c'est toujours excitant de découvrir un classique issu de cette époque. Bien évidemment je connaissais déjà les quelques scènes cultes mais je n'avais jamais vu le film. Alors c'est très bien, l'ambiance est top et typique de l'époque. Gros coup de cœur pour la bande-originale bien évidemment, c'est véritablement le point fort du film. Bon j'avoue que l'actrice principale vaut le détour également



C'est un beau film, ça se suit sans déplaisir et ennui malgré la lenteur. La bande-originale de Joe Hisaishi est sublime et ressemble pas mal à celle de Chihiro qui sortira quelques années plus tard. Après je dois avouer que j'ai quand même eu du mal avec le personnage de Kikujiro (c'est le vieux), il est quand même sacrément exécrable. Au début c'est marrant mais à la longue ça soule



Un bon petit film qui vaut principalement pour son ambiance et quelques scènes tendues. On va suivre de jeunes bourgeois qui s'ennuient terriblement dans leur vie et qui veulent se la jouer kaïras jusqu'à ce qu'ils tombent sur un vrai gang. Ça se mate sans souci, c'est juste dommage que la fin soit aussi abrupte, ça aurait pu aller beaucoup plus loin et être beaucoup plus dark. A noter la prestation de Anne Hathaway qui ne laisse pas indifférent

[Kit]

Flashdance. Jennifer Beals toujours très belle la cinquantaine passée
temps superbe aujourd'hui et vue magnifique sur le Grand Ballon et le massif des Vosges (à l'ouest) et la Forêt-Noire (à l'est)

[Pale]

[robinne]

Ca sort bientôt ?


...



...



J'ai cliqué sur le lien de l'article Ecran Large, et j'ai trouvé l'affiche qui annonce le 11 mai.

[Kit]

13 avril une pensée pour
Samuel Beckett 1906-1989 (poête, dram.)
Bud Freeman 1906-1991 (jazz)
Howard Keel 1919-2004 (act., Showboat , Dallas)
Jean Topart 1922-2012 (act)
Stanley Donen 1924-2019 (réal., Un jour à New York, Chantons sous la pluie, Charade)
Maurice Ronet 1927-1983 (act)
Robert Enrico 1931-2001 (réal., Les Grandes Gueules, LeVieux fusil)
Lyle Waggoner 1935-2020 (act., série Wonder Woman)
Jean-Marc Reiser 1941-1983 (dessin.)
Jonathan Brandis 1976-2003 (act., L'Histoire sans fin 2, série SeaQuest, police des mers)

bon anniversaire à
Michel Deville 91 ans (réal., Benjamin ou les Mémoires d'un puceau)
Edward Fox 85 ans (act., La Bataille d'Angleterre, Un pont trop loin, Gandgi)
Paul Sorvino 83 ans (act.)
Vladimir Cosma 82 ans (comp.)
Charles Burnett 78 ans (réal., Namibia)
Agostina Belli 75 ans (actr.)
Ron Perlman 72 ans
Peter Davison 71 ans (act., Doctor Who de 1981 à 1984)
Saundra Santiago 65 ans (série 2 Flics à Miami)
Garry Kasparov 59 ans (échecs)
Jeanne Balibar 54 ans (actr.,, réal., César meilleure actr. 2018 pour Barbara)
Rick Schroder 52 ans (act.)

[Pale]

J'ai cliqué sur le lien de l'article Ecran Large, et j'ai trouvé l'affiche qui annonce le 11 mai.

Le 11 mai en France et mercredi prochain en Belgique

[Pale]

Les Animaux fantastiques 4 : la suite de la saga spin-off d'Harry Potter pourrait être annulée



Les Animaux fantastiques, la saga spin-off d'Harry Potter, pourrait bien s'arrêter après Les Secrets de Dumbledore si le film se casse les dents au box-office. Et ça semble bien parti pour.

Ce n'est un secret pour personne, les studios et producteurs font plus souvent fi des critiques du public et considérations artistiques que des performances au box-office, qui sont observées à loupe et dictent plus ou moins l'avenir d'une saga cinématographique. Et il n'est pas rare qu'un studio mise sur une franchise à long terme, mais déchante au moment de faire les comptes. C'est ce qui est arrivé à la Warner avec Les Animaux Fantastiques, la saga spin-off des films Harry Potter démarrée en 2016.

À l'origine, le film réalisé par David Yates devait être le premier volet d'une nouvelle trilogie, avant que les plans du studio s'étendent sur cinq films, la Warner ayant été confortée par le succès du prequel porté par Eddie Redmayne (814 millions de recettes à travers le globe pour 180 millions de budget hors marketing). Mais la suite, Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald, a réalisé le plus mauvais score de toute la franchise Harry Potter (en prenant en compte l'inflation). Et la pente s'est avérée encore plus glissante avec Les Animaux fantastiques : les Secrets de Dumbledore, sorti quatre ans après le deuxième opus.

La mise en chantier du troisième opus a été une succession de dérapages et drapeaux rouges, entre les réécritures de mauvais augure, les controverses autour de l'autrice et scénariste J. K. Rowling et de l'acteur Ezra Miller (qui pourrait d'ailleurs être viré du DCEU), le renvoi très médiatisé de Johnny Depp et la pandémie de Covid-19 qui a un peu plus paralysé la production. Ce qui n'a rien de très rassurant pour la suite.

D'après un récent rapport de Variety, la Warner n'aurait pas encore donné le feu vert pour le développement des Animaux Fantastiques 4, car le studio préférerait rester prudent et attendre de voir comment Les Secrets de Dumbledore s'en sortira au box-office pour décider du sort de la saga. Le film sortira ce 15 avril aux États-Unis après avoir encaissé un peu moins de 57 millions à l'étranger, mais d'après les prédictions de Box Office Pro, le week-end d'ouverture national devrait être le plus faible de toute la franchise avec seulement 40 à 55 millions de dollars dans les caisses. Le box-office domestique total devrait quant à lui se situer entre 100 et 140 millions de dollars, ce qui serait là encore une douche froide, sinon congelée, pour la Warner.

L'avenir de la saga est donc entre les mains de son public, même si la franchise ensorcelée et l'univers de J.K. Rowling - qui restent cultes pour plus d'une génération - pourront toujours être déclinés en série sur HBO Max, comme annoncé début 2021. En ce qui concerne la France, Les Animaux fantastiques : les Secrets de Dumbledore sort en salles ce 13 avril.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... AQ_9Zh3-ag

[BOX OFFICE STORY]

Y a pire pour la Warner : 5.9 millions de livres ce week-end.
Je le vois a 350 / 400 grand max
Rendez vous sur HBO Max

[Pale]

[youtube]E7wNR9sHQ2g[/youtube]

[Pale]

[youtube]tMQJLVwgVgE[/youtube]

[Pale]

[BOX OFFICE STORY]

Frank et Penelope c'est une vraie affiche ? On dirait un montage mal fait, on a vraiment l'impression d'avoir vu cette jaquette mille fois

[robinne]

J'ai cliqué sur le lien de l'article Ecran Large, et j'ai trouvé l'affiche qui annonce le 11 mai.

Le 11 mai en France et mercredi prochain en Belgique

Chanceux
Si c’est nul, tu nous épargneras une dépense inutile

[Pale]

Frank et Penelope c'est une vraie affiche ? On dirait un montage mal fait, on a vraiment l'impression d'avoir vu cette jaquette mille fois

C'est une vraie affiche et tu as tout à fait raison

[Pale]

Vu :



Il y a plusieurs classiques Disney que je n'ai pas encore vu, Basil, détective privé en faisait partie. J'ai adoré. C'est un film d'animation mené tambour battant (1h14), on n'a pas le temps de s'ennuyer. L'intrigue est bien ficelée (en gros c'est un Sherlock Holmes au royaume des souris) et l'animation est juste magnifique, les 10 dernières minutes sont assez folles à ce niveau. C'est un film d'animation que j'aurais très certainement regardé en boucle dans mon enfance. A noter une ambiance parfois sinistre (rien que la scène d'intro) qui a certainement foutu les boules à pas mal d'enfants. Oui, Disney pouvait choquer à une époque

[ClintReborn]

Vu :



Il y a plusieurs classiques Disney que je n'ai pas encore vu, Basil, détective privé en faisait partie. J'ai adoré. C'est un film d'animation mené tambour battant (1h14), on n'a pas le temps de s'ennuyer. L'intrigue est bien ficelée (en gros c'est un Sherlock Holmes au royaume des souris) et l'animation est juste magnifique, les 10 dernières minutes sont assez folles à ce niveau. C'est un film d'animation que j'aurais très certainement regardé en boucle dans mon enfance. A noter une ambiance parfois sinistre (rien que la scène d'intro) qui a certainement foutu les boules à pas mal d'enfants. Oui, Disney pouvait choquer à une époque

[youtube]ilg7z2CzgUc[/youtube]

[Pale]

Vu :



Il y a plusieurs classiques Disney que je n'ai pas encore vu, Basil, détective privé en faisait partie. J'ai adoré. C'est un film d'animation mené tambour battant (1h14), on n'a pas le temps de s'ennuyer. L'intrigue est bien ficelée (en gros c'est un Sherlock Holmes au royaume des souris) et l'animation est juste magnifique, les 10 dernières minutes sont assez folles à ce niveau. C'est un film d'animation que j'aurais très certainement regardé en boucle dans mon enfance. A noter une ambiance parfois sinistre (rien que la scène d'intro) qui a certainement foutu les boules à pas mal d'enfants. Oui, Disney pouvait choquer à une époque

[youtube]ilg7z2CzgUc[/youtube]

Les années 80

Je ne connaissais pas

[BOX OFFICE STORY]

Excellent film. je m'en souviens très bien. A l'époque aux USA Disney se demandait si il fallait poursuivre l'animation. Taram et le chaudron magique n'avait pas bien marché du tout et Ce Basil était un peu la dernière chance. Sorti à l'été 1986 aux USA il n'a pas super cartonné, dans les 25 millions, mais par contre en France il a été un des succès de noël derrrère Les fugitifs et le nom de la Rose et devant un Asterix... De bonnes critiques et 700 000 entrées à Paris, pas un super multiplicateur pour la Province mais environ 2.4 millions d'entrées et un top 14 annuel. Il a aussi très bien marché en Allemagne, top 8 je crois... Et puis les magnétoscopes se sont démocratisés (compter quand même 600 euros de l'époque) et surtout le prix des K7 a beaucoup baissé pour le home video, disons 30 dollars à l'époque. Et Disney s'est mis à vendre des kilos, non des tonnes de k7 des films d'animation, dont le Basil....D'où l'idée de pousser la sortie des films à un par an pour ensuite cartonner en k7.... Donc on a vu poindre Oliver et la Petite Sirene en 1988 et 1990, puis un Bernard et Bianca 2 et ensuite les 3 blockbusters de suite : la Belle et la Bête, Aladdin et le méga Blockbuster Le Roi Lion...L'animation a eu chaud mais ce Basil a été le début du renouveau Disney pour l'animation car les films d'animation sont devenus des blockbusters d'été comme les autres films.

Ce Basil est très court 1h14 car il n'a nécessité que un an de production effective après une pré pro de 3 ans...

[ClintReborn]

Vu :



Il y a plusieurs classiques Disney que je n'ai pas encore vu, Basil, détective privé en faisait partie. J'ai adoré. C'est un film d'animation mené tambour battant (1h14), on n'a pas le temps de s'ennuyer. L'intrigue est bien ficelée (en gros c'est un Sherlock Holmes au royaume des souris) et l'animation est juste magnifique, les 10 dernières minutes sont assez folles à ce niveau. C'est un film d'animation que j'aurais très certainement regardé en boucle dans mon enfance. A noter une ambiance parfois sinistre (rien que la scène d'intro) qui a certainement foutu les boules à pas mal d'enfants. Oui, Disney pouvait choquer à une époque

[youtube]ilg7z2CzgUc[/youtube]

Les années 80

Je ne connaissais pas

Elle était l'égérie officielle Disney en France il y en a eu plusieurs jusque dans les années 90 en gros Disney voulait une représentante chanteuse pour ces productions mais c'est Douchka qui a été la plus marquante elle a fait rêver beaucoup de monde

[youtube]Sv-MTFQL-YE[/youtube]
[youtube]LXyw3ib0V4o[/youtube]

[Kit]

Douchka qui s'est présentée à The Voice France et aucun juré ne s'était retourné.
fille de l'actrice Pascale Petit et de l'acteur/poête, auteur compositeur interprête Giani Esposito

[NaughtyDog]

une bien belle réussite que ce X, où Ti West livre un hommage au cinéma d'horreur des 70's-80's tels que Vendredi 13 ou surtout Massacre à la Tronçonneuse (l'ADN du film de Hopper transpire à plein nez dans le choix de la colorimétrie ou encore le setting d'un Texas paumé).

Le pitch est simple : des acteurs porno vont louer une bicoque sur le terrain d'un couple de vieillards, afin d'y tourner un film X censé révolutionner le genre (du vrai cinéma !) !

Le hic c'est que ce couple de vieux est plutot fucked up, en particulier Pearl, qui envie la jeune et belle Maxine (Mia Goth, qui après Cure for Life, Suspiria ou High Life prouve son talent via sa présence magnétique). Voir ces jeunes personnes libres sexuellement (il y a un discours évident sur la dualité entre une Amérique puritaine et une génération en quête d'émancipation) va rapidement leur donner des envies de meurtre bien gorasse, et le postulat est réussi


X arrive à être tour à tout creepy (visiblement mettre en scène des vieux est une bénédiction pour d'un côté jouer sur leur apparent caractère inoffensif,mais également bien inquiétant),drôle (on a de la mort bien gonzo ou encore quelques persos trucculents) et gore (y a de la viande sur les murs)

Le film use de codes que l'on connait (personnages qui se dispersent ou ont des réactions stéréotypées), mais le réal embrasse justement ce caractère archétypal, et emballe le tout de manière efficace (et inutile de dire que c'est maitrisé en mise en scène, photographie ou sound design).


Bref ça ne révolutionne rien, mais à l'heure des revivals avariés de licenses slashers cultes, ce X est justement une lettre d'amour réussie de ce cinéma d'exploitation qui n'hésitait pas à rentrer un peu dans le lard



7/10 voire 7,5


PS : mention spéciale à Mia Goth, qui via prosthetics joue également la vieille Pearl. ça tombe bien car Ti West va également sortir un préquel éponyme centrée sur elle, qui sera toujours un film d'horreur mais sous aux autres influences, tourné pour émuler le Technicolor

[BOX OFFICE STORY]

Douchka qui s'est présentée à The Voice France et aucun juré ne s'était retourné.
fille de l'actrice Pascale Petit et de l'acteur/poête, auteur compositeur interprête Giani Esposito

Pascale Petit était très jolie. Elle ressemble beaucoup à sa mère...Sujet de raillerie mais carrément jolie et fausse blonde.

[Kit]

Douchka qui s'est présentée à The Voice France et aucun juré ne s'était retourné.
fille de l'actrice Pascale Petit et de l'acteur/poête, auteur compositeur interprête Giani Esposito

Pascale Petit était très jolie. Elle ressemble beaucoup à sa mère...Sujet de raillerie mais carrément jolie et fausse blonde.

d'ailleurs elle était brune lors de son passage à The Voice. et je suis d'accord avec toi pour Pascale Petit ainsi que leur ressemblance

[Kit]

14 avril une pensée pour
John Gielgud 1904-2000 (act)
Robert Doisneau 1912-1994 (photog.)
Valerie Hobson 1917-1998 (actr., Monsieur Ripois)
Joseph Poli 1922-2011 (journ. tv)
Rod Steiger 1925-2002
Dany Robin 1927-1995 (actr)

bon anniversaire à
John Shea 73 ans (Loïs et Clark, les nouvelles aventures de Superman ; Mutant X)
Peter Capaldi 64 ans (Doctor Who, le 12ème docteur)
Robert Carlyle 61 ans (Stargate Universe ; Once Upon a Time)
Anthony Michael Hall 54 ans (Dead Zone)
Adrien Brody 49 ans
Sarah Michelle Gellar 45 ans (Buffy contre les vampires ; Ringer)
Chris Wood 34 ans (Vampire Diaries ; Supergirl)
Abigail Breslin 26 ans

une pensée pour les disparus un 14 avril
Fredric March 1897-2015 (Ma femme est une sorcière ; Les Plus Belles Années de notre vie )
Simone de Beauvoir 1908-1986
Burl Ives 1909-1995 (vhant., act., La Chatte sur un toit brûlant)
Ellen Corby 1911-1999 (actr., série La Famille des collines )
Maurice Druon 1918-2009 (écriv)
Anne-Marie Peysson 1935-2015 (speakerine)
Bibbi Andersson 1935-2019 (actr)

[Kit]

et mince j'avais oublié que c'est férié demain, faut que j'aille en courses aujourd'hui

[ClintReborn]

et mince j'avais oublié que c'est férié demain, faut que j'aille en courses aujourd'hui

Férié ? C'est pas le lundi de pâques qui est férié ?

[Kit]

en Alsace et en Moselle le vendredi saint et le 26 décembre sont fériés
enfin moi je travaille quand même

[NaughtyDog]

[youtube]QVX7df79BNo[/youtube]

hâtee

[robinne]

et mince j'avais oublié que c'est férié demain, faut que j'aille en courses aujourd'hui

Férié ? C'est pas le lundi de pâques qui est férié ?

Tu es Français depuis combien de temps ?

[NaughtyDog]

ah bhein ça sort partout en France le 25 mai

[youtube]oOGlrUxPr0M[/youtube]

[ClintReborn]

et mince j'avais oublié que c'est férié demain, faut que j'aille en courses aujourd'hui

Férié ? C'est pas le lundi de pâques qui est férié ?

Tu es Français depuis combien de temps ?

Je ne suis pas Alsacien je suis du Gâtinais