Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Cocu a écrit :
dim. 9 oct. 2022 22:35
shenbov a écrit :
dim. 9 oct. 2022 22:06
Il paraît que l'âme sort du corps pendant le sommeil.

C'est littéralement improuvable scientifiquement :saint: :D donc le doute subsiste.
Non mais je n'ai pas parlé de clowns tueurs, juste de Ça. C'est comme si elle avait eu les images que j'ai eu moi dans ma tête en en parlant 😲
Tu vas te mettre à lire des trucs sur le paranormal maintenant :lol:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Cocu
Messages : 2041
Enregistré le : mar. 14 juil. 2020 21:15

shenbov a écrit :
dim. 9 oct. 2022 23:04

Tu vas te mettre à lire des trucs sur le paranormal maintenant :lol:
Je vais éviter, je suis une flipette 😁
Pouet
Avatar du membre
robinne
Messages : 5894
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

weird

Pale a écrit :
dim. 9 oct. 2022 22:32
shenbov a écrit :
dim. 9 oct. 2022 22:27
C'est 30 films de trop
Image

En étant gentil je sauve Les Gardiens 2 :sol:
:lol: :lol: :lol: Le gif m'a vraiment fait rire.
Pareil :lol: :lol:
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Image
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Kit
Messages : 6893
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

@Pale :hello:
quand tu reviendras randonner dans les Vosges soit quand même prudent et bien équipé, un randonneur originaire d'Anould à quelques kilomètres de chez moi est mort dans le massif du Hoeneck. si ça se trouve je le connaissais peut-être
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... MBGBMI.php
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Image

Encore un film dont je n'ai pas vu la bande-annonce mais suis allé confiant en connaissant le nom du réalisateur. Et j'ai bien fait car elle devait sûrement beaucoup spoiler :D

Comme j'avais pu lire à droite à gauche, c'est un revival du thriller à la Chabrol avec quelques emprunts visuels à De Palma (peu nombreux mais reconnaissables). Le film n'est pas révolutionnaire mais ça fait toujours plaisir de voir que le cinéma français est encore capable de réaliser quelques films de genre de bon acabit :jap:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a aimé L’Innocent de Louis Garrel (3,5 étoiles) :

Image

Après L'Homme fidèle et le tout récent La Croisade, l'acteur-réalisateur Louis Garrel repasse derrière la caméra pour un quatrième film intitulé L’Innocent. L'histoire est celle d'Abel (Louis Garrel), un trentenaire qui apprend que sa mère Sylvie (Anouk Grinberg) va se marier avec un homme en prison, Michel (Roschdy Zem). Paniqué, il demande à sa meilleure amie Clémence (Noémie Merlant) de l'aider à garder un oeil sur lui.

LA PARTY


Avec un cinéaste iconique de la Post-Nouvelle vague comme père et quelques rôles/réalisations du côté d'un cinéma d'auteur français un peu exigeant, Louis Garrel n'a pas vraiment l'image d'une icône grand public francophone. Et pourtant, avec L'Innocent, l'acteur-réalisateur démontre une surprenante aisance dans un registre beaucoup plus léger et virevoltant à travers des dialogues envolés et un tempo comique à toute épreuve.

Les ping-pongs verbaux s'enchaînent avec énergie, parfaitement emballés par un découpage et un montage qui laisse de la place aux comédiens, tout en augmentant leur jeu d'une belle vivacité. Des interprètes parfaitement en forme qui trouvent dans ce film un juste milieu vraiment réjouissant entre une impressionnante technicité et une générosité hyper stimulante.

La fausse nonchalance de Louis Garrel, le magnétisme de Roschdy Zem, la souplesse de jeu d'Anouk Grinberg et la fougue de Noémie Merlant trouvent ainsi dans L'Innocent un niveau d'incandescence jubilatoire. Cette énergie contamine le film d'un vrai sens du spectacle, doublé par la spontanéité et la vitalité des protagonistes féminins.

Celles-ci sont caractérisées à travers une galerie de séquences très amusantes comme celle de la poursuite du fourgon de la prison, ou celle de la répétition du braquage. Les libres et rayonnants personnages de Noémie Merlant et Anouk Grinberg éclaboussent L'Innocent d'une folie douce très plaisante et récréative. Le film réalisé par Louis Garrel en devient une comédie vive, inspirée et techniquement imparable.

RESERVOIR DOGS

Cette énergie comique est emballée dans une collection de séquences au rythme soutenu à grands coups de filatures, planifications de braquages et courses poursuites. Louis Garrel convoque avec L'Innocent quelques passages obligés du film de casse, mais avec un premier degré constant qui embarque joyeusement le spectateur.

Le thriller n'est pas abordé de façon superficiellement arty ni avec une forme de cynisme, il est utilisé en tant que tel comme vecteur de récit, d'émotion et de sensation. Cette sincérité augmente L'Innocent d'un plaisir contagieux d'aller dans la fiction, Louis Garrel s'amusant également à utiliser une belle quantité d'outils et d'effets cinématographiques comme le split screen, le zoom et différents types de transitions (mise en scène sans aucun doute influencée par un certain Brian de Palma).

La photographie même du film est touchée par cette envie de formes et de style, avec sa pellicule vivante, ses contrastes profonds et ses couleurs vibrantes. Le cinéaste s'investit entièrement dans le genre et jouit complètement des possibilités formelles qu'il implique. Le déploiement de tout cet outillage filmique provoque un vrai plaisir cinéphile, tout en servant constamment la vivacité du récit et l'énergie des personnages.

Louis Garrel ne se contente pas de superficiellement montrer les gros bras, mais mobilise au contraire tout son savoir-faire de metteur en scène pour satisfaire complètement son spectateur. Un plongeon total dans la fiction et le spectacle qui est par ailleurs emballé dans un tempo effréné et un découpage efficace. L'Innocent déploie alors un véritable sens de l'artisanat qui impressionne de précision et de force.

RÉVÉLATIONS

Un plaisir de la forme qui n'empêche jamais le long-métrage de cristalliser une jolie tendresse lors de quelques séquences comme celle du karaoké ou celle du vernissage du magasin. L'attention des personnages les uns pour les autres, sublimée par le filmage aérien de Garrel, est contagieuse et rend le visionnage de L'Innocent aussi touchant que divertissant.

Une sensibilité plus ou moins discrète qui progresse jusqu'à une bifurcation émotionnelle dans le dernier tiers du récit, lors d'une séquence de braquage qui se mue en confession bouleversante. Le spectateur qui s'était jusque-là laissé prendre par les enjeux du film de genre se voit surpris par ce virage sensible qui redistribue les rôles des personnages et dévoile le véritable coeur émotionnel du long-métrage.

Cette explosion soudaine s'incarne dans une scène où le personnage de Louis Garrel et son/sa partenaire de jeu doivent performer un conflit devant un camionneur pour détourner son attention. Tout le motif de la prestation théâtrale – installé dès la première séquence du film avec Roschdy Zem qui répète en prison – vient alors lui donner une nouvelle densité émotionnelle, tout en livrant un discours méta sur ce que le jeu et la performance peuvent dévoiler d'un individu.

La fiction n'est pas qu'un vecteur de plaisir ou de sensibilité, elle se dévoile ici comme un langage à part entière qui permet aux personnages de communiquer et de survivre à un passé asphyxiant. Tout le scénario de L'Innocent tourne autour de cette thématique de la reconstruction, que ce soit après de la prison, ou après un deuil. Une ambiguïté entre fiction et réalité, doublé de ce plaisir du jeu et de la forme, qui permet au film réalisé par Louis Garrel de traiter avec pudeur et tendresse de thématiques sombres et complexes.

En investissant le genre du film de braquage et en le faisant avec un joli sens de l'artisanat et un beau plaisir du jeu, Louis Garrel signe avec L'Innocent une comédie vive, réjouissante, et parfois même bouleversante.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... RgAlo-6rTk

Ça m'a donné envie.
Avatar du membre
robinne
Messages : 5894
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

weird

Pale a écrit :
ven. 7 oct. 2022 19:36
EL a aimé Werewolf by Night (3,5 étoiles) :

Image

The Batman, Jurassic World 3, Buzz L’Eclair, Thor : Love and Thunder... Quelle que soit la qualité des films, l’année 2022 a été portée par les bandes-originales du prolifique Michael Giacchino. En plus d’être l’un des compositeurs les plus talentueux de sa génération, le bonhomme est un passionné de pop culture, un vrai, qui avait envie depuis longtemps de passer derrière la caméra. Sa relation privilégiée avec Marvel lui a permis de signer la première Special Presentation du studio sur Disney+ : Werewolf by Night.

MARVEL DARK UNIVERSE


Cloverfield aurait dû nous mettre la puce à l’oreille : bien que le film de Matt Reeves soit un found-footage sans musique, le générique de fin a été accompagné d’une création de Michael Giacchino. Intitulé Roar!, le morceau est une modernisation aussi savante que maline du style ampoulé et épique des productions de la Tōhō.

Le compositeur de Là-Haut, Les Indestructibles ou encore Star Trek le revendique : il a toujours été un grand fan de films de monstres, des Universal Monsters aux classiques de la Hammer en passant par le Kaiju Eiga, dont il a rendu un joli hommage avec son court-métrage Monster Challenge (disponible sur YouTube). Maintenant qu’il est devenu un collaborateur régulier de Marvel Studios (Doctor Strange, Spider-Man : No Way Home, et même le thème du logo de la firme, que vous avez dans le crâne depuis 2016), il est finalement assez logique que le MCU soit sa porte d’entrée vers la réalisation.

On pourrait être déçu qu’un tel talent aille se contenter de la plus grosse usine du divertissement actuel, mais il faut bien admettre que le postulat des Marvel Special Presentations est plutôt intrigant. Même si Disney+ a offert un nouveau champ des possibles pour la marque, celle-ci s’est jusque-là empêtrée dans des formats rigides d’épisodes pour ses séries, souvent au détriment de récits rachitiques rallongés pour rien.

Avec cette nouvelle approche, le MCU peut se permettre des stand-alones aux durées variables, un peu à la manière des Holiday Special et autres moyens-métrages saisonniers. Si Werewolf by Night est clairement pensé comme un petit film d’Halloween, cette évidence commerciale ne l’empêche pas d’être une pastille aussi amusante que bien troussée.

Giacchino y adapte vaguement le comics du même nom comme fenêtre vers un monde de monstres et de cauchemars. D’ailleurs, le lycanthrope est loin d’être la seule surprise du film, qui sur sa durée de cinquante minutes parvient intelligemment à distiller quelques surprises sympathiques. En suivant une cabale de chasseurs de monstres aux trognes identifiables, Werewolf by Night assume sa dimension ultra-référencée, et a le mérite de le faire avec pas mal de générosité dans l’espace contenu d’un huis-clos, arène d’un (léger) mystère et d’un jeu de massacre qui traduit presque littéralement une partie de… Loup-garou.

IN GIACCHINO WE TRUST

Le concept peut sembler bête à manger du foin, mais Michael Giacchino le fait éclore grâce à une réelle sincérité, qui pourrait presque paraître révolutionnaire à l’heure où Marvel s’embourbe dans son humour bas de gamme autour de la déconstruction de ses icônes. Ici, le surjeu des comédiens est une profession de foi, en accord avec ses personnages archétypaux tout droit sortis d’épisodes des Contes de la crypte, de La Quatrième Dimension, et plus généralement de l’héritage cinématographique de la littérature gothique. Aux côtés du toujours génial Gael García Bernal, on retiendra surtout le cabotinage hilarant d’Harriet Sansom Harris (habituée à ce type de performance depuis des séries comme Desperate Housewives).

Comme quoi, Marvel a encore la capacité à surprendre au sein de son expansion agressive tendance Panzer Division, même si le nivellement par le bas est tel qu’un noir et blanc classieux, quelques effets gores (oui oui, il y en a) et une superbe bande-originale (composée par Giacchino lui-même) suffiraient presque à emporter l’adhésion.

Pour autant, ce serait amoindrir les réelles qualités du film, dont la mise en scène élégante compense la misère habituelle de la firme. Non pas qu’elle soit particulièrement spectaculaire ou inventive, mais Michael Giacchino s’adapte à la nature de son moyen-métrage et à ses référents, à savoir la série B américaine des années 40 à 60. S’il se complaît parfois comme un Robert Rodriguez dans les élans kitsch et caricaturaux (jusqu’à affubler le logo Marvel d’éclairs et de coups de griffes), il est aussi conscient que ce cinéma de la débrouille a toujours été un vivier de créativité, justement contraint par ses limites budgétaires.

Werewolf by Night surprend ainsi par son exigence de fabrication, son savoir-faire étonnant dans la suggestion (des flashs qui révèlent la silhouette du loup-garou en pleine transformation) et la clarté de sa topographie. Ses plans larges lisibles, ses élans chorégraphiques plutôt ambitieux, et même ses costumes et prothèses à l’ancienne joliment réalisés, confirment que la proposition a pour principal mérite d’assumer son identité bis.

Giacchino n’essaie pas de réinventer la roue du post-modernisme, et exploite au maximum les possibilités de son concept sans tirer sur la corde. C’est bien simple : aucune production Marvel n’a su être aussi plaisante et divertissante depuis longtemps, loin des kouglofs indigestes qui brassent du vent. Il y a dans Werewolf by Night une humilité, ou plutôt une conscience de la noblesse du cinéma d’exploitation, que l’usine Marvel devrait avoir en permanence dans le rétroviseur. Et si ce petit programme alternatif de 50 minutes était la véritable surprise de la Phase 4 ?

Werewolf by Night est disponible sur Disney+ à partir du 7 octobre 2022

Si le mot "exigence" n’est plus vraiment associé au Marvel Cinematic Universe depuis un moment, Werewolf by Night retrouve le savoir-faire des films de monstres dont il s’inspire, au point de s’imposer en charmant petit film B. Pour ses débuts derrière la caméra, Michael Giacchino offre une parenthèse revigorante dans le monde lénifiant de Marvel, que la firme devrait ériger en standard.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3a5bAxScMg
Je ne suis pas cinéphile comme l'est l'équipe de Ecran Large, et donc j'ai trouvé ça très moyen :sleep:
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Après Mort sur le Nil, la nouvelle enquête d'Hercule Poirot se paie encore un gros casting

Image

Après le désastreux Mort sur le Nil, Hercule Poirot revient sur les écrans avec A Haunting in Venice, et se paie au passage un gros casting.

Qu'il s'agisse du sympathique Cluedo géant À couteaux tirés, de la (très) bonne surprise Dinsey+ Only Murders in the Building, du retour du commissaire Maigret sous les traits de Gérard Depardieu, ou encore du décevant Coup de théâtre porté par Sam Rockwell et Saoirse Ronan, il semblerait bien que le whodunit ("qui l'a fait", en français) fantasque se soit bel et bien réimposé dans le paysage audiovisuel depuis ces cinq dernières années.

La réadaptation sur grand écran du héros phare de la romancière Agatha Christie, Hercule Poirot, sous la houlette Kenneth Branagh s'inscrit donc pleinement dans cette veine à succès. Si le premier opus, Le Crime de l'Orient-Express a largement fait ses preuves au box-office (soit, 349,7 millions de dollars de recettes mondiales en 2017), sa suite Mort sur le Nil a cependant nettement moins convaincu les spectateurs cette année, le film n'ayant rapporté "que" 137,3 millions de dollars à travers le globe.

Des performances commerciales décevantes qui n'ont cependant nullement empêché les géants Disney et 20th Century Studios de rempiler avec un troisième film, intitulé A Haunting in Venice. Cette nouvelle aventure du célèbre détective belge prendra place dans le Venise d'après-guerre, et adaptera l'un des récits les moins connus de la romancière : La Fête du potiron.

Désormais à la retraite et en exil, Hercule Poirot se rend malgré lui à une soirée organisée au sein d'un palace réputé hanté, lorsqu'un des invités est brusquement retrouvé mort assassiné. Contraint de reprendre du service, Poirot mènera l'enquête afin de découvrir l'identité du meurtrier.

Afin de porter ce nouvel opus, la société 20th Century Studios a annoncé un parterre de comédiens sympathique. Bien entendu, Kenneth Branagh campera de nouveau le détective à moustache. À ses côtés, les spectateurs pourront retrouver la formidable Michelle Yeoh, récemment vue à l'affiche du très bon Everything Everywhere All at Once, Jamie Dornan, bien connu pour son rôle de Christian Grey dans la terrible trilogie Cinquante nuances de Grey, la Française Camille Cottin, l'actrice Kelly Reilly (Yellowstone), mais aussi Tina Fey (Lolita malgré moi), Kyle Allen (The In Between), Jude Hill (Belfast), Ali Khan (Omkara), Emma Laird (Mayor of Kingstown), et Riccardo Scamarcio (John Wick 2).

Pour diriger tout ce beau monde, les équipes du Crime de l'Orient-Express et de Mort sur le Nil seront de nouveau de la partie. Cela inclut le scénariste Michael Green (oui, celui de Green Lantern), la productrice Judy Hofflund, et les producteurs exécutifs Louise Killin et James Prichard. Ridley Scott, Simon Kinberg et Mark Gordon font également partie de la production. Le tournage de ce nouvel opus devrait débuter d'ici le mois de novembre aux studios Pinewood à Londres, ainsi qu'à divers endroits vénitiens afin de viser une sortie en salles courant 2023.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... NMmXLN_RlE
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

J'adore Coraline mais le dernier Henry Selick a l'air particulièrement moche. J'ai survolé le trailer, on se croirait presque dans Aya et la Sorcière en terme de laideur.
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39



Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39





Énième film avec une poupée tueuse mais le côté bourrin a l'air plutôt jouissif.
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit :
mar. 11 oct. 2022 15:55
Je ne suis pas cinéphile comme l'est l'équipe de Ecran Large, et donc j'ai trouvé ça très moyen :sleep:
Dommage (que tu l'aies trouvé moyen) :D
Avatar du membre
robinne
Messages : 5894
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

weird

@Pale
« Très » moyen :D
Disons que je me suis bien ennuyé, alors que ça dure, quoi, 50 minutes ?

Et je ne sais pas si c’est chez moi, mais le noir et blanc n’était même beau…
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a modérément apprécié Halloween Ends (3 étoiles) :

Image

David Gordon Green, sous l'égide de Blumhouse et avec la bénédiction de Jamie Lee Curtis, avait ressuscité le Michael Myers du film de John Carpenter en 2018. Suite au succès de son Halloween, il s'était engagé à sensiblement augmenter son bodycount dans Halloween Kills, puis à clore purement et simplement son histoire dans Halloween Ends. Il a tenu sa première promesse (au prix de la plausibilité de son scénario), mais parviendra-t-il à tenir la seconde, autrement plus ambitieuse ?

THE END IS NIGHT


Personne n'est dupe : Halloween Ends n'est sans doute pas le dernier Halloween. Jason Blum lui-même l'assumait pendant la promotion : bien que rien ne soit prévu pour le moment, il n'est pas né celui qui l'empêchera de faire revenir ce bon vieux Michael Myers, tant qu'il aura les faveurs du grand public. Le film de Gordon Green met plutôt un terme à sa trilogie, mais surtout à l'affrontement entre le boogeyman et Laurie Strode initié par John Carpenter. The Shape devra désormais (dé)composer sans sa némésis, du moins sans celle incarnée par Jamie Lee Curtis, laquelle semble en avoir enfin fini avec la franchise qui a fait d'elle une icône.

Et cela suffit amplement à donner un intérêt à cette conclusion. Les deux premiers films s'échinaient à reprendre le traitement du "mal absolu" à la Carpenter pour explorer ses répercussions psychologiques sur le long terme, sur la population d'Haddonfield et donc sur Laurie, symbole d'un profond trauma. Le troisième autorise enfin cette dernière à le dépasser et donc à éliminer la menace de Michael non pas dans la franchise, mais dans son esprit. Malmené dans le deuxième opus, Gordon Green ne sachant visiblement pas quoi en faire après la version de 2018, son personnage reste utilisé très maladroitement (la séquence qui ouvre le troisième acte est vraiment étrange) et demeure en arrière-plan, mais il redevient la clé de voute du récit.

Récit qui, en s'arrimant à cette approche très métaphorique, gagne clairement en audace. Plutôt qu'une bataille épique, le cinéaste et Chris Bernier nous racontent une guérison, quitte à carrément éjecter leur vedette masquée d'une grande partie du récit, voire – terrible sacrilège pour les inconditionnels de la saga – à lui enlever de sa toute-puissance. D'entrée de jeu, Laurie semble débarrassée de ses démons, participant même avec enthousiasme à l'ambiance festive d'Halloween. Une paix intérieure qui force le respect, étant donné la conclusion absurde du précédent volet.

Plus que jamais, Michael est une émanation de la psyché de l'héroïne. Tandis qu'elle s'éloigne de son emprise psychologique, il faiblit et il faut qu'un autre mal revienne la hanter (le mépris et l'ignorance des habitants de sa ville), pour qu'il ressurgisse des profondeurs, sous une autre forme néanmoins. L'idée désarçonne, nous refuse le carnage espéré, à un meurtre ultra-gore près, mais met en même temps à mal la dynamique qui a fait les grandes heures du slasher movie : la tension narrative entre la final girl et le boogeyman, soit une mise en pratique du fameux schéma narratif antagoniste/protagoniste.

En lieu et place d'une baston finale pleine de sang et de tripes, Gordon Green et son coscénariste choisissent de nous dévoiler l'agonie de Michael Myers, figure mythologique dépendante des règles du genre dont il a été couronné roi. Preuve que pour parvenir à vraiment achever une saga de slasher, il faut démonter un par un ses prérequis, et ce avec plus de rigueur que dans le dernier Scream.

EVIL DIES TONIGHT

Étonnant lorsqu'il justifie le retour de Michael et de ses meurtres, Halloween Ends revient vite sur des rails quand il tente de se connecter aux thématiques sociales de la nouvelle trilogie. Son mojo, "le mal engendre le mal", sert autant à réarranger les codes du slasher (les habitants de la ville créent de toutes pièces leur propre boogeyman, réveillant les angoisses de Laurie et par conséquent le mal, le vrai) qu'à en rajouter une couche sur les psychoses collectives et leur dangerosité.

Déjà dans Kills, reflet un peu trop évident des mouvements politiques de masse américains, le futur responsable de L'Exorciste n'y allait pas avec le dos de la cuillère. Ends a beau ne pas rivaliser avec la bêtise des pires retournements de situation de son prédécesseur, il ne lésine pas sur les dialogues appuyés, les situations forcées et les liens noués un poil trop rapidement. Le personnage joué par Rohan Campbell (un habitué des séries propulsé dans un rôle pas facile), au coeur des enjeux de ce troisième opus et du traitement très particulier de ses antagonistes, en fait les frais, englué dans une relation trop peu caractérisée avec l'un des protagonistes.

Loin de se contenter de désamorcer la rivalité entre Laurie et Michael, pourtant la vraie singularité du long-métrage, le cinéaste persiste à accaparer les habitants d'Haddonfield pour appuyer sa démonstration, si bien que ce soit les personnages de Kills à peine réutilisés ou les nouveaux venus, ils sont autant d'outils complètement désincarnés, qu'on n'a même pas l'occasion de voir se faire trucider avec panache, le principe scénaristique président au film lui refusant d'être aussi généreux que ceux de 2018 et 2021.

Preuve en est du dernier acte, qui aurait du contrebalancer son manque d'originalité par sa portée symbolique. Non seulement il arrive comme un cheveu sur la soupe, mais ni la mise en scène, ni les réactions des personnages, ni même la musique ne prennent la peine de donner un peu de substance à une fin somme toute assez contractuelle. Seul importe le sourire apaisé de Jamie Lee Curtis, la final girl si émérite qu'elle a fini par outrepasser sa propre condition. Merci à elle !

Passionnant quand il met en scène l'agonie symbolique d'un boogeyman légendaire, beaucoup plus maladroit sinon, Halloween Ends est à l'image du reste de la trilogie : très bancal, mais audacieux.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 5O-oEf4Mk8
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Tom Cruise sera le premier civil à faire une sortie dans l'espace !

Image

L'histoire d'un "gars malchanceux qui se retrouve dans la position d'être la seule personne à pouvoir sauver la Terre".

Il sera le "premier civil à faire une sortie dans l'espace à l'extérieur de la station spatiale". C'est avec une certaine fierté que la patronne du studio Universal décrit le prochain film événement de Tom Cruise, celui que la star de Top Gun filmera en partie dans l'espace !

Donna Langley, la responsable d'Universal Pictures, fait aujourd'hui quelques confidences, dans une interview à la BBC, sur le long métrage historique que prépare Doug Liman. "Espérons-le, Tom Cruise deviendra le premier civil à faire une sortie dans l'espace, hors de l'ISS", dit-elle, précisant que le budget sera d'environ 200 millions de dollars.On savait déjà que des séquences, au sein de la Station Spatiale Internationale étaient prévue. Mais Langley révèle donc que le plan est aussi de demander à Tom Cruise d'effectuer une sortie à l'extérieur, dans l'espace !

"Tom Cruise nous emmène dans l'espace. Il emmène le monde dans l'espace. C'est le plan. Nous avons un super projet en développement avec Tom, et l'idée est de faire cela exactement : prendre une fusée, l'emmener jusqu'à la station spatiale et filmer la première sortie d'un civil..."

Ceci étant dit, la boss d'Universal précise que le film de Doug Liman se déroulera "en fait principalement sur Terre, puis le personnage doit monter dans l'espace pour sauver la situation". On ne sait pas grand chose de l'histoire, mais elle précise que le personnage joué par Tom Cruise sera "un gars malchanceux qui se retrouve dans la position d'être la seule personne à pouvoir sauver la Terre".


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... ns-lespace
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39



Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Image

Un peu comme si Michael Mann avait décidé de transposer son style dans une chronique sociale. Même la musique de Irène Drésel y fait penser.

La fin peut faire débat :saint:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Pale a écrit :
mer. 12 oct. 2022 17:35
J'ai rien pigé :saint: :lol:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

ouch

Image
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

L'affiche donne envie. On sent que l'inspiration va plus loin que l'oeuvre originale.
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

shenbov a écrit :
mer. 12 oct. 2022 17:39
Pale a écrit :
mer. 12 oct. 2022 17:35
J'ai rien pigé :saint: :lol:
Ça s'inspire de A Christmas Carol mais en revu et corrigé :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

J'avais oublié ce conte de Noêl bien connu :saint:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 812
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

Pale a écrit :
mer. 12 oct. 2022 15:49
EL a modérément apprécié Halloween Ends (3 étoiles) :

Image

David Gordon Green, sous l'égide de Blumhouse et avec la bénédiction de Jamie Lee Curtis, avait ressuscité le Michael Myers du film de John Carpenter en 2018. Suite au succès de son Halloween, il s'était engagé à sensiblement augmenter son bodycount dans Halloween Kills, puis à clore purement et simplement son histoire dans Halloween Ends. Il a tenu sa première promesse (au prix de la plausibilité de son scénario), mais parviendra-t-il à tenir la seconde, autrement plus ambitieuse ?

THE END IS NIGHT


Personne n'est dupe : Halloween Ends n'est sans doute pas le dernier Halloween. Jason Blum lui-même l'assumait pendant la promotion : bien que rien ne soit prévu pour le moment, il n'est pas né celui qui l'empêchera de faire revenir ce bon vieux Michael Myers, tant qu'il aura les faveurs du grand public. Le film de Gordon Green met plutôt un terme à sa trilogie, mais surtout à l'affrontement entre le boogeyman et Laurie Strode initié par John Carpenter. The Shape devra désormais (dé)composer sans sa némésis, du moins sans celle incarnée par Jamie Lee Curtis, laquelle semble en avoir enfin fini avec la franchise qui a fait d'elle une icône.

Et cela suffit amplement à donner un intérêt à cette conclusion. Les deux premiers films s'échinaient à reprendre le traitement du "mal absolu" à la Carpenter pour explorer ses répercussions psychologiques sur le long terme, sur la population d'Haddonfield et donc sur Laurie, symbole d'un profond trauma. Le troisième autorise enfin cette dernière à le dépasser et donc à éliminer la menace de Michael non pas dans la franchise, mais dans son esprit. Malmené dans le deuxième opus, Gordon Green ne sachant visiblement pas quoi en faire après la version de 2018, son personnage reste utilisé très maladroitement (la séquence qui ouvre le troisième acte est vraiment étrange) et demeure en arrière-plan, mais il redevient la clé de voute du récit.

Récit qui, en s'arrimant à cette approche très métaphorique, gagne clairement en audace. Plutôt qu'une bataille épique, le cinéaste et Chris Bernier nous racontent une guérison, quitte à carrément éjecter leur vedette masquée d'une grande partie du récit, voire – terrible sacrilège pour les inconditionnels de la saga – à lui enlever de sa toute-puissance. D'entrée de jeu, Laurie semble débarrassée de ses démons, participant même avec enthousiasme à l'ambiance festive d'Halloween. Une paix intérieure qui force le respect, étant donné la conclusion absurde du précédent volet.

Plus que jamais, Michael est une émanation de la psyché de l'héroïne. Tandis qu'elle s'éloigne de son emprise psychologique, il faiblit et il faut qu'un autre mal revienne la hanter (le mépris et l'ignorance des habitants de sa ville), pour qu'il ressurgisse des profondeurs, sous une autre forme néanmoins. L'idée désarçonne, nous refuse le carnage espéré, à un meurtre ultra-gore près, mais met en même temps à mal la dynamique qui a fait les grandes heures du slasher movie : la tension narrative entre la final girl et le boogeyman, soit une mise en pratique du fameux schéma narratif antagoniste/protagoniste.

En lieu et place d'une baston finale pleine de sang et de tripes, Gordon Green et son coscénariste choisissent de nous dévoiler l'agonie de Michael Myers, figure mythologique dépendante des règles du genre dont il a été couronné roi. Preuve que pour parvenir à vraiment achever une saga de slasher, il faut démonter un par un ses prérequis, et ce avec plus de rigueur que dans le dernier Scream.

EVIL DIES TONIGHT

Étonnant lorsqu'il justifie le retour de Michael et de ses meurtres, Halloween Ends revient vite sur des rails quand il tente de se connecter aux thématiques sociales de la nouvelle trilogie. Son mojo, "le mal engendre le mal", sert autant à réarranger les codes du slasher (les habitants de la ville créent de toutes pièces leur propre boogeyman, réveillant les angoisses de Laurie et par conséquent le mal, le vrai) qu'à en rajouter une couche sur les psychoses collectives et leur dangerosité.

Déjà dans Kills, reflet un peu trop évident des mouvements politiques de masse américains, le futur responsable de L'Exorciste n'y allait pas avec le dos de la cuillère. Ends a beau ne pas rivaliser avec la bêtise des pires retournements de situation de son prédécesseur, il ne lésine pas sur les dialogues appuyés, les situations forcées et les liens noués un poil trop rapidement. Le personnage joué par Rohan Campbell (un habitué des séries propulsé dans un rôle pas facile), au coeur des enjeux de ce troisième opus et du traitement très particulier de ses antagonistes, en fait les frais, englué dans une relation trop peu caractérisée avec l'un des protagonistes.

Loin de se contenter de désamorcer la rivalité entre Laurie et Michael, pourtant la vraie singularité du long-métrage, le cinéaste persiste à accaparer les habitants d'Haddonfield pour appuyer sa démonstration, si bien que ce soit les personnages de Kills à peine réutilisés ou les nouveaux venus, ils sont autant d'outils complètement désincarnés, qu'on n'a même pas l'occasion de voir se faire trucider avec panache, le principe scénaristique président au film lui refusant d'être aussi généreux que ceux de 2018 et 2021.

Preuve en est du dernier acte, qui aurait du contrebalancer son manque d'originalité par sa portée symbolique. Non seulement il arrive comme un cheveu sur la soupe, mais ni la mise en scène, ni les réactions des personnages, ni même la musique ne prennent la peine de donner un peu de substance à une fin somme toute assez contractuelle. Seul importe le sourire apaisé de Jamie Lee Curtis, la final girl si émérite qu'elle a fini par outrepasser sa propre condition. Merci à elle !

Passionnant quand il met en scène l'agonie symbolique d'un boogeyman légendaire, beaucoup plus maladroit sinon, Halloween Ends est à l'image du reste de la trilogie : très bancal, mais audacieux.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 5O-oEf4Mk8
Verdict demain après-midi pour ma part. Mon premier depuis février 2020 :D
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Ne pas aller au cinéma en deux ans et demi, je pourrai pas :roll:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Black Adam : les premiers avis sur le film avec The Rock sont tombés

Image

Les premiers avis sur Black Adam, le nouveau film de super-héros DC avec Dwayne Johnson sont tombés.

Alors que le sempiternel débat autour de la maturité des contenus proposés par DC et Marvel continue encore et toujours (en gros DC c’est destiné aux adultes et Marvel aux enfants), l’éditeur de Superman et Warner ont décidé il y a quelques années déjà, d’adapter sur grand écran l’histoire de Black Adam, parfait archétype du personnage sombre et torturé, bref l’anti-héros par excellence.

En choisissant Dwayne Johnson pour endosser les traits de Black Adam, Warner a perçu le potentiel marketing de The Rock, sans doute le plus bel emblème commercial d’Hollywood avec Tom Cruise actuellement. Avec lui, Black Adam est censé sauver Warner et DC. Des allégations un poil présomptueuses, mais qui pourraient se confirmer vu les premiers avis qui ont fleuri sur Twitter après la première mondiale américaine. Revue de tweets.

« Le Black Adam de DC déchire ! Beaucoup d’action, des personnages auxquels on s’attache instantanément et un rythme soutenu. Dwayne Johnson trouve un juste équilibre entre être menaçant, badass, mais aussi empathique. J’ai particulièrement aimé Aldis Hodge en Hawkman et Pierce Brosnan en Doctor Fate. Plus de films avec la JSA s’il vous plaît. » Eric Davis - Fandango

« Black Adam est le film DC le plus bourré d’action à ce jour. C’est un film de sensations fortes, il donne tout pour le spectacle et il le sait. Il n’y a pas de temps mort, ni pour respirer ni pour discuter. The Rock est un parfait Black Adam et Pierce Brosnan est remarquable. Le film va sûrement marquer les fans. » Ben Rolph- Discussing Film

« Black Adam est une pièce digne du puzzle DC, mais pas le sauveur annoncé. La narration étonnamment compressée maintient l’action excitante et le rythme effréné, mais transforme également ses intrigues, thématiques et personnages en vitrines de luxe. C’est un chaos agréable à suivre. » Germain Lussier- Gizmodo

« J’ai dû passer par des détecteurs de métaux pour assister à la projection de Black Adam à New York. Dommage que le film soit si mauvais, aucune profondeur psychologique, aucune crainte ressentie pour le personnage et des combats CGI ennuyeux. » Sean Kane- CNET

“The Rock est terrible dans Black Adam ; le film inclut beaucoup de références au monde réel (ce qui est le plus touchant c’est qu’il illustre le besoin de héros dans ces heures sombres). Le réalisateur Jaume Collet-Serra pose les larges fondations d’un énorme, gigantesque univers. De l’action vivante et à grande échelle.” Courtney Howard - Variety

“Black Adam peine à trouver ses marques au départ, mais une fois la Justice Society arrivée, il devient plus amusant à regarder. L’anti-héros Dwayne Johnson introduit une nouvelle dynamique intrigante pour le DCEU. Des effets visuels solides. Un vilain ridicule. À scène post générique va générer d’énormes réactions auprès des fans.” Matt Neglia - Next Best Picture

“Black Adam comble tous les espoirs que nous nourrissions et plus encore. Un spectacle anti-héroïque à la Snyder qui offre beaucoup d’action avec des décors impressionnants. Dwayne Johnson se métamorphose en Black Adam, il est né pour ce rôle. Centineo et Swindell sont sacrément amusants à voir.” Scott Menzel - We Live Entertainment

« Black Adam n’est pas parfait, mais le potentiel est là. Le scénario manque de profondeur et de personnalité et The Rock est taillé physiquement pour le rôle, mais tout laisse à désirer. Doctor Fate et Hawkman lui volent la vedette et forment un duo parfait. À l’arrivée, les scènes héroïques sont terribles, mais l’histoire n’est pas à la hauteur. » Anthony - The Movie Podcast

Ces retours en partie mitigés soulignent la performance physique de Dwayne Johnson et l’action menée à première vue, tambour battant. Cependant, en lisant certains commentaires, on peut surtout craindre un long-métrage décérébré sans véritable profondeur, une quasi constante dans les films de super-héros ces dernières années. Pour se faire un avis, Dwayne Johnson nous donne rendez-vous ce 19 octobre 2022 pour la sortie de Black Adam.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... ERqd4o8cl4

Je suis quasi sûr de prendre mon pied devant ce film :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL n'a pas trop aimé Jack Mimoun et les secrets de Val Verde (2 étoiles) :

Image

C'est l'histoire d'un aventurier en carton qui se retrouve embarqué malgré lui dans une vraie aventure. C'est l'histoire de Malik Bentalha acteur, co-scénariste et co-réalisateur qui s'offre un boulevard pour réaliser un rêve de gosse bercé par Indiana Jones, Jack Burton, Belmondo et compagnie. C'est Jack Mimoun et les secrets de Val Verde, avec aussi Joséphine Japy, Jérôme Commandeur, Benoît Magimel et François Damiens. Et c'est une sacrée déception.

L'AVENTURE C'EST PAS L'AVENTURE


Il y a d'abord l'envie d'aimer. L'envie de rire, sourire et s'enthousiasmer devant un film d'aventure français doté d'un beau budget (12-13 millions d'euros) et d'une évidente ambition. Car ce Jack Mimoun se place bien sûr dans l'ombre d'Indiana Jones et consorts, mais également dans la lignée de Jean-Paul Belmondo et Philippe de Broca ; comme pour mieux rappeler à quel point ce cinéma devrait toujours être là, en France.

Et Jack Mimoun et les secrets de Val Verde commence bien, avec une introduction plus portée sur l'imagination la plus élémentaire (un mystérieux homme, une mystérieuse île, une mystérieuse carte aux trésors) que la grosse blagounette. La musique de Mathieu Lamboley, ambitieuse et sensationnelle, est la cerise sur le gâteau de ce départ en expédition.

Puis, il y a la réalité. En quelques minutes et saynètes, les personnages principaux sont dessinés avec un pinceau plus gros qu'un balai. L'aventurier est un doux abruti digne de NRJ12, et la scientifique se lance dans l'aventure après avoir feuilleté un magazine. L'équipe de bras cassés se forme, et la lourde et lente mécanique comique prend le dessus. Peu à peu, l'envie laisse place à l'ennui, avec à la clé une sensation familière et désagréable : encore un film (français) qui ne tourne pas rond.

L'HOMME DE RIONS

Jusque là associé à des joyaux de comédie française (non) comme Pattaya et Le Doudou, l'humoriste Malik Bentalha a vraisemblablement tout donné pour concrétiser ce rêve de grand gamin. L'idée vient de lui, et il a co-écrit le scénario avec Florent Bernard (passé chez Golden Moustache et La Flamme) et Tristan Schulmann (Goal of the Dead). Le personnage vient de lui, et il incarne ce fameux Jack Mimoun. Il voulait également passer à la réalisation, et a finalement co-réalisé le film avec Ludovic Colbeau-Justin (Le Lion, avec Dany Boon et Philippe Katerine). Jack Mimoun et les secrets de Val Verde, c'est donc lui, partout, presque tout le temps.

Première surprise : Malik Bentalha l'acteur manque cruellement d'énergie et de folie. Le désir de se placer non pas au premier plan, mais parmi une bande, n'explique pas tout. À l'écran, il semble constamment en sous-régime, ce qui est bien dommage pour ce Jack Mimoun conçu comme un descendant non officiel de Mike Horn et Bear Grylls (côté réalité), et Jack Burton et Indiana Jones (côté ciné). Un peu trop sérieux pour tenir la distance face aux seconds rôles, un peu trop ridicule pour véritablement décoller en héros, il ne peut compter que sur la tendresse. Soit une miette dans un tel film d'aventure comique, et particulièrement avec ce scénario.

Car Jack Mimoun et les secrets de Val Verde est un film de groupe, et ce groupe est certainement la pire des choses à l'écran. La pourtant talentueuse Joséphine Japy n'arrive à rien avec ce pauvre personnage en carton, qui a probablement les pires scènes. Censée être le moteur de l'aventure, grâce à une motivation énoncée au marteau-piqueur, elle oscille entre vivacité d'esprit et profonde naïveté selon les situations. Son passé, ses mensonges, ses émotions, ses peurs : tout est traité et surexpliqué en quatrième vitesse, si bien qu'elle n'a finalement aucune personnalité. Alors qu'elle est l'un des personnages principaux – en théorie.

En arrière-plan, c'est la cour des miracles. Benoît Magimel est étonnant comme un Benoît Magimel à contretemps, Jérôme Commandeur est parfaitement oubliable dans un rôle de Jérôme Commandeur, et François Damiens est évidemment amusant dans un rôle de François Damiens. Sauf que c'est à double tranchant puisqu'il est l'équivalent d'un chalumeau sur une chandelle : il rallume tout avec quelques perles d'absurdité, tout en mettant encore plus en lumière le vide monotone après ça.

Tout ça vient bien sûr d'une pure tradition du genre, où les seconds rôles sont des faire-valoir (au hasard, Danny DeVito dans A la poursuite du diamant vert), et les méchants, de vrais pourris (Zolo dans A la poursuite du diamant vert, parce que oui ce film est fantastique). Et où les incohérences extrêmes (sacrément solide ce magnétophone) sont légion. Mais Jack Mimoun et les secrets de Val Verde ne prend tellement pas le temps de créer des relations entre ces personnages (notamment Aurélie et Jonas, et Jack et Jean-Marc), que tout le monde semble trimballé par l'intrigue, et courir et crier sans se regarder.

JACK MIMOLLE

Et si on ferme les yeux sur les personnages pour les ouvrir sur l'aventure ? C'est moins pire, mais pas beaucoup mieux. Malik Bentalha et ses co-scénaristes ont potassé le sujet pour offrir un abécédaire de la jungle en folie, avec mygale, scorpion, sables mouvants et autres dangers de Mère Nature. Ils ont aussi révisé leurs classiques, avec carcasse d'avion dans les arbres, pont de corde, temple perdu et passages secrets. Le film déborde de clins d'œil assumés, parce que c'est aussi (surtout) un plaisir de cinéphile qui préside.

Jack Mimoun et les secrets de Val Verde a aussi pour lui les dimensions de son ambition. Tourné en décors naturels, le film s'installe vite dans les lieux adéquats, et en profite pour éviter les sempiternels intérieurs et recoins de studio déguisés. Là encore, l'appétit de cinéma à l'ancienne est palpable. Mais ça ne suffit pas.

Les dangers et les blagues s'enchaînent pour cocher les cases obligatoires du genre et satisfaire des rêves de mômes, mais sans recréer de grande magie. Les situations et péripéties semblent posées les unes sur les autres, comme des briques sans ciment. Et finalement, il manque à Jack Mimoun et les secrets de Val Verde une harmonie (dans l'humour, dans l'émerveillement ou même la tendresse), et un mouvement global pour unir tout ce joyeux bordel désarticulé.

Le film se cherche sans fin, avec de petits éclats çà et là. Un François Damiens qui décroche quelques sourires avec des répliques évidemment lunaires, un Benoît Magimel qui redynamise un peu l'aventure, ou un bel effet de lumière qui illumine le décor et les visages dans le temple perdu. Mais c'est trop peu pour que ce Jack Mimoun trouve son chemin dans la jungle des références et des ambitions.

Après un affreux épilogue qui achève l'aventure sur la pire note possible (un non baiser vu mille fois, un teasing de suite garanti 100% sans charme), ne reste plus qu'un sentiment : la tristesse, et la fatigue. Jack Mimoun et les secrets de Val Verde devrait encore servir d'exemple aux éternels débats sur le cinéma français, surtout si le succès n'est pas au rendez-vous. C'est mérité, c'est lassant... mais "bonne nouvelle" : c'est toujours moins pire que le cher navet Le Secret de la Cité Perdue, avec Sandra Bullock et Channing Tatum, sorti début 2022.

Il y a avait l'envie, l'ambition, la sincérité et l'énergie. Mais Jack Mimoun et les secrets de Val Verde ne trouve jamais sa boussole parmi les gags (inégaux), les personnages (bancals) et les péripéties (mal rythmées), et ne parvient finalement jamais à recréer la magie nécessaire.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... J_whfQNBlQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Barbarella : Sony a trouvé une actrice géniale pour son remake

Image

Sony a trouvé son actrice pour le remake de Barbarella et c'est une idée absolument fantastique.

Lorsque Barbarella est apparue pour la première fois dans les pages de V Magazine en 1962, la bande dessinée a déclenché un scandale quasi immédiat. Comment une maison d’édition traditionnelle avait-elle pu accepter de distribuer une œuvre pour adultes et choquer ainsi une France encore très conservatrice, alors que la révolution sexuelle allait pourtant bouleverser la majorité de la société occidentale ? La réponse importe peu, mais pour le créateur Jean-Claude Forest et son héroïne, c’est le début d’une histoire couronnée de succès.

Une première adaptation sur grand écran est réalisée par Roger Vadim en 1968. L’ancien époux de Brigitte Bardot (qui a elle-même servi de modèle pour le personnage créé par Forest) accouche de Barbarella, film de science-fiction légèrement érotique menée par Jane Fonda. Sans rencontrer les faveurs du public, le film est devenu culte avec le temps. Et apparemment, Sony désire développer un remake du long-métrage et a d’ores et déjà trouvé l’actrice idéale selon Deadline : Sydney Sweeney.

Image

Connue notamment pour ses participations dans les séries The White Lotus et surtout Euphoria, la comédienne de 25 ans était cantonnée jusque-là à des longs-métrages destinés aux plateformes SVoD, tels Voyeurs, Nocturne (Amazon Prime Video) ou Night Teeth (Netflix). Convaincu sans doute par ses performances dans les deux séries HBO, Sony avait déjà engagé la jeune femme pour jouer dans le futur film dédié à l'univers de Spider-Man, Madame Web.

Un premier contrat qui a, a priori, incité un autre puisque le studio lui aurait donc confié le rôle phare dans son remake de Barbarella, ce qui facilite ainsi les questions d'agenda. Sony pourra en effet, ajuster le calendrier des deux tournages. Quant à Sydney Sweeney, ce sera l’occasion pour elle de succéder à l’icône Jane Fonda et de prendre part à un projet qui deviendra peut-être aussi culte que le film de Roger Vadim. Une manière, on l’espère pour elle, de donner un grand coup de fouet à sa carrière.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... N9eqHF6PE4
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Le box-office français de la semaine :

Image

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... xE2WLwBqc8
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

Ouah ce bide pour L'Origine du Mal... Pas mérité mais apparemment le marketing du film est foireux.
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Avatar du membre
yhi
Messages : 372
Enregistré le : ven. 9 oct. 2020 10:48

shenbov a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 16:00
Ouah ce bide pour L'Origine du Mal... Pas mérité mais apparemment le marketing du film est foireux.
Bah déjà il y a Jacques Weber en plein sur l'affiche, je dois dire que ça me motive pas plus que ça.
Avatar du membre
ClintReborn
Messages : 4051
Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
Localisation : Avalon

robinne a écrit :
mar. 11 oct. 2022 20:24
@Pale
« Très » moyen :D
Disons que je me suis bien ennuyé, alors que ça dure, quoi, 50 minutes ?

Et je ne sais pas si c’est chez moi, mais le noir était blanc et il n’était même pas beau…
:lol: C'est problématique ça
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Avatar du membre
shenbov
Messages : 133
Enregistré le : jeu. 6 mai 2021 23:04
Localisation : Mercure

yhi a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 17:01
Bah déjà il y a Jacques Weber en plein sur l'affiche, je dois dire que ça me motive pas plus que ça.
Malgré ses navets, il n'est pas dérangeant dans le film :jap:
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Avatar du membre
BOX OFFICE STORY
Messages : 4738
Enregistré le : mer. 2 sept. 2020 00:43
Contact :

Pale a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 15:54
Barbarella : Sony a trouvé une actrice géniale pour son remake

Image

Sony a trouvé son actrice pour le remake de Barbarella et c'est une idée absolument fantastique.

Lorsque Barbarella est apparue pour la première fois dans les pages de V Magazine en 1962, la bande dessinée a déclenché un scandale quasi immédiat. Comment une maison d’édition traditionnelle avait-elle pu accepter de distribuer une œuvre pour adultes et choquer ainsi une France encore très conservatrice, alors que la révolution sexuelle allait pourtant bouleverser la majorité de la société occidentale ? La réponse importe peu, mais pour le créateur Jean-Claude Forest et son héroïne, c’est le début d’une histoire couronnée de succès.

Une première adaptation sur grand écran est réalisée par Roger Vadim en 1968. L’ancien époux de Brigitte Bardot (qui a elle-même servi de modèle pour le personnage créé par Forest) accouche de Barbarella, film de science-fiction légèrement érotique menée par Jane Fonda. Sans rencontrer les faveurs du public, le film est devenu culte avec le temps. Et apparemment, Sony désire développer un remake du long-métrage et a d’ores et déjà trouvé l’actrice idéale selon Deadline : Sydney Sweeney.

Image

Connue notamment pour ses participations dans les séries The White Lotus et surtout Euphoria, la comédienne de 25 ans était cantonnée jusque-là à des longs-métrages destinés aux plateformes SVoD, tels Voyeurs, Nocturne (Amazon Prime Video) ou Night Teeth (Netflix). Convaincu sans doute par ses performances dans les deux séries HBO, Sony avait déjà engagé la jeune femme pour jouer dans le futur film dédié à l'univers de Spider-Man, Madame Web.

Un premier contrat qui a, a priori, incité un autre puisque le studio lui aurait donc confié le rôle phare dans son remake de Barbarella, ce qui facilite ainsi les questions d'agenda. Sony pourra en effet, ajuster le calendrier des deux tournages. Quant à Sydney Sweeney, ce sera l’occasion pour elle de succéder à l’icône Jane Fonda et de prendre part à un projet qui deviendra peut-être aussi culte que le film de Roger Vadim. Une manière, on l’espère pour elle, de donner un grand coup de fouet à sa carrière.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... N9eqHF6PE4
Jane Fonda sublime femme aura du mal à être remplacée.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
yhi
Messages : 372
Enregistré le : ven. 9 oct. 2020 10:48

shenbov a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 17:26
Malgré ses navets, il n'est pas dérangeant dans le film :jap:
Je comptais y aller mais suite à mes vacances j'ai deux semaines de sorties de retard à rattraper je ne sais pas si je vais tout réussir à caser ce weekend.
Avatar du membre
robinne
Messages : 5894
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

weird

ClintReborn a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 17:07
robinne a écrit :
mar. 11 oct. 2022 20:24
@Pale
« Très » moyen :D
Disons que je me suis bien ennuyé, alors que ça dure, quoi, 50 minutes ?

Et je ne sais pas si c’est chez moi, mais le noir était blanc et il n’était même pas beau…
:lol: C'est problématique ça
Les bords semblaient verdâtres :sarcastic:
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 20:00
ClintReborn a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 17:07
robinne a écrit :
mar. 11 oct. 2022 20:24
@Pale
« Très » moyen :D
Disons que je me suis bien ennuyé, alors que ça dure, quoi, 50 minutes ?

Et je ne sais pas si c’est chez moi, mais le noir était blanc et il n’était même pas beau…
:lol: C'est problématique ça
Les bords semblaient verdâtres :sarcastic:
Tu l'as vu sur Disney ou tu as chopé un fichier tout moisi ? :o :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
robinne
Messages : 5894
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

weird

Pale a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 21:08
robinne a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 20:00
ClintReborn a écrit :
jeu. 13 oct. 2022 17:07


:lol: C'est problématique ça
Les bords semblaient verdâtres :sarcastic:
Tu l'as vu sur Disney ou tu as chopé un fichier tout moisi ? :o :D
La plateforme Disney+. Ca m'arrive de regarder des trucs qui ne sont pas des fichiers récupérés en contrebande :saint:
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? : Liam Neeson pourrait jouer dans le reboot (et achever sa carrière)

Image

Parce qu'aucune franchise n'est à l'abri d'un reboot à Hollywood, Liam Neeson serait pressenti pour tenir le rôle principal du prochain Naked Gun (Y a-t-il un flic...).

Si une chose est bien sûre à propos d'Hollywood, c'est son obstination à pallier son cruel manque d'idées originales par la production continue de divers reboots, suites, prequels, spin-offs et autres remakes en tout genre. Terminator, SOS Fantômes ou encore Star Wars sont autant d'exemples de sagas épuisées jusqu'à la moelle par l'industrie, laquelle ne compte manifestement pas s'arrêter en si bon chemin.

Ainsi donc, il semblerait bien qu'un énième reboot franchisé soit actuellement dans les tuyaux de la grosse machine américaine. Pour une raison obscure, la société de production Paramount Pictures se serait ainsi récemment attachée à ressusciter la trilogie comique Naked Guns (Y a-t-il un flic... en français), initialement impulsée en 1988 par le trio David Zucker, Jerry Zucker et Jim Abrahams.

Et afin de porter (quitte à risquer la luxation d'épaules) ce projet que personne n'a réellement demandé, il semblerait qu'un acteur bien connu pour ses films d'action plus ou moins réussis soit déjà dans le viseur des producteurs. Ainsi, d'après une information relayée par Deadline, Liam Neeson aurait été approché par Paramount afin de tenir le rôle principal du film.

Le projet, qui n'en est encore qu'à un stade embryonnaire, n'a toutefois pas encore été complètement validé. En effet, les producteurs attendraient de connaître la décision finale de Liam Neeson avant de donner le feu vert au film. Cette idée à l'esprit, autant dire que l'avenir du reboot de Naked Guns n'est pas garanti. L'acteur aurait en effet exprimé quelques réticences vis-à-vis du projet : "Soit ça achèvera ma carrière, soit ça la lancera dans une toute nouvelle direction", a-t-il admis lors d'un entretien à People relayé par Variety. En voilà une belle démonstration de foi.

Si les négociations avec l'acteur sont actuellement toujours en cours, la réalisation du métrage a quant à elle déjà été confiée au cinéaste Akiva Schaffer (Voisins du troisième type, Tic et Tac : Les Rangers du Risque). Dan Gregor et Doug Mand, lesquels ont déjà collaboré aux côtés de Schaffer sur le très mauvais Tic et Tac : Les Rangers du Risque (indubitable indicateur de qualité) se seraient quant à eux vu attribuer la réécriture du projet suite au premier jet de Mark Hentemann et Alec Sulkin (tous deux principalement connus pour avoir chapeauté et écrit plusieurs épisodes de la série d'animation Family Guy).

Pour rappel, la saga Naked Guns, bien connue pour son ton loufoque à la lisière de la parodie, met en scène les aventures du lieutenant Frank Debrin (initialement interprété par Leslie Nielsen), un officier de police dans la brigade spéciale de Los Angeles. Le personnage avait également fait l'objet d'une série éphémère en 1982 intitulée Police Squad. Ne reste donc qu'à attendre de savoir si Liam Neeson dira oui ou non au projet pour en savoir un peu plus.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rlbmAdvkDE
Avatar du membre
ClintReborn
Messages : 4051
Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
Localisation : Avalon

Pale a écrit :
ven. 14 oct. 2022 18:38
Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? : Liam Neeson pourrait jouer dans le reboot (et achever sa carrière)

Image

Parce qu'aucune franchise n'est à l'abri d'un reboot à Hollywood, Liam Neeson serait pressenti pour tenir le rôle principal du prochain Naked Gun (Y a-t-il un flic...).

Si une chose est bien sûre à propos d'Hollywood, c'est son obstination à pallier son cruel manque d'idées originales par la production continue de divers reboots, suites, prequels, spin-offs et autres remakes en tout genre. Terminator, SOS Fantômes ou encore Star Wars sont autant d'exemples de sagas épuisées jusqu'à la moelle par l'industrie, laquelle ne compte manifestement pas s'arrêter en si bon chemin.

Ainsi donc, il semblerait bien qu'un énième reboot franchisé soit actuellement dans les tuyaux de la grosse machine américaine. Pour une raison obscure, la société de production Paramount Pictures se serait ainsi récemment attachée à ressusciter la trilogie comique Naked Guns (Y a-t-il un flic... en français), initialement impulsée en 1988 par le trio David Zucker, Jerry Zucker et Jim Abrahams.

Et afin de porter (quitte à risquer la luxation d'épaules) ce projet que personne n'a réellement demandé, il semblerait qu'un acteur bien connu pour ses films d'action plus ou moins réussis soit déjà dans le viseur des producteurs. Ainsi, d'après une information relayée par Deadline, Liam Neeson aurait été approché par Paramount afin de tenir le rôle principal du film.

Le projet, qui n'en est encore qu'à un stade embryonnaire, n'a toutefois pas encore été complètement validé. En effet, les producteurs attendraient de connaître la décision finale de Liam Neeson avant de donner le feu vert au film. Cette idée à l'esprit, autant dire que l'avenir du reboot de Naked Guns n'est pas garanti. L'acteur aurait en effet exprimé quelques réticences vis-à-vis du projet : "Soit ça achèvera ma carrière, soit ça la lancera dans une toute nouvelle direction", a-t-il admis lors d'un entretien à People relayé par Variety. En voilà une belle démonstration de foi.

Si les négociations avec l'acteur sont actuellement toujours en cours, la réalisation du métrage a quant à elle déjà été confiée au cinéaste Akiva Schaffer (Voisins du troisième type, Tic et Tac : Les Rangers du Risque). Dan Gregor et Doug Mand, lesquels ont déjà collaboré aux côtés de Schaffer sur le très mauvais Tic et Tac : Les Rangers du Risque (indubitable indicateur de qualité) se seraient quant à eux vu attribuer la réécriture du projet suite au premier jet de Mark Hentemann et Alec Sulkin (tous deux principalement connus pour avoir chapeauté et écrit plusieurs épisodes de la série d'animation Family Guy).

Pour rappel, la saga Naked Guns, bien connue pour son ton loufoque à la lisière de la parodie, met en scène les aventures du lieutenant Frank Debrin (initialement interprété par Leslie Nielsen), un officier de police dans la brigade spéciale de Los Angeles. Le personnage avait également fait l'objet d'une série éphémère en 1982 intitulée Police Squad. Ne reste donc qu'à attendre de savoir si Liam Neeson dira oui ou non au projet pour en savoir un peu plus.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rlbmAdvkDE
Pire idée :o Leslie Nielsen est indétrônable de cette saga cela ne sert a rien de partir dans l'imitation pour faire en plus une pale copie d'un classique.... C'est juste du reboot consommable et jetable fait par des gens qui n'ont aucune ambitions artistiques ni valeurs éthiques :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Avatar du membre
Pale
Messages : 8522
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Répondre