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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : jeu. 19 sept. 2024 19:08
par Pale
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:46
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:36
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:23 Kaizen est sorti en Belgique aussi ?
Il ne fallait surtout pas prononcer le titre de ce truc :cry: :cry: :cry: :D
Pourquoi ? C'est comme pour Beetlejuice ? Ca fait apparaître des morts ? :lol:
Non c'est juste que tout ce qui tourne autour de ce truc me sort par les trous de nez :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 05:20
par Kit
bon 90ème anniversaire à Sophia Loren
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bon 75ème anniversaire à Sabine Azéma
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bon 49ème anniversaire à Asia Argento
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 09:18
par Kit
j'ai failli y croire
[youtube]V8RpMJPd0qs[/youtube]

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 09:35
par robinne
Next a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:50
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:36 J'ai lu quelques retours catastrophiques sur Horizon... Chapitre 2, et d'autres plus bienveillants. Le 1er chapitre m'avait moyennement accroché :(
Pas vu le premier. J'avoue que 4 films pour un tel sujet, ça me rebute. Surtout avec cette imagerie très "petit écran" qui ressort des trailers.
Oui, dommage que ça fasse "cheap". Une série télé aurait suffi, avec des moyens pareils.
Et j'ai trouvé la musique envahissante : certains passages devaient avoir de l'ampleur, mais il manquait quelque chose.
Bref.
Je me demande tout de même s'il finira son projet, car j'aime bien Costner, et je le trouve bien orgueilleux (dans le bon sens) pour ce projet. Comme Coppola pour Megalopolis.

Et comme je traîne à Paris en ce moment, je vois que Emmanuelle sort la semaine prochaine :ouch:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 09:37
par robinne
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 19:08
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:46
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:36

Il ne fallait surtout pas prononcer le titre de ce truc :cry: :cry: :cry: :D
Pourquoi ? C'est comme pour Beetlejuice ? Ca fait apparaître des morts ? :lol:
Non c'est juste que tout ce qui tourne autour de ce truc me sort par les trous de nez :D
C'est un micro-phénomène éphémère ;)

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 10:04
par ClintReborn
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 09:37
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 19:08
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:46

Pourquoi ? C'est comme pour Beetlejuice ? Ca fait apparaître des morts ? :lol:
Non c'est juste que tout ce qui tourne autour de ce truc me sort par les trous de nez :D
C'est un micro-phénomène éphémère ;)
Plus on accorde d'importance a un phénomène plus il apparait ... M'étonnerais pas que Beetlejuice se cache sous le lit de Pale à présent ! :o :D :lol:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 10:16
par Kit
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 09:35
Next a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:50
robinne a écrit : jeu. 19 sept. 2024 18:36 J'ai lu quelques retours catastrophiques sur Horizon... Chapitre 2, et d'autres plus bienveillants. Le 1er chapitre m'avait moyennement accroché :(
Pas vu le premier. J'avoue que 4 films pour un tel sujet, ça me rebute. Surtout avec cette imagerie très "petit écran" qui ressort des trailers.
Oui, dommage que ça fasse "cheap". Une série télé aurait suffi, avec des moyens pareils.
Et j'ai trouvé la musique envahissante : certains passages devaient avoir de l'ampleur, mais il manquait quelque chose.
Bref.
Je me demande tout de même s'il finira son projet, car j'aime bien Costner, et je le trouve bien orgueilleux (dans le bon sens) pour ce projet. Comme Coppola pour Megalopolis.

Et comme je traîne à Paris en ce moment, je vois que Emmanuelle sort la semaine prochaine :ouch:
et comme beaucoup tu préfères voir le film plutôt que lire les manuels :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 16:32
par robinne
ClintReborn a écrit : ven. 20 sept. 2024 10:04
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 09:37
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 19:08

Non c'est juste que tout ce qui tourne autour de ce truc me sort par les trous de nez :D
C'est un micro-phénomène éphémère ;)
Plus on accorde d'importance a un phénomène plus il apparait ... M'étonnerais pas que Beetlejuice se cache sous le lit de Pale à présent ! :o :D :lol:
On n'en parlera déjà plus une semaine aprés la sortie du truc ^^

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 16:33
par robinne
Kit a écrit : ven. 20 sept. 2024 10:16
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 09:35
Et comme je traîne à Paris en ce moment, je vois que Emmanuelle sort la semaine prochaine :ouch:
et comme beaucoup tu préfères voir le film plutôt que lire les manuels :D
C'est bien vrai. Je ne suis pas très manuel non plus ^^

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 16:44
par Kit
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 16:33
Kit a écrit : ven. 20 sept. 2024 10:16
robinne a écrit : ven. 20 sept. 2024 09:35
Et comme je traîne à Paris en ce moment, je vois que Emmanuelle sort la semaine prochaine :ouch:
et comme beaucoup tu préfères voir le film plutôt que lire les manuels :D
C'est bien vrai. Je ne suis pas très manuel non plus ^^
je pense qu'avec Emmanuelle tu le serais :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 18:26
par Pale
Pale a écrit : jeu. 19 sept. 2024 16:26 Image
[youtube]YjTZMEbpKsc[/youtube]

[youtube]POC166_kUi0[/youtube]

Voilà qui me donne très envie.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 18:27
par Pale
[youtube]1GqzyjUbT4c[/youtube]

[youtube]TxnSt8CPvvg[/youtube]

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : ven. 20 sept. 2024 23:57
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : sam. 21 sept. 2024 00:12
par Pale
Vu :

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Je découvre seulement ce classique des années 80. À vrai dire, je m'attendais à une comédie vieillotte mais il s'agit d'une véritable pépite dans laquelle Tom Cruise est brillant et très bon dans le registre comique. C'est un peu aussi le rôle de la consécration pour l'acteur. La cerise sur le gâteau c'est la bande-originale atmosphérique de Tangerine Dream qui confère à certaines scènes une ambiance onirique. Au final c'est tout simplement excellent, je me suis régalé du début à la fin.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : sam. 21 sept. 2024 11:16
par Pale
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Remake américain d'un film franco-néerlandais s'intitulant L'Homme qui voulait savoir. Je n'ai pas vu l'original mais ce remake a été tourné par le même réalisateur : George Sluizer. Je me suis pris une petite claque devant La Disparue, il s'agit d'un thriller doté d'un scénario et d'un suspense en béton armé. Le film tient véritablement en haleine du début à la fin sans qu'on ne sache trop comment les choses vont évoluer. Remarquable.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : sam. 21 sept. 2024 22:48
par Kit
Pale a écrit : sam. 21 sept. 2024 11:16 Image

Remake américain d'un film franco-néerlandais s'intitulant L'Homme qui voulait savoir. Je n'ai pas vu l'original mais ce remake a été tourné par le même réalisateur : George Sluizer. Je me suis pris une petite claque devant La Disparue, il s'agit d'un thriller doté d'un scénario et d'un suspense en béton armé. Le film tient véritablement en haleine du début à la fin sans qu'on ne sache trop comment les choses vont évoluer. Remarquable.
coïncidence Nancy Travis a 63 ans aujourd'hui

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : sam. 21 sept. 2024 23:00
par Pale
Kit a écrit : sam. 21 sept. 2024 22:48
Pale a écrit : sam. 21 sept. 2024 11:16 Image

Remake américain d'un film franco-néerlandais s'intitulant L'Homme qui voulait savoir. Je n'ai pas vu l'original mais ce remake a été tourné par le même réalisateur : George Sluizer. Je me suis pris une petite claque devant La Disparue, il s'agit d'un thriller doté d'un scénario et d'un suspense en béton armé. Le film tient véritablement en haleine du début à la fin sans qu'on ne sache trop comment les choses vont évoluer. Remarquable.
coïncidence Nancy Travis a 63 ans aujourd'hui
:ouch: :ouch: :ouch: :ouch: :ouch: Pur hasard.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 00:09
par Kit
je m'en doute, c'était aussi les 69 ans de François Cluzet, les 67 ans d'Ethan Coen

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 19:57
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 20:27
par Pale
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Teen movie purement années 90, je pensais qu'il surfait sur la vague de American Pie mais c'est sorti une année avant AP. Comme son titre l'indique, Big Party se déroule durant une fête après la remise des diplômes, on est dans un chassé-croisé entre différents personnages. Tous les stéréotypes sont présents mais ça reste une chouette comédie avec en prime une touche de sensibilité ici et là.

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Je suis pas loin d'avoir trouvé ça tout pourri. Pourtant ça commence très bien, les 10-15 premières minutes sont excellentes notamment lorsque le film joue la carte du mystère sans compter que c'est très drôle (notamment grâce aux potes du personnage principal). Lorsque les choses "sérieuses" commencent, j'ai trouvé ça ridicule. Alors oui ça se veut parodique mais on ne croit en rien. Il y a heureusement des petites scènes sympas ici et là qui sauvent le film du désastre.

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Ça par contre c'est une belle claque. Un homme survit à un crash aérien et forcément cela va provoquer de gros changements dans sa vie et sa vision des choses, au détriment de son entourage. C'est très lent mais l'ambiance nous happe au fur et à mesure et le film se montre très puissant émotionnellement parlant.

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En deçà de Immaculée mais très bon film malgré tout. Là aussi ça prend son temps mais ça monte en puissance au fur et à mesure et le film n'est pas avare en scènes chocs.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 20:41
par Pale
Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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En VOD :

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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 20:56
par BOX OFFICE STORY
Pale a écrit : sam. 21 sept. 2024 00:12 Vu :

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Je découvre seulement ce classique des années 80. À vrai dire, je m'attendais à une comédie vieillotte mais il s'agit d'une véritable pépite dans laquelle Tom Cruise est brillant et très bon dans le registre comique. C'est un peu aussi le rôle de la consécration pour l'acteur. La cerise sur le gâteau c'est la bande-originale atmosphérique de Tangerine Dream qui confère à certaines scènes une ambiance onirique. Au final c'est tout simplement excellent, je me suis régalé du début à la fin.
Et comment ! C'est le second film avec Tom Cruise que j'ai vu au cinéma après Outsiders. Tellement évident qu'il allait devenir une star.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 21:33
par Pale
BOX OFFICE STORY a écrit : dim. 22 sept. 2024 20:56
Pale a écrit : sam. 21 sept. 2024 00:12 Vu :

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Je découvre seulement ce classique des années 80. À vrai dire, je m'attendais à une comédie vieillotte mais il s'agit d'une véritable pépite dans laquelle Tom Cruise est brillant et très bon dans le registre comique. C'est un peu aussi le rôle de la consécration pour l'acteur. La cerise sur le gâteau c'est la bande-originale atmosphérique de Tangerine Dream qui confère à certaines scènes une ambiance onirique. Au final c'est tout simplement excellent, je me suis régalé du début à la fin.
Et comment ! C'est le second film avec Tom Cruise que j'ai vu au cinéma après Outsiders. Tellement évident qu'il allait devenir une star.
Et Rebecca De Mornay, mamma mia :hehe:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 22:30
par Pale
Mon programme ciné du mois d'octobre :

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Peut-être :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : Smile 2

Il s'agit d'un mois très chargé, probablement le mois de l'année où j'ai le plus d'attentes.

Par contre c'est dingue qu'à un mois de sa sortie le nouveau Clint Eastwood ne bénéficie d'aucune promo. Il n'y a même pas une seule image officielle.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : dim. 22 sept. 2024 22:37
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 08:08
par Pale
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[youtube]7l3hfD74X-4[/youtube]

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Même si il en dévoile beaucoup, ce nouveau trailer de Red One est plus emballant que le premier.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 15:21
par NaughtyDog
[youtube]Ts0N8swyWFI[/youtube]

[youtube]v-94Snw-H4o[/youtube]

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Posté : lun. 23 sept. 2024 16:09
par robinne
Pale a écrit : lun. 23 sept. 2024 08:08 Image
J'ai du mal à reconnaître Chris Evans sur l'affiche :sweat:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 17:28
par Pale
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[mention]robinne[/mention] Et sur celle-ci ? :lol:

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Vous avez l'impression d'avoir déjà vu l'affiche de Thunderbolts* ? C'est normal :

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Je pense qu'il y a d'autres exemples. Si quelqu'un s'en souvient, qu'il n'hésite pas :D

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 17:39
par robinne
Pale a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:28
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@robinne Et sur celle-ci ? :lol:
C'est un peu mieux :sweat:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 17:44
par Pale
robinne a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:39
Pale a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:28
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@robinne Et sur celle-ci ? :lol:
C'est un peu mieux :sweat:
Et l'ours de Coca-Cola tu l'as reconnu ?

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:D

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Posté : lun. 23 sept. 2024 18:07
par robinne
Pale a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:44
robinne a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:39
Pale a écrit : lun. 23 sept. 2024 17:28
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@robinne Et sur celle-ci ? :lol:
C'est un peu mieux :sweat:
Et l'ours de Coca-Cola tu l'as reconnu ?

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:D
Rien à voir :ouch:
Tous les Asiatiques sont des Chinois pour toi ? :grrr: :lol: :lol:

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Posté : lun. 23 sept. 2024 18:49
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 22:13
par yhi
robinne a écrit : dim. 1 sept. 2024 09:42
Pale a écrit : dim. 1 sept. 2024 08:54 Image
Tilda Swinton et Michael Shannon dans un même film ? Ca me le rend tout de suite intéressant :)
Quelqu'un a déjà vu The act of killing, le film mentionné sur l'affiche ?
@NaughtyDog peut-être ? :saint:
J'ai pu voir The end. C'est original mais quand même un peu raté. Le concept est plutôt bien tenu (huis clos, comédie musicale) mais c'est un peu trop long (2h30), ilf aut supporter le double abattage Swinton/Shannon, ça fait beaucoup et c'est parfois un peu exagéré.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 22:50
par Pale
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Le point de départ est sympa, un couple en route pour Las Vegas emprunte une petite route au milieu de nulle part et vont traverser une sorte de portail les emmenant en enfer. La nana se fait alors kidnapper par un flic de l'enfer et son compagnon va vouloir la retrouver. La première partie est assez délirante mais les situations deviennent un peu répétitives à force et le rythme a tendance à faiblir, à tel point que le film devient un peu long malgré sa courte durée. Cela dit le final est plutôt épique et nous sort un peu de la torpeur.

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Je suis tiraillé. Honnêtement niveau baston et violence, le film fait le job. Mais le reste... Le film peut également prétendre au titre de la meilleure comédie de l'année. Je vous jure, les méchants du film il faut le voir pour le croire. On ne voudrait même pas d'eux comme figurant dans le pire Chuck Norris/Steven Seagal. Il faut les voir pleurer et geindre à chaque fois qu'ils découvrent un de leur complice (bon en fait ils font tous partie de la même famille) qui s'est fait exploser la tronche comme il se doit (et cela arrive souvent). Et d'ailleurs, ces fameux méchants ont environ 50 fois la possibilité d'en finir avec le héros mais non il faut toujours qu'ils l'épargnent pour une raison bidon pour au final se faire maraver la tronche comme pas permis. Et alors la passivité des passagers est également à mourir de rire. Il n'y a vraiment rien qui va dans ce film mais j'applaudis malgré tout la virtuosité des bastons et la violence qui n'a rien à envier aux deux derniers Rambo.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 23:10
par Pale

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : lun. 23 sept. 2024 23:50
par NaughtyDog
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 07:53
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 08:25
par Pale
Apartment 7A : les premiers avis sur le prequel de Rosemary’s Baby sont tombés

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Le film d’horreur Rosemary’s Baby a eu droit à son prequel, intitulé Apartment 7A, et les avis viennent de tomber.

Difficile de contester l’importance de Rosemary’s Baby dans le cinéma d’horreur. Aux côtés de Shining ou de L’Exorciste, le film de Roman Polanski reste un classique, dont la mise en scène capte avec beaucoup de finesse (et d’effroi) une certaine idée de l’intangible. Forcément, à partir du moment où Hollywood peut se repaître d’un tel succès, Paramount n’allait pas se priver.

On se demande bien l’utilité de la chose, vu l’âge du film et le fait qu’il ne s’agisse pas non plus d’une « propriété intellectuelle » des plus identifiées. Mais qu’à cela ne tienne, Apartment 7A est là pour raconter les origines de cette histoire, et les critiques de ce prequel viennent de tomber. Revue de presse.

« Rien de particulièrement révolutionnaire ici, même si un moment de la fin qui réussit à couper le souffle, alors même que Apartment 7A se termine par une indifférence cruelle. La meilleure chose que je puisse dire à son sujet, c’est que maintenant, j’ai immédiatement envie de revoir Rosemary’s Baby. De plus, Garner livre une performance captivante et bouleversée dans le rôle d’une femme attaquée de tous côtés, où la seule issue est par une fenêtre. »
Ryan Lattanzio – IndieWire

« Apartment 7A semble avoir peur de trop s’éloigner de sa maman, justifiant son existence par la puissance pure de la grande Julia Garner et de ses techniques d’actrice, mais ne laissant pas grand-chose d’autre pour le recommander. »
Brian Tallerico – RogerEbert.com

« Il ne s’agit pas tant d’un prequel que d’une histoire parallèle qui continue de souligner l’autonomie limitée des femmes. Les mœurs sociales restrictives piègent à la fois Rosemary et Terry, bien que de manières différentes. »
Lovia Gyarkye – The Hollywood Reporter

« Le film est globalement divertissant, même s’il est constamment tiraillé entre deux directions : celle de prédécesseur d’une œuvre emblématique et celle d’oeuvre propre, avec ses propres griefs contre les normes patriarcales. »
Siddhant Adlakha – Variety

« L’ensemble ressemble à une reprise un peu récalcitrante, même si bien intentionnée, qui a été créée pour pouvoir répondre à trois mystères très spécifiques de Rosemary’s Baby, mais qui embrouille trop les choses. C’est certainement passable, et il y a des choses à admirer, mais ce n’est rien par rapport à l’original. »
Simon Gallagher – Screenrant

« Le film fait si peu d’efforts pour m’intéresser à la fille qui a précédé Rosemary que je me suis simplement demandé comment elle allait mourir pour mettre en place correctement les événements de l’original. »
Maggie Boccella – Collider

« Plutôt que d’approfondir ou de complexifier l’œuvre originale, Apartment 7A s’y engage uniquement sur le mode de la franchise, comme dans sa manière de mettre en avant les Castavet pendant une grande partie de sa durée. »
Steven Scaife – Slant Magazine

« Je suppose que la meilleure chose à dire sur Apartment 7A, c’est qu’une fois terminé, vous voudrez revoir le bien meilleur Rosemary’s Baby, et laver le piètre souvenir de ce film. »
Chris Evangelista – Slashfilm

Le constat est clair : ce prequel semble souffrir, comme tant d’autres remakes ou spin-off de grands classiques, de son lien de parenté avec Rosemary’s Baby, qui l’empêche d’avoir sa propre identité. Seul point positif, la performance de Julia Garner a l’air d’apporter de la vie et de la force à ce projet. Pour vous faire néanmoins une idée du résultat, le film sortira le 27 septembre 2024 sur la plateforme Paramount +.


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... HkOAxLjI2Q

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 08:30
par Pale
Emmanuelle : premiers avis sur le remake du film érotique culte, avec Noémie Merlant

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Les premières critiques concernant le nouveau film Emmanuelle réalisé par Audrey Diwan, avec Noémie Merlant, sont là.

Trois ans après l’électrochoc L’Événement (Lion d’or à Venise), Audrey Diwan est de retour à la réalisation avec un remake du film érotique devenu objet de culte : Emmanuelle.

Bien que le film ait connu un changement de taille après le départ de Léa Seydoux qui devait avoir le rôle principal d’Emmanuelle, c’est Noémie Merlant qui a reçu pour lourde tâche de donner corps à l’héroïne du classique de la littérature érotique d’Emmanuelle Arsan, datant de 1959.

Pathé avait livré une bande-annonce sulfureuse pour cette Emmanuelle version 2024, à mi-chemin entre thriller humide et film à la thématique féministe puissante, ce qui avait attisé notre curiosité. Aux côtés de Naomi Watts, Jamie Campbell Bower et Will Sharpe, Noémie Merlant va tenter de faire oublier (ou pas) l’unique Sylvia Kristel.

L’Emmanuelle d’Audrey Diwan a été présentée au festival de San Sebastian. Les premières critiques le concernant sont loin d’être très excitées, et sont très divisées. Revue de presse.

« Audrey Diwan va au bout de ses parti pris, fuit toute concession, n’esquive aucune scène d’intimité sexuelle et reste toujours au plus près de cette femme se réappropriant son corps. Le tout aidé par le travail précieux à la lumière de Laurent Tangy, aussi convaincant quand il crée l’atmosphère de prison dorée du palace dans lequel évolue Emmanuelle que dans les scènes où elle s’en échappe pour tenter de retrouver l’homme qui, la fuyant, devient de plus en plus désirable. »
Thierry Cheze – Première

« Cet érotisme-là se cantonne à une surface lisse et froide, évoquant de mauvais magazines sur papier glacé. L’intrigue, abstraite et sans intérêt – le thème du voyeurisme y est abordé mais pas traité -, se traîne avec lenteur, dans une espèce de léthargie compassée presque anachronique. Une vision totalement datée. »
Pascal Gavillet – 24heures

« Le récit prend son temps pour se déployer, se perd un peu dans les couloirs du palace mais la dernière partie dans les ruelles de Hong Kong où plane l’ombre de Wong Kar-wai est très réussie. Elle rappelle qu’érotisme se conjugue avec romantisme quand pornographie rime avec boucherie. »
Yannick Vely – Paris Match

« La mise en scène est élégante, léchée, d’une froideur qui n’est peut-être pas volontaire. Cela brille, mais reste lisse. Les dialogues sont ampoulés, ce qui ne signifie pas lumineux. On disserte sur la tristesse. Une escort lit Les Hauts de Hurlevent. Évidemment, le but était de transformer Emmanuelle en icône féministe. Drôle d’idée. L’hôtel, lui, est très bien. Il mérite ses cinq étoiles. On n’en dira pas autant du film. »
Eric Neuhoff – Le Figaro

« Les questions relatives au plaisir sexuel d’une femme sont audacieusement mises en avant dans ce film. Il s’agit sans aucun doute d’un territoire inexploré et d’une contribution significative pour contrer le regard masculin et redéfinir la représentation du désir sexuel féminin du point de vue d’une femme. »
Critique collégiale – Montage Review

« En fin de compte, le film n’a qu’un seul but dramatique, et c’est de voir Emmanuelle s’envoyer en l’air avec un autre étranger séduisant pendant que l’asexué Kei observe et traduit en cantonais les instructions à l’amant, car la prise de contrôle semble être l’apogée émotionnelle de toute histoire érotique contemporaine. »
Leslie Felperin – The Hollywood Reporter

« Tous les acteurs sont, en fait, tellement meilleurs que leur matériel de départ qu’ils réussissent presque à transformer l’histoire du réveil d’Emmanuelle – qui arrive finalement et inévitablement, avec un soupir prolongé se confondant avec le post-orgasme du générique – en quelque chose d’étrange et d’intéressant. »
Stephanie Dunbury – Deadline

« Tous deux autrices de qualité en français, Diwan et Zlotowski sont complètement perdues avec des dialogues en anglais qui ne sont ni convaincants, ni une parodie de scénario érotique. Merlant, loin des spécificités sensorielles et émotionnelles de Portrait d’une jeune fille en feu, est une présence trop sérieuse pour apporter une touche lascive à des répliques telles que « J’ai senti son odeur – un peu poivrée ».«
Guy Lodge – Variety

« Il y a pourtant peu de sexe dans Emmanuelle (ce qui était tout l’intérêt du roman/film français) et suffisamment de dialogues risibles en anglais pour que les brunchs de drag queens soient alimentés pour les années à venir – s’ils peuvent passer à travers les 105 minutes de durée et les enjeux nuls. »
Fionnuala Halligan – Screen Daily

En France comme aux États-Unis, la presse est donc très divisée sur l’Emmanuelle d’Audrey Diwan. Au-delà des remarques sur la qualité du scénario, et des dialogues potentiellement perdus dans la traduction, c’est évidemment la question de l’érotisme et du sexe qui revient le plus.

La réalisatrice Audrey Diwan a justement réagi sur son compte Twitter/X, suite à la critique de Première. Mais nul doute que c’est une réaction plus globale.

Emmanuelle arrivera dans les salles de cinéma françaises à partir du 25 septembre 2024. Elle débarquera en plein embouteillage cinématographique puisque face au film d’Audrey Diwan on retrouvera le Mother Land d’Alexandre Aja, ainsi que le Megalopolis de Francis Ford Coppola.


https://www.ecranlarge.com/films/news/e ... 1ZVMkp2xUA

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 08:33
par Pale
EL a modérément apprécié Speak no Evil (3 étoiles) :

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Le studio Blumhouse en est déjà à son quatrième méfait cette année. Après le très très mauvais Imaginary, le très mauvais Night Swim et le mauvais L’I.A. du mal, l’usine à navets high-concepts de Jason Blum revient aux fondamentaux du cinéma d’horreur hollywoodien pour relever le niveau du crû 2024 : piller remaker et lisser adapter un excellent film indépendant étranger, à savoir ici Ne dis rien de Christian Tafdrup. Réalisé par James Watkins et interprété par James McAvoy, Mackenzie Davis et Aisling Franciosi, Speak No Evil pouvait difficilement se rater. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé.

SPEAK NO EVIL, SPEAK NO REMAKE


La combine n’est pas nouvelle et peut s’avérer plus que payante. On se souvient du carton des remakes estampillés J-Horror dans les années 2000, comme Ring, The Grudge ou dans une moindre mesure Dark Water. Ca peut aussi donner aussi de gros navets qui se contentent de recracher sans digérer, voire sans comprendre. Qui se rappelle de En Quarantaine, The Eye, Goodnight Mommy ou Inside ? Jason Blum s’en est déjà mordu les doigts, lui qui a produit l’atroce remake de Martyrs en 2015.

Il ne prend pas trop de risques néanmoins avec Ne dis rien, sommet de malaise orchestré par Christian Tafdrup qui ferait passer le dîner de The Office pour une séance de méditation. Pendant une bonne heure, Speak No Evil reprend quasi telles quelles et dans l’ordre ses scènes les plus marquantes. Il est toujours question de deux petites familles qui se rencontrent. L’une va inviter l’autre à passer un week-end chez elle. Un bon moment a priori, si ce n’est que l’hospitalité de ce couple d’hédonistes peut parfois s’avérer plus que gênante.

Quelques retouches bienvenues sont apportées ici et là (la peluche, qui n’est plus qu’un simple McGuffin), mais c’est globalement la même chose. Comme souvent dans ce genre de cas, ceux qui ont vu le premier film s’ennuieront ferme, les autres profiteront d’un récit effectivement très malin, exploitant ces moments de malaise qui caractérisent les interactions humaines, les crevasses sociales sur la façade polie de la petite famille propre sur elle. Comme son modèle, Speak no Evil révèle ce que dissimule la politesse de tous les jours, dans un geste finalement très critique.

Du moins jusqu’à la dernière demi-heure. Et c’est là que le film butte sur le même problème que dans Martyrs : évidemment, le cahier des charges hollywoodien n’autorise pas Blum à recycler le jusqu’au-boutisme cynique de Ne dis rien et sa fin très méchante. Au moment d’entrer dans le dernier acte, il bifurque. L’occasion d’enfin détourner un peu les enjeux de l’original… vers un home invasion classique, typique de l’écurie Blumhouse.

LIGHT MODE

Speak No Evil est très caractéristique du modèle du remake américain. Plus rentre-dedans que l’œuvre dont il s’inspire, il ne s’en détache vraiment que lorsqu’il est contraint de lisser un peu ses aspects les plus piquants. Ajoutant quelques fusils de Tchekhov et alourdissant le passif de ses personnages, il traite cette histoire avec bien moins de subtilité, d’autant qu’en face, James McAvoy rejoue la partition de psychopathe charismatique qui avait fait le succès de Split, à mille lieues de la fausse normalité inquiétante de Fedja Van Huet.

Encore une fois, c’était le sujet de l’original : la vacuité des courbettes ordinaires et des amitiés de surface. Jouant au plus malin, un poil plus artificiel, le remake préfère toutefois régulièrement l’extraordinaire à l’ordinaire, notamment au moment de sortir son twist, qu’une scène modifiée spoile en amont (bonus : elle est dans la bande-annonce). Et si le personnage de Paddy prononce bien la réplique révélatrice finale, il ne le fait pas dans le même contexte du tout, amoindrissant ses sous-entendus.

Et puis bien sûr il y a la fin, qui s’éloigne donc du scénario danois non pas pour se réapproprier ses idées, mais pour esquiver sa conclusion nihiliste. Au moins, la dernière demi-heure assume de viser l’efficacité plutôt que la pertinence. Bien que le long climax ressemble au tout venant de l’horreur américaine, il a le mérite d’être très bien exécuté. C’est l’intérêt d’avoir recruté James Watkins, metteur en scène plus que compétent qui avait percé avec Eden Lake en 2008.

C’est tout ce qu’on retiendra donc de cette récupération américaine : une redite édulcorée, mais pas feignante pour autant, qui compense tous ses défauts par une technique irréprochable. Une maigre pitance pour ceux qui ont vu l’original, mais un film qui risque de faire son petit effet sur les autres (de facto bien plus nombreux). Même si on ne peut que leur conseiller de commencer par la version de 2022.

L’archétype du remake américain, qui troque la subtilité et la radicalité de son modèle contre un conformisme bourrin. Au moins, cette fois, c’est assez efficace.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3sLDdffrjw

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 10:15
par robinne
yhi a écrit : lun. 23 sept. 2024 22:13
robinne a écrit : dim. 1 sept. 2024 09:42
Pale a écrit : dim. 1 sept. 2024 08:54 Image
Tilda Swinton et Michael Shannon dans un même film ? Ca me le rend tout de suite intéressant :)
Quelqu'un a déjà vu The act of killing, le film mentionné sur l'affiche ?
@NaughtyDog peut-être ? :saint:
J'ai pu voir The end. C'est original mais quand même un peu raté. Le concept est plutôt bien tenu (huis clos, comédie musicale) mais c'est un peu trop long (2h30), ilf aut supporter le double abattage Swinton/Shannon, ça fait beaucoup et c'est parfois un peu exagéré.
Super, merci pour ton retour !!
Tu bosses dans un ciné ? Ou tu l'as vu durant un festival ?
Je ne connaissais pas le concept :sweat:
C'est la mode des comédies musicales "indépendantes" :sweat:
double abattage Swinton/Shannon
:lol:
Pas étonné.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 10:58
par Pale
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J'ai vu des bouts lorsque j'étais très jeune, autant dire qu'il s'agit d'une totale redécouverte. Fan des thrillers domestiques, j'avoue avoir moyennement apprécié. Ça se suit sans problème mais le tout est extrêmement prévisible et précipité. C'est également bourré d'énormes facilités scénaristiques. Bref c'est pas ouf.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 11:08
par Pale
Des milliers de litres de sang ont été utilisés pour The Substance

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Coralie Fargeat revient sur le tournage dantesque de son film de genre avec Demi Moore et Margaret Qualley.

Sensation du dernier Festival de Cannes, The Substance a électrisé les spectateurs. Film de body-horror totalement barré, où Demi Moore partage l'affiche avec Margaret Qualley et Dennis Quaid, il sortira en France le 6 novembre prochain. Alors qu'il est déjà sur les écrans aux Etats-Unis, sa réalisatrice, la française Coralie Fargeat est revenue sur son tournage dantesque dans EW, en avouant notamment avoir dû utiliser une quantité industrielle de faux sang. Pas moins de 130 000 litres... pour une seule scène.

"Il faut prendre le temps de se recentrer sur soi-même et de digérer le film, pour que de nouvelles idées et de nouveaux désirs puissent prendre forme", explique-t-elle à propos du processus de création de ce film qui a duré plusieurs années.

Elle met en scène Demi Moore dans le rôle d'Elisabeth Sparkle, une actrice vieillissante dont la carrière à la télé prend fin de manière violente lorsqu'elle est emplacée par une jeune femme plus jeune. Son éviction pousse Elisabeth à s'injecter un médicament expérimental qui fait sortir Sue (Margaret Qualley), une version identique (bien que beaucoup plus jeune) d'elle-même, de la colonne vertébrale ensanglantée d'Elisabeth.

"J'ai reçu de nombreuses offres pour réaliser des scénarios que je n'avais pas écrits, raconte aussi la réalisatrice. Je me suis posé des questions. Qu'est-ce qui me semble bon pour moi ? Je voulais toujours créer mon propre chemin. Je voulais continuer à façonner mes univers et mes histoires, et faire ce que j'ai commencé à faire avec Revenge (son premier film, NDLR) : créer mes films comme personne d'autre ne pouvait les faire. Ce chemin, en fin de compte, s'est forgé à travers une mer de sang, alors que le film aborde des sujets inconfortables, de la haine de soi et des normes de beauté néfastes à l'âgisme non seulement à Hollywood mais dans la culture en général."

The Substance est caractérisé par l'utilisation quasi frénétique de sang. Alors que sa réalisatrice raconte avoir dû insister pour ne pas utiliser des images de synthèse (moins chères et moins complexes à faire), l'idée était de confronter le public à une réalité tangible :

"Ce n'était pas une option pour moi, car je savais que la scène devait être énorme", dit-elle à propos d'une séquence en particulier, dont le tournage a pris près de trois semaines et a nécessité la construction d'un théâtre entier dans un studio d'enregistrement. Sur le plan logistique, nous avons fait face à tous les défis et à la pression du sang, à la quantité de sang, sa fabrication, sa couleur... Je crois qu'il y avait 36 ​​000 gallons de sang, en tout. "

Un parti pris gagnant pour Coralie Fargeat qui a remporté le prix du scénario à Cannes et dont la sortie française, le 6 novembre, s'annonce en grande pompe.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... T7F5hPQHpA

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 11:16
par yhi
robinne a écrit : mar. 24 sept. 2024 10:15 Super, merci pour ton retour !!
Tu bosses dans un ciné ? Ou tu l'as vu durant un festival ?
Je ne connaissais pas le concept :sweat:
C'est la mode des comédies musicales "indépendantes" :sweat:
Vu au festival de San Sebastian.
Oui c'est la mode des comédies musicales d'auteur. Après, The act of killing, son premier documentaire, comportait déjà des intermèdes chantés/musicaux. Donc ça n'est pas si étonnant qu'il passe a la comédie musicale côté fiction.

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 12:28
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 16:28
par NaughtyDog
[youtube]bKGxHflevuk[/youtube]

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 16:54
par Pale
NaughtyDog a écrit : mar. 24 sept. 2024 16:28 [youtube]bKGxHflevuk[/youtube]
It's good :hot:

Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 18:15
par Pale
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Le Cercle des profileurs disparus

Posté : mar. 24 sept. 2024 19:12
par Pale
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